MASTER CUP ATP 2011 : REGLEMENT & JEUX DU TOURNOI DES MAITRES

Alors ... Hé bien ça va être assez chaud Le Lauréat sera donc SOIT Celui qui décrochera un Perfect Score, soit Celui dont le nombre total de Jeux pronostiqués se rapprochera le plus du nombre total de Jeux de la Partie. S'il y a 21 Jeux ou moins, Jado remporterait le Titre, s'il y en a 22 ou plus, ce serait Flash.

Bonne Finale à Tous !

Allez Rogerrrrrrr........go go goooooooo

Perso j'aurais mis Roger en 3 sets héhé

Toutes mes félicitations à Flash !

Bravo Flash, il faut avoir des nerfs pire qu'en acier pour vaincre l'Ogre Jado, tu l'as fait, très content de ta performance!

Bravo à Roger !!! o à Fash ...et à la Cigale!!!ghgn

nxbxfgx bgbx c c
v :star
jml!flgi;g, :,kbxjci hcu

Citation :

Tennis - Masters
Federer tient son record


Roger Federer s'est imposé dimanche en finale du Masters, en dominant en trois sets Jo-Wilfried Tsonga (6-3, 6-7 [6], 6-3). C'est la sixième victoire, un record, pour le Suisse dans le tournoi des Maîtres.

Avec des si on mettrait Londres en bouteille et Tsonga dans la peau du Maître. Mais à ce niveau de jeu il n'y a pas de place pour le si, juste pour les faits : au terme d'un match qui a viré au thriller alors qu'on le croyait plié, Roger Federer a conservé son titre et ajouté une ligne à sa liste des records. Le voilà avec sa 807e victoire en poche pour sa 100e finale et avec un sixième titre historique dans l'épreuve. Jo-Wilfried Tsonga, revenu de 6-3, 5-3 puis 5-2 dans le jeu décisif, est passé tout près de l'exploit mais a craqué dans le money time. Comme Sébastien Grosjean en 2001, il s'est cassé les dents sur plus fort que lui.

Le Français a pu encore constater le petit écart qui reste entre lui et la crème de la crème. Il a aussi pu vérifier sa théorie du chasseur et sanglier puisque, pour avoir raté plusieurs fois l'estocade finale à 30A sur service adverse dans le premier et le dernier set, il a pris un retour de bâton sous forme de quelques coups de patte du futur n°3 mondial. Que ce soit dans un premier set où il a semblé au-dessus jusqu'à 4-3 ou dans un troisième où la dynamique jouait pour lui, le Français a à chaque fois vu Federer renverser la vapeur. Et pourtant il avait la bonne option en le poussant à des échanges plus longs, en l'agressant et en n'hésitant pas à aller chercher sa chance au filet. Seulement pour battre un cador dans une finale de ce niveau, il faut garder une pression constante et une concentration d'acier. A ce jeu-là, Federer est encore un cran au-dessus même si le Français mérite un énorme respect pour le niveau de son jeu et de sa révolte.

Talent et expérience : cocktail gagnant
L'expérience alliée au talent a fait tourner le match en seulement quelques points. Tsonga se demandera un bon moment ce qui se serait passé si sa première balle avait eu plus de régularité sur ce jeu et sur ce match. Mais tout le mérite est revenu à Federer qui a su comme souvent garder sa frustration sous contrôle et guetter la faille. Jamais il n'a dévié de ses bases : rester sur sa ligne, passer un maximum de premières balles et pousser la pression au maximum sur les jeux de retour adverses. La victoire de Roger Federer a aussi confirmé dimanche l'emprise du "Big 4" sur le reste du circuit : en Grand Chelem, en Masters 1000 et donc à Londres, les Quatre Fantastiques ont tout gagné. Roger Federer, lui, s'impose au Masters comme en 2010. Cette victoire 2011 lui permettra-t-elle cette fois de soulever de nouveau un titre du Grand Chelem ? La faim d'ogre déployée en cette fin de saison est peut-être la garantie d'une saison 2012 encore plus énorme que celle écoulée. Bon courage d'avance aux rivaux de ce Top 4. Tsonga, dont la saison et la semaine auront été d'un très haut niveau, en sait quelque chose après cette troisième défaite de suite en indoor (3-8 au total) : il faudra aller puiser très loin pour passer le dernier obstacle.

