Rafaël Nadal

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Rafael Nadal (ESP/ Vainqueur du tounoi) :

«Les conditions étaient difficiles mais je me suis bien adapté. Andy a été plus gêné que moi. J'ai joué le match qu'il fallait, toujours en mouvement au centre du court, ça a été la clé. Peut-être que j'étais un peu plus préparé que lui pour jouer dans ces conditions, je les ai mieux acceptées que lui, j'avais une attitude peut-être plus positive. Je n'ai pas cherché les coups gagnants, car c'est difficile dans le vent, mais j'ai cherché à faire des balles basses. Gagner ici c'est vraiment un sentiment fantastique. C'était déjà un rêve de gagner l'Open d'Australie, mais enchaîner avec une victoire ici c'est également spécial. J'adore vraiment jouer ici.»

L'un des secrets de la réussite de Rafa c'est sa constante faculté à se remettre en question et son perfectionnisme à l'entrainement !!

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Insolites > Toni Nadal: "On y travaille doucement"

Par Maria Osuna, lundi 23 mars 2009 à 16:03


Toni Nadal, interviewé par le quotidienne espagnol Marca, a expliqué les raisons pour lesquelles Rafa a remporté le tournoi d’Indian Wells : « Rafael a mieux contrôlé qu’Andy Murray l’influence du vent sur le jeu. En général, il a mieux joué ». L’oncle de Nadal est donc satisfait du résultat, mais comme tous bons coachs, il sait déjà ce que son neveu doit travailler: « Rafa a encore un pan de son jeu à améliorer : le service. C’est vrai qu’à l’heure d’aujourd’hui, son service n’est pas à l’hauteur de son classement. On y travaille doucement ».
Selon Toni, si on se réfère à l’histoire du tennis, Rafael Nadal n’est encore qu’au deuxième ou troisième niveau des joueurs importants. Pour lui, au premier niveau se côtoient Roger Federer, Björn Borg et Rod Laver. Ensuite, dans un groupe inférieur, on retrouve Pete Sampras, John McEnroe, Jimmy Connors et Ivan Lendl : « On verra si à la fin de sa carriere il aura réussi à rejoindre ces grands noms. Pour l’instant, on est content d’avoir ce que l’on a ».

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Le maître de l’univers


Rafael Nadal est bien le nouveau patron du tennis mondial. Le n°1 mondial n’a jamais aussi bien débuté une saison. Son règne est vraiment parti pour durer.

Les fans de Roger Federer ont dû prendre un nouveau coup au moral cette semaine. Non seulement leur favori a échoué au stade des demi-finales à Indian Wells, mais en plus Rafael Nadal, le grand rival et meilleur ennemi du Suisse, a remporté le tournoi, creusant davantage l’écart au sommet de la hiérarchie mondiale. Vainqueur de l’Open d’Australie pour la première fois de sa carrière début février, l’Espagnol démontre chaque semaine qu’il n’est plus seulement l’incroyable joueur de terre battue qu’il était à ses débuts. En remportant le premier Masters 1000 (nouvelle appellation des Masters Series) de l’année, il débute sa saison par deux succès sur dur - ce qu’il n’avait jamais réalisé jusque-là - et compte désormais 9 titres sur une surface qui l’a pourtant vu s’incliner cinq fois sur ses huit finales perdues. «Gagner ici et en Australie, c'est vraiment un début de saison de rêve pour moi», admet le Taureau de Manacor.

Deux Grands Chelems d’avance !
Désormais multi-surfaces, Nadal peut plus que jamais prétendre au Grand Chelem (victoire des quatre tournois Majeurs sur une saison). Un exploit qui n’a plus été réalisé depuis l’Australien Rod Laver en 1969. Chasseur de records, le Majorquin peut d’ores et déjà se targuer de compter 13 titres en Masters 1000, revenant par la même occasion à une longueur de… Roger Federer (14) et quatre du recordman Andre Agassi (17). Le Bâlois pourrait ainsi être rejoint dès la fin de semaine prochaine à Miami. A 23 ans à peine, Nadal semble parti pour balayer tous les standards habituels. A moins qu’il ne soit freiné par les blessures, seul talon d’Achille de l’Ibère. En attendant, le n°1 mondial peut voir venir. Grâce au 1000 points glanés à Indian Wells, il compte désormais 4080 points de plus que Federer, son plus proche poursuivant. Un pécule qui représente deux victoires en Grand Chelem d’avance ! Aujourd’hui, Nadal pourrait se permettre de chuter au premier tour à Roland Garros et Wimbledon, où il est tenant du titre, et conserver sa première place. Et ce, même si l’Helvète gagnait les deux tournois.

