Davis Cup 2011

A suivre en Derniers Simples PREVISIONNELS ce Dimanche : Nole devrait entrer en Jeu mais ce n'est pas encore certain ...


12:00 Malisse X. (Bel) -
Melzer J. (Aut) -
14:00 Darcis S. (Bel) -
Haider-Maurer A. (Aut) -

14:00 Nadal R. (Esp) -
Simon G. (Fra) -
16:00 Ferrer D. (Esp) -
Gasquet R. (Fra) -

14:00 Troicki V. (Srb) -
Del Potro J.M. (Arg) -
16:00 Tipsarevic J. (Srb) -
Nalbandian D. (Arg) -

Citation :

Tennis - Davis
A l'heure du choix


Pour l'équipe de France, il faut renverser une montagne lors des deux derniers simples. Quelles sont les options pour faire tomber Rafael Nadal puis David Ferrer ?

Les matheux ne vont pas se casser la tête sur les probabilités pour les deux derniers simples. Pour l'équipe de France, il existe trois options dans l'ordre des pourcentages de chances : 1. Tsonga/Nadal et Gasquet/Ferrer, 2. Simon/Nadal et Tsonga/Ferrer, 3. Tsonga/Nadal et Llodra/Ferrer. Chaud comme la braise juste après son double, Jo-Wilfried Tsonga ne cache pas son choix : affronter Rafael Nadal. «C'est Guy (Forget) qui doit décider. Mais si j'avais à entrer contre Rafa, ce serait top», lance le 10e mondial avec un clin d'oeil vers son capitaine.

Le choix de la passion
Ce n'est pas le genre du garçon de se cacher. Avant la rencontre, Jo-Wilfried Tsonga n'a pas complètement récupéré pour jouer contre David Ferrer, il l'exprime dans la semaine à Guy Forget. «Mon idée de base était de l'envoyer le premier jour et de faire jouer Richard et Mica en double, raconte le capitaine. Mais au vu des entraînements de double, Jo et Mica étaient les plus performants. Et Jo m'a dit qu'il n'avait pas encore complètement récupéré. Mercredi soir, il n'était pas encore très bien.» S'il continue à suivre l'avis de son joueur, Guy Forget ne peut pas être insensible à l'envie débordante de son numéro 1. «J'ai vraiment envie d'y aller. Ce sont des matches que j'aime et que j'attends. Je ne peux pas trouver plus beau challenge que de jouer contre Rafa ici dans cette arène incroyable, avoue le Manceau. Evidemment que je crois en moi. Si je rentre sur le terrain, c'est pour m'imposer. Ce sera ma mission impossible. Je vais rentrer sur ce match avec les trois «C» comme ils disent ici en Espagne : "Cabeza, corazon y corones".» Dans ce cas, Richard Gasquet est désigné pour un éventuel cinquième match décisif contre David Ferrer (5-1 dans leurs confrontations). «Ce sera un autre combat, un autre jour, une deuxième chance, la possibilité pour lui de se racheter et de montrer qu'il a du talent et qu'il sait jouer sur terre battue», explique le capitaine. Mais vu sa première prestation et son vécu en Coupe Davis, les interrogations s'amoncellent.

Le choix de la raison
Réserver Jo-Wilfried Tsonga pour un dernier match décisif n'est-elle pas l'option la plus incisive pour tenter de réaliser l'exploit ? Cela implique une victoire de Gilles Simon contre Rafael Nadal pour laisser la meilleure chance française de faire tomber David Ferrer. Gilles Simon a déjà battu une fois le numéro 2 mondial (4-1 dans leurs confrontations, uniquement sur dur). «Ce n'est pas impossible. Il faut penser à tout et étudier toutes les possibilités», glisse Guy Forget. Dans ce cas-là, le capitaine doit convaincre JWT qui veut absolument jouer contre Rafael Nadal et il doit prendre le risque de ne pas voir le Manceau du week-end en simple. Mais le numéro 1 tricolore, toujours invaincu dans les matches à enjeu en Coupe Davis, présente d'autres garanties que Richard Gasquet dans une rencontre décisive.

Le coup de poker
Et si Michaël Llodra, roi du coup de poker dans le jeu, remplaçait Richard Gasquet lors du cinquième simple ? Guy Forget semble écarter totalement cette option. Sur terre battue et face à David Ferrer, le bluff existe peu et le Parisien risquerait de se brûler les ailes. Le souvenir de Belgrade et ses difficultés sur la surface face à un spécialiste apparaissent insurmontables.

Perso, je tenterais Jo et Mika, sur ce qu'ils ont montré en Double ............ Mika face à David ça pourrait être un coup de poker payant, sympathique en tout cas Ca permettrait d'opposer un tout autre style de Jeu à David qui est de loin supérieur dans la filière longue de fond de Court et Jo face à Rafa, ma foi, sur un malentendu pourquoi pas ...

