Davis Cup 2010

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«J’avais la pression»


De retour en équipe de France suite à la blessure de Julien Benneteau, Arnaud Clément n’a pas flanché. Contre l’Argentine, l’Aixois a apporté le point décisif du double aux côtés de Michaël Llodra.

Arnaud, pouvez-vous nous décrire vos émotions ?
Arnaud Clément : C’est bien sûr un sentiment magnifique. Je voudrais rappeler que je n’étais pas dans le groupe lors des deux premières rencontres (Ndlr : contre l’Allemagne et l’Espagne)… Si je suis là aujourd’hui, c’est parce que j’ai bien joué à l’US Open mais aussi parce que "Jo" (Tsonga) et "Bennet" (Julien Benneteau) étaient blessés. Je suis très heureux qu’ils aient été là pour nous soutenir et d’avoir pu apporter ce point décisif avec Michaël (Llodra).

Ils pourraient être rétablis pour la finale…
Arnaud Clément : J’espère sincèrement qu’ils seront rétablis pour la finale, histoire de donner des options supplémentaires à Guy (Forget). Ils ont vraiment un état d’esprit irréprochable. Ils nous ont encouragés comme des dingues. C’est un vrai plus. Je pense que c’est pour ça que l’équipe de France est si forte aujourd’hui et qu’elle est si dure à battre.

Le fait d’apporter le point décisif vous donne-t-il une satisfaction supplémentaire ?
Arnaud Clément : On apporte le point décisif (Ndlr : avec Michaël Llodra), alors oui, c’est forcément particulier. C’est vrai que c’était beaucoup de pression pour moi. Comme je l’ai dit, ma présence était conséquente à des blessures et voir les gars au bord du court pour m’encourager m’a donné l’envie de bien faire pour eux. Ce sont eux qui ont qualifié la France pour la demi-finale ! C’était donc une véritable responsabilité. Je ne voulais pas être celui qui flanche ! Je suis content. Mika m’a vraiment bien épaulé. Il a été extrêmement solide.

Comment expliquez-vous les progrès affichés par l’équipe de France au cours de cette saison ?
Arnaud Clément : Franchement, je ne sais pas trop puisque je n’étais pas là ! (Rires) Je ne peux donc pas dire s’il y a eu un déclic particulier. De mon point de vue, c’est un ensemble de petites choses qui se sont mises en place. C’est un travail de fond, à l’image de ce que Gaël (Monfils) a fait cette année.

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Tennis - Davis
Forget : «Beau et émouvant»


Remplaçant, blessés, titulaires et capitaine arrivent tous groupés en conférence de presse pour évoquer leur émotion après leur qualification pour la finale.

Ils sont tous alignés sur l'estrade et attendent Julien Benneteau qui répond à un journaliste. Ils se préoccupent de lui trouver une chaise car ils ne veulent oublier personne. Titulaires, remplaçant, blessés et capitaine livrent à tour de rôle leurs premières impressions après cette victoire (3-0) contre l'Argentine.

Jo-Wilfried Tsonga : « Juste heureux. C'est juste extraordinaire. Depuis tout petit, je rêve de jouer cette Coupe Davis. Aujourd'hui, je fais partie d'un groupe qui va disputer la finale. »

Michaël Llodra : « C'est magique de vivre de tels moments. J'ai vécu des moments super forts en 91 à la télé, je me disais dans un coin de ma tête que ce serait sympa de vivre de telles choses. Aujourd'hui, c'est le cas. J'ai du mal à réaliser. C'est quelque chose de magique qui nous arrive. C'est fabuleux. »

Guy Forget : « J'avais oublié à quel point c'était beau et émouvant. Ce qu'on vit là n'est rien par rapport à ce qu'on pourrait vivre si on gagne. J'espère que le meilleur est à venir. C'est déjà magique, mais on est en finale. La finale, on y va pour la gagner. »

Gilles Simon : « Pareil (rires).»

«Comme on l'avait dit au début de l'année, si on veut gagner une campagne de Coupe Davis, ce ne sera pas avec quatre joueurs, mais avec un groupe de six ou sept joueurs.» Julien Benneteau

Gaël Monfils : «Moi, je veux dire un truc (sourires). J'ai mis peut-être un peu plus de temps que les gars à me rendre compte de ce qu'était la Coupe Davis. Mais d'y être, c'est un rêve. On se battait pour toucher le rêve. Maintenant, on le touche. Comme Guy l'a dit, on va essayer d'attraper notre rêve des deux mains. C'est fabuleux. On va être fin prêt pour décembre. »

Richard Gasquet : «C'est vrai que c'est magnifique de voir les mecs gagner 3-0, 3-0, 3-0. On n'a même plus de suspense (sourires). On est vraiment tous très heureux. »

