Football et tricherie (Hors Dopage)

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Le gardien de football danois de l'IFK Göteborg, Kim Christensen, a trouvé un moyen pour encaisser moins de buts : déplacer les poteaux de sa cage. Simple mais il fallait y penser ! Malheureusement pour lui, il s'est finalement fait épingler par la télévision.

Septembre 2009 : lors d'un match du championnat danois entre Örebro et Göteborg, l'arbitre arrête le match au bout de 20 minutes car il constate que le but du gardien Kim Christensen ne fait pas la largeur réglementaire. Après avoir remis les poteaux correctement, l'homme en noir signale le problème aux délégués arbitraux et siffle la reprise de la rencontre.
C'est en fait la télévision suédoise qui va révéler que ce que l'on prenait pour une erreur était en fait une tricherie de la part de Kim Christensen. Sur les images filmées juste avant le coup d'envoi, on observe Kim Christensen pousser sciemment le poteau pour réduire la largeur d'une vingtaine de centimètres, en donnant de petits coups de pied dans le poteau.

Interviewé le lendemain, Kim Christensen aggrave son cas en déclarant avoir déjà eu recours à cette astuce à plusieurs reprises, face à d'autres équipes.

Alors que l'on s'attendait à ce que le gardien de Göteborg soit sévèrement sanctionné pour cette tricherie, aucune sanction n'a finalement été prise contre Christensen. Les membres de la commission de discipline de la Fédération ont estimé que l'infraction n'était pas répertoriée dans les règlements et qu'il était donc impossible de punir le joueur. "L'arbitre aurait tout juste dû donner un carton jaune au gardien pour avoir bougé ses poteaux" dixit le vice-président de la commission.

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C'est l'un des grands classiques du sport : la simulation. Les footballeurs sont notamment passés maîtres en la matière.

Et franchement, on se demande encore comment le gardien chilien Roberto Rojas, véritable star dans son pays, a pu avoir une idée aussi tordue. En 1990, lors d'un match de qualification pour la Coupe du monde entre le Brésil et le Chili, et alors que les Chiliens mènent 1-0, un fumigène est lancé à proximité du "Condor" Roberto Rojas. Celui-ci, le visage en sang, est porté hors du terrain. Ses coéquipiers refusent de reprendre le match, expliquant que la sécurité des joueurs n'est plus assurée.

Quelques jours après cet incident, les images vidéo montrent que le goal a en fait triché pour que le Chili gagne la rencontre sur tapis vert. On voit en effet Roberto Rojas s'entailler lui-même l'arcade sourcillière. Il avait caché une lame dans son gant. Preuve que l'acte était prémédité !

Face à cette escroquerie, la FIFA accorda la victoire au Brésil, exclut le Chili de compétitions officielles pendant plusieurs années et suspendit Roberto Rojas à vie.

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Sa simulation était grotesque mais Dida a naïvement cru que ça passerait...

Le 3 octobre 2007, le Milan AC joue contre le Celtic Glasgow dans le cadre de la Ligue des champions. Les choses vont mal pour les Italiens, menés 2-1 par les Ecossais, en raison de deux belles boulettes du gardien milanais Dida...

A la 90e minute, alors que le Celtic célèbre le 2e but, un spectateur parvient à entrer sur le terrain et touche légèrement Dida au visage. Celui-ci, très énervé, commence par poursuivre son agresseur. Puis, Eureka ! Très mal inspiré, Dida se dit que l'intrusion du spectateur peut permettre au Milan de gagner sur tapis vert. Il s'arrête donc de courser le supporter écossais, s'effondre et se tient le visage en se tordant de douleur. Le goal continue son numéro de clown en restant un long moment à terre et en se faisant évacuer sur une civière, une poche de glace sur le front. Il sera même remplacé par Kalac pour les dernières secondes.

Mais ce que Dida avait oublié (on ne sait comment !), c'est que le match était filmé sous toutes les coutures et que rien n'échappe aux caméras. Surtout pas une simulation comme celle-là ! Du coup, le gardien s'est couvert de honte auprès de son club et de tous les supporters milanais.

Les journaux italiens n'y sont pas allés de main morte. "Didastro", a titré le lendemain "La Gazzetta dello Sport" pour qualifier le désastre ("disatro" en italien). "Tuttosport" a écrit "Dida a ridiculisé le Milan".

Finalement, le joueur brésilien sera sanctionné par la FIFA et suspendu pour un match.

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Carlos Bilardo est un personnage haut en couleurs. Très superstitieux, l'Argentin a parfois eu recours à des stratagèmes pas très honnêtes pour gagner. Les journalistes argentins aiment raconter que, plus jeune, le joueur Bilardo piquait ses adversaires discrètement avec une aiguille pour les gêner ! Il simulait ensuite un air innocent pour s'exonérer de sa faute*...