Résultats du Jour en Coupe Davis :


12:10 Fin Nadal R. (Esp) 3 6 6 6
Tsonga J.-W. (Fra) 0 0 2 4
15:00 Fin Verdasco F. (Esp) 2 6 6
Gasquet R. (Fra) 0 2 1

12:10 Fin Rochus O. (Bel) 0 4 4 3
Melzer J. (Aut) 3 6 6 6
15:00 Fin Bemelmans R. (Bel) 0 4 3
Peya A. (Aut) 2 6 6

14:15 Fin
(ret) Djokovic N. (Srb) 0 65 0
Del Potro J.M. (Arg) 1 77 3

Pas de Miracle hélas pour les Bleus avec un Jo qui a pris l'eau comme les autres Vendredi Dernier ... Que de Fautes Directes et que d'impuissance sur le Service de Nadal ...
Et que dire de Richard ? Qu'il joue pour du beurre ou pas, RIEN ne change, il est toujours aussi mauvais ... Désolé mais 1 et 2 face au Verdasco qu'on a vu en Double Samedi, c'est JUSTE IMPARDONNABLE de la part d'un TOP 10 ..........
Soulagé d'en avoir fini avec ce Week-End, bien décevant niveau Spectacle d'ailleurs avec 5 Matchs A SENS TOTALEMENT UNIQUES .....

La Finale opposera donc l'Espagne à l'Argentine qui passe "grâce" à l'Absence PUIS à l'Abandon de Nole ... Assez incroyable quand même la différence de récupération Post USO entre Nole et Rafa ...
J'espère que Nole ne s'est pas gravement blessé et que sa Fin de Saison n'est pas compromise ..
Ce sera en Espagne que se déroulera la Finale, du 2 au 4 Décembre Prochain, je ne vois là encore pas grand suspense ..........

Pas de Miracle non plus en Belgique avec hélas une Dernière Journée "100% autrichienne" ..
Les belges sont donc relégués en Division inférieure ...

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Tennis - Davis
Djokovic K.-O., l'Argentine en finale


Novak Djokovic contraint à l'abandon face à Juan Martin Del Potro dimanche, à Belgrade (7-6 [5], 3-0, ab.), l'Argentine décroche une place en finale face à l'Espagne (3-1).

La machine n'a pas tenu. Blessé à l'épaule droite à Cincinnati, touché au dos en finale de l'US Open et remplacé par Viktor Troicki le premier jour pour des douleurs dans le bas du dos - encore - et aux côtes, Novak Djokovic a essayé. En vain. Le Serbe, mené un set et 3-0 par Juan Martin Del Potro, a dû rendre son tablier. Contraint et forcé. Sur un coup droit, le numéro 1 mondial s'est tordu la cheville avant de s'écrouler, lâchant un cri de douleur.

Raccompagné sur le banc par son capitaine Bogdan Obradovic et ses coéquipiers, le patron du circuit, en larmes, est tombé dans les bras de son bourreau - malgré lui - avant de recevoir l'ovation des 18 000 spectateurs de la Belgrade Arena. Une Belgrade Arena dans laquelle il avait permis à son pays de décrocher un premier titre dans la compétition, en décembre 2010, face à la France. De son côté, l'Argentine, trois fois finaliste, ira défier l'Espagne sur ses terres, du 2 au 4 décembre.

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Djokovic, tango et crash


Lancé dimanche dans la demi-finale de Coupe Davis entre la Serbie et l'Argentine, Novak Djokovic n'a pas trouvé les ressources physiques pour dominer Juan Martin Del Potro, et a préféré abandonner dans la deuxième manche (7-6, 3-0 Ab.). Le n°1 mondial offre donc la qualification pour la finale aux Argentins, qui affronteront les Espagnols de Rafael Nadal en décembre prochain.

Son cri de douleur a éteint tous les encouragements de la Beogradska Arena. En frappant un coup droit, Novak Djokovic s'est tordu la cheville et a dû abandonner contre Juan Martin Del Potro dimanche (7-6, 3-0 Ab.), dans le quatrième match de la demi-finale de Coupe Davis entre la Serbie et l'Argentine. Diminué physiquement avec des douleurs au dos et aux côtes, le n°1 mondial avait laissé sa place vendredi à Viktor Troicki, avant de venir au secours de la patrie au bord du précipice. Mais il n'a pu tenir son rang, trop exténué par les efforts fournis ces dernières semaines, qui l'ont conduit au titre à l'US Open il y a quelques jours.

Arrivé tardivement à Belgrade, après avoir longuement célébré son troisième sacre en Grand Chelem de la saison, Djokovic pensait ses compatriotes capables de sortir l'Argentine sans lui. Mais menée 2-0 vendredi soir, après les défaites en simples de Tipsarevic et Troicki, le "Djoker" savait déjà qu'il devrait prendre ses responsabilités et s'aventurer sur le court. En vain. Dans l'allure dans la première manche, répondant aux grands coups droits de Del Potro, il lâchait prise dans le jeu décisif avant de concéder un premier break à l'entame du deuxième set. En mauvaise posture pour offrir à Tipsarevic un cinquième match décisif contre David Nalbandian, il s'est résolu à baisser pavillon, trahi par sa cheville et ses appuis moins puissants.

