Tennis et Politique de lutte contre le dopage

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Le N.15 mondial croate Marin Cilic a été contrôlé positif lors d'un test anti-dopage au tournoi ATP de Munich en avril, rapportent samedi des médias croates, précisant que la Fédération internationale de tennis (ITF) enquête sur l'affaire.

Cilic aurait été contrôlé positif deux semaines après un autre test réalisé au Master de Monte Carlo, rapporte le quotidien Slobodna Dalmacija, citant des "sources fiables" et affirmant que le joueur de 24 ans doit être entendu la semaine prochaine par l'ITF.

"Pas de commentaires jusqu'à ce que nous puissions commenter", a réagi l'entraîneur de Cilic, Vincent Stavaux, cité par un autre quotidien croate, Jutarnji List. Selon ce journal, le test du Croate a révélé "une utilisation imprudente de glucose".

Cilic aurait appris son contrôle positif pendant le tournoi de Wimbledon, raison pour laquelle il avait déclaré forfait face au Français Kenny de Schepper.

Ces informations interviennent deux jours après la décision de l'ITF de suspendre le Serbe Victor Troicki 18 mois pour violation de la réglementation anti-dopage. Troicki, N.53 mondial, avait refusé de fournir un échantillon sanguin lors d'un contrôle à Monte Carlo, arguant qu'"il ne se sentait pas bien", avait expliqué l'ITF.

Vincent Stavaux ..un belge qui passe d'un truc à l'autre surtout en basket en en tennis, mais entraineur cela m'étonne, mais bon c'est un gars pour qui il que semble s'inscrire -mais surtout achevé- dans un projet à moyen terme soit très difficile, le gars qui a servi d'intermédiaire entre Carlos Rodriguez, Justine Henin et le sulfureux Pat Etcheberry

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Tennis - Dopage
Affaires Troicki et Cilic: le tennis face au spectre du dopage

le 28/07/2013 à 00:46, mis à jour le 28/07/2013 à 01:22


Avec deux cas différents révélés à quelques jours d'intervalle, le tennis est rattrapé par les affaires de dopage. Et se voit un peu plus montré du doigt.

La suspension du Serbe Victor Troicki délivrée par la Fédération internationale (ITF) et le contrôle positif, annoncé par la presse, du Croate Marin Cilic placent le tennis face au spectre du dopage. Jusque-là relativement épargné, le tennis commence à être pointé du doigt dans le milieu du sport avec deux cas différents, sortis en quasi-simultané mais font couler beaucoup d'encre.

Victor Troicki, ancien 12e joueur mondial - il est aujourd'hui N.53 - et vainqueur de la Coupe Davis en 2010, a été suspendu 18 mois jeudi par la FIT pour avoir refusé de se soumettre à un test sanguin lors du tournoi de Monte Carlo, en avril 2013. Le joueur, qui a annoncé son intention de faire appel, a indiqué qu'il ne se sentait pas bien au moment du prélèvement. De son côté, le N.15 mondial croate Marin Cilic a été contrôlé positif à une "utilisation imprudente du glucose" lors du tournoi de Hambourg, le même mois, selon des médias croates qui citent des "sources fiables".

Pointé par la Commission sénatoriale française
Outre l'ancien deuxième joueur mondial et vainqueur de l'Open d'Australie 1998, le Tchèque Petr Korda, contrôlé positif à la nandrolone en 1998, il faut remonter à 2005 pour voir un joueur de premier plan convaincu de dopage. Mariano Puerta, finaliste de Roland-Garros cette année-là et déjà contrôlé positif au clenbutérol deux ans auparavant, écope de huit ans de suspension pour l'utilisation d'un anabolisant. La sanction fut réduite à deux ans en appel devant le Tribunal arbitral du sport. La même année, son compatriote argentin Guillermo Canas fut suspendu deux ans pour usage de diurétique. En fait, les suspensions récentes ont surtout frappé des joueurs positifs à la cocaïne comme Richard Gasquet en 2009, Martina Hingis (2007) ou, plus loin, Mats Wilander (1995).