Pire encore : le sélectionneur Bilardo aurait tenté de droguer des joueurs brésiliens lors du 8e de finale de la Coupe du monde 1990, remporté par l'Argentine (1-0).

C'est Diego Maradona (encore lui !) qui a lancé la polémique en décembre 2004, en laissant entendre au cours d'une émission télévisée qu'un somnifère avait été introduit dans une bouteille destinée aux joueurs brésiliens. En janvier, dans le magazine "Veintitres", Carlos Bilardo reconnaissait implicitement la tricherie : "Je ne sais pas, je ne sais pas. Je ne dis pas que cela ne s'est pas passé".

La polémique a redoublé les jours suivants avec les déclarations de Branco, joueur brésilien de l'époque. Celui-ci a déclaré avoir eu des "vertiges" après avoir bu dans une bouteille que lui avait tendu un membre de la délégation argentine. "L'eau avait un goût bizarre. J'ai eu des hallucinations, ma tête tournait. J'ai eu beaucoup de mal à jouer normalement par la suite", a déclaré Branco. Il assure aussi que 2 ans après ce fameux match, le défenseur argentin Oscar Ruggeri lui avouait que la bouteille était destinée à l'ensemble des Brésiliens, que le staff argentin espérait que Branco passe le breuvage à ses coéquipiers...


Face à l'ampleur de la gronde (le Brésil réclamait l'annulation du titre de champion du monde des Argentins), Bilardo s'est rétracté, assurant que le journaliste de "Veintitres" avait mal interprété ses propos.
Depuis novembre 2008, Bilardo est manager général des équipes d'Argentine.

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Quand on est trop juste pour mettre la tête sur un centre, pourquoi ne pas mettre la main pour pousser le ballon de foot dans le but ? Maradona et Messi ne vous contrediront pas : c'est efficace.

Coupe du monde 1986, 1/4 de finale Angleterre-Argentine. Alors que le score est de 0-0, Diego Maradona inscrit un but à la 51e minute. L'arbitre ne l'a pas vu mais c'est de la main que l'Argentin a marqué. Comme le joueur le reconnaîtra lui-même, il ne pouvait atteindre le ballon de la tête en raison de la grande taille du gardien anglais. Il a donc tendu le bras pour effleurer le ballon, qui a lobbé le goal. Il dira que c'était "la main de Dieu".
En 2005, dans le talk-show qu'il anime sur une chaîne de télévision argentine, "El Pibe de Oro" raconte : "J'attendais que mes coéquipiers viennent m'embrasser et personne n'est venu. Je leur ai dit : venez me prendre dans vos bras ou l'arbitre ne va pas le valider".
L'Argentine finira par remporter le match 2-1, grâce à un magnifique 2e but de Maradona (sans ambiguïté celui-là !), élu "Plus beau but de l'histoire de la Coupe du monde" par la FIFA. L'Argentin a dribblé 9 joueurs anglais et parcouru la moitié du terrain ballon au pied avant de marquer.

Son clone, le jeune Lionel Messi, a poussé le mimétisme jusqu'à reproduire la célèbre "main de Dieu" de Maradona. Lors de la 37e journée de Liga, en mai 2007, le joueur du Barça inscrit un but de la main contre l'Espanyol. En revanche, il n'offrira pas la victoire à son équipe puisque les adversaires égalisent à la dernière minute.

Et des exemples" comme ceux-ci, il y en a à la pelle !!

On pourrait récemment ajouter Henry ...

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Foot - TUR
Trois nouvelles arrestations


Vendredi, la police turque a interpellé vendredi trois nouveaux suspects, dont un ex-joueur de deuxième division, dans le cadre d'une enquête sur des matches truqués, a rapporté l'agence de presse Anatolie. Ces nouvelles arrestations portent à 30 le nombre de personnes placées en détention provisoire. Parmi les suspects interpellés jeudi figurait Celil Sagir, 35 ans, un ancien joueur de Fenerbahçe, qui compte quelques sélections en équipe nationale en 1996-1997 et évolue actuellement en deuxième division au Caykur Rizespor. Un ancien président du club de Hatayspor (4e div.) et un ancien arbitre avaient également été arrêtés, selon la même source.

L'ancien international Fatih Akyel, 32 ans, qui avait porté le maillot de Galatasaray mais joue désormais dans un club de D3, est le suspect le plus connu à être maintenu en détention provisoire. Les suspects sont inculpés de «constitution de bande criminelle» et «escroquerie» pour avoir arrangé des matches de 1re, 2e et 3e divisions entre 2007 et 2009, selon les médias.