Défaite interdite pour égaler McEnroe
Voilà donc la troisième défaite de la saison pour l'homme fort du circuit, la deuxième d'affilée sur abandon après la finale perdue à Cincinnati contre Andy Murray. Pour égaler le record en la matière de John McEnroe, établi au cours de l'année 1984 (82 victoires et trois défaites), Djokovic ne devra pas perdre un match d'ici la fin de la saison. C'est sans doute du repos qu'il souhaite désormais, pour se remettre sur pied avant son retour à la compétition lors de la tournée asiatique - à Pékin ou Tokyo - et plus vraisemblablement au Masters 1 000 de Shanghai dans trois semaines.

De leur côté, les Argentins se qualifient pour la quatrième finale de leur histoire, après celles perdues en 1981 face aux Etats-Unis, en 2006 contre la Russie et en 2008 contre l'Espagne. La revanche aura donc lieu sur le sol espagnol en décembre prochain, puisque la dernière confrontation entre les deux pays s'était tenue à Mar del Plata. Del Potro et Nalbandian, gonflés à bloc dans cette compétition, s'attaqueront ainsi au défi que les Français ont bâclé ce week-end à Cordoue.

Il a eu le mérite d'essayer, pour son pays, pourvu qu'il n'ait rien de grave ! ...

Citation :

Coupe Davis
18/09/2011 - 18:43 - Mis à jour le 18/09/2011 - 19:13
Djokovic : "assumer le risque"


Bien que diminué, Novak Djokovic avait choisi de défier Juan Martin del Potro dans le quatrième match de la demi-finale de Coupe Davis Serbie - Argentine. Un choix qu'il ne regrette pas, même après son abandon.

Le N°1 mondial, se plaignant de douleurs au dos, avait été laissé au repos vendredi après-midi. La Serbie dos au mur, Djokovic n'imaginait pas rester spectateur : "Je n'étais pas dans un bon état, mais nous étions prêts à assumer ce risque, sachant qu'il existait la possibilité que la blessure devienne plus grave. La décision de jouer, on l'a prise ensemble et j'en assume la responsabilité. J'ai pensé avoir plus de chances que quiconque de faire face à Juan Martin del Potro, qui a été excellent vendredi. J'ai essayé, mais ça n'a pas marché. Je ne sais pas si j'aurais gagné si j'avais été prêt. Juan Martin a été fantastique : avec 80% de premiers services réussis ça n'était pas possible pour moi. Je vais maintenant faire des tests médicaux pour voir si ma blessure est grave."

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Tennis - Davis
La France prend une leçon


Rafael Nadal inflige une leçon (6-0, 6-2, 6-4) à Jo-Wilfried Tsonga et qualifie son pays pour la finale de la Coupe Davis. Sur terre, les Espagnols sont dans une autre dimension.

Les Français devraient dire merci à Rafael Nadal pour la leçon. Après avoir mis en lumière vendredi les carences mentales de Richard Gasquet, le Majorquin appuie dimanche sur les lacunes physiques et les faiblesses techniques en retour et au revers de Jo-Wilfried Tsonga sur terre battue. Les scores reflètent simplement la réalité. Vendredi, le Rafa moyen, fatigué par ses efforts new-yorkais, inflige une correction (6-3, 6-0, 6-1) à Richard Gasquet. Dimanche, le bon Rafa propose une démonstration (6-0, 6-2, 6-4 en 2h17') à Jo-Wilfried Tsonga. En deux matches, les Tricolores n'ont obtenu aucune balle de break et collectionnent seulement dix jeux à deux ! Les Espagnols sont dans l'arène, les Français sont derrière les burladeros.

Sur cette surface, ce n'est pas le même monde. Le numéro 2 mondial met le doigt dans la plaie et remet les Bleus à leur place. Sur une banderole, les supporters andalous affichent : « Qui est le dernier Français à avoir gagné Roland-Garros ? A. L'homme de Cro-Magnon, B. L'Australopithèque. » Ils n'ont pas tort. Il y a les champions et les bons joueurs. L'équipe d'Espagne détient une pépite. Dès le premier jeu, le Majorquin donne le ton. Le Manceau compte sur son service pour s'offrir des points gratuits. Il sert d'entrée cinq premières balles et il se retrouve avec une balle de break à sauver. Il sert onze premières balles sur quatorze et perd son engagement. Le message est clair. Les points gratuits n'existent pas dans le monde de Nadal.

Les leçons de Maître Nadal
Que reste-t-il ? La puissance. A l'échange, Rafael Nadal joue très bombé, ne rate rien (8 fautes directes) et contre à merveille. Il ne faut pas une attaque, il en faut quatre-cinq-six ou plus si affinités. Le message est clair. Le 10e mondial force et multiplie les erreurs (50 au total). Il ne possède aucune solution. Le service-volée ? En début de deuxième manche, Jo-Wilfried Tsonga tente cette option. Elle marche deux jeux... Le Français est dans une impasse. Au premier set, il ne marque aucun point sur la mise en jeu adverse et finit avec six points marqués sur le service du numéro 2 mondial. Il ne peut que se battre, mais il n'a pas les armes.

Sur un dernier jeu blanc, Rafael Nadal conclut. La leçon n'est pas tout à fait finie. Un champion, c'est aussi la classe. Le Majorquin salue son adversaire, le capitaine et va immédiatement serrer la main de tout le banc français. Ce n'est pas de la fausse modestie. L'Espagnol connaît le prix d'une victoire. Tous les jours sur le circuit, il répète l'importance du travail et son envie de progresser. La remise en question permanente, c'est le dernier chapitre de cette histoire andalouse.