Les affaires Troicki et Cilic interviennent alors que Francesco Ricci Bitti, président de l'ITF, a déclaré que "le tennis est un sport où le dopage n'a pas un impact direct sur la performance" le 15 mai devant la commission sénatoriale française sur l'efficacité de la lutte contre le dopage. Dans son rapport rendu public mercredi, la commission sénatoriale déplore que l'ITF n'autorise pas l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) à procéder à des tests sur son initiative propre, lors des compétitions se déroulant en France, comme Roland-Garros ou le tournoi de Paris Bercy.

La commission sénatoriale a proposé de "systématiser les conventions entre l'AFLD et les fédérations internationales en vue de partager les programmes de contrôles sur les manifestations internationales", en s'appuyant sur une déclaration de Travis Tygart. Le président de l'Usada, lors de son audition du 25 avril 2013, avait en effet assuré qu'il était "très difficile d'assurer la promotion de son sport et, en même temps, de faire la police".

Sur 2185 contrôles dans et hors compétitions mondiales, seulement 187 contrôles sanguins
Francesco Ricci Bitti s'était retrouvé sous le feu nourri des sénateurs lors de son audition. Les parlementaires voulaient comprendre pourquoi la fédération internationale semble moins engagée dans la lutte contre le dopage. "En 2012, nous avons effectué un peu plus de 2000 prélèvements, dont 15% hors compétition, et 10% sous forme sanguine", avait répondu Stuart Miller, responsable de la lutte antidopage à l'ITF, qui accompagnait M. Ricci Bitti. Le président de l'ITF avait souligné que sa fédération était la seule, avec le football et le cricket, à consacrer environ "deux millions de dollars" au programme de lutte.

En 2012, l'ITF a indiqué s'être livrée, en compétition, à 1727 tests urinaires et 124 tests sanguins, et hors compétition, à 271 tests urinaires et 63 tests sanguins, soit un total de 2185 contrôles. Ce nombre de tests semble s'avérer insuffisant selon certains joueurs de premier plan, dont le Suisse Roger Federer, ex-numéro un mondial, qui avait appelé en novembre 2012 à davantage de contrôles et affirmé alors "être moins testé qu'il y a six ou sept ans". En Australie cette saison, Novak Djokovic avait déclaré ne pas avoir subi de test sanguin depuis six mois. "Il y en avait plus régulièrement il y a deux, trois ans. Je ne sais pas pourquoi ils ont arrêté. (…) Il faut poser la question à l’ITF. Je n'ai rien contre les analyses de sang. Même si je préfère l'urine. Je n'aime pas trop les aiguilles. Mais encore une fois, les joueurs de tennis sont parmi les athlètes les plus propres."

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Brett confirme pour Cilic


La confirmation ne vient pas de Marin Cilic lui-même, mais de son ancien entraîneur, Bob Brett. «Marin m'a dit qu'il avait été contrôlé positif à cause d'un taux trop élevé de glucose», a déclaré l'Australien au Guardian. La presse croate a expliqué que ce contrôle aurait eu lieu lors du tournoi de Munich en avril, qu'il serait consécutif à l'absorption d'un produit pharmaceutique, qu'il aurait été suivi par une suspension de trois mois et que cela aurait été à l'origine du forfait de Cilic avant le deuxième tour de Wimbledon. «Il a coopéré avec la Fédération internationale (ITF, qui se refuse à tout commentaire) au sujet du produit et de sa pharmacie. Un membre de son équipe était allé le lui acheter. Des gens vont dire qu'il a fait une erreur mais c'est de la négligence», a ajouté Brett, tout en appelant «l'ATP et la WTA (à) aider à éduquer les joueurs et leurs accompagnateurs.»

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Dopage > Fish et Tomic évoquent le dopage

Par Simon Alves, jeudi 01 août 2013 à 20:00


Après John Isner, Mardy Fish et Bernard Tomic se sont aussi exprimés à propos des affaires de dopage qui ont secoué le tennis ces derniers jours avec Cilic et Troicki. Des propos tirés de Supersport.com.

Fish : "Notre système anti-dopage est extrêmement dur. Nous allons avoir des évolutions. Nous avons beaucoup d'informations. Il y a des choses qui arrivent constamment via les mails à propos de la régularisation des joueurs, des substances. Il y a beaucoup de choses que l'on ne peut pas comprendre et qui peut vouloir dire que quelque chose est masqué. Mon entraîneur et moi prenons la chose très au sérieux."

