EURO 2012 : Eliminatoires

Résultats du Soir :

17:00 FT Armenia 0 - 1 Ireland (0 - 0)
18:00 FT Kazakhstan 0 - 3 Turkey (0 - 2)
18:30 FT Andorra 0 - 2 Russia (0 - 1)
18:30 FT Moldova 2 - 0 Finland (0 - 0)
19:00 FT Faroe Islands 0 - 3 Serbia (0 - 2)
19:30 FT Montenegro 1 - 0 Wales (1 - 0)
20:00 FT Latvia 0 - 3 Croatia (0 - 1)
20:00 FT Romania 1 - 1 Albania (0 - 0)
20:00 FT Sweden 2 - 0 Hungary (0 - 0)
20:15 FT Lithuania 0 - 0 Scotland (0 - 0)
20:15 FT Luxembourg 0 - 3 Bosnia-Herzegovina (0 - 3)
20:30 FT Estonia 1 - 2 Italy (1 - 0)
20:30 FT Slovakia 1 - 0 Fyr Macedonia (0 - 0)
20:45 FT Belgium 0 - 1 Germany (0 - 0)
20:45 FT Greece 1 - 1 Georgia (0 - 1)
20:45 FT Lichtenstein 0 - 4 Spain (0 - 2)
20:45 FT San Marino 0 - 5 Netherlands (0 - 2)
20:45 FT Slovenia 0 - 1 Northern Ireland (0 - 0)
21:00 FT England 4 - 0 Bulgaria (1 - 0)
21:00 FT France 0 - 1 Belarus (0 - 0)
21:00 FT Iceland 1 - 2 Norway (1 - 0)
21:45 FT Portugal 4 - 4 Cyprus (2 - 2)

Plusieurs Surprises avec le Nul du Portugal face à Chypre, la Défaite Bleue face à la Biélorussie, la Victoire de l'Irlande du Nord en Slovénie, le Nul grec face aux géorgiens, le Nul albanais en Roumanie, la Victoire du Monténégro face à Galles.

Logiques Victoires anglaise, néerlandaise, italienne, allemande, espagnole, bosniaque, croate, serbe et turque ...

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Les matches se suivent…


… Et ne se ressemblent pas pour l’Espagne et les Pays-Bas. En effet, deux mois à peine après s’être affrontées en finale de la Coupe du Monde, ces deux nations débuteront les éliminatoires de l’Euro 2012 au… Liechtenstein et à Saint-Marin. Dépaysement garanti.

C’était le 11 juillet dernier, soit il y a même pas deux mois. Pour la première fois de son histoire, l’Espagne décrochait le titre de championne du monde aux dépens des Pays-Bas (1-0 a.p.) au terme d’une finale qui ne restera sans doute pas gravée dans les mémoires. Mais qu’importe pour la Furia Roja, qui se moque bien de savoir qu’elle est devenue l’équipe sacrée la moins prolifique de l’histoire avec 8 buts marqués seulement en sept matches. Et qu’importe aussi pour des Oranje défaits pour la troisième fois en finale et qui peuvent légitimement s’estimer maudits. Sauf qu’en football, le temps passe très vite et les festivités sud-africaines sont désormais bien lointaines pour ces deux finalistes qui s’apprêtent à remettre le bleu de chauffe pour débuter la campagne des éliminatoires de l’Euro 2012 chez deux modestes du Vieux Continent : le Liechtenstein et Saint-Marin. Soit deux véritables tests d’humilité pour les Espagnols et les Néerlandais, surtout en début de saison.

