INFOS TENNIS : RESULTATS ET "BREVES"

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Roland-Garros reste sur France Télévisions


Le tournoi de tennis de Roland-Garros restera diffusé par France Télévisions et sera présent sur Eurosport, en contrepartie d'une revalorisation des droits portés de 15 à 17,5 millions d'euros, a annoncé lundi la Fédération française de tennis (FFT).

"Sans grande surprise, nous confirmons notre double partenariat pour 5 années, de 2014 à 2018", a déclaré Gilbert Ysern, directeur général de la fédération "Ce n'est pas une contrainte, ou alors une douce contrainte. On revient au schéma imaginé, tel qu'on l'avait conçu dans l'appel d'offres", a-t-il ajouté, évoquant la répartition des droits en trois lots: l'un réservé aux chaînes gratuites, l'autre pour toutes les chaînes, le dernier pour les mobiles.

Au terme de cet accord, Eurosport aura une part d'exclusivité (la tranche horaire de 11h-15h pendant les 9 premiers jours) tandis que France Télévisions conservera l'essentiel de la couverture sur France 2 et France 3. En ce qui concerne le montant des droits, ils devraient s'élever à 87,5 ME sur 5 ans soit 17,5 millions par an contre 15 ME précédemment selon les chiffres officiels. La FFT comptait sur cette renégociation pour effectuer un grand saut en avant et s'approcher des droits perçus par Wimbledon (30 ME) et l'US Open (60 ME).

"C'est une opportunité manquée mais la priorité était malgré tout de conserver une large diffusion en clair", a commenté Gilbert Ysern. "La satisfaction l'emporte sur une relative déception. Il est vrai qu'au regard de la croissance de nos droits à l'international, on aurait pu espérer mieux sur le plan national. On avait sous-estimé que le marché français est un marché difficile."

En octobre dernier, le premier appel d'offres sur les droits de retransmission télévisée du tournoi de Roland-Garros pour les quatre prochaines années s'était révélé infructueux. Alors que dix candidats s'étaient déclarés, deux à l'arrivée avaient formulé des offres, France Télévisions et Eurosport, en deçà du prix de réserve. Daniel Bilalian, Directeur Général Adjoint en charge des Sports de France Télévisions, s'est félicité lundi dans un communiqué de l'accord qui va "jusqu'à une édition 2018 très symbolique, qui marquera les 90 ans de la première édition du Tournoi disputée au stade Roland-Garros".

Jean-Thierry Augustin, Directeur Général du Groupe Eurosport, a pour sa part promis "une couverture exhaustive du Tournoi, tant sur nos antennes (Eurosport et Eurosport 2) que sur nos différentes offres numériques, que ce soit sur Internet, mobiles, tablette et télévision connectée"

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Un record dont Tomic se serait bien passé


L'Australien Bernard Tomic s'est lourdement incliné face au gaucher finlandais Jarkko Nieminen (ATP 40) au premier tour du Masters 1000 de Miami. Le match (6-0 et 6-1) n'a duré que 28 minutes et 20 secondes, nouveau record de brièveté d'une partie (complète, sans abandon) sur le circuit ATP.

Le 74e joueur mondial disputait son premier match depuis son abandon à l'Open d'Australie et une opération à une hanche en janvier.

"C'était mon premier match depuis mon opération, ce match fait partie de ma rééducation. Je ne suis pas déçu, il faut juste que je continue à travailler et améliorer mon tennis", a-t-il expliqué.

Le précédent record datait de 1996 lorsque le Britannique Greg Rusedski avait battu l'Allemand Carsten Arriens en 29 minutes 6-0, 6-0

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Jérôme Golmard: L’ex tennisman français est atteint de la maladie de Charcot

Jérôme Golmard est atteint de la maladie de Charcot, maladie neurodégénérative qui lui a été diagnostiquée le 14 janvier dernier. L’ex-joueur, âgé de 40 a,s, a depuis perdu huit kilos et l’usage de ses jambes. Les médecins lui accordent une espérance de vie de un à trois ans.

Des amis de l’ancien tennisman français,  qui a pris sa retraite en 2006, ont profité du quart de finale face à l’Allemagne, le week-end dernier, à Nancy, pour annoncer la création d’une page Internet dédiée (http://www.gofundme.com/supportjeromegolmard), où l’on peut laisser des messages de soutien et effectuer un don.