La Fédération turque de football a toutefois précisé que l'enquête actuelle n'était pas liée au vaste scandale des matches truqués en Europe qui avait éclaté fin 2009, et est gérée par la justice allemande. Cette affaire, liée aux paris sportifs, concerne plusieurs pays dont la Turquie. La presse sportive turque a vu dans la première vague d'arrestations la volonté de procéder à un spectaculaire nettoyage afin de consolider la candidature de la Turquie pour l'organisation de l'Euro 2016, à laquelle la France et l'Italie sont également candidates. (Avec AFP)

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Foot- TUR
Matches truqués : 3 suspects de plus


Un tribunal stambouliote a ordonné vendredi soir le placement en détention provisoire de trois nouveaux suspects dans le cadre d'une enquête sur des matches truqués, portant à 33 le nombre de personnes écrouées dans cette affaire, a rapporté l'agence de presse Anatolie. Il s'agit des dernières incarcérations après les interpellations de la semaine. Les suspects écroués, aujourd'hui au nombre de 33, sont inculpés de «constitution de bande criminelle» et «escroquerie» pour avoir arrangé des matches de 1re, 2e et 3e divisions entre 2007 et 2009, selon les médias turcs.

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Calciopoli: Ancelotti entendu


L'ex-entraîneur de l'AC Milan Carlo Ancelotti, aujourd'hui à Chelsea en Angleterre, sera entendu comme témoin le 20 avril à Naples au cours du procès du "Calciopoli", le scandale des matchs arrangés mis au jour en 2006, annonce l'agence Ansa.

Au cours de l'audience qui s'est déroulée mardi, les avocats de Luciano Moggi, ex-directeur général de la Juventus Turin et homme au coeur du scandale, ont demandé à ce que 75 retranscriptions d'écoutes téléphoniques qui n'avaient pas jusqu'ici été prises en compte soient examinées par le Tribunal.

Les 75 conversations datant des années 2004-2005 mettent notamment en scène l'ancien président de l'Inter, Giacinto Facchetti, aujourd'hui décédé, avec des représentants des arbitres. L'Inter avait été le seul grand club italien à ne pas avoir été mêlé au scandale qui avait éclaté au printemps 2006.

Les avocats de Luciano Moggi entendent démontrer que tous les dirigeants entretenaient naguère des relations avec les représentants du corps arbitral et pas uniquement leur client. En 2006, des milliers d'écoutes téléphoniques avaient révélé que plusieurs dirigeants de clubs, de la Fédération ainsi que des personnes chargées de désigner les arbitres avaient participé au conditionnement du déroulement de plusieurs dizaines de matches, notamment en faveur de la Juventus.

Le "Calciopoli" a déjà donné lieu à des sanctions sportives en 2006. La Juventus avait notamment été reléguée en Serie B (D2) avec 9 points de pénalité, tandis que la Fiorentina, la Reggina, l'AC Milan et la Lazio avaient pu rester en Serie A avec des points de pénalité.

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Foot - MAC
Le TAS confirme pour Pobeda


Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a confirmé ce jeudi l'exclusion pour huit ans de toute compétition européenne, décidée il y a un an par l'UEFA, à l'encontre du club macédonien du FK Pobeda pour tricherie liée à des paris. Il était reproché au club d'avoir truqué un match l'opposant au FC Pyunik (Arménie) à l'occasion du tour préliminaire de la Ligue des champions 2004-2005.

Le TAS a également confirmé l'interdiction à vie faite au président de Pobeda, Aleksandar Zabrcanec, d'exercer toute activité relative au football. En revanche, l'instance a annulé la même condamnation concernant Nikolce Zdraveski, ancien joueur du club, estimant «qu'il n'y avait pas assez d'éléments pour établir que ce dernier avait effectivement été impliqué dans le trucage des matches». (Avec AFP)

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Foot - Justice
Calciopoli : Ancelotti pas entendu


Le manager de Chelsea, Carlo Ancelotti, n'a pas pu être entendu comme témoin lors du procès des matches truqués de Serie A, mardi. L'ex-entraîneur du Milan AC n'a pas pu faire le déplacement jusqu'au tribunal de Naples en raison de la perturbation des vols européens causée par les cendres du volcan islandais Eyjafjöll.

La semaine dernière, les avocats de Luciano Moggi, ancien directeur de la Juventus, avaient demandé que les 75 retranscriptions d'écoutes téléphoniques soient de nouveau étudiées par le tribunal. Ils affirment que ces écoutes prouvent que l'Inter et d'autres clubs, n'étant pas encore liées à l'affaire, sont également impliqués. Cependant, les procureurs criminels ont dit que le nouveau contenu de l'écoute électronique ne révèlerait pas des actes répréhensibles commis par les dirigeants nerazzurri.

