Marion Bartoli

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Tennis
Bartoli : «Ça me servira de leçon»


Déçue, Marion Bartoli retient toutefois beaucoup de positif de sa semaine parisienne. «Je ne suis pas près de l'oublier» assure-t-elle.

«Marion Bartoli, que vous a-t-il manqué aujourd'hui (dimanche) ?
Il y a tellement eu de rebondissements qu'il est difficile de faire une analyse à chaud. Ce que je retiens, c'est surtout le début du troisième set, où j'aurais peut-être dû changer un peu plus de tactique et jouer un peu plus en angles courts croisés. Physiquement, ça commençait à être dur pour toutes les deux. J'aurais dû raccourcir un peu les angles pour la faire jouer davantage vers l'extérieur. A 4-0, il était délicat de revenir encore une fois. Globalement, j'ai du mal à ressortir vraiment frustrée d'un match comme ça même si, effectivement, la défaite est difficile à avaler. Ç'a été un tel combat... C'est difficile de regretter quand on donne tout ce qu'on a. Elle a fait un match absolument fantastique, j'ai également disputé un bon match et ç'a donné, je pense, une grande finale.

On a vous en larmes après le match... Qu'avez-vous ressenti à ce moment-là ?
J'étais bien sûr très déçue. Je me suis tellement investie, j'ai tellement laissé d'énergie... Il y avait aussi cette adrénaline, qui monte et qui descend. Je suis allée puiser au bout de moi-même pour essayer de remonter ce match quand je perdais un set et je ne sais plus combien (sourire) ! 5-2, je crois (exact, ndlr). Je suis parvenue à faire tourner le match et je perds. Alors, il y a tout qui lâche. Je ne pouvais pas produire plus. J'aurais vraiment aimé soulever ce trophée ici. Encore une fois, j'ai commis quelques erreurs tactiques en début de troisième set qui m'ont coûté., mais ça va me servir, ça va vraiment me servir. Celui-là, je ne suis pas près de l'oublier, c'est sûr (sourire).
«Arriver à pratiquer son sport dans de telles conditions, avec des spectateurs qui sont derrière vous, qui vous portent pendant près de trois heures de match, qui scandent votre nom, ce sont des émotions que l'on ne vit nulle part ailleurs »Vous n'avez pas tout perdu pourtant. Monica Seles, votre idole, est venue vous encourager...
Je ne sais pas si j'arrive à exprimer ce que je ressens, mais quand vous grandissez avec une personne que vous regardez sans arrêt à la télévision et dont vous vous inspirez, l'avoir juste à côté de vous, c'est incroyable. Quand j'ai commencé à regarder jouer Monica à la télévision, je devais avoir 8, 9 ans. Je la retrouve près de vingt ans plus tard et elle applaudit mes points ! J'ai ressenti beaucoup d'émotion aujourd'hui (dimanche). Sur le terrain mais aussi en dehors. C'était une semaine riche en émotions, que je ne suis pas près d'oublier. Le central de Coubertin, c'est sûr, je le connais de fond en comble (rire) ! J'en connais tous les recoins vu le nombre d'heures passées dessus. Et j'y reviendrai l'année prochaine, je ne vais pas rester là-dessus. Maintenant, ce sera difficile de récupérer, il faut enchaîner directement avec Doha la semaine prochaine (elle n'est d'ailleurs pas sûre d'y particpier, ndlr).

Un dernier mot sur ce public. Comme à Roland-Garros, il a répondu présent...
Ce que je retiens sur l'ensemble de la semaine, c'est le public. Il a été fabuleux. Je ne sais pas si je parviens à vous faire passer ce que je ressens mais arriver à pratiquer son sport dans de telles conditions, avec des spectateurs qui sont derrière vous, qui vous portent pendant près de trois heures de match, qui scandent votre nom, ce sont des émotions que l'on ne vit nulle part ailleurs. Je n'avais jamais ressenti avant Roland-Garros, jamais, jamais. C'est aussi dû à mon habitude, au fait que je ne lâche pas, que je me batte et que j'essaie d'aller jusqu'au bout de moi, quoi qu'il arrive. Avoir cette chance, c'est une très grande émotion.»

62 60 Bartoli poursuit sur la lancée face à Medina Garrigues.

Prochain Tour face à Pironkova !

J'ai lu qu'elle ne pourrait pas participer au J.O ,c'est un peu de sa faute c'est sûr mais la France y perd aussi car à part elle chez les filles il n'y a plus rien!

C'est sûr que Bartoli est de très loin notre Meilleure Joueuse mais perso je suis contre sa venue à partir du moment où elle refuse d'accepter les règles communes du Groupe France !
Comment veux-tu gérer un Groupe si chaque fille désire la présence de son entraineur personnel, de son kiné personnel etc etc ?
Ca serait INGERABLE pour Nicolas, ça partirait dans tous les sens et il n'y aurait aucune cohésion d'Equipe !!

Elle s'exclue elle-même du Groupe, comme Rezai du reste, avec ses attitudes. Ca n'est pas au Groupe de s'adapter à Bartoli mais à Bartoli de mûrir dans sa tête et d'apprendre ce que c'est l'INTERET GENERAL !¨Personne n'est indispensable et s'il faut quelques années "de purgatoire" avant de regagner l'Elite ou des JO, hé bien je pense que c'est le Choix que notre Fédé va faire et je le soutiens car je ne SUPPORTE PAS les caprices de starlettes comme ça, ça dépasse mon entendement !!!!! La Coupe Davis, les JO et la Fed Cup, c'est AVANT TOUT et ça doit LE RESTER, le PLAISIR de jouer ENSEMBLE. Dès lors que ça devient "chacun pour sa pomme", ça ne va plus. C'est le "principe fondateur" de ces Compét' qui s'en trouve atteint.