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Tennis-Davis
Tsonga : «Je me suis fait éclater»


Très lucide, Jo-Wilfried Tsonga ne se voile pas la face. La marche était trop haute et Rafael Nadal trop fort : «Aujourd'hui, j'ai joué mon match et je me suis fait éclater. C'était un grand Rafa.»

«Jo-Wilfried, quel sentiment vous anime après un tel match ?
J'ai l'impression d'être passé sous un rouleau compresseur. Ce n'est pas facile. C'était un grand Rafa aujourd'hui. J'ai fait ce que je pouvais. Il était tout simplement beaucoup plus fort que moi. C'est le plus grand joueur de tous les temps sur terre battue. Il est pratiquement imbattable sur cette surface en trois sets gagnants, il n'a perdu qu'une fois. Aujourd'hui, on n'a pas exception à la règle.

Dans votre carrière, avez-vous déjà eu cette sensation de n'avoir aucune solution ?
Oui, la semaine dernière (sourires). C'était moins visible, mais cela revient au même. Parfois cela arrive. Tu joues face à un adversaire meilleur et tu te fais écrabouiller. C'est dur pour l'orgueil, mais c'est le jeu. Cela m'arrive aussi d'écrabouiller des gars. Aujourd'hui, j'ai joué mon match et je me suis fait éclater.

Quelle est la différence entre Rafael Nadal et les autres sur terre battue ?
La surface lui va comme un gant. Il est dans son jardin, il fait tout très bien. Et surtout, il est gaucher et ça embête tout le monde. Il joue comme personne d'autre. Il a développé des qualités en coup droit qui tombe directement sur nos revers. C'est super dur de le contrer parce que la balle est vraiment lourde. Si tu ne fais pas un bon coup, tu cours. Si tu viens la prendre trop tôt, elle te gicle au visage, si tu la prends trop tard, tu n'as aucune chance.

Comment expliquez-vous vos difficultés au retour ?
Au service, il met des effets que personne d'autre ne met sur terre battue. La balle tourne toujours dans un sens différent, nous revient dessus et c'est vraiment difficile de relancer. Je comprends pourquoi Roger (Federer) n'arrive pas du tout à retourner en revers à Roland-Garros. Quand je regardais les finales devant ma télé, je me demandais pourquoi il ratait. J'ai bien compris aujourd'hui. De l'extérieur, on a l'impression que cela ne va pas très vite, mais il y a un effet qui est très gênant et nous empêche de faire un super retour. Si tu ne fais pas un super retour avec Rafa, tu voyages derrière.

Vous ne vous êtes jamais découragé ?
La seule chose dont je suis fier est d'y avoir cru du premier au dernier point. Cela peut paraître complètement fou, mais cela m'a parfois permis de réaliser des choses extraordinaires. Ce n'est pas en baissant les bras que je fais avancer les choses. J'ai essayé de garder ma motivation du premier au dernier point. A 6-0, je pensais au prochain jeu. Je pensais même au prochain point, j'en étais là. Je ne pensais pas trop à ce qui s'était passé.

A la fin du match, Rafael Nadal est venu saluer le clan français avant d'aller fêter la victoire avec son équipe.
C'est la classe ! Il a toujours été un super beau sportif. Si on en avait un peu plus des comme lui, on aurait une autre image. C'est un gars super. Chapeau à lui.

Quel bilan tirez-vous de cette demi-finale ?
La France est à sa place. On s'en sort bien d'avoir marqué un point ici ! Evidemment, on aurait voulu gagner cette rencontre, mais c'était trop haut pour nous ce week-end. On va retourner au boulot et la prochaine fois, on les jouera à la maison et j'espère qu'on fera quelque chose de bien.»
Recueilli par S.D., à Cordoue

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Tennis - Davis
La planète terre n'est pas bleue


Après la défaite (4-1) de la France face à l'Espagne en demi-finale à Cordoue, le constat est sans appel. Les Bleus ne sont pas au niveau sur terre face à Nadal et consorts.

La France aurait-elle pu mieux faire ?
On peut gloser pendant des heures sur les choix du capitaine, la réalité du terrain impose une version unique. Sur terre battue, l'équipe de France n'a pas les moyens de battre l'Espagne. Elle aurait pu gagner plus que seize jeux en trois simples, mais cela ne va pas plus loin. Dans l'ordre ou dans le désordre, vous obtenez les mêmes numéros. Sur cette surface, Rafael Nadal et David Ferrer sont nettement supérieurs aux Bleus. Tout est affaire de comparaison. Si David Ferrer paraît plus accessible que Rafael Nadal, il demeure meilleur que Jo-Wilfried Tsonga, Richard Gasquet ou Gilles Simon sur terre. Cette année à Monte-Carlo, le joueur d'Alicante est en finale, il y a des lustres qu'un Français n'a pas atteint ce stade de la compétition en Masters 1000 sur cette surface. Dans ses confrontations avec les Bleus, il est devant. Au classement, le 5e mondial est devant. Sur le papier comme sur le court, seul le double est à la portée des Tricolores. «Sur certains matches, on peut mieux faire. On peut peut-être prendre un set, prendre un point sur le numéro 2, David Ferrer, si tout se goupille bien, si l'équipe soit au complet, si tout le monde est en pleine bourre. Cela fait beaucoup de si, énumère Guy Forget. Franchement, de là à aller chercher la victoire, ça me paraît quasiment impossible en Espagne.»