Ramos se veut prudent
A commencer donc par le nouveau champion du monde, et accessoirement tenant du titre européen, qui se rendra à Vaduz, dans la petite Principauté du Lichtenstein afin d’étrenner en match officiel son nouveau statut. D’ailleurs, quasiment tous les Mondialistes seront présents à cette occasion puisque ne manquaient à l’appel de la liste communiquée par Vicente Del Bosque que Raul Albiol, blessé, ainsi que Javi Martinez et Juan Mata, tous deux appelés en Espoirs pour affronter les… Pays-Bas. Néanmoins, un absent de marque est venu s’ajouter à la liste : Carles Puyol, victime d’une blessure au mollet gauche. Sans compter peut-être Fernando Torres, toujours incertain pour ce déplacement. Mais même sans plusieurs de ses pièces maitresses, la Furia Roja devrait connaitre une entame de qualifications en douceur chez un adversaire qu’elle a toujours battu jusqu’à présent. A condition, comme le rappelait Sergio Ramos dans les colonnes de Marca, de ne pas commettre «l’erreur de croire que, puisque nous sommes champions du monde, tout sera facile désormais. Nous devons rester les pieds sur terre et ne pas oublier que sur le terrain, le football n’a pas de mémoire. Pour ces éliminatoires, nous recommençons de zéro.» Et si l’avertissement du Madrilène ne suffisait pas, les Espagnols pourront toujours repenser aux difficultés qu’ils ont eues au mois d’août pour arracher un simple match nul contre le Mexique (1-1).

Le retour de «Ruud»
Un score qui, hasard ou coïncidence, fut également celui sanctionnant la sortie des Néerlandais en Ukraine le 11 août dernier. La preuve qu’un après-Mondial n’est jamais simple, surtout que les Pays-Bas n’ont pas une euphorie à dissiper, mais plutôt une immense déception à oublier. Un petit voyage d’agrément à Saint-Marin, contre qui les Oranje présentent un bilan de quatre victoires en quatre matches pour 23 buts marqués et aucun encaissé, semble donc constituer la meilleure des reprises possibles. Sauf que les Bataves s’y rendront en ordre dispersé après la retraite sportive de Giovanni Van Bronckhorst, à laquelle sont venues s’ajouter les blessures d’Arjen Robben et de Robin Van Persie, tous deux forfaits. Rafael van Der Vaart, lui, n'a joué aucun match avec Tottenham, son nouveau club qu'il a rejoint à la dernière minute, et manque totalement de rythme. Autant de tourments qui ont incité Bert van Marwijk à rappeler un vieux de la vieille en la personne de Ruud Van Nistelrooy, censé apporter son expérience à un groupe très rajeuni par les circonstances. Mais qui aura faim d’assumer la succession de son devancier finaliste mondial, ce qui pourrait s’avérer être un mal pour un bien. Excepté pour Saint-Marin peut-être…

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Le cauchemar continue


Douchée en fin de match par la Biélorussie (0-1), l’équipe de France a commencé sa campagne de qualifications pour l’Euro 2012 de la pire des manières. Les Bleus sont déjà dos au mur à quatre jours d’un déplacement périlleux en Bosnie.

France-Biélorussie 0-1
Biélorussie : Kislyak (86e)

Le calvaire du Mondial a joué les prolongations au Stade de France. Le public français, pourtant venu en masse à Saint-Denis, a assisté à la quatrième défaite de rang de sa sélection nationale contre la Biélorussie (0-1). Très vite, les Bleus affichaient une inquiétante incapacité à imposer leur rythme pour bouger une défense biélorusse tranquillement en place. La sortie prématurée de Rémy, touché à l’adducteur droit, n’arrangeait en rien les affaires tricolores (34e). Il fallait finalement attendre le temps additionnel de la première période pour assister à la première occasion franche de la partie : une frappe de Malouda des 20 mètres obligeait Zhevnov à repousser le danger des deux poings (45e).

Le discours dans les vestiaires de Laurent Blanc semblait fouetter la sélection tricolore. Celle-ci se réveillait et sollicitait sans tarder le portier adverse sur des tentatives de Menez (47e), Hoarau (47e) et M’Vila (49e). Mais cette entame tambour battant perdait de son éclat lorsque Kutuzov, seul face à Lloris, était à deux doigts d’inscrire le but du hold-up (51e). Cette occasion douchait les intentions françaises, même si Hoarau (60e) et Valbuena (71e) se procuraient deux nouvelles possibilités. Mais cette dernière opportunité manquée sonnait l’extinction définitive de la maison France, apathique en fin de rencontre. Un nouveau coup dur s’y mêlait avec la sortie sur blessure de Saha, seulement quelques minutes après son entrée en jeu. Le bateau tricolore tanguait de plus en plus, à tel point que ce n’était finalement qu’une demi-surprise de voir l’arrière garde française laisser Hleb servir un caviar à Kislyak. La frappe de ce dernier ne laissait pas la moindre chance à Lloris (0-1, 86e). Le fiasco était ainsi total. Rien ne semblait vouloir sourire à la sélection de Laurent Blanc, à l’image d’une ultime tentative de Gameiro à un rien du cadre adverse (90e+4). La route menant à l’Euro 2012 se complique déjà. Et la reconstruction s’annonce encore plus longue que prévue…