Golmard, père de deux enfants de 11 et 12 ans, a trouvé de l’espoir auprès d’un traitement alternatif proposé par un médecin allemand, mais qui ne serait pas remboursé par la Sécurité sociale française. L’objectif de ses amis est de lever 300.000 dollars, soit 219.000 euros, afin de financer ses soins. Lundi midi, un peu plus de 14.000 dollars (10.000 euros) avaient déjà été récoltés.

Alizé Cornet :


Tout mon soutien à Jérôme Golmard qui mène le plus gros combat de sa vie contre la maladie et qui va gagner cette bataille ‪#‎avectoi‬

professionnel de 1993 à début 2006.

Durant sa carrière, il a remporté deux tournois en simple. Il a atteint la 22e place au classement ATP le 26 avril 1999. Joueur réputé "fragile", sa carrière a été marquée par de nombreuses blessures. Il est no 1 français durant 14 semaines en 1999.

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Séverine Beltrame : "Le tennis est un sport addictif"



Elle a rejoint le club des retraitées il y a peu. C'était lors de Roland Garros, en 2013, où elle avait annoncé la fin de sa carrière. Séverine Beltrame n'a pas perdu son temps depuis : à peine après avoir rangé ses raquettes, elle s'investissait dans différents projets... liés au tennis, évidemment. Un sport qu'elle qualifie d'un mot : addictif.

Quand on regarde ta carrière, on se rend compte que tu as démarré plutôt tard...
En effet, j'ai un parcours assez particulier si on le compare à la filière normale. En fait, j'ai tout simplement eu une vie avant de me lancer sur le circuit. C'est peut-être pour cela que j'ai eu du mal à arrêter (rires) ! Et, quand je me suis lancée, cela s'est fait presque par hasard... Rien n'a vraiment été programmé. Je jouais à un bon niveau sans réellement me projeter. Et puis, tout s'est emballé...

C'est-à-dire ?
En fait, je participais à un ITF, à Marseille, en 2006. Je me souviens qu'en y allant, on avait été pris dans un bouchon incroyable... J'avais dû sortir de la voiture ma raquette à la main pour arriver à l'heure. Ce coup de chaleur a tout changé. Je dirais même qu'il a été le point de départ de tout le reste. Après avoir perdu en finale, je suis partie faire les qualifications de Wimbledon. J'étais sur un nuage, j'ai traversé le tableau...

Traversé le tableau pour aller encore plus haut...
En quarts de finale, oui. C'est l'exploit de ma carrière. En y repensant, j'ai encore des frissons. Je sors quand même Patty Schnyder, qui était 10ème mondiale à l'époque, et trois têtes de série d'affilée (NDLR : dont Gisela Dulko, 31ème, et Ay Sugiyama, 21ème), avant de perdre contre Justine Henin... ce n'est pas rien !

Et après ?
Le contre-coup. Je n'étais pas prête à digérer tout cela, c'était arrivé beaucoup trop vite. J'ai donc vécu une période difficile, avec quelques blessures qui n'ont rien arrangé. Je me souviens avoir contracté un virus à l'Alpe d'Huez, lors d'une préparation nationale conjointe avec l'équipe de Coupe Davis. J'ai été KO pendant très, très longtemps. Mais, à force de travail, je suis parvenue à m'accrocher et j'ai été récompensée en atteignant les huitièmes de finale à l'US Open. Là encore, j'ai été gâtée puisque j'ai affronté Serena Williams. Autant dire que mon bras tremblait dès l'échauffement (rires) !

Cette carrière bien remplie, elle te laisse quand même quelques regrets ?
Oui et non. Ce que je sais, c'est que le tennis est un sport addictif et qu'il est difficile de le lâcher, de ne pas y penser.

C'est pour cela que tu as décidé de continuer dans cette voie en devenant directrice du haut-niveau féminin au Montpellier ASPTT Tennis ?
Oui, je veux partager mon expérience et tenter de rendre au tennis ce qu'il m'a donné. Mon rôle de directrice sportive me convient bien, pour l'instant, comme celui de co-directrice du tournoi 10 000$ du Cap d'Agde, que l'on vient de monter. En même temps, je suis tout juste retraitée, donc c'est difficile de faire des plans ou de tirer des conclusions. Quoi qu'il en soit, je suis motivée et je ne vais rien lâcher.

Si tu devais retenir un moment fort de ces années sur le circuit, ce serait forcément Wimbledon...
Oui et non, car mes matches en Fed Cup sont au-dessus de tout. J'ai toujours aimé partager... L'atmosphère de l'équipe de France restera « le » truc un peu particulier pour moi...