L'absence de Gaël Monfils a-t-elle changé la donne ?
Elle a peut-être changé le score mais pas le résultat final. «Est-ce que Gaël Monfils aurait battu Rafael Nadal aujourd'hui ? La réponse est non. Etait-il capable de battre Ferrer ? Je me pose la question», s'interroge le capitaine. Invaincu en trois rencontres contre David Ferrer, Gaël Monfils aurait pu brouiller les cartes avec une victoire le vendredi. Et encore ses trois succès sont nés en France. Dans une arène de 13.000 spectateurs acquis à la cause de son adversaire, le 7e mondial aurait-il résisté à la pression ? «Battre Ferrer à Roland-Garros avec 15.000 Français derrière soi, c'est une chose, relativise Guy Forget. Le battre ici, c'est une autre paire de manche.» Et ses deux dernières victoires se sont jouées au cinquième set sur le fil. Mais il n'aurait pas réalisé de miracle face à Rafael Nadal et les Bleus auraient perdu 3-2.

Quels enseignements après une telle défaite ?
Vu l'écart abyssal, les regrets n'existent pas, mais le constat est implacable. Si Guy Forget ne veut pas pointer du doigt tel ou tel comportement de tel ou tel joueur, il met en avant les carences de la formation sur terre battue en France : «Si on veut être à leur niveau et gagner Roland-Garros, il faut vraiment qu'on dote tous nos centres d'entraînement de courts en terre battue. Sur cette surface, Nadal et Ferrer nous montrent qu'on n'est pas au niveau. Tant qu'on ne pratiquera pas dès 12 ans le même tennis qu'eux avec les mêmes bases, la même rigueur, le même déplacement, on ne pourra pas concurrencer. Quand on voit bouger Jo ou Richard sur un court par rapport à Ferrer ou Nadal, on voit bien qu'on n'est pas sorti du même moule. Cela demande des années de pratique, une manière de pensée et des schémas tactiques précis. Il faut reprendre les choses à la base.» Au-delà des courts, il manque aussi des grands champions. A l'exception de la Croatie en 2005, toutes les équipes victorieuses recèlent un vainqueur de Grand Chelem dans son groupe depuis dix ans et l'exploit de la France en Australie en 2001. La Coupe Davis a beau être une compétition par équipes, cela reflète avant tout le niveau individuel.
S.D., à Cordoue

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La Belgique reléguée en zone euro-afrique


Il n'y a pas eu de miracle pour la Belgique. O. Rochus n'est pas parvenu à battre Jurgen Melzer, 21e mondial, qui s'impose 6-4, 6-4 et 6-3. La Belgique est reléguée dans la zone euro-afrique de la Coupe Davis.

Cette quatrième rencontre du duel de Coupe Davis entre la Belgique et l'Autriche aura été celle des occasions manquées pour Olivier Rochus. Dès le premier jeu de la partie, il s'offrait une balle de break mais était incapable de la concrétiser, à cause il est vrai d'un bon Jurgen Melzer, 21e joueur mondial.

A 3-2 en sa faveur, Melzer s'offrait une première balle de break, bien sauvée par Rochus. A 4-4, Rochus pouvait prendre option sur le set quand il s'octroyait une balle de break suite à un superbe retour. Mais Melzer l'écartait sur service-volée pour ensuite remporter le jeu. L'Autrichien, lui, ne se faisait pas prier pour convertir sa première balle de break, offerte par Rochus, 75e mondial, sur double-faute et au plus mauvais moment du set, à 5-4. Premier break et premier set pour l'Autriche donc.

La seconde manche débutait on en peut plus mal pour Rochus, qui se faisait breaker à 2-1. L'Auvelaisien trouvait cependant l'énergie nécessaire pour contre-breaker à 4-2 et ainsi recoller à 4-4. Mais Melzer prenait une seconde fois le service de Rochus au meilleur moment pour lui, à 5-4.

On pensait Rochus abattu, mais c'est pourtant lui qui réalisait le break d'entrée dans la troisième manche. Feu de paille pour Rochus, Melzer contre-breakait dès le jeu suivant. L'Autrichien était relancé dans la partie et s'envolait à 4-1, même si Rochus a encore eu des balles de contre-break. Melzer n'avait plus qu'à contrôler la suite des débats, comme le 21e joueur mondial est capable de le faire: 6-4, 6-4 et 6-3 pour l'Autriche qui s'impose 3-1 et se maintient donc dans le groupe mondial. La Belgique est elle versée dans la zone euro-afrique.

Ruben Bemelmans (ATP 148) n'a pas été en mesure d'atténuer la sévérité de la défaite dans le cinquième et dernier match du week-end. Le Limbourgeois, qui a remplacé Steve Darcis, s'est incliné 6-4 et 6-3 face au modeste Alexander Peya (ATP 466), un spécialiste du double. La rencontre n'a pas duré plus d'une heure (57 minutes exactement).

