EURO 2012 : Eliminatoires

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Foot - Euro - Barrages
Le Portugal très confiant


Le Portugal de Paulo Bento entame avec beaucoup d'optimiste son barrage retour face à la Bosnie (22h00), ce mardi à Lisbonne. A l'aller, les deux équipes avaient manqué de réalisme.

« A la fin de ces 90 minutes, nous serons une équipe heureuse et, surtout, un pays heureux ». Paulo Bento s'y voit déjà, en Pologne et en Ukraine. Pour lui, il n'y a pas l'ombre d'un doute, la Selecçao, dont il est aux manettes depuis septembre 2010, va se qualifier pour l'Euro 2012. Le Portugal n'est effectivement qu'à 90 minutes du bonheur. Mais il y a un match à jouer, et un adversaire, la Bosnie, à déboulonner. Au vu du match aller (0-0), vendredi dans l'enfer de Zenica, il apparait évident que les jeux ne sont pas faits. Le Portugal a dominé la partie pendant plus d'une heure, certes, mais il a été incapable de marquer ce but si précieux, qui l'aurait soulagé.

Mais chez eux, dans leur lumineux Stade de la Luz à Lisbonne, les Portugais sont convaincus de passer, devant un public qui devrait être là aussi bouillant, même si la partie s'annonce évidemment « très serrée », dixit un Bento optimiste mais lucide. « Nous nous attendons à un match très serré, mais nous sommes tout à fait convaincus de pouvoir prendre le dessus », a déclaré l'entraîneur portugais de 42 ans. « Nous continuons à avoir 50 % de chances d'être à l'Euro 2012 », a quand même relativisé le successeur de Carlos Queiroz.

Le nul rapporté vendredi de Bosnie oblige les Portugais à marquer et à gagner. Un nul peut suffire aux Bosniens, qui ont eux aussi besoin de marquer. « C'est un bon résultat, qui comporte toutefois un certain risque car nous n'avons pas marqué de but à l'extérieur », regrette Bento. « Nous allons jouer contre une équipe qui a beaucoup de qualités techniques et qui dispose de joueurs avec beaucoup de qualités individuelles », a-t-il ajouté. Comme à Zenica, les Portugais auront l'intention de mettre d'entrée un maximum de pression sur les Bosniens afin de ne « pas leur donner le temps de réfléchir. » Une bonne idée, à condition de se montrer réaliste, cette fois. - D. Mi. (avec AFP)

La Turquie limite la casse par rapport à l'ALLER mais c'était plié ...

La République tchèque s'impose à nouveau face à de valeureux mais limités monténégrins ...

L'Estonie accroche l'Eire chez elle mais là encore c'était plié à l'ALLER ...

Le Portugal vient à bout de la Bosnie à Domicile, ce Match RETOUR fut TRES OUVERT ET LONGTEMPS EQUILIBRE !

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Foot - Euro - Barrages
Il n'y a pas eu de miracle


La République d'Irlande, la Croatie et la République tchèque ont confirmé au retour l'avantage pris à l'aller et se qualifient pour l'Euro 2012.

Les 18 000 spectateurs du stade de Podgorica ont espéré jusqu'au bout une remontée fantastique du Monténégro, battu (2-0) à l'aller vendredi en République tchèque. Au coup de sifflet final, ils n'avaient que des regrets au vu des nombreuses occasions gâchées par Mirko Vucinic et ses partenaires, plus une défaite sur le fil à remâcher (0-1). Il y avait pourtant dans l'air le souvenir béni du mois dernier, lorsque des joueurs survoltés avaient remonté un handicap de deux buts face à l'Angleterre pour assurer leur place en barrages dans le temps additionnel (2-2). Mais le miracle n'a pas repassé les plats, mardi, malgré une seconde période de feu des hommes de Branko Brnovic qui ont bousculé Rosicki, Plasil et consorts.

