Les Espoirs du Football

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Foot - Ligue Europa - OM : Jobello, à lui de jouer


Agé de 18 ans, l'attaquant Wesley Jobello devrait être titulaire pour la première fois avec l'OM ce jeudi en Ligue Europa contre Limassol (19h00). Ce banlieusard parisien est un grand espoir du club olympien. Son portrait.

Wesley Jobello pourrait bien être titulaire pour la première fois avec l'OM, ce jeudi en Ligue Europa. Le jeune attaquant, qui a joué 19 minutes le 20 mai dernier à Sochaux (1-0) et 5 autres il y a 15 jours contre Fenerbahçe (0-1), était surtout attendu au tournant il y a un mois. Il était prévu qu'il fasse partie du groupe qui s'est déplacé à Bordeaux le 18 novembre dernier. Face à la pénurie de joueurs offensifs, Elie Baup comptait bien s'appuyer sur ce joyau du centre de formation. Mais il a raté le coche. Dans la semaine, l'Antillais de 18 ans a manqué un entraînement à cause d'un réveil trop tardif. Et il pensait s'en sortir avec une fausse excuse. Ses dirigeants ont découvert le pot aux roses et l'ont privé de match à Chaban-Delmas. C'est à partir de là que démarre l'histoire fabuleuse de Fabrice Apruzesse, cet amateur qui a profité de l'aubaine. « Il s'est loupé et il a compris qu'il était passé à côté d'un gros truc. Cela lui a servi de leçon », nous a confié Henri Stambouli, le directeur du centre de formation.

« On a l'impression qu'il ne touche pas le sol », affirme Stambouli.Cette anecdote ne doit pas faire penser que Jobello est un joueur turbulent ou ingérable. Ce n'est justement pas le cas. « C'est un gamin tranquille, certifie Stambouli. Mis à part quelques réajustements, on n'a jamais eu de souci.» "Wess" a été repéré à 15 ans alors qu'il faisait ses gammes en banlieue parisienne, à Viry-Châtillon. Il a intégré le centre de formation de l'OM, séduit par « l'aisance technique » du garçon. Son style « aérien » est une caractéristique rare qui a emballé les recruteurs olympiens. « On a l'impression qu'il ne touche pas le sol », affirme Stambouli.

«Il est surprenant»
S'il a correctement gravi tous les échelons et qu'il est aujourd'hui international des moins de 18 ans, c'est surtout grâce à ses « qualités de vitesse ». Il va vite et sait éliminer ses adversaires avec une belle dextérité. « Il a un dribble chaloupé, certifie Stambouli. C'est un joueur qui a besoin d'espaces. Il peut traverser le terrain sur 30 ou 40 mètres en travers. Il a une belle maîtrise du ballon, il est surprenant. Sur un long dégagement, quand il fait son contrôle, le ballon reste collé. » Jobello ne se présente pas comme un attaquant axial mais plutôt un ailier. Et l'OM pense d'ailleurs qu'il arrivera à maturité dans deux ou trois ans. « Il doit être un Jordan Ayew, mais dans un autre style », confie Stambouli, qui le voit plutôt, toute proportion gardée, comme un Thierry Henry ou Loïc Rémy. S'il veut épouser le même destin, Wesley Jobello doit vite devenir plus mature, progresser dans son jeu dos au but et les petits espaces.

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Foot - Ligue 1 - 17e j. : Umtiti a bien grandi


A 19 ans déjà, le Lyonnais Samuel Umtiti a gagné en potentiel physique cette saison pour conquérir ses galons de titulaire dans une défense imperméable depuis trois matches. Ce mercredi, l'OL reçoit Nancy (19h00).

Si le football n'est pas autant un sport de statistiques que le basket, les chiffres sont devenus incontournables. Et certains sont significatifs. Selon Opta, Samuel Umtiti a, contre Saint-Étienne dimanche (1-0), remporté 41 des 48 duels qu'il a livrés. Personne n'avait encore atteint ce ratio (85%) cette saison. Pour s'installer dans la défense, le chef de file de la classe biberon lyonnaise n'a pas uniquement profité de la blessure de Dejan Lovren. Il le doit aussi à de gros progrès sur le plan de l'intensité et de la combativité physiques affichés successivement face à Marseille (4-1), Montpellier (1-0) et donc aux Verts. «Je ne suis pas très grand (1,82 m), je savais que j'avais beaucoup de travail à faire à ce niveau-là pour être plus dur sur l'homme. Pareil de la tête, avant, j'y allais sans conviction», confie-t-il. Il a enchaîné musculation et gainage. Et gagné en sûreté et en détermination.