Tomic : "La façon dont a se déroule est très étrange. Moi-même en tant que joueur, je trouve ça très malsain et étrange de voir que ces choses peuvent arriver. C'est bizarre, mais c'est leur problème."

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Troicki, pas avant 4 mois


Suspendu 18 mois pour avoir refusé de donner échantillon sanguin lors du tournoi de Monte-Carlo, Viktor Troicki a décidé de faire appel de cette décision auprès du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), a révélé ce dernier mardi. «La procédure du TAS est en cours et une décision sera prise dans environ quatre mois», est-il expliqué dans un communiqué. Le Serbe a expliqué fin juillet qu'il n'avait pas refusé le contrôle mais qu'il avait trouvé un accord avec le médecin pour ne pas faire la prise de sang car il ne se sentait pas bien. Depuis l'annonce de sa suspension, Troicki n'a plus rejoué et n'a pas demandé à le faire.

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Dopage > Une joueuse contrôlée positive ?

Par Pauline Dahlem, jeudi 12 septembre 2013 à 13:24


Il ne s'agit pour l'instant que de rumeurs, mais selon les informations de certains médias espagnols, comme vozpopli.com, la joueuse espagnole a été testée positive à la méthamphétamine lors d'un contrôle antidopage effectué à Stanford fin juillet 2013. Mais on le répète, ce ne sont pour l'heure que des rumeurs.

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Tennis ATP Cilic suspendu neuf mois


Marin Cilic a été suspendu neuf mois de toute compétition par le tribunal de la Fédération internationale de tennis (ITF). Le Croate de 24 ans avait été contrôlé positif à la nicéthamide lors du tournoi de Munich et avait expliqué qu'il avait pris des tablettes de glucose sans savoir qu'elles contenaient une substance interdite. Une version qui a été retenue par le tribunal qui a statué que le joueur n'avait pas cherché volontairement à améliorer sa performance, raison pour laquelle sa peine a été réduite. La suspension de Cilic a pris effet le 1er mai 2013 et court jusqu'au 31 janvier 2014. Cependant, Cilic avait continué à participer à des tournois après le 1er mai, notamment Wimbledon. En conséquént, tous ses points et ses primes de jeu lui seront retirés.

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Tennis ATP Cilic va faire appel


Suspendu neuf mois lundi parce qu'il a été contrôlé positif à la nicéthamide lors du tournoi de Munich en avril, Marin Cilic a annoncé qu'il allait faire appel. «Je ferai appel de cette décision très prochainement auprès du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), a expliqué le Croate dans un communiqué publié par sa Fédération. Je tiens à souligner que je n'ai jamais, sciemment ou délibérément, pris une substance interdite dans ma vie et que je m'oppose à tout produit pouvant améliorer la performance dans le sport.» Pour le moment, le joueur de 24 ans ne peut pas rejouer avant le 31 janvier. «A mon insu, les comprimés de glucose contenaient une substance interdite en compétition même si elle est autorisée hors compétition», a ajouté le 24e joueur mondial.

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Cilic a bien menti


Marin Cilic a reconnu avoir menti sur sa blessure durant Wimbledon. Le Croate avait déclaré forfait pour le deuxième tour en raison d'une blessure au genou. Il s'agissait cependant d'un moyen de cacher son test positif. Cilic a entretemps été suspendu neuf mois mais est allé en appel devant le TAS.

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Tennis Dopage Munoz sème le doute


L'ancien président de la fédération espagnole a semé le trouble en évoquant des cas de dopage dissimulés. L'affaire Marin Cilic continue d'agiter le monde du tennis.

L'ancien président de la fédération espagnole, Pedro Munoz, a jeté un pavé dans la mare en déclarant à Madrid la semaine dernière que des cas de dopage avaient déjà été dissimulés. Munoz, selon Bloomberg, a affirmé que «beaucoup» de cas avaient été cachés. Il a donné l'exemple d'un joueur espagnol qui, à la fin des années 1990, avait été contrôlé positif à un produit aidant la guérison d'une de ses épaules. Munoz, qui avait des relations houleuses avec certains joueurs de son pays, affirme avoir fait le voyage avec lui jusqu'à Paris pour une audience où il aurait écopé de 6700$ d'amende sans que rien ne soit divulgué. Dans un communiqué, l'ATP a réaffirmé avoir toujours suivi les règles et demandé à un panel indépendant ou à un tribunal indépendant de statuer sur les contrôles positifs.