Arnaud Clément : « C'est bien sûr un sentiment magnifique. Je voudrais souligner un truc. Je n'étais pas dans le groupe lors des deux premières rencontres. Je le suis aujourd'hui parce que je suis un peu plus en forme, mais aussi parce que Jo et Bennet' sont blessés. Je suis très heureux que l'équipe de France soit en finale. Ils sont venus pour nous soutenir aujourd'hui. J'espère qu'ils seront en pleine forme et qu'ils donneront des options supplémentaires pour la finale à Guy. Quand on voit leur état d'esprit, ils viennent, ils nous encouragent comme des dingues, c'est un énorme plus pour l'équipe de France. C'est pour ça que l'équipe de France est forte et qu'elle sera dure à battre en finale. »

Julien Benneteau : «C'est un moment magnifique. C'est encore plus fort car on se qualifie pour la finale. Je ne peux même pas imaginer ce que cela peut être si on la gagne. Il y a une super ambiance. Avec Jo, on est venus avec grand plaisir soutenir les gars. Comme on l'avait dit au début de l'année, si on veut gagner une campagne de Coupe Davis, ce ne sera pas avec quatre joueurs, mais avec un groupe de six ou sept joueurs. Aujourd'hui, on est blessés, Arnaud est rentré sur le terrain et il a été exceptionnel. On ne sait pas qui sera sur le terrain en décembre, mais on va tout donner pour être prêt. Comme ça, Guy aura très mal à la tête. » - Recueilli par S.D., à Lyon

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Tennis - Davis
D'Ostrava à Lyon


D'où vient la réussite de l'équipe de France ? Où est née cette équipe de France ? Existe-il un moment clé ? La défaite contre la République tchèque l'an dernier a été un des éléments déclencheurs.

Jo-Wilfried Tsonga : (il réfléchit) «Cela demande un peu de réflexion car il y a eu de nombreux moments. (Julien Benneteau intervient en riant : on réfléchit lentement) Le moment déterminant, c'est notre défaite en République tchèque l'an dernier. Cela nous a permis de vraiment nous remettre en question. Ce n'était pas facile. Dans ce groupe, il y avait des jeunes et des moins jeunes, on ne se connaissait pas tous très bien. On avait besoin de se connaître. Cette expérience nous a permis de pouvoir discuter tous ensemble, de remettre les choses à plat, de communiquer tout simplement. Dans un groupe, c'est super important de pouvoir parler. Cela a été le déclic car cela nous a permis de discuter même si on n'était pas toujours d'accord. Finalement, on s'est mis d'accord sur certains points et au fur et à mesure des rencontres, on communique de plus en plus, on est de plus en plus soudés. C'est ça qui va nous amener au bout. »

Guy Forget : «Je pense que la défaite à Ostrava a servi de déclencheur car elle nous a permis de cerner où on en était. Il y a eu une prise de conscience de la difficulté de la chose. Puis quand Gaël bat Kohlschreiber à Toulon, je me suis dit : tiens Gaël a marqué un point. C'était un match-test pour lui. Jo a toujours eu de bonnes références et je savais ce que pouvait produire Mika. Petit à petit, les choses se sont mises en place et cela a fait boule de neige. Chaque victoire des uns et des autres a stimulé le groupe. Il y a plein de petites choses, notamment de les voir tous ici. Tout va dans le bon sens. C'est quelque chose qu'il faut entretenir, ce n'est jamais acquis. Il faut donner au groupe. On a tellement tendance à être un peu égocentrique, à reproduire ce qu'on fait d'habitude que ce n'est pas toujours simple de passer à un autre mode de fonctionnement. »

Gilles Simon : « On connaît mieux cette compétition. Je ne pense pas qu'on joue mieux au tennis que l'an dernier. Sur un plan personnel, on était mieux classé à Ostrava. Si on arrive à faire mieux ici, c'est parce qu'on a appris sur cette rencontre à Ostrava. Mika avait une grosse expérience de Coupe Davis, mais ce n'était pas facile pour lui de prendre ce rôle de tuteur ou de leader en République tchèque. Quand il prend plus de poids dans l'équipe en simple comme en double, cela fait du bien à tout le monde. On a aussi eu l'avantage de jouer à domicile cette année. Avec Jo, on avait connu que des rencontres à l'extérieur. A Ostrava, on avait eu beaucoup de mal à jouer notre meilleur tennis, mais cela s'est réglé petit à petit parce qu'on connaît de mieux en mieux la compétition, on a gagné en expérience et on sait à quoi s'attendre. »

