Football et Dopage

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Foot - ESP - Dopage
Madrid suspecte Barcelone


Selon la Cadena Cope, le Real Madrid suspecte le FC Barcelone d'avoir recours à de drôles de cocktails après les entraînements. La réponse catalane ne s'est pas faite attendre.

L'une des plus importantes radios généralistes espagnoles, la Cadena Cope, a révélé dimanche soir, à l'issue de la rencontre entre Séville et Barcelone (1-1), que le Real Madrid a demandé à la Fédération espagnole de renforcer les contrôles anti-dopage, en raison de «l'inquiétude suscitée par le travail de médecins de réputation douteuse au sein du FC Barcelone». Toujours selon la même source, le club présidé par Florentino Perez se méfierait également de Valence. Les soupçons du Real portent sur des «cocktails» qui seraient consommés par les joueurs du Barça après les entraînements. Si le Real n'a pas officiellement confirmé ses accusations, la tension a rarement semblé aussi forte entre les deux clubs rivaux, à un mois de leur duel en finale de la Coupe d'Espagne. La réponse catalane ne s'est pas faite attendre...

Des accusations qui rejaillissent sur la Seleccion
Dans un communiqué sur son site, le club catalan a fait part de son «indignation» concernant ces accusations : «Compte tenu des insinuations graves diffusées par la Cadena Cope, le FC Barcelone veut exprimer publiquement son indignation totale à ces allusions sans fondement liant le club avec les pratiques de dopage». Le Barça exige une «rectification immédiate» et a se dit prêt à entamer des poursuites. Les Blaugrana avaient déjà pris des mesures similaires contre le journal Le Monde qui avait été condamné par les tribunaux. Jaime Lissavetzky, Secrétaire d'Etat au Sport, a défendu le système anti-dopage en Espagne et est allé plus loin en expliquant que «le football espagnol est propre». «Je n'ai pas parlé avec Florentino Perez de ces informations. En Espagne, nous avons pris très au sérieux la lutte contre le dopage dans tous les sports et suivi toutes les règles», a-t il poursuivi. Par rebond, ces accusations rejaillissent sur l'équipe espagnole qui vient de remporter le Mondial avec pas moins de huit Catalans dans ses rangs... - Rédaction

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Foot - ESP - Dopage
La Cadena COPE s'excuse


La radio espagnole Cadena COPE assurait dimanche soir que le Real Madrid souhaitait que la fédération espagnole revoie sa politique antidopage et pointait le FC Barcelone et le Valence CF, soupçonnés de faire ingurgiter de drôles de cocktails à leurs joueurs. La radio généraliste a présenté ce mardi des excuses aux deux clubs, en précisant que ni «la réussite sportive de ces clubs, ni le comportement de leurs services médicaux et l'honnêteté de leurs joueurs» n'étaient remis en cause.

«La Cadena COPE s'excuse si quelqu'un a pu interpréter cette information de cette façon, a précisé la radio. Notre rédaction sportive a attaché une grande importance au fait que le Real Madrid souhaitait appliquer des contrôles antidopage plus rigoureux et voulait que ses auditeurs soient les premiers au courant.» «Notre seul but est d'informer», a conclu la Cadena Cope, désireuse de rétablir sa vérité.

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Foot - ESP - Dopage
Contrôle surprise à Barcelone


Dix joueurs du FC Barcelone ont été soumis jeudi à un contrôle antidopage surprise de l'UEFA. Cela intervient quelques jours après les accusations indirectes de dopage envers le club, relayées par la radio Cadena COPE. Cette dernière faisait part de la demande du Real Madrid à la Fédération espagnole de renforcer les contrôles, suspectant Barcelone d'avoir recours à de drôles de cocktails après les entraînements. «Des médecins de l'UEFA sont arrivés au centre sportif pour faire un contrôle antidopage surprise», précise le Barça dans un communiqué. Piqué a ironisé sur la «coïncidence» du contrôle quelques jours après les accusations. Les joueurs visés sont Lionel Messi, Xavi Hernandez, David Villa, Jeffren, José Manuel Pinto, André Iniesta, Victor Valdés, Javier Mascherano, Ibrahim Afellay et Gerard Piqué. (Avec AFP)

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Foot - ESP - Dopage
«le Real devrait s'excuser»