Cruel, le scénario du match a réservé un épilogue à pleurer dans les Balkans. Alors que les Tchèques ont concédé sept ou huit occasions franches, ils ont puni la maladresse monténégrine en inscrivant en fin de match un but coup de poignard sur une percée solitaire de Petr Jiracek (81e). Symbole du drame monténégrin, Vucinic a manqué inexplicablement une reprise de la tête à bout portant sur une remise de Jovetic (55e). A son tour, le joueur de la Fio a manqué un but tout fait au 2e poteau (80e). Plus tôt, Damjanovic (FC Séoul) avait frôlé le piquet d'une frappe en pivot (40e) et trouvé le gant de Cech puis la transversale (51e)... La Reprezentace, championne d'Europe 1996, enchaîne sa 5e qualification consécutive. Le Monténégro attendra pour sa première.

Dublin en liesse
L'Euro, la République d'Irlande n'y était plus allé depuis 1988. A Dublin, devant un public en fête, elle a confirmé au petit trot (1-1) l'énorme pas accompli à l'aller en Estonie (4-0). Robbie Keane a fait passer les premiers frissons (5e, 6e) avant qu'une reprise taclée victorieuse de Stephan Ward sur un corner de Damien Duff mal repoussé n'enflamme les travées de l'Aviva Stadium (31e). L'Estonie quitte la scène sur une égalisation superbe de Konstantin Vassiljev, une frappe lointaine dont le rebond aux six mètres a déboussolé Shay Given (57e). La Turquie n'aura pas eu cette consolation, ni son coach Guus Hiddink, donné partant par la presse turque avant la fin de son contrat. Punie chez elle à l'aller par la Croatie (3-0), elle a elle aussi rapporté un nul mais sans transpercer la muraille à damiers (0-0). - J.LB.

Brnovic «triste». Branko Brnovic, le sélectionneur du Monténégro était déçu après l'échec (0-1) de la sélection face aux Tchèques : «Je suis triste, nous n'avons pas eu de chance, le Monténégro a bien joué, surtout pendant la seconde période, nous nous sommes créé des occasions et nous avons encaissé un but gratuit. Mais c'est le football, cela serait sans doute doute moins dur à accepter si nous n'avions pas si bien joué. Je félicite les Tchèques.» (Avec AFP)

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Foot - Euro - Barrages
Le Portugal était trop fort


Le Portugal s'est qualifié pour l'Euro en balayant la Bosnie (6-2, 0-0 à l'aller), ce mardi soir à Lisbonne. Doublé de Ronaldo et Postiga.

Le sélectionneur portugais était convaincu que son équipe allait se qualifier pour l'Euro. Paulo Bento n'imaginait pas sa Selecçao se fourvoyer contre la Bosnie, quatre jours après le bon nul (0-0) ramené de Zenica. Le successeur de Carlos Queiroz est peut-être un visionnaire. En tout cas, il a eu tout bon. Ses joueurs ont parfaitement maîtrisé ce match retour (6-2), ce mardi soir à Lisbonne, et peut-être même mieux qu'il ne l'imaginait. Dans le magnifique écrin qu'est le Stade de la Luz, la vista de Cristiano Ronaldo et Nani ainsi que l'efficacité retrouvée de Helder Postiga ont permis au Portugal de valider sans sourciller son ticket pour la Pologne et l'Ukraine. Et pour la deuxième fois en deux ans, les Bosniens sont tombés sur le même os, après leur échec en 2009 sur la route de la Coupe du monde en Afrique du Sud (0-1, 0-1).

Le peuple portugais peut une nouvelle fois remercier Cristiano Ronaldo, son joyau. Malheureux, maladroits et énervés à Zenica vendredi, les Lusitaniens ont été mis sur la bonne voie grâce à un doublé vite emballé de leur attaquant. Ronaldo a d'abord mis le feu aux poudres après seulement sept minutes en convertissant un coup franc à vingt mètres (7e, 1-0). Un petit bijou. Puis, en tout début de seconde période, CR7 a ruiné les espoirs bosniens en inscrivant le troisième but portugais d'un raid meurtrier sur le côté gauche (53e, 3-1). Et entre temps, Nani, l'autre prodige de la Selecçao, avait enfoncé le clou d'un tir imparable dans la lucarne (24e, 2-0).