Bien triste week-end de Coupe Davis pour mes deux nations préférées (France-Belgique)....

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Tennis-Coupe Davis-Barrages
Tous les résultats


Outre les demi-finales, les barrages pour rester dans le Groupe Mondial ou pour y accéder se sont également déroulés ce week-end.


Australie - Suisse (à Sydney) : 2-3
Vendredi :
Alors que Bernard Tomic avait donné l'avantage à l'Australie à la faveur de sa victoire en quatre sets face à Stanislas Wawrinka (4-6, 6-4, 6-3, 6-3), Roger Federer remet la Suisse dans la course en battant Lleyton Hewitt en quatre manches (5-7, 7-6 [5], 6-2, 6-3).
Samedi :
Champions olympiques en titre de la spécialité, Roger Federer et Stanislas Wawrinka ont perdu le point du double, samedi, à Sydney, face à Chris Guccione et Lleyton Hewitt (2-6, 6-4, 6-2, 7-6 [5]). Tomic peut envoyer son pays dans le Groupe Mondial en cas de succès sur Federer, son, idole, dimanche.
Dimanche:
Roger Federer domine Bernard Tomic (6-2, 7-5, 3-6, 6-3) et remet les deux équipes à égalité. Le sort de la rencontre se jouera donc entre Stanislas Wawrinka et Lleyton Hewitt. Ce match décisif a été interrompu par la nuit alors que le Suisse n'a plus qu'un jeu à marquer (4-6, 6-4, 6-7[7], 6-4, 5-3). Rendez-vous lundi pour le dénouement.
Lundi :
En tête 5-3 dans le dernier simple du simple décisif interrompu par la nuit, dimanche, Stanislas Wawrinka est revenu pour inscrire le dernier jeu face à Lleyton Hewitt et qualifier la Suisse pour le Groupe Mondial (4-6, 6-4, 6-7[7], 6-4, 6-3). Score final : 3-2.


Russie - Brésil (à Kazan) : 3-2
Vendredi :
Victoire sans trembler de Mikhail Youzhny face à Ricardo Mello qui n'a inscrit que trois jeux dans cette première rencontre (6-0, 6-2, 6-1). Dans le deuxième simple, Thomaz Belucci a égalisé en battant Igor Andreev en trois sets (6-4, 6-3, 6-3).
Samedi :
Le Brésil passe en tête à l'issue du double grâce au succès facile de la paire Ricardo Mello/Bruno Soares sur le duo Igor Kunitsyn/Dmitry Tursunov (6-4, 7-5, 6-2).
Dimanche :
Thomaz Bellucci s'offre deux balles de rencontre face à Mikhail Youzhny avant de rendre les armes 14-12 dans le set décisif ! Score final : 2-6, 6-3, 5-7, 6-4, 14-12. Dmitry Tursunov ne manque pas l'occasion de battre Ricardo Mello (6-1, 7-6[7/5], 2-6, 6-3) pour donner la victoire à la Russie.


Israël - Canada (à Ramat Hasharon) : 2-3
Vendredi :
Vasek Posipil, 124e joueur mondial, a créé la surprise en battant Dudi Sela lors du premier simple disputé sur le sol israëlien. Le Canadien s'est imposé en cinq sets particulièrement disputés (7-6 [7/4], 6-7 [6/8], 6-1, 6-7 [2/7], 6-3). Amir Weintraub a battu Milos Raonic (5-7, 7-5, 6-3, 6-1) pour remettre les deux équipes à égalité.
Samedi :
La paire composée de Daniel Nestor (n°5 mondial en double) et de Vasek Pospisil a donné l'avantage au Canada face au duo Jonathan Erlich/Andy Ram (4-6, 6-3, 6-4, 6-4).
Dimanche :
Dudi Sela, tombeur (6-3, 6-3, 6-3) de Peter Polansky, permet à Israël de revenir à hauteur (2-2). Mais Vasek Pospisil, héros canadien du week-end, signe un troisième succès aux dépens d'Amir Weintraub (6-2, 7-6 [7/3], 6-4).


Afrique du Sud - Croatie (à Potchefstroom) : 1-4
Vendredi :
Bien parte dans son duel face à la Croatie, l'Afrique du Sud, avec Kevin Anderson face à Ivan Dodig (6-3, 6-4, 3-6, 7-6 [7/5]), a ensuite dû composer avec l'abandon d'Izak van der Merwe contre Marin Cilic (0-6, 0-6, ab.).
Samedi :
Marin Cilic et Ivan Dodig virent en tête (2-1) grâce à leur succès en double aux dépens de la paire Rik de Voest/Raven Klaasen (6-2, 6-4, 3-6, 6-1).
Dimanche :
Marin Cilic remporte son troisième point du week-end face à Rik de Voest (6-4, 6-2, 6-4). Un point qui permet à son pays de conserver sa place dans le Groupe Mondial (3-1). Nikola Mektic aggrave la marque (4-1).