Le joueur du match
On connaissait Alexander Hleb, on a découvert son jeune frère de deux ans son cadet: Vyacheslav Hleb. Ce dernier est directement impliqué sur l’unique but de la rencontre par sa passe parfaitement ajustée. Le joueur évoluant à Shangaï a également démontré des qualités intéressantes au niveau de la conservation du ballon.

Tactique et coaching
La Chine, l’Afrique du Sud et maintenant la Biélorussie : tout le football mondial semble capable de battre l’équipe de France actuellement. La reprise de la sélection par Laurent Blanc n’a fait que confirmer la tendance du moment. Le sélectionneur français, privé de meneur de jeu (Gourcuff et Ribéry suspendus, Nasri blessé) a choisi d’adapter son système en fonction des forces en présence : à savoir, un 4-4-2 classique. Le résultat et la manière ne lui ont pas donné raison. Hoarau, (en réalité) seul en pointe, a rarement été servi correctement et n’a jamais pu créer une complémentarité : Rémy, Menez, Saha et Gameiro occupant tour à tour le rôle d’électron libre autour du Parisien. Parmi les autres problèmes d’animation, on peut souligner le manque de mordant des latéraux (Sagna, Clichy) et la timidité du duo Mvila-Diaby à aller franchement vers l’avant. Finalement, en attendant patiemment son heure, la Biélorussie n'a pas donné l'impression de s'arracher pour remporter la mise au finish.

On n’a pas aimé
Considéré comme un joueur d’avenir, Jérémy Menez n’a pas vraiment su saisir sa chance à l’occasion de sa première titularisation avec les A. Le Romain a souvent délaissé son couloir droit pour opérer sur d’autres fronts, créant ainsi un déséquilibre sur l’aile droite jusqu’à son repositionnement dans l’axe à la suite de l’entrée de Valbuena. A sa décharge, Menez a été loin d’être seul à être en dehors du coup.

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La Belgique méritante mais perdante


La Belgique a perdu son premier match de qualification pour le CE 2012 contre l'Allemagne et cela par le plus petit écart. A la 50-ème minute, Klose a profité d'une erreur défensive pour faire la différence.

Les Diables Rouges ont entamé leur campagne en vue de la qualification à l'Euro-2012 en Pologne et en Ukraine par une défaite 0-1 face à l'Allemagne, au stade Roi Baudouin. L'unique but de la rencontre est tombé à la 51-ème minute des pieds de Mirolav Klose.

L'attaquant du Bayern Munich a pleinement profité d'une erreur dans le rectangle de son équipier, mais adversaire d'un soir, Daniel Van Buyten.

Les Belges avaient livré une bonne première période s'offrant de réelles occasions via Romelu Lukaku et surtout Moussa Dembélé, très en vue. Les Allemands n'étaient pas restés inactifs. Les vice-champions d'Europe et 3-èmes du dernier Mondial ne sont toutefois pas parvenu à déstabiliser les hommes de Georges Leekens.

Une remontée sur le terrain hésitante des Diables après la pause, un mauvais contrôle de Van Buyten dans son propre rectangle étaient mis à profit par les Allemands. Müller servait Klose qui inscrivait son 53-ème but en 102 sélections.

La mission des Diables devenait très difficile d'autant que la Mannschaft disposait de plus d'espaces et se créait de réelles occasions. Logan Bailly sauva d'ailleurs la balle de 0-2 sur un reprise à bout portant de Müller.