Johan Cruyff a estimé lundi que le Real Madrid devrait s'excuser après les suspicions de dopage à l'encontre du FC Barcelone, relayées la semaine dernière par la Cadena COPE. La radio généraliste avait fait part d'une demande du Real Madrid à la Fédération espagnole visant à renforcer les contrôles antidopage. Le président d'honneur du Barça a expliqué que des excuses auraient dû être faites par «le Real Madrid lui-même». «L'accusation est trop grave, trop brutale pour qu'il n'y ait pas d'excuses», a-t-il déploré. Florentino Perez, avait appelé son homologue du FC Barcelone, Sandro Rosell, pour lui dire que le club madrilène «n'avait rien à voir» avec les accusations retransmises par la radio. Jeudi, dix joueurs catalans ont été soumis à contrôle surprise de l'UEFA. (Avec AFP)

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Foot - POR
Suspension annulée pour Queiroz


Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a annoncé mercredi avoir annulé la suspension de six mois infligée par l'Autorité antidopage portugaise à Carlos Queiroz. L'ancien sélectionneur du Portugal avait été suspendu pour avoir insulté des représentants de l'ADoP lors d'un contrôle antidopage en plein stage de préparation au Mondial 2010. «Bien que les juges du TAS aient relevé que le comportement de M. Queiroz était inacceptable, ils n'ont pas pu établir qu'un tel comportement avait perturbé la procédure de récolte des échantillons ou le travail des contrôleurs, a expliqué le TAS dans un communiqué. En conséquence, la Formation du TAS a admis l'appel de M. Queiroz et a annulé la décision de l'autorité antidopage portugaise». (Avec AFP)

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Foot - Coupe
L'Agenais Daffé puni pour dopage


Buteur lors du 16e de finale de Coupe de France perdu (2-3) contre le Paris-SG, le 23 janvier à Armandie, le défenseur du SU Agen Foot (CFA2) Mamoudou Daffé a été suspendu un mois par la FFF après un contrôle antidopage positif, rapporte vendredi le quotidien toulousain la Dépêche.

Le joueur, qui avait subi un contrôle après la rencontre, comme trois autres joueurs agenais, a reconnu avoir pris, sur prescription de son médecin traitant, un médicament pour traiter sa bronchite et son asthme. Bien que convaincue de sa bonne foi, la FFF lui a néanmoins infligé une suspension. Mamoudou Baffé, pilier depuis deux ans de la défense agenaise, risque de beaucoup manquer à son équipe, pas encore assurée du maintien.

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Foot - ANG
Arsenal carbure aux vitamines


Arsène Wenger a répondu vendredi aux allégations d'un de ses anciens joueurs, Paul Merson, qui avait déclaré cette semaine à la presse anglaise avoir bénéficié d'injections de produits inconnus et suspects durant la saison 1996-1997. «Je ne peux pas prendre cette déclaration au sérieux, a répliqué le coach des Gunners. Je ne sais pas combien de joueurs ont évolué à Arsenal depuis 15 ans, peut-être 200, et certains sont restés 10 ans, donc je pense qu'il serait mieux que vous interrogiez des joueurs qui sont restés 5, 6, 7 ou 10 ans ici pour savoir comment on se comporte à l'infirmerie. (...) S'il existe un joueur à qui j'aurais dit de prendre quelque chose, amenez-le moi en face. Si on leur donne quelque chose, c'est des vitamines diverses, du magnésium, du calcium ou de la vitamine C. Chaque année, on subit au moins vingt contrôles anti-dopage. En 15 ans, aucun n'est ressorti positif. Alors vraiment, vous croyez qu'Arsenal essaie de doper ses joueurs ?»

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Foot - ESP - Barça
Les «vampires» frappent encore


Les médecins de l'UEFA ont pratiqué hier un nouveau contrôle antidopage auprès de dix joueurs du FC Barcelone (Valdés, Piqué, Puyol, Villa, Iniesta, Bojan, Jeffren, Keita, Adriano et Abidal). Le gardien du Barça, Victor Valdés, s'est montré particulièrement agacé suite à ce second contrôle effectué en treize jours par ceux que la presse catalane surnomme les «vampires» de l'UEFA. Il s'agit du quatrième contrôle de la saison, contre seulement trois l'an dernier.

Par ailleurs, Guardiola devrait disposer de l'ensemble de son effectif pour la finale de la Ligue des champions le 28 mai contre Manchester United. En effet, Carles Puyol, touché à un genou, a partiellement repris l'entraînement collectif, jeudi. Le capitaine Blaugrana devrait donc être prêt pour Wembley. De plus, Adriano, le latéral brésilien, s'entraîne désormais normalement.

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Petits meurtres entre amis


Diego Maradona, a suggéré lundi que les joueurs argentins avaient pris des produits interdits avant de remporter le barrage pour le Mondial-1994 contre l'Australie en 1994.

A l'origine de ces déclarations, l'histoire d'amour qu'entretient Maradona avec le président de la Fédération argentine et vice-président de la Fifa, Julio Grondona. Maradona a visiblement mal digéré son départ à la tête de la sélection albiceleste.