L'opacité de l'affaire Cilic comme déclencheur ?
Les nouveaux soupçons de manque de transparence ont été ravivés par le cas Marin Cilic. Le Croate, contrôlé positif à Munich en mai, a selon l'ITF choisi de parler d'une blessure à un genou afin de justifier son forfait pendant Wimbledon pour s'éviter une mauvaise publicité. L'ITF, dont le règlement l'empêche de communiquer sur les cas de dopage avant qu'une décision du tribunal ne soit rendue, n'a pu que récemment annoncer les 9 mois de suspension infligés à l'actuel 35e joueur mondial. Ce dernier avait accepté une suspension provisoire, sa sanction est donc rétroactive (avec retrait des points et des gains remportés) et il pourra revenir le 1er février sur le circuit. La version du joueur a été retenue pour déterminer la sanction, à savoir que les tablettes de glucoses ramenées par sa mère de la pharmacie à Monte-Carlo n'étaient celles habituelles et contenaient un produit interdit. Le problème est que la marge de discrétion laissée aux fédérations et donc aux joueurs pour communiquer ou pas a eu ici pour conséquence de laisser un joueur mentir sur un forfait en Grand Chelem. La fédération internationale pourrait-elle être bientôt poussée à revoir sa procédure ?

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Dopage > Koellerer : "Impossible que Nadal et Ferrer ne soient pas dopés"

Par Simon Alves, jeudi 26 septembre 2013 à 17:30


Ca vous manquait ? Et bien c'est reparti pour un tour ! Après Christophe Rochus, voici Daniel Koellerer. Le joueur autrichien de 30 ans, suspendu à vie pour une affaire de paris illégaux, s'est récemment fait plaisir dans la presse de son pays pour accuser Nadal et Ferrer de dopage.

S'il y a bien une chose qui poursuivra Rafael Nadal toute sa carrière et peut-être même au-delà, ce sont les suspicions de dopage qui l'entourent. Il court plus vite, il court plus longtemps, il n'est jamais fatigué, il peut revenir d'une blessure de huit mois et tout gagner, bref, beaucoup de qualités que l'Espagnol possède et qui font grincer des dents plusieurs sceptiques. Christophe Rochus avait déjà défrayé la chronique en début d'année, c'est cette fois-ci le tour de Daniel Koellerer. Le joueur autrichien de 30 ans, suspendu à vie pour des histoires de paris illégaux, s'en est pris au Majorquin et à son compatriote David Ferrer.

Dans des propos adressés au site internet Sportwoche.net et traduits par RTK, Koellerer affirme que les deux Espagnols étaient des joueurs dopés. Sur le numéro 2 mondial Rafael Nadal tout d'abord : "Il ne peut pas être négatif. Après sept mois d’arrêt en raison d’une blessure il revient et remporte 10 tournois sur 13... C’est impossible, impossible ! Le tennis est gangréné par les manipulations et le dopage. Et que s’est-il passé par rapport à ça cette année ? Rien. J’ai payé pour tous. Aujourd’hui ils ont attrapé Troicki et Cilic. Mais pourquoi ? Cela combiné aux rumeurs de blessures pour masquer des suspensions silencieuses... Personne ne croit qu’il ne prend rien. Mais imaginez ce que signifierait pour le tennis un contrôle positif de Nadal."

Puis ensuite sur David Ferrer, le numéro 4 mondial, qui en prend aussi pour son grade. Les performances de Ferru seraient louches, étant donné qu'il se livre à des petits plaisirs qui devraient handicaper sa condition physique : "Une fois, j’ai joué contre (Ferrer) et il était encore en train de fumer dix minutes avant d’entrer sur le court. Après, il courait encore plus dans le troisième set alors que moi je tirais la langue." Concernant Nadal, l'oncle Toni a réagi. "Je n'ai pas entendu ces accusations. Je ne connais même pas cette personne. Koellerer n'est pas crédible."