La tête et les jambes
Cette hypothèse relève bien évidemment de la science-fiction, tant Nadal semble au-dessus du lot actuellement. Insubmersible, il est par exemple capable de sauver cinq balles de match en huitièmes de finale contre sa bête noire, David Nalbandian. Ou encore de dompter le vent en finale face à un Andy Murray qui l’avait pourtant battu lors de leurs deux dernières confrontations (à l’US Open et Rotterdam). «Rafa a joué de façon plus propre avec le vent et a su se procurer de meilleures situations que moi. Il a dicté la plupart des points», reconnaissait l’Ecossais après sa défaite. «Je me suis bien adapté aux conditions. Je les ai mieux acceptées que lui, j'avais une attitude peut-être plus positive», confirmait le protégé de «l’oncle Toni». Cette positive-attitude, cette incroyable force mentale, doublée d’un physique exceptionnel, font que Nadal gagne systématiquement ses avant-matches. Quel que soit l’adversaire… Vous avez dit imbattable ?

Bon je m'égare je m'égare Revenons aux choses sérieuses

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Nadal à Miami pour un triplé historique



Après ses victoires à l'Open d'Australie et à Indian Wells, Rafael Nadal va tenter de signer au tournoi de Miami, qui commence mercredi, un triplé que seuls les plus grands ont réussi avant lui.

Depuis vingt ans, ils n'ont été que trois à remporter à la suite les trois gros rendez-vous du début de saison: Pete Sampras (1994), Andre Agassi (2001) et Roger Federer (2006).

Même s'il ne s'y est jamais imposé, le Majorquin garde de bons souvenirs des courts en dur de Floride. C'est là qu'il avait battu Federer pour la première fois en 2004, et là aussi qu'il avait joué -et perdu en cinq sets- son premier match de légende contre le Suisse en finale l'année suivante.

Tout semble réuni pour que Nadal aille cette fois-ci au bout et s'octroie son 14e "Tournoi 1000", nouvelle appellation des "Masters Series", les tournois les plus prestigieux après les Grands Chelems, ce qui lui permettrait de rejoindre à 22 ans Federer, son aîné de cinq ans.

La concurrence peine à réagir devant la domination du N.1 mondial, que ce soit le Suisse, de nouveau défait la semaine dernière en demi-finale d'Indian Wells par Andy Murray, l'Ecossais, lui-même sèchement remis à sa place en finale (6-1, 6-2), ou Novak Djokovic qui s'englue dans une méforme persistante.

Quant au Russe Nikolay Davydenko, vainqueur de Nadal l'année dernière en finale, il est forfait à cause d'une blessure à un talon.

Nadal n'a pas manqué de souligner après son succès en Californie l'évidence qu'il est "très difficile de jouer à son meilleur niveau toute l'année" et il se pourrait que son corps ou sa tête -ce serait plus étonnant- éprouvent le besoin de dire stop en prévision des travaux d'Hercule à venir.

En quatre mois, de mi-avril à fin juillet 2008, le Majorquin avait remporté huit tournois sur neuf disputés, dont deux Grands Chelems (Roland-Garros, Wimbledon), accumulant une quantité colossale de points qu'il doit défendre pour garder de la marge au sommet de la hiérarchie mondiale.

VAMOS !!!!!!!!!!!

Entrainement de Rafa à Miami


https://www.youtube.com/watch?v=-B1PWHqy7ns

https://www.youtube.com/watch?v=NiVgXg4e0DE

Petite interview de Rafa et interview d'Ivanovic sur Rafa

http://video.eurosport.fr/tennis/masters-miami/2009/nadal-ivanovic-duo-gagnan_vid100630/video.shtml

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Rafael Nadal > La logique nadalienne

Par Rémi Capber, vendredi 27 mars 2009 à 18:41


Nadal ne ressent pas de pression particulière avant d’aborder ce Masters 1000 de Miami. Le rôle de favori dont il est maintenant affublé ne le dérange pas plus que celui d’outsider qu’on lui prêtait avant.

« A mon sens, il n’y a aucune différence entre le numéro 1 et le numéro 2. C’est la même chose et pour moi, ça ne change absolument rien : mon objectif reste d’améliorer mon tennis en permanence et de continuer à faire de bons matchs, à avoir de bons résultats. Numéro 1 ou numéro 2… Ce ne sont que des chiffres et il n’y en a qu’un de différence. Comme je vous l’ai dit 100 fois, je ne me couche pas le soir en pensant que je suis numéro 1 ou numéro 2, et je ne me réveille pas non plus le matin en me disant « Waouh, tu es numéro 1 ».
La seule chose à laquelle je pense et j’aspire, c’est de bien jouer ou de bien m’entrainer aujourd’hui. Je dois m’améliorer. Toujours. »

Serein, humble, perfectionniste : la recette du succès ne change pas pour Rafa !!
Il ne prend pas la grosse tête, il ne se prend pas non plus la tête et ... CA PAYE !!