La Belgique se déplace à Istanbul pour y rencontrer la Turquie, mardi à l'occasion de son 2-ème match du groupe A. Les Turcs ont gagné 0-3, vendredi au Kazakhstan.

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Foot - Euro
Un sans-faute pour les cadors


La première journée des éliminatoires a globalement respecté la logique sportive. De l'Espagne à l'Allemagne, les gros ont gagné vendredi et parfaitement lancé leur campagne.

A l'inverse de l'équipe de France, les grosses nations ne sont pas tombées dans le piège, vendredi en ouverture des éliminatoires. Toutes, sans exception, ont fait le nécessaire pour ne pas hypothéquer d'entrée leurs chances de qualification au prochain Euro. Que ce soit l'Espagne, en démonstration au Liechstenstein (4-0), les Pays-Bas, en balade à San Marin (5-0), l'Angleterre, en quête de rédomption face à la Bulgarie (4-0), ou encore l'Allemagne, qui a assuré l'essentiel en Belgique (1-0) : chacun des pays forts du dernier Mondial à fait honneur à sa réputation.

L'Espagne, c'est aussi Torres !
Pour sa rentrée sur le sol européen, la Seleccion n'a pas fait dans le détail. Avec une attaque retrouvée Villa-Torres, elle s'est même fait plaisir pour prendre d'entrée la tête du groupe I. Titularisé d'entrée malgré une condition physique encore incertaine, l'attaquant de Liverpool, auteur d'un doublé (18e et 54e), s'est rappelé au bon souvenir de l'Euro 2008, quand il avait inscrit le but vainqueur en finale face à l'Allemagne. Le néo-Barcelonais ainsi que David Silva, déjà buteur en amical contre le Mexique en août (1-1), ont permis à la Roja de capitaliser d'entrée, histoire d'avoir une différence de buts un peu plus large. Avec cette Espagne-là, les faux-pas, ça n'existe pas.

Des Oranje piquants
A Saint-Marin, les Pays-Bas n'ont pas connu plus de difficultés (5-0). Grâce notamment à un triplé de Klaas-Jan Huntelaar (38e, 48e et 67e), les finalistes de la Coupe du monde ont également pris tout de suite les commandes du groupe E, avec autorité. Pourtant privés de Robin van Persie et d'Arjen Robben, les joueurs de Bert Van Marwijk ont su trouver d'autres artilleurs pour assurer un large succès. Comme par exemple le vétéran Ruud van Nistelrooy, de retour en sélection après deux ans d'absence. Entré en jeu à vingt minutes du terme, il a inscrit le dernier but batave dans le temps additionnel (90e+1). Tout un symbole de l'envie et de l'implication de chacun.

Capello s'offre un sursis
A Wembley, Fabio Capello avait plutôt intérêt aussi à avoir une équipe impliquée sur le terrain pour éviter un nouveau couac. Cela a été le cas puisque ses hommes l'ont largement emporté contre la Bulgarie (4-0). En l'absence de Peter Crouch, blessé, c'est son coéquipier à Tottenham, Jermain Defoe, qui a fait le spectacle en inscrivant un triplé (2e, 61e et 86e). De quoi faire taire les critiques durant un temps, tout comme en Italie où la Nazionale est revenue en grâce aux yeux des tifosi après son succès étrillé mais terriblement important en Estonie (2-1). Peu importe si l'équipe désormais entraînée par Cesare Prandelli a été menée et si les deux buts ont été marqués sur corner, par Cassano (60e) et Bonucci (63e) à l'arraché. Le principal, c'est de gagner. Et l'Italie a bien fait puisque dans le même temps la Serbie en a fait autant aux Féroé (3-0).

Van Buyten, l'ami des Allemands
Enfin, l'Allemagne elle aussi a tremblé sans sentir véritablement le danger. En Belgique, la Mannschaft a pris son temps. Une heure pratiquement avant de pousser à la faute un adversaire pourtant bien entreprenant. Alors qu'il avait annoncé avant le match qu'il n'hésiterait pas «à mettre le pied» contre ses coéquipiers à Munich, Daniel van Buyten s'est fait prendre à son propre piège. Le défenseur belge du Bayern a commis une grossière erreur de relance avant de couvrir Miroslav Klose, auteur de l'unique but vainqueur (51e). Bon joueur, l'ancien Marseillais avait quand même le sourire après la partie, en serrant la main de Schweinsteiger. Avec l'air de dire : "Je t'aurai un jour, je t'aurai". - H.S.