Bernard Lacombe lui prédit une carrière à la Abidal. Lui préfère Thiago Silva, qu'il devrait croiser dimanche au Parc.En concentration aussi : les deux ou trois bourdes de la saison dernière sont oubliées. «Il a compris qu'il devait être plus efficace dans certaines zones de terrain, quitte à être moins esthétique dans son jeu», explique Rémi Garde. «Il pouvait être rude mais c'était maladroit, enchaîne Stéphane Roche, directeur du centre de formation. Là, il grandit, il a beaucoup plus de maîtrise. Ses qualités sont désormais exploitées.» Même s'il «n'ose pas assez prendre de risques pour déborder» quand il évolue latéral. «Je n'ai pas encore les mêmes automatismes que dans l'axe», avoue-t-il.

La prise de risques à perfectionner
Ses progrès physiques n'ont en rien entaché sa technique ni sa sérénité. Demandez donc au Stéphanois Alonso qui s'est fait avoir comme un bleu par un gamin qui a agi en vieux briscard. «Il a eu la capacité de se dire qu'à ce moment-là il fallait garder son calme et faire primer la dimension collective sur la frustration individuelle», explique Roche. "Mature" et "posé" sont les mots qui reviennent le plus. «C'est ma personnalité, je suis quelqu'un de très introverti.» Bernard Lacombe lui prédit une carrière à la Abidal. Lui préfère Thiago Silva, qu'il devrait croiser dimanche au Parc. Affronter Ibrahimovic sera une bonne manière de tester ses progrès. Mais sans aucune appréhension. Il dégage une grande assurance : «À 19 ans, faire ce que je fais, tout le monde n'en est pas capable. Je m'impressionne tous les jours et il faut que ça continue comme ça». Pas si introverti le jeune sage, qui attend d'avoir un peu de temps pour passer son bac STG. Ce n'est sans doute pas pour tout de suite.- Sylvain LARTAUD, à Lyon

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Foot - Ligue 1 - 18e j. : Benschop, l'Oranje pressé


Arrivé à Brest l'été dernier, le jeune attaquant néerlandais Charlison Benschop espère enfin arriver à faire son trou. Il soigne en tout cas son adaptation et son ratio buts. Coup de projecteur avant le déplacement à Sochaux samedi (20h00).

Il dit, avec assurance, aimer la «boguette». On lui fait répéter, poliment, pardon, il aime quoi dans la culture française, Charlison Benschop ? La «baguette», d’accord. Hormis ce petit défaut d’accent, l’attaquant néerlandais de Brest, le seul Oranje de la Ligue 1, fait tout pour se mettre au bleu – blanc – rouge, avec ses deux cours de français par semaine : «Ca vient petit à petit». Une des données qui conditionnera sans doute son présent et son avenir en Bretagne, il le sait bien : «Sur le terrain, ça va, parce que le football reste un langage universel. Tous les membres de l’équipe essaient de parler anglais avec moi.» Notamment son «pote» Eden Ben Basat, avec qui il a habité pendant deux mois, et qu’il regarde encore du banc débuter les matches.