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Miami : Nadal se sent comme chez lui



Quelques jours après avoir remporté le tournoi d'Indian Wells, Rafael Nadal s'apprête à faire son entrée à Miami. L'Espagnol est heureux de participer à cette compétition.
"Miami est un tournoi spécial pour tout ceux qui, comme moi, parle espagnol. Pouvoir joueur devant un public latin est très positif, notamment au moment de rentrer sur le court", affirme Rafael Nadal en conférence de presse. Vainqueur de la dernière édition, le n°1 mondial remettra son titre en jeu à partir de samedi, avec au programme un deuxième tour face au Russe Teimuraz Gabashvili. En grande forme depuis le début de saison, le Majorquin vient tout juste de remporter le tournoi d'Indian Wells et jouit logiquement du statut de grand favori de la compétition floridienne.

Lui aussi présent à Miami, Roger Federer s'est une nouvelle exprimé sur son grand rival. "Face à Nadal, les derniers matches ne se sont joués que sur des détails.C'est ça qui a fait toute la différence. La prochaine fois que je l'affronterai, je devrai à tout prix remporter les points importants". Le Suisse aura-t-il l'occasion de prendre sa revanche, après le dernier Open d'Australie ? En Floride, les deux hommes ne pourront se retrouver qu'en finale, prévue le 5 avril prochain.

Bien dans sa peau et bien dans sa tête, c'est bon signe !!

Rafa entame ce samedi son Tournoi face à Gabashvili

VAMOS RAFA !!!!!!!!!!!!

Superbe hommage de Roddick envers la qualité de jeu de Nadal, ses constants progrès et son style de plus en plus COMPLET !!

Très lucide et sympa Andy là

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Tennis - Masters Miami
28/03/2009 - 11:00
Roddick: "Nadal est sous-estimé"



Andy Roddick n'a pas lâché le top 10 depuis sept ans, il a pu voir l'éclosion de Rafael Nadal au plus haut niveau et sa progression. Comme de nombreux observateurs l'ont souligné l'an passé, l'Américain pense que la réputation du N.1 mondial en brute du fond de court camoufle un joueur polyvalent.

Interrogé par Reuters avant le début du Masters 1000 de Miami, Andy Roddick est revenu sur le cas Rafael Nadal. Le N.1 mondial fait l'unanimité mais pas toujours dans le sens qui paraît le plus juste pour l'Américain. Techniquement, Andy a soulevé le voile du jeu de Nadal, trop souvent caricaturé : "Il a développé un "chip" qui lui permet de se sortir d'affaire assez souvent, et personne n'en parle vraiment. On parle de ses courses, de sa puissance, mais il sait aussi volleyer. Il peut tout faire en retour, on l'a vu à Wimbledon."

"On parle aussi de sa façon de se positionner derrière sa ligne, mais il sait mélanger les genres. On ne souligne pas assez qu'il est un joueur tout à fait complet. Je pense que les gens en sont restés à ce qu'on disait de lui il y cinq ans."

"Ce qu'il y a de particulier avec le jeu de "Rafa" et avec le genre de balles qu'il vous envoie de son côté gauche, c'est qu'il est capable, plus que tout autre joueur de s'imposer : "Voilà ce que je sais faire et vous allez devoir faire avec". Cela dit, ce gars-là maîtrise son tennis. Il a fait le tour de la question."

62 21 Rafa tout va bien

62 41 Rafa atomise

62 62 Démonstration de Rafa durant ce 1er Tour de Miami

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Rafael Nadal > "C'est spécial à Miami"

Par Laurent Trupiano, dimanche 29 mars 2009 à 08:48
Vainqueur assez facile de Gashbavili en deux manches (6-2, 6-2), Rafael Nadal continue sur sa lancée: "J'ai fait un match solide, ce n'est pas évident de revenir d'Indian Wells où il y avait beaucoup de vent, je n'ai pas pu correctement m'entraîner. Tout le monde pense que la terre battue est ma meilleur surface mais cela n'est pas vraie, ma meilleure surface c'est celle où je joue le mieux et cela peut dépendre de beaucoup de choses mais il est vrai que souvent je joue très bien sur terre mais aussi sur gazon. Mon adversaire au prochaine tour (NDLR: C'est le Portugais Gil, récent finaliste en Afrique du Sud) je l'ai joué en France à la coupe Borotra des -14 ans, mais c'est étrange je me rappelle pas du match alors qu'en général je n'oublie rien, il faut donc que je me méfie de lui, il a battu Karlovic c'est une belle performance"