Gaël Monfils : « Je pense que c'était une discussion avec Guy au Country club de Genève après ma défaite à Maastricht. Nous avions parlé de l'état d'esprit, de ce que j'avais mal fait et de ce qu'il pensait avoir mal fait. On a également eu une discussion en Australie avant le match contre l'Allemagne. Je n'en ai jamais vraiment parlé à Guy. Mais je sais que je suis un peu atypique, un peu tout feu, tout flammes - pas tant que ça tout de même - mais je pense que Guy commence à beaucoup mieux me connaître et me cerner, à voir le personnage en moi. Il sait comment me parler, me booster, me motiver. Auparavant, il a pu me vexer involontairement. Maintenant, il me connaît bien et il voit comment je réagis. Il a appris à plus me connaître, je lui ai aussi donné des choses plus académiques. Cela a fait un beau mélange. »

Richard Gasquet : « Je voudrais souligner que nous avons eu deux grands joueurs. Sur surface rapide, il y a très peu de monde qui peut battre Mika, Gaël a quand même battu Kohlschreiber, Ferrer et Nalbandian. C'est très fort. Le groupe est très solidaire, mais il faut aussi voir que les gars jouent du grand tennis. C'est aussi la qualité du jeu qui fait la différence. »

Arnaud Clément : « Je ne sais pas trop parce que je n'étais pas là (sourires). Je ne pense pas à un déclic, je pense que c'est un ensemble de petites choses qui se sont mises en place. C'est plus un travail de fond. »

Julien Benneteau : « Guy connaît mieux les joueurs et les joueurs se rendent compte que c'est un peu différent en Coupe Davis. C'est devenu un objectif majeur pour tout le monde. Je pense que ça change beaucoup de choses. » -Recueilli par S.D., à Lyon

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Tennis- Coupe Davis
Serbie - Rép. tchèque : 1-2


Le retour sur le court - après son forfait en simple vendredi - de Novak Djokovic, associé en double ce samedi à Nenad Zimonjic, n'a pas souri à la Serbie. La paire serbe s'est en effet incliné, à Belgrade, face au tandem tchèque composé de Tomas Berdych et Radek Stepanek (3-6, 6-1, 6-4, 6-1). Avant les deux derniers simples décisifs programmés ce dimanche, la République tchèque mène donc deux à un face à la Serbie.

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La Belgique perd le double à Cairns


La Belgique est menée 2 victoires à 1 face à l'Australie après le double, 3e match de la rencontre opposant la Belgique à l'Australie en barrages du Groupe mondial de la Coupe Davis.

Ruben Bemelmans et Olivier Rochus se sont inclinés 6-1, 6-2, 6-4 face à Paul Hanley et Lleyton Hewitt, samedi à Cairns, Australie.

Vendredi, Ruben Bemelmans (ATP 191), remplaçant Steve Darcis (ATP 117), blessé à l'épaule, s'était incliné dans la rencontre d'ouverture par 7-6 (7/4), 7-5, 2-6 et 6-4 devant l'ancien numéro un mondial Lleyton Hewitt (ATP 36). Olivier Rochus (ATP 79) avait ensuite permis à la la Belgique de revenir à égalité, une victoire partout, en s'imposant 6-4, 6-4 et 7-6 (7/5), face à Carsten Ball (ATP 150). Les deux derniers simples auront lieu dimanche.

Le vainqueur de cette rencontre accédera au Groupe mondial en 2011. La Belgique est contrainte de disputer ces barrages pour le maintien après sa défaite 4-1 devant la République tchèque lors du 1er tour du Groupe mondial.

Barrages Coupe Davis - Australie - Belgique 2 - 1

Vendredi
Lleyton Hewitt (Aus) - Ruben Bemelmans (Bel) 7-6, 7-5, 2-6, 6-4
Olivier Rochus (Bel) - Carsten Ball (Aus) 6-4, 6-4, 7-6 (5)

Samedi
Lleyton Hewitt/Paul Hanley (Aus) - Olivier Rochus/Ruben Bemelmans (Bel) 6-1, 6-2, 6-4

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Kazakhstan - Suisse : 3-0


Les Suisses vont-ils en vouloir à Roger Federer de ne pas avoir pris part à ce barrage ? En l'absence du n°3 mondial, la Suisse a pris l'eau face au Kazakhstan (3-0) et jouera dans le groupe 1 l'année prochaine. Vendredi Andrey Golubev a rapidement apporté le premier point aux siens en battant Marco Chiudinelli (6-4, 6-4, 6-4). La surprise est venue de Mikhail Kukushkin qui a dominé Stanislas Wawrinka, quart de finaliste à l'US Open (3-6, 6-1, 6-4, 1-6, 6-3). Samedi, en double, Korolev et Schuki ont pris le dessus sur Allegro et Lammer (6-4, 6-3, 6-3).

C'est LA Surprise du Week-End !!