Le Fed Cup, très bien, mais j'imagine que tu profites quand même de ton statut de « last eight » (NDLR : le Last 8 Club de Wimbledon regroupe ceux qui ont atteint les quarts de finale du tournoi et leur octroie un certain nombre de privilèges) !
Bien sûr ! Evidemment, c'est juste mythique, unique et inimaginable ! Un truc de dingue quand je repense à mes débuts sur le circuit, en 2002. Savoir que je peux me rendre chaque année dans le temple du tennis, c'est un sacré privilège.


Séverine Beltrame, 34 ans
Carrière pro : 2002-2013
Meilleur classement : 34ème
¼ de finale à Wimbledon
5 sélections en Fed Cup

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Paul Henri Mathieu

Suite à un article que j'ai eu la malchance de lire sur l'équipe.fr, après ma défaite de vendredi dernier (la version actuelle en ligne n'est plus celle sur laquelle je suis tombé), je tenais juste à y répondre brièvement. Je suis bien entendu ouvert à la critique mais pas au manque de respect.

Lamentable, mensonger mais surtout irrespectueux...

Vous, "journaliste" qui me jugez et qui résumez ma carrière en un petit article et quelques chiffres, suite à ma défaite de vendredi, m'avez vous eu au téléphone apres le match pour en discuter, ou juste avoir ne serait-ce qu'un ressenti pour pouvoir si maladroitement porter un jugement alors que vous n'étiez pas sur place?

Mais surtout savez-vous d'où je reviens ? Savez-vous les efforts fournis pour revenir à un niveau "honorable ", évidemment jamais suffisant pour vous, je le conçois bien.
Les épreuves que j'ai du traverser? Connaissez-vous la dure réalité du circuit quand vous redescendez au classement quand vous avez eu la chance de connaitre le haut du circuit? L'humilité et les sacrifices que cela demande pour essayer de revenir? Avez-vous seulement conscience de la difficulté de notre sport, vous, soit disant spécialiste du tennis? Pas si sur...Nous connaissons-nous personnellement pour vous permettre de résumer si bien mes défaites sans parler de mes victoires ? Sont-elles si insignifiantes? Je ne crois pas vous connaître.
Alors pourquoi résumer ma carrière en un article de cette façon, sans connaitre mes pensées, mes convictions, pourquoi? Ah oui...certainement que vous auriez fait bien mieux que moi raquette en main.

Reprenez vous et véhiculez une image positive des sportifs français qui se battent au quotidien en donnant le meilleur d'eux mêmes dans la victoire comme dans la défaite.
C'est le (votre) point de départ pour retrouver un peu d'optimisme dans ce pays qui en manque cruellement aujourd'hui, ce dont vous êtes partiellement fautif!

Mais soyez rassuré, je vais encore jouer quelques temps et je pourrai suivre vos progrès "journalistiques".

Bonne route!

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Safina range sa raquette pour de bon

A 28 ans, Dinara Safina a mis un terme définitif à sa carrière. La nouvelle ne fait pas office de scoop compte tenu des rares apparitions de la Moscovite ces dernières années. En effet, la dernière rencontre disputée par la Russe remonte au 4 mai 2011 lors du deuxième tour du Masters 1000 de Madrid, soldée par une défaite face à l’Allemande Julia Goerges. Safina a choisi d’annoncer officiellement la fin de sa carrière cette année, à l’occasion du même tournoi madrilène où elle remettra le trophée à la gagnante. Son grand frère, Marat Safin, avait déjà prédit le retrait de sa protégée lors d’une conférence de presse datant de 2011: «Dinara a décidé d'arrêter sa carrière, elle va bien dans sa vie de tous les jours mais elle n'est plus en mesure de jouer au tennis professionnel».

Le dos : son tendon d’Achille
Une grande frustration pour cette joueuse pleine de talent qui, depuis une vertèbre fracturée et une déchirure musculaire, n’a jamais pu retrouver le chemin des courts. La Russe aura été malgré tout l’auteur d’une brillante carrière, installée au premier rang mondial 26 semaines durant, 3 fois finalistes en Grands Chelems (Roland-Garros 2008, 2009, Open d’Australie 2009), et médaillée d’argent aux Jeux olympiques de Pékin. La 19e n°1 mondiale de l’histoire de la WTA n’a jamais remporté de titre majeur, certes, mais a tout de même glané 12 titres au cours de sa brève carrière. Un fait qu’elle doit peut-être à son attitude très nerveuse sur le court, qui n’est pas sans nous rappeler un autre ancien n°1 mondial de la famille… Les Safin resteront bel et bien un grand nom du tennis, tant par leur jeu de cogneurs, que par leur tempérament explosif.