Chili - Italie (à Santiago) : 1-4
Vendredi :
Alors qu'il menait deux sets à rien, Potito Starace a dû s'arracher pour battre Paul Capdeville et marquer le premier point de ce barrage. L'Italien s'est imposée en quatre sets (6-3, 6-3, 2-6, 7-6 [7/5]). Fabio Fognini a ensuite profité de l'abandon de Fernando Gonzalez dans le troisième set, à 2-1, alors que les deux joueurs étaient à égalité un set partout (6-2, 4-6).
Samedi :
Troisième victoire en trois matches pour l'Italie et samedi l'honneur revient à la paire composée de Simone Bolelli et Fabio Fognini. Ils ont dominé (6-4, 6-4, 6-4) le duo chilien Jorge Aguilar/Nicolas Massu. Les Italiens retrouvent leur place dans le Groupe Mondial.
Dimanche :
Paul Capdeville et Daniele Bracciali se sont partagé les deux derniers points. Score final :4-1 pour les Transalpins.


Japon - Inde (à Tokyo) : 4-1
Vendredi :
Le Japon déroule dans sa première journée de barrages face à l'Inde. Les deux simples du jour ont été remportés par les Nippons. Yuichi Sugita, d'abord, qui crée la surprise face à Somdev Devvarman (6-3, 6-4, 7-5), puis Kei Nishikori, contre Rohan Bopanna (6-3, 6-2, 6-2).
Samedi :
Mahesh Bhupathi, grand spécialiste de la discipline, et Rohan Bopanna se défont de la paire Tatsuma Ito/Yuichi Sugita (7-5, 3-6, 6-3, 7-6 [4]) pour permettre à l'Inde de revenir à 2-1.
Dimanche :
Kei Nishikori, victorieux (7-5, 6-3, 6-3) de Vishnu Vardhan, permet au Japon de retrouver l'élite après 26 ans d'absence. Go Soeda, qui bénéficie de l'abandon de Rohan Bopanna (4-5, ab.) dans un match sans enjeu, complète le triomphe nippon. Score final : 4-1.


Roumanie - République tchèque (à Bucarest) : 0-5
Vendredi :
La République Tchèque est bien partie pour rester dans le Groupe Mondial. Après les deux premiers simples, elle mène 2-0 face à la Roumanie. Radek Stepanek, contre Adrian Ungur (6-3, 6-2, 6-0) et Tomas Berdych, contre Victor Crivoi (6-3, 6-3, 7-6 [7/4]), ont placé leur sélection sur de bons rails avant le double, peut-être décisif, de samedi.
Samedi :
Radek Stepanek et Tomas Berdych ont parachevé le travail en double avec un succès sur la paire Marius Copil/Horia Tecau (3-6, 6-3, 6-0, 6-2), samedi. La République tchèque conserve sa place dans le Groupe Mondial.
Dimanche :
Dans des matches sans enjeu, Lukas Rosol et Jan Hajek complètent le festival tchèque. Score final : 5-0.


Belgique - Autriche (à Anvers) : 1-4
Vendredi :
Andreas Haider-Maurer s'est défait de Xavier Malisse, en trois sets (6-4, 6-4, 7-5), pour permettre à l'Autriche de marquer le premier point de leur barrage. Jürgen Melzer a été surpris par Steve Darcis qui, en s'imposant en quatre sets (7-6 [7/3], 6-7 [4], 6-4, 6-3), permet à la Belgique de revenir à égalité.
Samedi :
Oliver Marach et Alexander Peya, victorieux (4-6, 6-3, 6-4, 6-4) de Steve Darcis et Olivier Rochus, permettent à l'Autriche de virer en tête après le double (2-1).
Dimanche :
Jürgen Melzer, tombeur (6-4, 6-4, 6-3) d'Olivier Rochus, permet à l'Autriche, battue au 1er tour par la France, de conserver sa place dans le Groupe Mondial (3-1). Alexander Peya ajoute un quatrième point (4-1).

Ben moi je suis évidemment ravie que l'Espagne soit en finale bien sûr!
Très déçue du double évidemment !!! Même si la faute revient avant tout à Verdasco même si cela n'a eu aucune conséquence sur le résultat final ce n'est jamais agréable de voir son favori " se prendre une raclée " ...ils sont sorti du court très déçu et séparément du coup la presse espagnol a cru que Feli était fâché sur son pote! Mais il n'en est rien bien sûr ...ils sont même amis en dehors ...

Je m'attendais a meilleur résistance des Français même sur terre !
Mais force est de constater surtout JWS qu'il n'a vraiment pas les armes pour bousculer cette Armada là! J'ai même trouvé que Feli qui est loin d'être un spécialiste ,à plus d'armes que Stonga sur cette surface ,plus de coups variés ! Le Français on l'a vu a un enorme service un énorme coup droit et de puissance mais si cela "tue" ses adversaires sur rapide il faut être plus " complet " sur terre avoir plus de variété dans le jeu ,ce bagage technique dans le camps Français ,seul Gasquet le possède!Simon est très fort en défense et en contre mais manque de puissance selon moi ...et puis il y a certes le mental! Mais Rafa et même David " usent " leurs adversaires ! Ajouté à cela un mental d'acier !?? Beaucoup le disent et pas seulement les Français ils se sentent impuissant devant eux ...