Fed a du coup les oreilles qui sifflent
D'un côté je comprends Fed de faire l'impasse MAIS de l'autre, je veux quand même souligner que Nadal, Nole, Soderling, Verdasco ou encore Berdych vont souvent aussi loin que le suisse en Tournois (si ce n'est plus loin ...) MAIS EUX FONT PLUS SOUVENT L'EFFORT DE PARTICIPER A CETTE COMPET PAR EQUIPES. C'est comme si défendre ses Couleurs n'avait pour lui pas grande importance et je trouve ça triste, c'est tout ... Le reste, ça le regarde en conscience lol.
Bon, mon opinion s'explique sans doute en grande partie par l'importance MAJEURE que revêt cette Compét' en France, comme en Espagne du reste. En France, ceux qui ne peuvent pas jouer pour cause de blessure ou de méforme en pleurent ... La "Culture Nationale" est apparemment bien différente d'un pays à un autre ...

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"Les dés sont jetés. L'équipe de Suisse de Coupe Davis est reléguée en 2e division après deux journées désastreuses au Kazakhstan. Cette issue, aussi logique soit-elle, prête à réfléchir sur l'attitude ambiguë de Roger Federer face à cette compétition.

Quel beau gâchis! L'équipe de Suisse de Coupe Davis est reléguée en 2e division après une défaite 3-0 au Kazakhstan. Cette issue - aussi regrettable soit-elle - découle d'une certaine logique. Depuis 2005, les Helvètes n'ont en effet pas remporté un seul match dans le groupe mondial. Autant dire qu'ils n'y ont plus leur place. C'est dommage pour Stanislas Wawrinka, qui a toujours fait acte de présence au détriment parfois de sa carrière individuelle.
Par contre, l'attitude de Roger Federer vis-à-vis de cette compétition en agace plus d'un depuis un bon moment déjà, et ce à juste titre... Ce n'est pas tant l'absence du Bâlois qui irrite le plus. Qu'il veuille privilégier sa carrière ou qu'il ait besoin de plages de repos,on le respecte.

Là ou le bât blesse, c'est que Federer répète sans cesse que la Coupe Davis est importante pour lui. Ah bon? Il a en tout cas une drôle de façon de le montrer. Qu'il dise une fois pour toute que le Saladier d'argent ne l'intéresse pas et on n'en parlera plus. Rappelons que Federer a eu la peau des capitaines Jakob Hlasek en 2001 puis celle de Marc Rosset en 2005. Tout ça pour installer sur la chaise son pote, le très "charismatique" Severin Luethi.

Swiss Tennis a laissé faire Federer pendant toutes ces années sans aucune réaction. Dans un premier temps, on peut comprendre ce choix. Difficile en effet de s'opposer au meilleur joueur de tennis de tous les temps. Mais aujourd'hui, ses dirigeants doivent agir parce que la situation n'est plus tenable. Une conversation franche avec le Bâlois est nécessaire.

Le rêve que la Suisse remporte un jour la Coupe Davis est reporté aux calendes grecques ou en tout cas jusqu'à 2012. Mais cette année-là, il y a les JO de Londres. Federer aura donc encore une bonne raison pour faire l'impasse...

Roger Federer va sans doute regretter un jour d'avoir fait l'impasse sur la Coupe Davis. Obnubilé par sa chasse aux records, le no3 mondial en oublie parfois l'essentiel. Remporter une victoire en équipe lui apporterait plus de satisfaction qu'un titre de plus à Bâle, à Estoril ou encore à Halle.

Mais le Bâlois n'a qu'un seul objectif en tête: redevenir no1 mondial. Pourquoi? Parce qu'il n'a toujours pas digéré le fait de s'être arrêté à 285 semaines dans la position du no1. Soit à une semaine du record de Sampras... Mais sera-t-il vraiment plus heureux s'il arrive à détrôner l'Américain?

A suivre ce Dimanche (sous réserve évidemment de Changements par les Sélectionneurs) :

03:00 Hewitt L. (Aus) -
Rochus O. (Bel) -
05:00 Ball C. (Aus) -
Darcis S. (Bel) -
08:00 Dev Varman S. (Ind) -
Bellucci T. (Bra) -
08:00 Golubev A. (Kaz) -
Wawrinka S. (Sui) -
10:00 Bopanna R. (Ind) -
Mello R. (Bra) -
10:00 Kukushkin M. (Rus) -
Chiudinelli M. (Sui) -
10:30 Hanescu V. (Rou) -
Lapentti G. (Ecu) -
11:00 Kohlschreiber P. (Ger) -
Van Der Merwe (Rsa) -
12:30 Ungur A. (Rou) -
Endara I. (Ecu) -
13:00 Mayer F. (Ger) -
De Voest R. (Rsa) -
13:00 Monfils G. (Fra) -
Monaco J. (Arg) -
13:00 Soderling R. (Swe) -
Starace P. (Ita) -
13:30 Sela D. (Isr) -
Melzer J. (Aut) -
14:00 Troicki V. (Srb) -
Berdych T. (Cze) -
15:00 Llodra M. (Fra) -
Nalbandian D. (Arg) -
15:00 Vinciguerra A. (Swe) -
Fognini F. (Ita) -
15:30 Levy H. (Isr) -
Haider-M. A. (Aut) -
16:00 Tipsarevic J. (Srb) -
Stepanek R. (Cze) -
17:00 Giraldo S. (Col) -
Fish M. (Usa) -
19:00 Falla A. (Col) -
Querrey S. (Usa) -