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Foot - Euro - Gr. D
Susic : «Plus facile que prévu»


Safet Susic (sélectionneur de la Bosnie-Herzégovine, victorieuse du Luxembourg 3-0) : « Cela a été plus facile que prévu. On pensait que ce serait plus compliqué mais en marquant rapidement le premier but sur notre première occasion, on a fait le plus important. Après, on a enchaîné. Contre ce genre d'équipe, le plus important est toujours de marquer rapidement. Je me souviens qu'il y a près de trente ans, j'avais joué ici avec la Yougoslavie, et à la mi-temps, il y avait 0-0 (Ndlr : les Yougoslaves s'étaient imposés 1-0 en fin de match lors de cette rencontre disputée en 1985 à l'occasion des éliminatoires de la Coupe du Monde 1986). J'aurais aimé qu'on marque un but supplémentaire en deuxième mi-temps car nous avons eu les occasions pour le faire. Je ne sais pas si je vais aligner la même équipe contre la France. Pjanic est sorti parce qu'il avait mal, je ne sais pas ce qu'il a (Ndlr : Pjanic s'est montré plutôt rassurant en quittant le stade Josy-Barthel.) » - A.B., à Luxembourg

A suivre Mardi :

17:00 Russia - Slovakia
19:00 Georgia - Israel
19:30 Belarus - Romania
19:30 Bulgaria - Montenegro
19:30 Malta - Latvia
20:00 Fyr Macedonia - Armenia
20:00 Sweden - San Marino
20:00 Turkey - Belgium
20:15 Albania - Luxembourg
20:15 Czech Republic - Lithuania
20:15 Denmark - Iceland
20:30 Austria - Kazakhstan
20:30 Croatia - Greece
20:30 Hungary - Moldova
20:30 Netherlands - Finland
20:30 Norway - Portugal
20:30 Serbia - Slovenia
20:45 Germany - Azerbaijan
20:45 Ireland - Andorra
20:45 Switzerland - England
20:50 Italy - Faroe Islands
21:00 Bosnia-Herzegovina - France
21:00 Scotland - Lichtenstein



ALLEZ LES ORANJE, LA BELGIQUE, L'ANGLETERRE, ISRAEL, L'Albanie et l'Eire !!

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Foot - POR
Coentrao absent en Norvège


Fabio Coentrao ne voyagera pas en Norvège pour le match que doit jouer le Portugal mardi soir. Le latéral lusitanien de Benfica, adversaire de Lyon en C1, s'est blessé lors du spectaculaire match nul des siens contre Chypre (4-4). Il est touché à la cuisse droite et est rentré dans son club.

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Foot - ALL
Genou touché pour Jansen


Marcell Jansen ne jouera pas mardi soir à Cologne contre l'Azerbaïdjan. Sorti à la mi-temps de la rencontre jouée vendredi en Belgique (1-0), le latéral gauche de Hambourg est touché à un genou et a été contraint de déclarer forfait. Une IRM sera effectuée lundi par le staff de la fédération allemande et le joueur n'a pas pu rentrer dans son club.

Contre l'Azebaïdjan, Jansen sera remplacé par son coéquipier au HSV, Heiko Westermann.

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Lech Walesa ami n°1 de l'Euro 2012


Lech Walesa, chef historique du syndicat polonais Solidarité et ancien président, est devenu samedi l'ami officiel numéro 1 de l'Euro-2012, championnat d'Europe de football organisé par la Pologne et l'Ukraine.