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Townsend, la grosse sensation de Roland Garros

Elle n'a pas le physique d'une sportive de haut niveau, mais la jeune Taylor Townsend a un sacré bras et une réelle compréhension du jeu.

La corpulente Américaine, tout juste âgée de 18 ans et encore seulement 205e mondiale, a montré de bien belles choses pour éliminer Alizé Cornet, placée 184 rangs au-dessus d'elle au classement WTA.

Victorieuse à l'Open d'Australie junior en 2012 et N.1 mondiale junior la même année, Townsend est devenue la plus jeune Américaine à atteindre le troisième tour à Roland-Garros depuis 2003. Il s'agit de sa première apparition en Grand Chelem pour sa deuxième saison chez les professionnels.

Townsend, afro-américaine comme les soeurs Williams, incarne peut-être l'avenir d'un tennis américain touché en plein cœur par la double défaite des sœurs Williams sur les courts parisiens.

La frêle Alizé c'est en effet un autre gabarit.

Darya Kasatkina

A remporté Roland Garros junior.
17 ans elle réalise un très bon début d'année 2014, multipliant les victoires (absente à l'Australian Open sa 10eme place chez les juniors s'expliquent en bonne partie par cela).

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Gulbis flambe sa prime de Roland Garros... au casino

Ernests Gulbis, assagi et mature ? Pas si sûr... Malgré une saison enfin digne de son talent, le joueur letton conserve toujours ce caractère facétieux qui le rend aussi sympathique qu'insupportable. Après son magnifique parcours à Roland Garros, qui l'a notamment vu s'imposer face à Roger Federer en huitième de finale avant de s'incliner en demi-finale contre Novak Djokovic, le numéro dix mondial a remporté 412 500 euros. Plutôt que de placer ce capital, le joueur de vingt-cinq ans a préféré le dépenser... au casino.

Mais si le natif de Riga est heureux au jeu de raquette, on ne peut pas dire que ça soit le cas aux jeux de hasard. En effet, la Gazzetta dello Sports indique que Gulbis a perdu l'entièreté de sa mise. "Après avoir été battu par Djokovic, je suis revenu au pays avec mon cousin et je suis allé jouer au casino", a-t-il expliqué au journal rose. "J'ai misé la totalité de ma prime parisienne et j'ai perdu". En une seule fois. Un bel exploit pour le fils d'une des plus grosses fortunes lettones, connu pour son goût immodéré de la fête. Un penchant qui l'avait notamment mené à la case prison, lorsqu'il avait été surpris avec une prostituée à Stockholm en 2009.

Toutefois, on peut s'étonner de ce choix, quand on sait que le trois juin, Gulbis déclarait avoir "besoin d'argent, pour rentrer dans ses frais". Si aujourd'hui Ernests a repris sa carrière en main et ne mange plus "les mauvaises choses avec du ketchup", il reste toujours cet OVNI du circuit ATP, jamais avare de bons mots et de "coups d'éclat". Et si c'était plutôt une bénédiction, au cœur d'un milieu de plus en plus aseptisé ?

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Moment de romance et d'émotion ce lundi sur le gazon du Centre Court à 's-Hertogenbosch. Alors qu'elle venait de remporter son premier tour face à Jana Cepelova (6/3, 4/6, 6/1), Michaella Krajicek ne s'attendait pas à vivre une joie encore plus intense dans la foulée. Son petit ami, le joueur de double allemand Martin Emmrich, a ainsi fait son entrée sur le court pour lui faire sa demande en mariage. Pour la petite histoire, la Hollandaise, heureuse et émue, a répondu oui sans hésiter.

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Tommy Haas, 20e joueur mondial, met un terme à sa saison 2014 en raison d'une blessure à l'épaule, a-t-il annoncé au quotidien populaire Bild.

Le vétéran de 36 ans qui avait déjà annoncé son forfait pour Wimbledon, doit se faire opérer mardi de l'épaule droite à New York, annonce le journal.

"Même si j'avais bien vu que tout n'était pas en ordre ces dernières semaines, je n'avais pas prévu ça", a déclaré le joueur, selon la même source, ajoutant: "ça a été un choc".

"Dans un premier temps, je n'ai pas voulu prendre ça au sérieux. Maintenant, je ne peux pas faire autrement", a précisé Haas.

Le numéro un allemand espère revenir sur les courts en 2015. "Je ne sais pas encore si ce sera possible", dit-il.

"On ne pourra décider que dans quelques mois si c'est encore possible de revenir mais avant cela, il y a quelques mois de sale boulot à accomplir, d'autant que c'est un sacré coup sur la tête", a-t-il commenté.