On suivra évidemment avec plus d'attention les Parties à suspense : Israël/Autriche, USA/Colombie, Serbie/Tchéquie, Suède/Italie et Inde/Brésil.

Belle Internationalisation du Tennis au passage ...

Sacré Gaël Toujours le Show avec lui !!





Bravo Mr Gachassin, la Réussite du Tennis français cette Saison est aussi au moins un peu la Vôtre !!





BRAVO LES BLEUS, BRAVO GUY ET BRAVO AU FANTASTIQUE PUBLIC LYONNAIS !!!!!!!!

Bravo la France !!!

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Du cauchemar au rêve…


Gaël Monfils, Michaël Llodra et Jo-Wilfried Tsonga Gaël Monfils, Michaël Llodra et Jo-Wilfried Tsonga danse Saga Africa après la qualification de la France pour la finale (Panoramic)

Contrainte de disputer les barrages la saison dernière, l’équipe de France de Coupe Davis a retrouvé les sommets, huit ans après sa dernière finale perdue contre la Russie.

Mars 2009, la France se rend à Ostrava pour défier la République tchèque au premier tour de la Coupe Davis. Baptisés sans doute un peu trop rapidement «les nouveaux Mousquetaires», Jo-Wilfried Tsonga, Gilles Simon, Richard Gasquet et Michaël Llodra (Gaël Monfils n’était à l’époque que le cinquième homme) se prennent les pieds dans le tapis (défaite 3-2). Aussi douloureuse fut-elle à l’époque, cette défaite marque néanmoins le point de départ d’une belle aventure pour les jeunes pousses de Guy Forget, qualifiées un an et demi plus tard pour la finale. Un événement que la France attendait depuis 2002.

Ostrava, le point de départ
«Un des éléments déterminants finalement, c’est notre défaite en République tchèque la saison dernière. Ça nous a permis de nous remettre en questions. A l’époque, ce n’était pas facile. Il y avait des jeunes et des moins jeunes. On ne se connaissait pas tous très bien. Cette expérience nous a permis de pouvoir remettre les choses à plat, de communiquer tout simplement. C’était quelque part le déclic», assure Jo-Wilfried Tsonga, qui avait porté les Bleus à bout de bras en 2009. Une sérieuse remise en question s’en était en tout cas suivie. Interrogé sur la question en novembre dernier à l’occasion du Masters 1000 de Bercy, Guy Forget avait expliqué qu’il s’appuierait en 2010 sur les joueurs désireux de mettre la Coupe Davis au menu de leurs priorités. Pour son plus grand bonheur, tous ont répondu présent à son appel. «La Coupe Davis est devenu un objectif majeur pour tout le monde. Tout le monde a envie d’aller chercher le trophée. Ça change pas mal de choses», confirme Julien Benneteau.

A tel point qu’aujourd’hui, le capitaine s’arrache les quelques cheveux qu’il lui reste pour établir sa sélection, Tsonga, Monfils, Llodra, Simon, Benneteau, Gasquet et Clément lui offrant de nombreuses options. «Je ne sais pas s’il y a un seul moment déterminant. C’est vrai qu’il y a eu une prise de conscience à Ostrava, mais ce n’est pas le seul moment clé. La victoire de Gaël (Monfils) sur Kohlschreiber (Ndlr : lors du premier tour contre l’Allemagne) lui a permis de marquer des points et de reprendre confiance après sa défaite à Maastricht (Ndlr : lors de sa première sélection). C’était un match-test pour lui. Tout à coup, l’équipe a pris de la bouteille. Les choses se sont mises en place petit à petit. Et puis, les victoires des uns et des autres ont fait effet boule de neige», estime pour sa part Forget.