L'Inter impliquée ?
L'Inter, qui n'a pas été accusée lorsque le scandale a éclaté en 2006 et a conduit à la Juventus à être rétrogradée par les tribunaux sportifs, a critiqué les tentatives de la mêler à ce procès. «Cette affaire des matches truqués est honteux», avait indiqué, début avril, le président de l'Inter, Massimo Moratti. «Ce renversement est ridicule. Il nous offense», avait-il ajouté.

L'Inter avait été sacrée championne d'Italie en 2006 par le tribunal de sport après que la Juventus Turin a été destitué du Scudetto. Les tifosi de la Juve et même des supporters de l'Inter disent désormais que s'il est avéré que l'Inter est impliquée dans le scandale, alors elle devrait être destituée du titre de champion. (avec AFP)

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Maldini coupable de corruption ?


Paolo Maldini, l'ancien défenseur emblématique de l'AC Milan, fait l'objet avec son épouse d'une enquête pour corruption et accès illégal à des dossiers fiscaux.
L'ancien international italien (126 sélections) est soupçonné d'avoir tenté d'obtenir un meilleur traitement fiscal, grâce à l'aide d'un ancien agent du fisc aujourd'hui sous les verrous.

Agé aujourd'hui de 41 ans, Maldini a mis fin la saison dernière à 24 ans de carrière professionnelle au sein de l'AC Milan, un club avec lequel il a joué plus de 600 matchs de championnat, remporté sept fois le titre de champion d'Italie et cinq fois la Ligue des champions.

Je l'ai adoré ce Joueur et ça me fait un choc ...

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L'affaire des matchs truqués anfle en Grèce


L'affaire des matchs de football truqués en Grèce a connu un nouveau développement lundi, le Premier ministre Athanasios Plevris ayant rendu publique une liste étendue de matches suspects.

Au total, 27 matchs ont ainsi été portés à la connaissance du Parlement et sont sous le coup d'une enquête de la Cour suprême du pays. C'est bien plus que les six matches suspects qu'avait portés l'Union européenne de football (UEFA) à la connaissance des autorités grecques le mois dernier, dans le cadre de la même affaire de matchs truqués en Europe.

En mars, Athènes n'avait pas rendu publique cette liste de six matchs. Selon les détails livrés lundi, il s'agit désormais de 2 matchs de Super Ligue, de trois de Coupe de Grèce et de 22 de 2e division.

Ce développement relance l'affaire des matchs truqués qui a éclaté en novembre dernier, lorsqu'un réseau de paris truqués sur des matches de foot avait été démantelé en Europe, éclaboussant plusieurs pays. Dans un rapport remis en décembre, l'UEFA avait fait état de soupçons concernant douze clubs de deuxième division grecque.

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Foot - GRE
Matchs truqués : cinq clubs soupçonnés


Le Panthrakikos, le PAS Giannena, tous deux relégués en seconde division, le Panionios, Atromitos et Kavala sont les cinq clubs soupçonnés d'être impliqués dans un scandale de matches truqués en Grèce. Une enquête menée par des procureurs d'Athènes a été rendue publique, mardi.

Au total, 27 matches de première et deuxième divisions grecques ainsi que des matches de Coupe datant de la saison 2008-2009 auraient été truqués et sont actuellement en cours d'examen. Achilleas Beos, ancien président de l'Olympiakos Volou, club de seconde division, est monté au créneau à la publication de la liste. «Il est honteux de ternir la réputation en l'absence de preuves, s'est-il insurgé, mardi, sur NOVA FM Sports, quelques heures après avoir démissionné de son poste de président du club.

«J'espérais être appelé pour apporter des réponses à l'enquête. Le football n'est pas un modèle angélique mais j'ai la volonté de participer à chaque discussion ou interrogation», avait déclaré Beos. Les matches de Super League suspectés sont notamment Panthrakikos-PAS Giannena (1-2), le 10 janvier dernier ou encore Panthrakikos-Panionios (0-1) le 14 mars. Cette suspicion se base sur des paris douteux effectués à l'occasion de ces rencontres. Le match considéré comme «extrêmement corrompu» est le Kavala-Agrotikos (4-1) de mars 2009.

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Foot - ARG - Faux passeports
Placente convoqué


Le Bordelais Diego Placente, ainsi que trois de ses compatriotes argentins, ont été convoqués par la justice de leur pays, dans le cadre d'une affaire de faux passeports italiens, rapporte L'Equipe. Placente, Juan Pablo Carrizo (Saragosse), Sebastian Leto (Panathinaïkos) et Juan Forlin (Espanyol Barcelone), devront se rendre au tribunal fédéral de Buenos Aires lors de leur prochain séjour en Argentine.