Par-delà Rafael Nadal, c'est le sport espagnol qui est une nouvelle fois visé après les déclarations un peu plus anciennes de Yannick Noah sur la potion magique des ibériques. Accusations crédibles ou simple réaction de rejet par rapport à une nation qui a été performante ces dernières années ? Affaire à suivre, très certainement.

O que oui !!!!!! Pourvu qu'un Jour on sache la Vérité, TOUTE la Vérité sur ce qui est peut-être l'une des plus grosses escroqueries de l'Histoire du Tennis, voire du Sport tout court ...............

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Tennis Dopage Troicki : appel fixé au 9 octobre


L'appel du Serbe Viktor Troicki, suspendu 18 mois pour avoir refusé de donner un échantillon sanguin lors du tournoi de Monte-Carlo, a été fixé au 9 octobre par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS), a fait savoir mardi le joueur dans un communiqué. Interdit de toutes compétitions depuis l'annonce de sa suspension au mois de juillet, Troicki s'est dit «soulagé» de connaître enfin la date à laquelle il va pouvoir s'expliquer. «C'est déjà la semaine prochaine, s'est-il même étonné. Ça a été une très longue attente durant laquelle j'ai essayé de rester concentré et de continuer à m'entraîner.»

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Tennis Dopage La suspension de Cilic réduite à quatre mois par le TAS


Initialement suspendu neuf mois de toute compétition par le tribunal de la Fédération internationale de tennis (ITF) pour un contrôlé positif à la nicéthamide lors du tournoi de Munich, Marin Cilic a vu cette suspension réduite à quatre mois par le Tribunal Arbitral du Sport ce vendredi. Cette sanction prend effet le 26 juin 2013 - date à laquelle le Croate a accepté sa suspension préventive - et court jusqu'au 26 octobre. Cilic, 24 ans, va aussi récupérer les points et l'argent remportés après le tournoi de Munich, notamment ceux glanés au Queen's, où il avait atteint la finale.

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ATP > Troicki suspendu un an !

Par Benoit Sourd, mardi 05 novembre 2013 à 14:46


Le Tribunal Arbitral du Sport a tranché. Viktor Troicki est finalement suspendu pour une durée d'un an au lieu de 18 mois. Au tournoi de Monte-Carlo en avril, le Serbe avait refusé d'exécuter un contrôle sanguin. Cet acte avait été jugé par l'ITF comme étant une violation des lois anti-dopages. Troicki avait alors dû se retirer du circuit après le tournoi d'Umag en juillet dernier.

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Federer déplore le manque de contrôles et se démarque de Djokovic

Roger Federer a une nouvelle fois déploré le manque de contrôles antidopage dans le tennis jeudi à Londres et s'est démarqué de Novak Djokovic au sujet de l'affaire Viktor Troicki.
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Interrogé sur Troicki, suspendu douze mois pour avoir manqué un contrôle antidopage, Federer a estimé que la sanction était légitime.

Même si le Tribunal arbitral du sport (TAS) a réduit mardi de 18 mois à un an sa suspension, Troicki continue à crier à l'injustice. Il a reçu le soutien appuyé de son compatriote Novak Djokovic qui a déploré le "manque de professionnalisme" de l'agent missionné pour le contrôler et déclaré ne "plus avoir confiance dans le système".

"Moi je pense surtout qu'on n'est pas assez contrôlés, a réagi jeudi Federer en marge du Masters. "On ne m'a contrôlé ni à Bâle ni à Paris. J'ai l'impression que je l'étais davantage dans le passé. En 2003 ou 2004 ça devait être 25 fois par an. Ça a nettement diminué."

"Globalement je fais confiance au système. Je pense qu'ils sont tous très professionnels", a-t-il ensuite ajouté, se démarquant clairement des prises de position de Djokovic.

Concernant Troicki, le Suisse a estimé: "Je suis désolé, si on vous réclame un échantillon, il faut le fournir, peu importe à quel point vous vous sentez mal". "Refaire le test le lendemain ne veut plus rien dire à mes yeux car qui sait ce qui a pu se passer entre-temps. On est obligés d'être très vigilants à ce sujet", a insisté Federer.