Doublé de Postiga
Mais, bien que souvent étouffée, l'équipe de Safet Susic n'a jamais vraiment abdiqué. Menée de deux buts, elle a réduit le score avant la pause sur un penalty transformé par Misimovic (40e, 2-1). Puis elle est revenue une deuxième fois dans la partie par l'ancien Montpelliérain Spahic à la 65e minute (3-2). Pjanic et ses camarades n'étaient alors qu'à un but de la qualification. Mais Helder Postiga a éteint tous leurs espoirs. L'ancien Stéphanois, qui s'était vu refuser un penalty en première période, s'est vengé en signant le quatrième but portugais, son 18e but en sélection d'une frappe imparable du gauche (71e, 4-2), puis le sixième (82e, 6-2). Un coup de bambou pour la Bosnie, qui avait encaissé entre temps un cinquième but sur un coup franc parfait de Veloso (79e, 5-2). Autant le match aller avait été indécis, autant le retour n'a laissé planer aucun doute. Le Portugal a largement mérité sa place à l'Euro. - D. Mi.

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Les favoris survivent aux barrages


Le Portugal a décroché le dernier billet pour l'Euro 2012 en étrillant la Bosnie 6-2 en barrages retour. Les Portugais se qualifient ainsi pour la phase finale tout comme la Croatie, l'Irlande et la Tchéquie.

Le Portugal et la Bosnie avaient fait match nul 0-0 au match aller mais Cristiano Ronaldo a ouvert le score dès la 8e minute à Lisbonne. Nani doublait la mise à la 24e. Misimovic réduisait l'écart sur penalty à la 41e. Le Portugal se mettait à l'abri en seconde période grâce à Ronaldo (53), Postiga (72, 82) et Veloso (80).

Plus tôt dans la soirée, la Croatie, l'Irlande et la République tchèque s'étaient aussi qualifiées pour l'Euro-2012 via les barrages en éliminant respectivement la Turquie, l'Estonie et le Monténégro.

La Croatie a fait match nul à Zagreb contre la Turquie (0-0; victoire croate 3-0 à l'aller). L'Irlande, qui avait gagné le match aller 0-4 en Estonie, a partagé l'enjeu 1-1 mardi à Dublin, tandis que la République tchèque a gagné contre le cours du jeu 1 à 0 à Podgorica (victoire tchèque 2-0 à l'aller).

Le dernier barrage oppose à Lisbonne le Portugal à la Bosnie. Les deux équipes s'étaient quittées sur un score de 0-0 à l'aller.

Avant les barrages, les équipes déjà qualifiées pour l'Euro (8 juin-1er juillet) étaient l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, l'Angleterre, la Grèce, la Russie, le Danemark, la Suède, la France, ainsi que l'Ukraine et la Pologne, pays co-organisateurs.

Le tirage au sort de la phase finale de l'Euro-2012 aura lieu le 2 décembre à Kiev en Ukraine.

Pour ce tirage, les 16 équipes qualifiées seront réparties dans quatre pots, avec quatre têtes de série, déjà connues: l'Ukraine et la Pologne en tant qu'organisateurs, l'Espagne et les Pays-Bas. L'Euro-2012 se déroulera entre le 8 juin, match d'ouverture à Varsovie en Pologne et le 1er juillet, avec une finale à Kiev en Ukraine. Ce tournoi européen sera le dernier du genre à 16 équipes avant un passage à 24 équipes nationales pour l'Euro-2016 qui aura lieu en France.

Sont donc Qualifiés : Le Portugal, l'Eire, la Tchéquie et la Croatie !

Je suis tout particulièrement RAVI pour l'Irlande qui avait été plus qu'injustement privée de Mondial en 2010 ...................

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Foot - Euro
La France peut craindre le pire


Après les qualifications de la Croatie et du Portugal (0-0, 6-2 face à la Bosnie) mardi en barrages, la France sera dans le 4e et dernier chapeau lors du tirage au sort de l'Euro 2012, prévu le 2 décembre à Kiev. Les Bleus sont 12es des coefficients UEFA, selon le classement publié le 12 octobre et qui sera actualisé mercredi après les barrages retour de ce mardi. Or avec l'Ukraine et la Pologne classées en tant qu'organisateurs dans le premier chapeau des têtes de série, la France recule de fait au 14e rang.