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Déçue un peu pour la Belgique quand même après la victoire de Steve sur Melzer j'y ai cru!
Sauf quand j'ai vu que c'est Rochus qui jouerait!
Mais on n'ose pas le contrarier ce mec! ?
Il n'a plus le niveau!
C'est un grand combattant mais aujourd'hui cela ne suffit plus si tu n'as pas un grand service !
Et pourquoi en double ne font-ils pas jouer Dick Norman ! ?Ils attendent quoi les capitaines qu'il ait sa pension! ?Peut-être avec à ses côtés Ruben avec Justine cela avait très bien fonctionné car il a un grand service!
Et j'aurais quand même pris le risque de refaire jouer Xavier ,il a été côté de son 1er match mais un jour n'est ps l'autre !

Citation :

Tennis - Coupe Davis
Séville choisie


La fédération espagnole a annoncé mercredi avoir choisi la ville de Séville pour accueillir la finale de la Coupe Davis contre l'Argentine du 2 au 4 décembre. C'est déjà à Séville en 2004 que l'Espagne avait remporté le titre face aux Etats-Unis. A l'époque, un jeune joueur nommé Rafael Nadal avait créé la surprise en battant Andy Roddick.

Citation :

Coupe Davis > Santana: "L'Espagne est plus forte"

Par Vincent Grethen, lundi 31 octobre 2011 à 16:45


Manolo Santana, ancien joueur de tennis et, aujourd'hui, directeur du tournoi de Madrid est confiant quant à l'issue de la finale de Coupe Davis opposant l'Espagne à l'Argentine. Des propos rapportés par le site Marca.com.

"L'Espagne est l'équipe la plus forte de cette finale. Les Espagnols, sur terre battue, sont presque insurmontables. Rafael Nadal et David Ferrer sont passés maîtres dans ce domaine et je pense qu'ils vont remporter leurs matchs. Ma seule crainte réside dans le double. Mais je parie, tout de même, pour une victoire espagnole 4-0 ou 5-0 contre l'Argentine. Ils viendront avec le désir de vengeance après la finale de Mar del Plata en 2008, mais je pense que notre niveau de jeu est beaucoup plus élevé. Je sais qu'il est inhabituel pour moi de faire ce genre de déclarations mais, à moins d'un problème de dernière minute, je pense que nos joueurs sont bien meilleurs que nos adversaires."

Matthieu a écrit:

Citation :

Coupe Davis > Santana: "L'Espagne est plus forte"

Par Vincent Grethen, lundi 31 octobre 2011 à 16:45


Manolo Santana, ancien joueur de tennis et, aujourd'hui, directeur du tournoi de Madrid est confiant quant à l'issue de la finale de Coupe Davis opposant l'Espagne à l'Argentine. Des propos rapportés par le site Marca.com.

"L'Espagne est l'équipe la plus forte de cette finale. Les Espagnols, sur terre battue, sont presque insurmontables. Rafael Nadal et David Ferrer sont passés maîtres dans ce domaine et je pense qu'ils vont remporter leurs matchs. Ma seule crainte réside dans le double. Mais je parie, tout de même, pour une victoire espagnole 4-0 ou 5-0 contre l'Argentine. Ils viendront avec le désir de vengeance après la finale de Mar del Plata en 2008, mais je pense que notre niveau de jeu est beaucoup plus élevé. Je sais qu'il est inhabituel pour moi de faire ce genre de déclarations mais, à moins d'un problème de dernière minute, je pense que nos joueurs sont bien meilleurs que nos adversaires."

Il a raison d'avoir peur pour le double j'ai peur aussi !
Hier Verdasco est encore passé à côté de son match je pense que Costa devrait faire jouer Marcel aux côtés de Feli ,cela ne pourrait être pire !
Mon joueur ne peut pas non plus jouer l'esprit tranquille si son pote n'a pas digéré la défaite face aux Français et si il est tjrs à côté de ses pompes !
Cela ne serait pas si grave si ils perdaient face à l'Argentine ( en 2008 ils avaient battu Nalbandian/Callerri) mais pas comme en 1/4 où ce fut une vraie cata!

Oui, la compo du Double prête à discussions et je pense aussi qu'une association Feli/Marcel serait préférable. Après, un Joueur peut toujours "se réveiller" dans un telle Compét' mais le sélectionner serait un "risque" ... Mais s'il y a 2/0 après la 1ère Journée, pourquoi pas ? A voir ...

Sinon, je pense que ça devrait passer sans souci car JM est loin de son meilleur Niveau, Nalby tout pareil et Chela est hors de forme également ............
Sur Terre, l'Espagne est au-dessus de toutes les autres Equipes ...
Rafa devrait apporter 2 Points et David, le 3ème nécessaire, ou le Double le rapportera ... Je vois la Qualif' sans souci. Ca ne veut pas dire qu'il faut prendre cet Adversaire "à la légère" lol mais je pense qu'il y a une marge suffisante ..

Citation :

Tennis - Coupe Davis
L'équipe argentine connue


Il n'y avait pas beaucoup de suspense mais la fédération argentine a donné mercredi la composition de l'équipe qui va jouer du 2 au 4 décembre la finale de la Coupe Davis contre l'Espagne à Séville. Juan Martin Del Potro, Juan Monaco, David Nalbandian, Juan Ignacio Chela et Eduardo Schwank représenteront ainsi la sélection argentine.