Une meilleure connaissance de l’épreuve
Toujours très fin dans ses analyses, Gilles Simon avance une autre explication, construite sur de solides arguments : «On connaît mieux la compétition. Je ne pense pas qu’on joue mieux au tennis que l’année dernière puisque nos classements individuels en simple étaient meilleurs. A Ostrava, on était classés 7 et 8 mondiaux avec Jo (Tsonga). Si on arrive à faire mieux aujourd’hui, c’est qu’on a appris. On a aussi eu l’avantage de jouer à domicile cette année (Ndlr : Toulon au premier tour, Clermont-Ferrand en quarts de finale et Lyon en demies). Pour résumer, on a plus d’expérience, on a joué en France nos trois rencontres et à chaque fois le scénario a été idéal.» La France a effectivement rallié la finale sans perdre le moindre match décisif. Les deux premiers simples et le double ont suffi pour écarter successivement l’Allemagne, l’Espagne et l’Argentine. Les Bleus feront-ils aussi bien que l’Afrique du Sud, en 1974, et l’Allemagne, en 1988, lauréates de la Coupe Davis après avoir remporté tous les points qui comptent ? Réponse en décembre.

L’année où jamais ?
La génération Tsonga espère effacer le souvenir douloureux de la finale 2002, perdue à Bercy contre la Russie après que Mikhaïl Youzhny a remonté deux sets et un break de retard face à Paul-Henri Mathieu. «On a fait un long chemin pour en arriver là. Peut-être que l’occasion ne se représentera pas avant 4/5 ans. On peut très bien aller jouer en Argentine avec Del Potro et Nalbandian la saison prochaine. On peut aussi perdre l’année d’après contre la Suisse de Federer et Wawrinka ou contre l’Espagne qu’on irait jouer à l’extérieur sur terre battue (…) On ne joue pas au tennis pour gagner un ATP 250, on joue au tennis pour gagner la Coupe Davis, pour atteindre les demi-finales des tournois du Grand Chelem. L’histoire est déjà belle mais il faut faire en sorte de la rendre encore plus belle», assène Forget, rejoint sur ce point par son président Jean Gachassin : «Une finale ça se gagne ! Et gagner la Coupe Davis, c’est quelque chose de formidable. On leur en parlera toute leur vie. Il ne faut donc pas la perdre.»

Une équipe se construit souvent dans la difficulté et encore plus souvent dans la durée. C'est le vécu commun qui soude !!

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Tennis
Hagelauer : «La star, c'est l'équipe»


L'état d'esprit, la force du groupe et la qualité du jeu... Patrice Hagelauer est un Directeur technique national heureux après la qualification des Bleus pour la finale
Pour le DTN, «la star, c'est l'équipe».

«Patrice Hagelauer, que retenez-vous de ce week-end ?
Je retiens en priorité la qualité des matches avec un tennis fantastique. Chaque seconde, il y avait de la qualité, de l'engagement, ils allaient sur toutes les balles et ils n'étaient jamais battus. Puis je retiens la formidable ambiance. L'équipe était au diapason, ça vibrait de tous les côtés. Il y avait tout ce groupe d'élus qui étaient pratiquement debout à chaque point gagnant. Cette dynamique est extraordinaire. Cette osmose entre les joueurs, le staff, le public et les élus crée les grandes équipes. Aujourd'hui, on a une grande équipe.

Que s'est-il passé dans les vestiaires après la victoire ?
Pendant presque une demi-heure, il y avait tous les joueurs qui dansaient et arrosaient de champagne tout le monde. Ils nous ont attrapés, ils nous ont noyés sous le champagne. Tout le monde a chanté la Marseillaise. A cet instant précis, Rama Yade est arrivée et tout le monde a eu un peu peur (sourires) des excès. Est-ce que ''Mika'' ne va pas la noyer sous le champagne ? Non, grand respect. C'était un grand moment d'émotion parce que tout le monde chantait la Marseillaise en face d'elle.

Cette équipe est-elle née de la défaite à Ostrava l'an dernier ?
Les défaites amènent souvent une prise de conscience, il faut créer une nouvelle dynamique. Dès le début de l'année à Toulon, on a senti que la mayonnaise allait prendre. On a vu que Gaël Monfils était déterminé, il a réalisé un très grand match contre Kohlschreiber et que cette équipe devenait une grande équipe. L'équipe s'est vraiment soudée à ce moment-là, les joueurs se sont dit : "on peut faire quelque chose". Petit à petit, les relations se sont bien améliorées entre tout le monde. Tout le monde se respecte énormément. C'est vrai pendant les rencontres et en dehors des rencontres. Il faut tirer un grand coup de chapeau à tout le staff, Guy Forget en tête et Lionel Roux qui fait un boulot remarquable. Lionel parle beaucoup avec tous les joueurs, il est déterminant dans les liens qui peuvent se tisser avec tous les joueurs. On en arrive à une équipe qui est heureuse et vibre à chaque seconde. Une équipe, ce n'est pas que quatre joueurs.