«En France, quand tu es attaquant, tu es heureux d'avoir une ou deux occasions dans un match. Aux Pays-Bas, tu dois en avoir au minimum 5 !»Plus gros transfert de l’histoire du SB (1,3 millions d’euros), Charlison Benschop peine encore à garantir le retour sur investissement depuis son arrivée l’été dernier. «Non, je ne connaissais pas Brest (rires), mais je ne connaissais pas plus le football français en général !» Il a d’ailleurs eu du mal à s’y adapter, ce qui justifie aussi son temps de jeu assez bas : 500 minutes disputées en championnat, et 3 buts marqués, dont deux sur les trois dernières journées. Pas encore assez pour prétendre titiller les deux titulaires de l’attaque, le très efficace Eden Ben Basat ou le plus discret Jonathan Ayité. «Je suis proche d’atteindre le onze de départ, mais je dois être patient, le coach me dit de travailler encore mon adaptation au style de jeu … Ici, il y a beaucoup de qualité, mais les équipes jouent trop défensivement, et le jeu est plus physique qu’aux Pays-Bas, explique-t-il. En France, quand tu es attaquant, tu es heureux d’avoir une ou deux occasions dans un match. Aux Pays-Bas, tu dois en avoir au minimum 5 !»
Ce que Landry Chauvin lui reproche encore ? Son manque de confiance, notamment : «Les deux dernières années avec l’AZ Alkmaar, je n’ai pas beaucoup joué, ça a de quoi faire partir la confiance. Mais cela va mieux, je me sens presque mieux que jamais. Ce n’est pas une question de qualité de football, mais bien d’adaptation ici à Brest.» Alors, il s’adapte. Ce grand admirateur de Drogba part le dernier de chaque session d’entraînement, pour faire plus, pour faire mieux. «Je reste toujours faire du rab’. Il faut que je sois comme ça, parce que je suis jeune, je dois m’améliorer», notamment dans «le jeu de tête et le jeu dans les petits espaces». Son objectif est très simple : jouer plus pour marquer plus, et aider Brest à rester en Ligue 1. Il promet d'ailleurs : «L’année prochaine, vous verrez le vrai Benschop ! » On s’impatiente déjà. A.-S BOURDET

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Foot - Ligue 1 - PSG : L. Moura, le digne héritier de Raï ?


Dans la lignée de ses illustres prédécesseurs, Lucas Moura, la pépite brésilienne de 20 ans, renforcera le Paris-SG à partir du 1er janvier 2013 (contre 45ME, bonus compris). Avant de quitter son pays, l'attaquant de Sao Paulo a rencontré Raï, la star parisienne des années 90.

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Foot - Ligue 1 - PSG : Moura, le gamin du but


Lucas Moura va rejoindre ce dimanche les rangs du PSG à Doha, où le club de la capitale effectue sa préparation hivernale. Nos confrères de L'Equipe 21 sont allés au Brésil, à la rencontre du désormais ex-attaquant de Sao Paulo.

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Foot - Angleterre - City : Nastasic, la surprise du chef


Arrivé l'été dernier de la Fiorentina, le jeune Serbe Matija Nastasic est rapidement devenu un titulaire indiscutable à Manchester City qui reçoit Stoke ce mardi (16h00).

Ils sont trentenaires, internationaux ivoirien (75 capes) et anglais (23 sélections) mais ils n’ont rien vu venir. Kolo Touré (cinq titularisations seulement en Premier League cette saison) et Joleon Lescott (sept fois dans le onze de départ de City en Championnat) sont le plus souvent sur le banc ou en tribunes à cause d’un nouvel arrivant : Matija Nastasic. «C’est dur de voir un jeune comme ça me passer devant. Mais c’est le choix du coach», regrettait le premier cité le 27 septembre. A seulement 19 ans, le défenseur central serbe est en effet la grande surprise du champion d’Angleterre. Titularisé à douze reprises (plus cinq fois lors des six matches de C1), il a déjà fait sa place au sein de la troisième meilleure défense du Royaume. L’aide de Kolarov et Dzeko n’aura pas été de trop.

«Il sera l'un des meilleurs défenseurs du monde pendant longtemps», avait expliqué Mancini l'été dernier, bien conseillé par son ami Sinisa Mihajlovic, ancien coach de la Fiorentina.Déniché au Teleoptik par Pantaleo Corvino et la Fiorentina en décembre 2010, il a connu une progression fulgurante. Acheté 2,5 millions d’euros à son club formateur du Partizan en juin 2011, il a joué 27 matches pour la Viola. Et a notamment éteint Ibrahimovic face au Milan en novembre 2011 (0-0). Tacleur, tacticien déjà chevronné, à l’aise avec le ballon, il a séduit Roberto Mancini qui l’a payé un peu plus de 15 millions d’euros l’été dernier. «Il sera l’un des meilleurs défenseurs du monde pendant longtemps», avait-il expliqué, bien conseillé par son ami Sinisa Mihajlovic, ancien coach de la Fiorentina. «C’est tout de même un risque remarquable et calculé. Il faut féliciter l’Italien pour sa vision à propos de ce joueur», s’enthousiasmait ensuite The Independent.