"J'ai été dans beaucoup d'endroits, j'ai occupé différentes fonctions, mais le destin ne m'a jamais confié de rôle comme celui-ci", a déclaré Lech Walesa, 66 ans, lors d'une cérémonie organisée par l'Union européenne de football (UEFA) à Lodz (centre), retransmise par la chaîne d'information en continue TVN24. "Je promets de donner tout de moi-même pour que nous réussissions les préparatifs", a ajouté l'ancien président polonais. "Ce n'est pas uniquement une affaire de sport. C'est la fierté nationale qui est en jeu. La nouvelle Pologne en coopération avec la nouvelle Ukraine. Vraiment nous devons montrer que nous sommes capables", a-t-il ajouté. "Il n'y a pas tant à se réjouir. Prenez garde! Je vais avoir la main sur tout et surveiller de près les préparatifs", a-t-il prévenu les organisateurs, avec son humour habituel.

Le titre lui a été remis ainsi qu'à d'autres personnalités polonaises par Martin Kallen, le responsable pour l'UEFA de l'organisation de cet Euro, qui était en visite en Pologne. Vendredi à Kiev, les titres d'ami de l'Euro-2012 ont été décernés à des personnalités ukrainiennes, notamment les champions olympiques Valeri Borzov (sprint) et Sergueï Bubka (perche).

L'Euro 2012 se déroulera dans quatre villes polonaises: Varsovie, Wroclaw, Poznan, Gdansk, et quatre ukrainiennes: Donetsk, Kharkov, Lviv et Kiev.

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Foot - ANG
Defoe a tout bon


L'histoire du nouveau Wembley ne demande qu'à être écrite. Vendredi soir, Jermain Defoe a pris sa plus belle plume pour inscrire quelques lignes dans le livre de l'enceinte londonienne. Auteur d'un triplé face à la Bulgarie (4-0), le premier inscrit depuis l'inauguration du stade le 19 mai 2007, l'attaquant anglais s'est simplement dit «heureux» après la rencontre.

Heureux, le joueur de Tottenham peut l'être, lui qui devrait actuellement se soigner. En effet, il souffre depuis plusieurs semaines des adducteurs et ne cesse de repousser son opération. «J'ai des douleurs mais j'ai fait beaucoup de séances de travail physique pour compenser cela», a expliqué Defoe, des propos rapportés par le site de l'UEFA. Ce n'est pas l'équipe des Trois Lions qui va s'en plaindre.

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Foot - ITA
Prandelli : «Patience»


Sa première officielle à la tête de l'équipe nationale d'Italie s'est soldée par un succès, vendredi en Estonie (2-1), mais Cesare Prandelli ne s'en satisfait pas. Le sélectionneur de la Nazionale estime que son équipe peut «donner beaucoup, beaucoup plus». «Je l'ai toujours dit, il faut de la patience, a déclaré l'ancien entraîneur de la Fiorentina, cité par Ansa. C'est comme quand quelqu'un veut construire un gratte-ciel, il creuse les fondations et rencontre aussitôt les difficultés».

Lors de ce match comptant pour les éliminatoires à l'Euro 2012, la Squadra Azzurra a signé son premier succès en 2010, après quatre nuls et trois défaites. De quoi envisager avec davantage de sérénité la réception des Îles Féroé, mardi à Florence. Le football italien a beaucoup plus de qualité que nous l'imaginons. Mais nous en sommes encore aux fondations, nous avons commencé à comprendre comme nous devons jouer», a ajouté Prandelli de retour au centre d'entraînement de Coverciano. (Avec AFP)

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Foot - SUE
Wernbloom, la force est en lui


Pontus Wernbloom risque de se souvenir longtemps de ses premiers buts en équipe nationale de Suède. Auteur du doublé qui a permis à la sélection scandinave de s'imposer contre la Hongrie (2-0), lors de la 1re journée des éliminatoires à l'Euro 2012, le joueur de l'AZ Alkmaar a appris sa titularisation au tout dernier moment. Pas de quoi le perturber, si l'on se fie à sa performance face à la sélection hongroise. «Je suis un optimiste de nature, a déclaré le buteur suédois après la rencontre, des propos rapportés par le site de l'UEFA. J'y crois toujours, même quand les autres n'y croient pas. Mais cette semaine, je n'avais aucune certitude, et après tout, ce n'est pas plus mal car ça vous maintient sous pression.» C'est Erik Hamren qui doit se frotter les mains et se féliciter de son choix.