Qu'est-ce qu'une grande équipe ?
C'est une équipe qui accepte de considérer que la star, c'est l'équipe. Ce ne sont pas les joueurs eux-mêmes. On met son ego de côté et on joue pour l'équipe. C'est accepter le choix des capitaines et respecter chaque personne. Une équipe, c'est un groupe. On a un fonctionnement à la française. C'est un groupe qui vit en soi, il y a d'autres équipes qui fonctionnent avec des entraîneurs privés. Là, c'est la démonstration que ce fonctionnement marche. On le savait. C'est important que tout le monde se sente responsabilisé, on vient pour encourager tout un groupe. Le rôle du staff est déterminant, c'est un staff d'expérience. Une grande équipe, c'est aussi une transmission des valeurs d'une génération à l'autre. On a deux générations. ''Mika'' brille aujourd'hui, arrive en pleine maturité et amène toute son expérience aux autres. Il ne s'en rend peut-être pas compte, mais il a une influence sur les plus jeunes. On pense d'abord à l'équipe avant de penser à soi-même. C'est une aventure de relations amicales qui se crée tout au long de l'année et qui s'exprime au maximum le jour J. On n'a pas été sélectionné, mais on est sur le bord du court, on est les premiers supporters de l'équipe. Quand cela se produit, c'est vraiment très fort.» - Recueilli par Sophie DORGAN, à Lyon

Ca c'est bien vrai !! On a plusieurs Bons Joueurs mais notre Principal Atout est notre FORCE COLLECTIVE !! C'est toujours ce qui nous a permis de briller dans cette Compét' !!

Résultats du Jour en Davis Cup :


08:10 Fin
(ret) Dev Varman S. (Ind) 1 7 4
Bellucci T. (Bra) 0 6 0
08:10 Fin Golubev A. (Kaz) 2 6 6
Lammer M. (Sui) 0 3 2
10:05 Fin Kukushkin M. (Rus) 2 6 6
Chiudinelli M. (Sui) 0 2 4
10:10 Fin Bopanna R. (Ind) 3 6 7 6
Mello R. (Bra) 0 3 6 3
10:45 Fin Crivoi V. (Rou) 2 6 6
Lapentti G. (Ecu) 0 2 4
11:10 Fin Beck A. (Ger) 2 7 6
Van Der Merwe (Rsa) 0 5 2
12:40 Fin Ungur A. (Rou) 2 6 6
Gomez E. (Ecu) 0 3 4
13:10 Fin Mayer F. (Ger) 2 6 6 6
De Voest R. (Rsa) 1 3 7 2
13:10 Fin Simon G. (Fra) 2 7 6 6
Schwank E. (Arg) 1 6 7 3
13:10 Fin Soderling R. (Swe) 3 6 6 6
Bolelli S. (Ita) 0 3 3 3
13:40 Fin Sela D. (Isr) 0 4 0 3
Melzer J. (Aut) 3 6 6 6
14:10 Fin Djokovic N. (Srb) 3 4 6 6 6
Berdych T. (Cze) 1 6 3 2 4
15:20 Fin Vinciguerra A. (Swe) 0 1 3
Fognini F. (Ita) 2 6 6
16:10 Fin Clement A. (Fra) 2 7 6
Zeballos H. (Arg) 0 5 1
16:30 Fin Levy H. (Isr) 1 6 3 0 3
Fischer M. (Aut) 3 2 6 6 6
17:10 Fin Giraldo S. (Col) 2 6 3 5 6 6
Fish M. (Usa) 3 3 6 7 4 8
17:55 Fin Tipsarevic J. (Srb) 3 6 7 6
Stepanek R. (Cze) 0 0 6 4

On jouera finalement la Serbie puisque les serbes ont su renverser la Situation grâce à Nole et Tipsarevic !!
Bravo à eux car c'était loin d'être simple, menés qu'ils étaient à la suite de la Journée de Double ...
BRAVO en particulier à Nole qui était malade Vendredi, encore convalescent Samedi et qui ce Dimanche pétait la forme
La Finale se déroulera donc CHEZ EUX EN SERBIE, ça change pas mal de choses ...
Avec la présence de Nole, ça sera une Finale extrêmement difficile à gagner ... Mais ça sera d'autant plus excitant et passionnant à suivre !!
J'espère que Jo sera parfaitement rétabli d'Ici là, il est assez bien placé pour embêter le serbe au vu de leurs Confrontations Passées ...

L'Inde, les USA et la Suède se maintiennent dans le Groupe Mondial.