La France risque, par exemple, dans le pire des cas, de tomber dans un groupe de la mort, avec l'Espagne, l'Allemagne et le Portugal. Un tirage clément pour les hommes de Laurent Blanc pourrait être Pologne, Russie, Grèce, par exemple. Pour la répartition par chapeaux, les coefficients UEFA sont basés à 20% sur le parcours à l'Euro 2008 (qualifications + phase finale), à 40% sur le parcours au Mondial 2010 (qualifications + phase finale) et à 40% sur le parcours des qualifications à l'Euro 2012.


Les chapeaux

CHAPEAU 1
Pologne (tête de série car pays organisateur), Ukraine (tête de série car pays organisateur), Espagne, Pays-Bas

CHAPEAU 2
Allemagne, Italie, Angleterre, Russie

CHAPEAU 3
Croatie, Grèce, Suède, Portugal

CHAPEAU 4
Danemark, France, Irlande, Rép. Tchèque

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Foot - Euro - POR
«Obligation de gagner»


«C'était un peu une obligation de gagner ici, l'objectif est atteint», explique Cristiano Ronaldo, après la qualification du Portugal aux dépens de la Bosnie (6-2).

Paulo Bento (sélectionneur du Portugal) : «Le mérite revient à toute l'équipe, mais fondamentalement aux joueurs. Ils ont fait preuve d'une détermination extraordinaire à tous les moments. Nous avons eu l'occasion d'assurer la qualification au Danemark, nous n'y sommes pas parvenus mais nous avons gardé la même conviction et la même confiance. Nous y sommes arrivés aujourd'hui, à mon avis de façon brillante. Le plus important pour moi, c'est que le Portugal se retrouve à nouveau dans une grande compétition. Pour un pays de notre dimension et qui traverse un moment difficile, le football apporte encore un peu de bonheur.»

Cristiano Ronaldo (attaquant et capitaine du Portugal) : «Les gens sont habitués à ce que je marque sur coup franc, c'est une de mes spécialités. L'équipe mérite d'être félicitée, car nous avons réussi à marquer six buts à un adversaire extrêmement difficile. Maintenant il faut profiter du moment, nous sommes heureux. Avec tout le respect, c'était un peu notre obligation de gagner ici face à la Bosnie. L'objectif est atteint et nous aurons le temps avant l'Euro de nous entraîner et remettre un peu les idées en place. C'est surtout l'ambition, la détermination et la confiance qui auront permis au Portugal de jouer l'Euro.»

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Foot - Euro
Carvalho et Bosingwa «spectateurs»


Ecartés de l'équipe nationale portugaise par le sélectionneur Paulo Bento, Ricardo Carvalho et José Bosingwa ne devraient a priori pas réintégrer la Selecçao pour l'Euro, en juin prochain. C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre le technicien, mardi après la qualification de ses joueurs aux dépens de la Bosnie (6-2). "Seront-ils rappelés ?", lui a-t-il été demandé. Réponse de l'intéressé : «Seulement comme spectateurs».

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Foot - Euro - Barrages
Presse : «Dans la zone Euro»


Au Portugal, comme en Irlande, en Croatie ou en République tchèque, les journaux saluent les qualifications de leurs sélections respectives pour l'Euro.

Ce sont toujours les mêmes titres, toujours les mêmes images... Quels meilleurs moyens existent-ils pour traduire un sentiment de joie après une victoire ? Si ce n'est le dire et le montrer. Si une certaine partie de la presse spécialisée se risque parfois à des jeux de mots, la plupart ne s'embarrasse pas de fioritures, mercredi au lendemain des qualifications des quatre dernières équipes pour l'Euro, après les barrages. «Un hymne à la joie», titre par exemple en Une le quotidien portugais Record, au lendemain du large succès de la Selecçao sur la Bosnie (6-2), synonyme d'accession à la phase finale. L'un des deux journaux sportifs nationaux se félicite aussi de la manière avec laquelles les joueurs de Paulo Bento ont obtenu leur billet pour la Pologne et l'Ukaine, les deux pays co-organisteurs de la compétition en juin prochain. Il fait notamment mention de «passeports timbrés avec brio».