Vidic l'avait conseillé à MU qui n'a pas été assez rapide sur ce coup
International serbe à six reprises, il apprend vite en sélection aux côtés de Nemanja Vidic qui avait conseillé à Alex Ferguson de le prendre avant que City ne lui mette la main dessus. Impressionnant face à Cristiano Ronaldo le 18 septembre (défaite 2-3 chez le Real) puis contre Chelsea (0-0), il a été élu meilleur Citizen de novembre par les fans qui l’adorent. «Il a eu des soucis lors des deux premiers matches mais il s’est très vite adapté. Désormais, il s’est fait sa place. Nous lui faisons entièrement confiance», a assuré David Platt, l’adjoint de Roberto Mancini. Nastasic, lui, en profite. «Je progresse vraiment grâce à Kompany. J’adore le jeu anglais, qui est beaucoup plus rapide qu’en Italie. Plus je joue, plus je suis heureux. Alors, avec tous ces matches de fin décembre et de début janvier, je suis comblé», souriait le joueur le jour de Noël.

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Foot-Angleterre-Southampton : Le club blinde Luke Shaw


Révélation de l'année en Angleterre, Luke Shaw (17 ans) affole les plus grands clubs de Premier League. Déjà auteur de onze matches de Championnat cette saison avec Southampton, dont un énorme match contre Reading le 8 décembre dernier (1-0), le latéral gauche formé par le club vient de signer un nouveau contrat longue durée.

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Foot - Ligue 2 - Guingamp : Imbula, talent en avant


Giannelli Imbula continue de marquer les esprits avec Guingamp, opposé au Havre vendredi (20h00). «Il a un fort potentiel mais il doit encore être plus régulier», tempère Jocelyn Gourvennec qui compte le garder jusqu'à la fin de la saison.

Le talent de Giannelli Imbula (20 ans) ne s’est pas perdu en route. Quatre ans après être devenu le plus jeune joueur à débuter un match de Ligue 2 avec l’EAG du haut de ses 17 ans et un mois, le milieu de terrain est devenu l’un des moteurs du club breton. Mieux, il est considéré parmi les tous meilleurs éléments d’un Championnat habitué à façonner de nouveaux talents, comme Romain Alessandrini. A tel point que les prétendants se multiplient pour le récupérer, à commencer par Chelsea qui suit le phénomène depuis deux ans. Mais il va falloir se montrer patient... ou signer un énorme chèque pour forcer Guingamp à vendre sa nouvelle perle. «Il va rester ici jusqu’à la fin de saison à moins d’une offre indécente, nous assure Jocelyn Gourvennec, conscient qu’il sera très compliqué de conserver son joueur cet été. La saison prochaine, ce sera une autre histoire.»

«Au-dessus des autres joueurs»
Pour l’heure, le natif de Belgique ne compte pas jouer l’oiseau migrateur. «Je ne vais pas commencer à m’enflammer. Il faut que j’enchaîne les matches avant de partir», annonçait Imbula en novembre dernier dans France Football. Une décision réfléchie et posée, à l’image du joueur «assez mature» et «toujours pleinement impliqué dans le club». En le prenant sous son aile, Gourvennec a décelé ses points forts et évaluer la distance qui sépare son protégé du top niveau. «Il a un fort potentiel. Sa qualité de passe est son gros point fort, au même titre que sa protection de balle qui le place au-dessus des autres joueurs», analyse-t-il. Résultat : Imbula vient d’enchaîner quatorze titularisations après un début de saison gâché par une blessure.

«Il se fera des sous plus tard, l'essentiel pour lui sera de trouver le bon club. Un passage par la Ligue 1 serait une bonne chose»Il faut dire que la Bretagne offre un «cadre idéal» à Imbula pour évoluer sans pression. «Encadré par des joueurs d’expérience» comme Lionel Mathis (31 ans), Cédric Fauré (33 ans) et Thibault Giresse (31 ans), il évolue patiemment tout en espérant intégrer les Espoirs puis l’équipe de France. Pour Gourvennec, rien ne presse «avec un talent aussi important». «Il se fera des sous plus tard, l’essentiel pour lui sera de trouver le bon club. Un passage par la Ligue 1 serait une bonne chose», conclut l’entraîneur. Encore en course pour la montée (5e à un point du podium) après 19 journée, Guingamp est impatient de retrouver l’élite après huit saisons au purgatoire. Et histoire d’espérer conserver Imbula un peu plus longtemps.