"Pourquoi n'y a-t-il pas eu de contrôle antidopage lors du match contre l'Australie, alors qu'il y en avait eu dans tous les matches? Ce qui s'est passé, c'est que pour jouer contre l'Australie, on nous a donné un café rapide. Ils mettaient quelque chose dans le café et grâce à cela nous courions plus et tu la mettais plein cadre", a-t dit Maradona à la chaîne de télévision America.

"Ils te font dix contrôles antidopage et comme par hasard, il n'y en a pas eu lors de ce match. C'est là qu'il y avait un piège et Grondona était au courant," a ajouté Maradona, lui-même exclu du Mondial-1994 pour un contrôle positif à l'éphédrine.

Ces derniers jours, Maradona a multiplié les appels à la démission de Grondona, un "vieux" à la tête de l'AFA depuis 1979 et "un dictateur qui, lorsqu'il dit 'ceci est blanc', est applaudi par tout le monde".

Il a en outre annoncé qu'il allait le poursuivre en justice pour avoir fait référence avec légèreté à ses problèmes d'addiction aux drogues, alors qu'il assure ne plus en avoir consommé depuis sept ans.

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Maradona confirme ses accusations


Diego Maradona a réitéré ses accusations contre le président de la Fédération argentine, Julio Grondona, assurant qu'il avait donné le feu vert aux joueurs de l'albiceleste pour se doper avant le barrage pour le Mondial-1994 gagné contre l'Australie.

"Grondona nous a dit une semaine avant que nous pouvions prendre la substance que nous voulions car il n'y aurait pas de contrôle antidopage", a déclaré jeudi soir l'ancien capitaine et sélectionneur de l'équipe d'Argentine à la radio Metro, en référence à ce barrage aller-retour.

Lundi, "el Diez" avait déjà déclaré que les joueurs avaient bu avant le barrage du "café rapide", avec des substances interdites améliorant l'endurance et la précision, car les dirigeants argentins, dont Grondona, étaient au courant de l'absence de contrôle antidopage.

L'ex-défenseur Jorge Borelli et l'ex-milieu Hugo Pérez ont démenti les propos de Maradona, qui les a accusés jeudi "de faire le jeu de Grondona".

"Je ne sais pas qui a pris. La seule chose que je sais c'est que j'ai marché avec Claudia (Villafañe, son ex-épouse) jusqu'à 8 heures du matin dans toute l'Australie et que plusieurs autres n'ont pas réussi à dormir, je ne sais pas pourquoi", a ajouté "el Diez".

Depuis son départ forcé de la tête de la sélection après l'élimination en quart de finale du Mondial-2010, Maradona ne cesse de traiter Grondona de "vieux" et de "corrompu".

Grondona, à la tête de l'AFA depuis 1979, a rétorqué que les contrôles avaient été annulés car Maradona "sortait d'une affaire de dopage" - 15 mois de suspension en 1991 pour usage de cocaïne en Italie - et "qu'il pouvait avoir gardé une mauvaise habitude".

Quelques mois après ce barrage remporté fin 1993 par l'Argentine, auteur d'un nul 1-1 en Australie puis victorieuse 1-0 à domicile, Maradona avait été de nouveau contrôlé positif, à l'éphédrine, lors du Mondial-1994.

Jeudi, l'ex-président de la Fédération australienne, Ian Holmes, a démenti tout accord avec leurs homologues argentins pour annuler les contrôles.

"Aucune approche n'a été faite auprès de moi, du conseil d'administration ou des entraîneurs pour conclure un accord à ce sujet", a-t-il déclaré.

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Foot - ARG
L'Afa nie les accusations de Maradona


Alors que Diego Maradona accuse le président de l'Afa, Julio Grondona, d'avoir autorisé le dopage des joueurs lors d'un match de barrage pour le Mondial 1994, la Fédération argentine a qualifié mardi «d'inexactes et mal intentionnées» les déclarations de l'ancien sélectionneur. «Il n'y pas eu de contrôle, tout simplement parce que ce n'était pas une obligation réglementaire pour ce type de rencontre», a précisé la Fédération. Selon elle, les propos de Maradona sont dus à une «minuscule dispute personnelle» avec Grondona. «Il nous avait dit une semaine avant la rencontre que nous pouvions prendre ce que nous voulions car il n'y aurait pas de contrôle antidopage», a ajouté l'ancienne gloire. (Avec AFP)

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Foot - Dopage
Cinq Mexicains suspendus


La Fédération mexicaine (Femexfut) a annoncé jeudi que cinq de ses internationaux qui participent actuellement à la Gold Cup aux Etats-Unis venaient d'être suspendus pour dopage. Les joueurs concernés sont le gardien Guillermo Ochoa (Club America), les défenseurs Francisco Rodriguez (PSV Eindhoven) et Edgar Duenas (Toluca), ainsi que les milieux Antonio Naelson (Toluca) et Christian Bermudez (CF Atlante). Tous ont été contrôlés positif à la substance interdite dénommée clenbuterol, a indiqué le secrétaire générale de la Femexfut, Decio de Maria.