L'Equipe snobe les Bleus pour Ronaldo
Un peu plus inspiré, A Bola met en avant «les héros dans la lumière», référence faite au Stade de la Luz, enceinte du Benfica Lisbonne qui a souri à la sélection nationale. «Nous sommes dans la zone Euro», ajoute-t-il, avec un trait d'humour compte-tenu du contexte économique actuel. D'autres journaux préfèrent eux souligner la nouvelle belle performance individuelle de Cristiano Ronaldo, auteur d'un doublé. «Merci Ronaldo !», titre notamment L'Equipe, qui snobe au passage le piètre match nul des Bleus face à la Belgique (0-0). «Ronaldo sonne la charge», indique aussi le Correio da Manhà, tandis que Publico n'oublie pas les statistiques, saluant «la septième présence consécutive à une phase finale (Coupe du monde et Euro compris)».

Chez les autres pays qualifiés, l'Irlande ne fait pas la fière après son nul, suffisant, face à l'Estonie (1-1). Pour l'Irish Times, cette performance ne mérite pas plus que la moitié de la première page, avec le titre mi-rieur, mi-laconique : «Green Card, l'Irlande confirme sa place à l'Euro». Seule la joie des supporters sur la photo qui accompagne l'article tranche finalement avec l'austérité des papiers avoisinants. Tous traitent des inquiétudes sur le budget national en baisse ou sur les réformes envisagées par l'Europe pour remédier à la crise. Les mauvaises nouvelles, la Croatie n'en a que faire ce mercredi. Pour le quotidien national Vecernji List, c'est un jour de fête. «On a gagné le droit d'aller à l'euro», s'enthousiasme-t-il. «La fierté croate», se contente de commenter le plus populaire Jutarnji list. En République tchèque, il n'est question que de «joie» pour DNES. Toujours les mêmes titres n'est-ce pas ? Qu'importe la langue. - H.S.

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Quel sera le groupe de la mort?


Le tirage au sort des groupes en vue du tour final de l'Euro 2012 se déroulera le 2 décembre à Kiev. Un groupe avec l'Espagne, l'Allemagne, le Portugal et la France est du domaine du possible.

La Pologne et l'Ukraine sont versés dans le premier chapeau avec l'Espagne et les Pays-Bas, les deux meilleures nations au monde selon le ranking FIFA. L'Allemagne, 3e nation mondiale, figure dans le second chapeau avec l'Italie (6e), l'Angleterre (7e) et la Russie (13e).

Grèce et Portugal, pourtant mieux classés que les Russes, sont dans le 3e chapeau. Alors que l'on retrouve le Danemark et la France dans le 4e.

La Tchèquie (47e) est l'équipe la moins bien classée qui s'est qualifiée sur le terrain. L'Ukraine (58e) et la Pologne (64e) sont à la traîne mais qualifiés d'office en qualité d'organisateurs.

CHAPEAU 1
Pologne (tête de série car pays organisateur)
Ukraine (tête de série car pays organisateur)
Espagne
Pays-Bas

CHAPEAU 2
Allemagne
Italie
Angleterre
Russie

CHAPEAU 3
Croatie
Grèce
Portugal
Suède

CHAPEAU 4
Danemark
France
Eire
Rép. Tchèque

Ca sera chaud, captivant à suivre ...

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Foot - Euro - Barrages
Les Tchèques critiqués


Les joueurs de la sélection tchèque, qui se sont qualifiés cette semaine pour l'Euro 2012 après leur victoire (1-0) au Monténégro, ont la gueule de bois. Ils sont critiqués dans leur pays pour leur comportement inapproprié après leur succès. Selon le journal Sport, un groupe de joueurs a scandé, dans l'aéroport de Podgorica, un slogan vulgaire à l'adresse de l'ex-international Radek Drulak, critique impitoyable de l'équipe nationale. Puis plusieurs joueurs ont déchiré leurs costumes officiels dans l'avion pour Prague. «Il s'agissait d'une irréflexion juvénile», a reconnu le manageur de la sélection Vladimir Smicer. (Avec AFP)