"Je suis toujours parvenu à revenir, je sais ce qui m'attend maintenant et je vais faire face à ce nouveau défi", a-t-il ajouté.

Tommy Haas avait dû abandonner au premier tour de Roland-Garros face à l'Estonien Jurgen Zopp et avait par la suite déclaré forfait pour le tournoi ATP sur gazon de Halle, en raison de ses douleurs persistantes à l'épaule droite

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Facile vainqueur de Jack Sock (n°7) samedi (6-1, 6-2), Lleyton Hewitt (n°3) retrouvera dimanche Ivo Karlovic (n°2) en finale à Newport. L'Australien espère y cueillir son deuxième titre de la saison (après Brisbane), le 30e au total.

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Le joueur écossais Andy Murray a déclaré que sa nouvelle association avec Amélie Mauresmo, son entraîneur depuis début juin, était "à long terme", lundi à quelques heures du tournoi de Toronto.

"Nous sommes tombés d'accord pour travailler ensemble et je pense que de part et d'autre nous faisons tout ce qu'il faut pour que cela soit sur du long terme", a déclaré Murray sur BBC Sport à propos de sa nouvelle association avec la Française, ex-N.1 mondiale.

Andy Murray avait annoncé avoir choisi Amélie Mauresmo comme nouvel entraîneur le 8 juin, jour de la finale du tournoi de Roland-Garros.

"J'éprouve beaucoup de plaisir à travailler avec elle, a ajouté le N.9 mondial. "Elle m'aide beaucoup. Elle s'intègre très bien avec le reste de mon équipe. Cela commence très bien. C'est à moi maintenant de produire des résultats", a ajouté celui qui a perdu le mois dernier son titre à Wimbledon, où il a été éliminé en quarts de finale.

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En raison des conflits qui se tiennent à Gaza, Israël ne pourra accueillir le tour de Coupe Davis qui devait l'opposer à l'Argentine (12 au 14 septembre). La fédération internationale de tennis a annoncé que la rencontre, qui devait avoir lieu à Tel Aviv, ne se disputerait pas dans une autre ville du pays suite à une demande effectuée par la fédération argentine de tennis. Dans les cinq prochains jours, Israël devra choisir parmi quatre villes pour affronter son adversaire : New York, Delray Beach (USA), Cracovie (Pologne) ou Tallinn (Estonie)

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La Fédération royale belge de tennis (FRBT) a annoncé vendredi se pourvoir en appel de la décision prise par la Fédération internationale de tennis (ITF) de maintenir à Kiev en Ukraine la rencontre de Coupe Davis que doit y jouer la Belgique du 12 au 14 septembre prochain.
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"Sur base de la décision prise par l'ITF ce 7 août 2014 concernant le duel Ukraine - Belgique, et que par conséquent la rencontre se déroulera bien à Kiev malgré la situation actuelle en Ukraine, la FRBT a fait appel dans ce dossier ce vendredi", a averti la fédération dans un communiqué. "Pour le moment, la FRBT de donnera pas plus de détails dans ce dossier afin de ne pas nuire à la procédure."

Malgré le conflit armé qui frappe l'est de l'Ukraine, l'ITF avait décidé jeudi de ne pas déplacer cette rencontre, se basant sur le rapport de Control Risks, une société indépendante qui étudie les risques.

Le comité de la Coupe Davis de l'ITF a donc estimé que la rencontre pourrait se jouer au Palais des Sports de Kiev, alors qu'il a décidé de déplacer un autre duel des barrages de la Coupe Davis, celui qui doit opposer Israël à l'Argentine. La rencontre ne se jouera en effet pas en Israël, mais sur un terrain neutre, en raison du conflit armé actuel dans la bande de Gaza. .

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Victime d’un avertissement pour prise de temps excessive durant son match face à Raonic jeudi soir (défaite 6-3, 4-6, 6-4), Julien Benneteau a pris la défense des "petits" face aux gros du circuit. «Je n’étais pas content parce que c’est facile de me donner un avertissement. Je suis 40e mondial, j’ai 32 ans. Et en plus, l’arbitre ne m’avait même pas prévenu une première fois. C’est pareil quand Monfils se prend un avertissement pour dépassement contre Djokovic. C’est complètement fou ! Comment peut-on prendre un tel avertissement contre Djokovic ou Nadal ? Ces deux-là sont très, très en retard sur chaque point ! Une nouvelle fois, c’est plus facile d’avertir certains joueurs que d’autres…»