On lit plein d'émotions dans le regard de Fed au moment de te remettre ce Trophée cher Flash

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BRAVOOOOOOOOOO

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Et voilà une petite "coupette" pour fêter cela comme il se doit

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Tchinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Flash


Jado



aux organisateurs



à toutes et à tous



et merci à Jack, j'espère ne pas t'avoir trop déçue ;à bizzzz

La cigale a écrit:

Flash


Jado



aux organisateurs



à toutes et à tous



et merci à Jack, j'espère ne pas t'avoir trop déçue ;à bizzzz

Tu as fait un bon tournoi !

Merci à tous mon 2éme mastes dans la poche

bravo à jadorana pour son parcours comme aux organisateurs pour leurs formidables travaille .

Bravo à tous ! à l'année prochaine

Bravo à tous pour cette belle saison !

Merci pour vos Messages très sympas

Citation :

Tennis - ATP - Masters
Le Big 4 a explosé


Deux constats au terme de ce Masters 2011 : Roger Federer et Jo-Wilfried Tsonga ont composé le duo indoor du moment et le Top 4 a implosé dans l'O2 Arena.

Federer et Tsonga, les inséparables
Un duo franco-suisse de choc. Quatre duels consécutifs dont trois en indoor et deux en finale (Bercy et Londres), Roger Federer et Jo-Wilfried Tsonga sont le ticket gagnant de cette saison en salle. Le Suisse ne s'est pas montré très partageur, puisqu'il a privé Tsonga d'un titre au Masters 1000 de Bercy et au Masters de Londres. Dimanche, Federer est entré dans l'histoire avec un sixième titre record en Masters lors de sa 100e finale et pour le 807e succès de sa carrière. Un triomphe qui va l'aider à effacer les doutes nés de ses échecs en Grand Chelem en 2011 et peut-être le porter vers de nouveaux exploits en 2012. Jo-Wilfried Tsonga devra se servir de la confiance apportée afin de franchir le dernier obstacle vers les grands titres. Il le sait et il l'a dit : il en est capable et va mettre tous les moyens de son côté pour y arriver. Il restera de sa formidable semaine, une victoire face à Rafael Nadal en plus de cette finale face à Federer où il a tout donné.

Djokovic, Nadal et Murray ont calé
Pour une des rares fois de la saison 2011, les Quatre Fantastiques ne se sont pas expliqués entre eux. Le n°1 mondial Novak Djokovic, vainqueur de trois titres du Grand Chelem, 5 Masters 1000 pour 10 titres au total et un bilan de 70 victoires pour 6 défaites, est arrivé à Londres à plat. Le corps en grève (dos, abdominaux, épaule droite) et la tête en vacances, à l'image de son refus d'obstacle face à David Ferrer. Il a affirmé qu'il serait de retour à son meilleur niveau dès Melbourne. Ce n'est pas la première fois qu'il passe à côté d'un Masters : déjà en 2007 après une grosse saison il s'était effondré. L'année suivante il remportait son premier Majeur et son premier Masters.

L'affaire est plus sérieuse pour Rafael Nadal. Traumatisé par ses échecs face au Serbe, il est arrivé loin de sa meilleure forme : pas un match joué depuis la Coupe Davis en septembre, une épaule gauche douloureuse et un degré de passion pour son sport en chute libre. Il n'attendait qu'une chose à Londres : que ça s'arrête. Mais en indoor il a déjà connu des désillusions à l'image de son Masters 2009 terminé sans gagner un set en trois matches. L'année suivante, il réalisait le Petit Chelem. Après la finale de la Coupe Davis et Melbourne en janvier, on saura si la crise n'était que passagère. Quant à Andy Murray, son corps a dit stop alors que sa tête avait tellement envie du titre. Blessé à l'aine, l'Ecossais a dû abandonner dès son deuxième match.

Des outsiders prometteurs
En plus de Jo-Wilfried Tsonga, ce Masters a vu d'autres joueurs planter leurs griffes dans les cadors. David Ferrer a ainsi dominé Andy Murray et Novak Djokovic avant de toucher les limites de ses nerfs face à Tomas Berdych et surtout Roger Federer en demies pour une 12e défaite d'affilée. Tomas Berdych, lui, a retrouvé de sa superbe en fin de saison et son Masters a confirmé que sa qualité de frappe avait sa place avec le gratin. Mardy Fish, trop diminué, n'a pas vraiment pu compter malgré son grand match face à Nadal, tandis que Janko Tipsarevic a tiré profit du forfait de Murray pour remporter son premier match en Masters, contre Djokovic. Voilà donc le rideau tombé sur ce Masters qui a décidément trouvé un bel écrin dans l'O2 Arena de Londres.

J'ai beaucoup apprécié ce Masters, vivement l'an prochain