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Foot - Transferts : Lorient recrute deux espoirs


Après avoir enregistré le départ d'Alaixys Romao à Marseille, Lorient a officialisé les arrivées de Mohamed Abu (21 ans) et Ryan Mason (21 ans). Le premier, milieu de terrain international ghanéen (5 sélections), évoluait jusque là à Manchester City. Le second, également milieu, jouait quant à lui à Tottenham. Les deux joueurs sont prêtés sans option d’achat jusqu’à la fin de la saison.

Les Merlus ont également recruté Tony Koutouan, attaquant déjà passé au club en 2003/2004, jusqu'à la fin de la saison.

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Foot - Transferts : Un espoir brésilien au Real


Le Real Madrid a annoncé ce jeudi l'arrivée de Carlos Henrique Casemiro, milieu de terrain brésilien âgé de 20 ans. Ce dernier a été prêté par Sao Paulo jusqu'à la fin de la saison avec une option d'achat et jouera dans un premier temps avec la réserve en deuxième division espagnole.

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Foot - Transferts : L'Inter parie sur Kovacic


L'Inter Milan a enrôlé ce jeudi Mateo Kovacic, grand espoir du football croate. Agé de 18 ans, le milieu offensif est le plus jeune joueur à avoir marqué en première division croate (à 16 ans en novembre 2010) sous les couleurs du Dinamo Zagreb. La transaction aurait atteint les 11 millions d'euros. Il arrive en compagnie d'Ezequiel Schelotto (Atalanta Bergame) et Zdravko Kuzmanovic (VfB Stuttgart).

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Foot - Argentine : Icardi bientôt en sélection


Révélation de l'année à la Sampdoria, Mauro Icardi (19 ans) a déjà marqué huit buts en Serie A cette saison. Promis à l'Inter Milan, le jeune attaquant formé par le FC Barcelone devrait bientôt faire son apparition avec la sélection albiceleste. «Son souhait est de jouer pour l'Argentine, a expliqué le sélectionneur Alejandro Sabella à propos de celui qui est courtisé par la sélection italienne grâce à sa double-nationalité. J'ai été le voir. Nous verrons si nous l'appelons le 7 mars pour les matches éliminatoires contre le Venezuela et la Bolivie ou bien si nous attendons les matches suivants. Il m'intéresse beaucoup !»

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Foot - Ligue 1 - OM : Nkoulou, force tranquille


Après un passage remarqué à Monaco, Nicolas Nkoulou s’est imposé à l’OM, à seulement 22 ans. Sur le terrain, il fait partie des meilleurs défenseurs du Championnat. En-dehors, c’est un garçon discret et réservé, soucieux de ne pas trop faire parler de lui pour autre chose que ses qualités de joueur. De Yaoundé, où il a grandi dans l’affection d’une mère attentive à son éducation, à Marseille, Nkoulou suit son chemin sans s’éparpiller.
«Je ne pouvais pas me permettre de faire n’importe quoi, explique-t-il. Je ne voulais pas décevoir la famille, il fallait que je réussisse pour eux.» Il a réussi, donc, et veut aller encore plus haut, à en croire Élie Baup, son entraîneur à Marseille, qui loue «la discipline, l’exigence qu’il s’impose à chaque entraînement. Il n’accepte pas la médiocrité.»

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Foot - Ligue 1 - PSG : Record de précocité pour Coman


Entré dimanche soir en fin de match (87e) lors du défaite du PSG à Sochaux (2-3), le jeune milieu de terrain parisien Kingsley Coman a battu un record de précocité. En foulant une pelouse de Ligue 1 pour la première fois de sa carrière à l'âge de 16 ans, 8 mois et 4 jours, il est devenu le plus jeune joueur de l'histoire du club à évoluer en Ligue 1. Il détrône le Nigérian Bartholomew Ogbeche qui, en septembre 2001 face à Montpellier, avait fait ses premiers pas chez les professionnels à 16 ans, 11 mois et 22 jours.