63 63 face à Pironkova, ça passe encore pour Bartoli.

Elle devrait avoir plus de difficultés face à Safarova en 1/4 quand même, du moins j'espère ............

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Tennis - WTA - Doha
Bartoli trace sa route


Marion Bartoli s'est qualifiée jeudi pour les quarts de finale de Doha. Avec un jeu dans la droite ligne de sa finale à Paris.

Après le déclic Roland-Garros 2011, un autre s'est-il produit à l'Open GDF Suez 2012 pour Marion Bartoli ? Peut-être. La n°1 française affiche ainsi à Doha le même visage qui l'a menée en finale à Coubertin : offensif. Installée dans le terrain, cherchant toujours à agresser, refusant de reculer et n'hésitant plus à monter au filet, la 7e joueuse mondiale fait le jeu. Jeudi, cette attitude agressive lui a permis de ne pas trop s'empêtrer dans la soupe de variations de la Bulgare Tsvetana Pironkova (6-3, 6-3). Sa cadence de fond de court lui a en plus permis de tenir la souvent inspirée Pironkova sur la défensive. Ainsi neutralisée, son adversaire a fini par couler sous les coups et son manque de puissance.

Bartoli va désormais croiser de nouveau la route d'une gauchère. Si Pironkova lui avait épargné de retrouver Angelique Kerber, c'est Lucie Safarova qui sera sa gauchère de la semaine. La Tchèque a fait des dommages à Doha en sortant Caroline Wozniacki et Svetlana Kuznetsova (7-6[6], 6-3). Sa puissance et son talent ne sont plus à prouver, contrairement à sa régularité. Bartoli devra trouver l'équilibre entre l'agression et la patience tant Safarova adore jouer en cadence et en trois ou quatre coups de raquette. Gênée par la patte gauche de Kerber à Paris, Bartoli aura cette fois des repères pour tenter de contrer celle de Safarova.

75 46 61, Ca passe ENCORE ET TOUJOURS pour Miss Marion ...

Elle jouera Stosur en 1/2 !

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Tennis - WTA - Doha
Bartoli en demi-finales


Marion Bartoli s'est qualifiée pour les demi-finales du tournoi de Doha vendredi soir, écartant la Tchèque Lucie Safarova (7-5, 4-6, 6-1).

Marion Bartoli est en forme en ce mois de février. Après avoir atteint la semaine dernière la finale de l'Open GDF Suez, la voilà dans le dernier carré du tournoi de Doha. Pour y parvenir, la Française a écarté Lucie Safarova (7-5, 4-6, 6-1), celle-là même qui avait eu raison de Caroline Wozniacki puis de Svetlana Kuznetsova.

Lors du premier set, Safarova s'est ''distinguée'' en commettant vingt-deux fautes. Bartoli, auteur de trois breakes, a finalement empoché la manche à sa troisième balle de set. Elle a en revanche fort mal débuté la suivante, perdant rapidement son service (1-2) et n'étant pas en mesure de revenir. Vexée, elle a dominé le dernier set, breakant Safarova à 2-0 puis 5-1.

Pour une place en finale samedi, Marion Bartoli devra écarter de sa route l'Australienne Samantha Stosur, tombeuse de la Roumaine Monica Niculescu (6-2, 2-6, 6-3). L'autre demi-finale opposera Victoria Azarenka au vainqueur de la rencontre entre la Polonaise Agnieszka Radwanska et l'Américaine Christina McHale.

C'est terminé pour Bartoli qui a été contrainte à l'Abandon face à Stosur, à 36 1er Set ...

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Tennis - WTA - Doha
Bartoli abandonne


Marion Bartoli a abandonné samedi en demi-finale contre Samantha Stosur. La Française, qui se plaignait du mollet droit, était menée un set à rien (6-3, 0-0).

Marion Bartoli a fini par craquer. Sur les courts quasiment tous les jours depuis deux semaines et le tournoi GDF-Suez dont elle a été finaliste, la Française a été contrainte d'abandonner ce samedi contre Samantha Stosur en demi-finale à Doha. Alors qu'elle était menée un set à rien (6-3), la numéro un française s'est plaint de son mollet droit dans le premier jeu de la deuxième manche, à 30-40, et a préféré renoncer au lendemain de son quart de finale marathon contre la Tchèque Lucie Safarova (7-5, 4-6, 6-1).

Diminuée dès les premiers jeux, la Française a passé le premier set derrière sa ligne de fond de court à renvoyer comme elle le pouvait les coups de boutoir de l'Australienne, ce qui ne plaisait guère à Walter, son père, qui avait sa tête des mauvais jours au bord du terrain. Elle a tenu cinq jeux à ce rythme. Alors qu'elle menait 3-2, service à suivre, Bartoli a commencé à défaillir et son manque de mobilité lui a couté les quatre jeux suivants. D'autant que l'Australienne, plus performante au service (70% de première balle contre 52 à la Française), n'hésitait pas à la trimbaler de droite à gauche.

La Française a quand même repoussé ses limites dans le dernier jeu de la première manche, en sauvant trois balles de break, mais un ultime revers slicé croisé de l'Australienne en début de deuxième manche l'a définitivement découragée après 49 minutes de jeu. En finale, Stosur jouera contre la numéro un mondiale biélorusse, Viktoria Azarenka, ou la Polonaise Agnieszka Radwanska, qui s'affrontent dans l'après-midi.

Bartoli affrontera Peng au 1er Tour de Dubai SI elle est remise de sa blessure du Jour bien sûr ...

Ma pauvre petite Marion, toujours trahie par son physique, c'est trop injuste qu'une telle battante puisse pas s'exprimer à sa pleine mesure