Israël descend malheureusement dans le Groupe 1, l'Autriche monte dans l'Elite.
Je suis TRES DECU, Dudi n'a été que l'ombre de lui-même ce Dimanche, s'inclinant sèchement face à Melzer, 46 06 36 ...
Vu que dans l'Ultime Simple Harel n'a pas pu faire de Miracle contre Fisher, malgré un 1er Set remporté 62, on s'incline au Final 2/3.
C'est dommage car évidemment c'était compliqué avant coup mais quand on mène 2/1 à la suite du Double, on a quand même un avantage et je pensais qu'il suffirait à nous maintenir dans le Groupe Mondial. On descend donc dans le Groupe 1. J'espère qu'on remontera très rapidement, dans les 2/3 ans, car on a le Niveau pour jouer dans l'Elite et pour embêter Certains des "Meilleurs".

Belges et australiens doivent attendre ce Lundi pour être fixés sur leur sort vu la pluie de Dimanche.
A noter que Lleyton renonce à son Simple du Jour, sur blessure à la main droite. Ca peut donner un p'ti espoir côté belge car franchement Carsten Ball et Peter Luczak, ça n'est pas du lourd lol ...

Citation :

Tennis
Forget : «Aller décrocher la lune»


Ce sera donc une finale entre la Serbie et la France. A Belgrade, Guy Forget s'attend à une rencontre compliquée face à Djokovic et Tipsarevic dans une salle survoltée.

«Guy Forget, que pensez-vous de votre prochain adversaire, la Serbie ?
Cette saison, on a eu la chance de jouer à chaque fois à domicile. Là, ça ne nous sourit pas et on va jouer dans une salle survoltée. La marche est haute car les joueurs, Djokovic et Tipsarevic, sont très talentueux et ils auront 20.000 personnes derrière eux. Ce sera pénible. Il faut qu'on se prépare bien physiquement, il faut qu'on soit dans de bonnes dispositions mentales. Si on pouvait aller décrocher la lune chez eux, ce serait incroyable.

Et Novak Djokovic est en grande forme.
Oui et lorsqu'il joue pour son pays, il se transcende à chaque fois. Tipsarevic sauve aussi son équipe face à la République tchèque, il a beaucoup de métier et il sera très dur à prendre devant son public.

En Serbie, il faudra être surtout très fort mentalement ?
Tous les joueurs français ont été forts depuis le début de la saison. Ils ont fait preuve de beaucoup de courage et de tempérament. Il va falloir surtout très bien jouer au tennis. Sur une finale de Coupe Davis, je ne peux pas les imaginer résignés ou défaitistes, ils seront gonflés à bloc. Ce sera leurs choix tactiques qui feront peut-être la différence. On va préparer cette rencontre avec le plus grand sérieux.

Allez-vous adopter un esprit commando comme contre l'Australie ?
Probablement parce que les joueurs auront deux semaines de break entre Bercy et cette finale. Il y aura une semaine pour recharger les accus puis il faudra préparer très sérieusement cette rencontre.

Qu'avez-vous dit à vos joueurs dans les vestiaires ?
Il y a un projet commun, un rêve commun. On a tous vraiment envie ramener ce Saladier en France. On aurait tous préféré jouer à domicile parce que les choses auraient été plus simples. Malheureusement, ce sera à l'extérieur. Il faudra aller décrocher la lune, mais on ne se met pas de barrières. On a bien battu les Australiens chez eux il y a quelques années. Alors pourquoi pas rééditer cet exploit ?

Comment allez-vous travailler ?
Il faudra que tout le monde joue en double. A Clermont-Ferrand et à Lyon, deux équipes différentes ont joué et ont très bien performé. Il faut qu'on continue tous à travailler dans cette discipline. Pas seulement Mika (Llodra), Bennet' (Benneteau) et Arnaud (Clément). Il faut que Richard (Gasquet) et Jo (Tsonga) le jouent aussi parce qu'on peut avoir des surprises. Je peux avoir une sélection problématique par rapport aux simples. Il faut que j'ai plein d'options. Pour leur programme, ils vont jouer la plupart des grands tournois avec les meilleurs joueurs du monde. J'espère vraiment qu'ils vont gagner plein de matches d'ici là. Aborder cette finale avec des victoires marquantes dans les pattes permet d'être plus serein et plus confiant. » - Recueilli par S. D., à Lyon

J'espère bien qu'ils iront la décrocher la Lune, avec quelques étoiles avec bien sûr

Citation :

Tennis - Davis - Barrages
Israël relégué


Martin Fischer a offert la victoire à l'Autriche à l'issue du cinquième match face à l'Israélien Harel Levy (2-6, 6-3, 6-0, 6-3). Un peu plus tôt dimanche, Jurgen Melzer avait ramené l'Autriche à 2-2 en dominant Dudi Sela (6-4, 6-0, 6-3). L'Israël se voit donc relégué un an après avoir atteint les demi-finales. L'Autriche, elle, est promue en élite après sa descente en 2009.