Matthieu a écrit:

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Foot - Dopage
Cinq Mexicains suspendus


La Fédération mexicaine (Femexfut) a annoncé jeudi que cinq de ses internationaux qui participent actuellement à la Gold Cup aux Etats-Unis venaient d'être suspendus pour dopage. Les joueurs concernés sont le gardien Guillermo Ochoa (Club America), les défenseurs Francisco Rodriguez (PSV Eindhoven) et Edgar Duenas (Toluca), ainsi que les milieux Antonio Naelson (Toluca) et Christian Bermudez (CF Atlante). Tous ont été contrôlés positif à la substance interdite dénommée clenbuterol, a indiqué le secrétaire générale de la Femexfut, Decio de Maria.

En voilà encore qui ont avalé des chevaux!

jadorana a écrit:

En voilà encore qui ont avalé des chevaux!

Et sans surprise ils utilisent le même Système de Défense que Contador, mais à une "nuance" près

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Cinq joueurs de l'équipe du Mexique de football suspendus de la Gold Cup Concacaf pour un contrôle positif au clenbuterol avaient mangé de la viande contaminée et devraient être blanchis après contre-expertise, a déclaré le responsable des équipes nationales mexicaines.
"Malheureusement, par accident, ces joueurs ont mangé du boeuf contaminé par la substance clenbuterol. Nous sommes confiants qu'avec l'enquête en cours nous pourrons clarifier (la situation) et parvenir à une heureuse conclusion", a déclaré Hector Gonzalez lors d'une conférence de presse à Charlotte, où se déroule le tournoi.

En arguant de la possibilité que des boeufs puissent être responsables comme des chevaux, ça ouvre la porte, à terme, à une "légalisation du Dopage" ! Il suffira de dire que ce qu'"on" a pris était ingurgité par l'animal qu'on a mangé ! Et si en plus on a la chance d'être "couvert" par notre Fédé, tout cela passera comme lettre à la Poste ...

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Foot - Dopage
Des tests pour les cinq Mexicains


Les cinq Mexicains suspendus par leur fédération clament leur innocence et ont passé des tests supplémentaires vendredi pour tenter de le prouver.

L'affaire est loin d'être terminée. Suspendus pour avoir été contrôlés positif au clenbutérol avant le tournoi, les cinq joueurs mexicains exclus de la sélection nationale en pleine Gold Cup ont passé des examens supplémentaires, vendredi à Los Angeles. Guillermo Ochoa, Francisco Javier Rodriguez, Edgar Duenas, Antonio Naelson et Christian Bermudez clament tous leur innocence. Leurs dirigeants aussi plaident leur bonne foi et avancent l'hypothèse d'un «accident».

«Nous allons attendre tous les résultats et voir ce que l'agence agricole du Mexique trouvera dans la viande que nous avons consommée», a expliqué le directeur sportif des Tricolores, Hector Inarittu, dans une déclaration sur le site de la Concacaf. Pour le médecin de l'équipe, «il n'y a pas la moindre chance que ceci ait été provoqué par un complément». «Je crois qu'il n'existe aucun exemple recensé de cinq tests positifs à la même substance lors d'un même événement», a-t-il ajouté.

Ochoa : «Je n'ai pas commis de crime»
Quant aux principaux concernés, ils font pour l'instant profil bas. Le seul à s'être exprimé est sans doute le plus connu d'entre eux, le gardien Guillermo Ochoa. Annoncé en partance vers la France avant les faits, il a fait part de sa «tristesse» et de sa «colère». «Je n'ai pas commis de crime ni d'erreur, ma carrière ne sera pas marquée par quelque chose que je n'ai pas fait, a-t-il déclaré au quotidien local Excelsior. Tout le monde me connaît. Cela fait 14 ans que je suis dans le football et, heureusement, je n'ai jamais eu de problème. C'est la malchance, a poursuivi le portier de Club America. Mais nous sommes calmes et n'avons rien à cacher. Nous avons fait très attention de ne pas tomber dans de tels problèmes car nous savions que cela pourrait arriver. Nous sommes impuissants face à tout ce qu'il se passe». Reste à savoir si les autorités compétentes entendront ses arguments et seront du même avis. Pour l'heure, la sanction est maintenue et d'une durée indéterminée. - H.S. (Avec AFP)