Coupe Davis 2012

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Tennis - Davis : Ferrer en patron


David Ferrer a apporté vendredi le premier point à l'Espagne en dominant (6-3, 6-4, 6-4) le Tchèque Radek Stepanek en finale de Coupe Davis.

C'est juste logique. L'un, Radek Stepanek, est contraint de surjouer pour tenir la cadence, l'autre, David Ferrer, joue simplement à son niveau. L'Espagnol possède toutes les réponses et cela se traduit par une victoire (6-3, 6-4, 6-4 en 2h58'). Quand le Tchèque prend d'assaut le filet, le 5e mondial trouve une cible et aligne les passings. Quand le 37e mondial tente la filière longue, il s'épuise. Il tient sur un fil, sauve sept balles de break à 3-2 après 22 minutes de lutte, mais le funambule finit par tomber sur une double faute à 4-3.

Sur tous ses services, Radek Stepanek frôle le précipice. Face à la solidité de David Ferrer, il manque de puissance et son service ne lui offre pas d'oxygène. Le Tchèque doit travailler sur chaque point et dans le rôle de meilleur ouvrier, l'Espagnol est intouchable. Avec son incroyable couverture de terrain, sa qualité de passings et son expérience, le 5e mondial reste inflexible aux fantaisies adverses. Les variations, une salle (un peu) hostile et une surface (un peu) rapide ne lui font pas bouger une oreille. Les débreaks à 3-2 au deuxième set ou à 5-2 dans la 3e manche ne l'atteignent pas. Il attend que l'euphorie adverse cesse pour planter ses banderilles.

Les statistiques
Ferrer : 64% de premières balles, 4 aces, 3 doubles fautes, 43 points gagnants, 26 fautes directes, 5/25 balles de break converties.Stepanek : 57% de premières balles, 3 aces, 6 doubles fautes, 44 fautes directes, 32 points gagnants.Pour compliquer les affaires tchèques, David Ferrer bénéficie d'un capital confiance à la hauteur de la meilleure saison de sa carrière. Quand il doit sauver une balle de break à 3-2 dans la troisième manche, il claque un ace. Quand il faut conclure le match à 5-4, il vient aussi au filet malgré la tension. L'Espagnol ne fait pas que défendre, il provoque et prend sa chance sur chaque balle courte. Dans les tribunes, Ivan Lendl ne peut que constater les dégâts. Dans le clan espagnol, Juan Carlos Ferrero jubile. Ces deux grands travailleurs connaissent le prix du labeur et la valeur du 5e mondial. Rafael Nadal n'est pas là, mais David Ferrer n'est pas une doublure. - S.D.

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Tennis - Davis : Berdych égalise


Tomas Berdych a bataillé 4 heures mais il a réussi à prendre le meilleur sur Nicolas Almagro (6-3, 3-6, 6-3, 6-7 [5], 6-3) et permet à la République tchèque de revenir à 1-1 contre l'Espagne.

Tous les Tchèques, qu'ils soient sur le terrain ou dans les tribunes de l'O2 Arena de Prague, savaient qu'il ne fallait surtout pas perdre ce deuxième simple après la tranquille victoire de David Ferrer contre Radek Stepanek. Et Tomas Berdych a fait honneur à son statut de n°1 de l'équipe tchèque. Mais que ce fut rude pour le n°6 mondial, opposé à un Nicolas Almagro toujours aussi déterminé et batailleur. Il a fallu environ 4 heures et cinq sets à Berdych pour se défaire des pattes très accrocheuses de son adversaire espagnol. Et le regard noir que lui a lancé Almagro lors de la fraîche poignée de mains finale en dit long sur la tension qui a régné sur le match.

C'est dans le quatrième set, alors que le Tchèque menait deux manches à une, qu'elle a atteint son paroxysme. Berdych était largement devant, menant 3-0, et avait dans les mains une balle de 4-1. Mais il a craqué et laissé revenir Almagro à 4-3, avant que l'Espagnol ne finisse par recoller (4-4). C'est le 11e joueur mondial qui avait alors le vent en poupe. Ça s'est senti lors du tie-break, où il a rapidement pris le large pour mener 5-0. C'est à ce moment-là qu'il a craqué à son tour, laissant Berdych revenir à ses basques (5-5). Mais l'Espagnol a eu le sursaut nécessaire pour conclure et recoller à deux sets partout.

Malheureusement pour lui, et heureusement pour le suspense dans cette 100e finale, Berdych ne s'est pas laissé atteindre par la perte de cette quatrième manche. Il a repris sa marche en avant dans le dernier set, porté par les 14.000 spectateurs, breakant assez rapidement et s'envolant, non sans quelques frayeurs tout de même, vers une victoire à l'arrachée. Aura-t-il récupéré pour disputer le double avec Stepanek samedi ? Minar et Rosol ont beau avoir été annoncés, il est très souvent de coutume de voir Berdych et Stepanek assumer à eux seuls les rencontres. Une option sans doute plus efficace pour les Tchèques s'ils veulent prendre leur revanche de la finale de 2009.

2/1 pour les tchèques qui passent en Tête avec la Journée décisive de ce Dimanche !

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Tennis - Davis : Avantage tchèque


En s'imposant (3-6, 7-5, 7-5, 6-3) contre Marcel Granollers et Marc Lopez, Tomas Berdych et Radek Stepanek permettent à la République tchèque de mener (2-1) face à l'Espagne en finale.

Il faut souvent un héros en Coupe Davis. La République tchèque a peut-être trouvé le sien ? Après sa victoire contre Nicolas Almagro, Tomas Berdych a apporté avec Radek Stepanek un deuxième point à la République tchèque en s'imposant (3-6, 7-5, 7-5, 6-3) face aux Espagnols Marcel Granollers et Marc Lopez. Avec son aîné, le 6e mondial a tenu la baraque jusqu'au bout et a montré les effets de la complémentarité.

Très solide au service et à la relance, Tomas Berdych a endossé le rôle du grand costaud. Pour mettre K.-O., c'est lui. Pour déstabiliser les adversaires, c'est le fantasque Radek Stepanek et sa science du jeu au filet. Le 37e mondial a d'abord dû digérer sa correction de la veille. Il a mis un set et concédé un break en commettant deux doubles fautes lors du deuxième jeu. Et les Espagnols n'ont pas su lui maintenir la tête sous l'eau.

La prime à l'offensive
Le double du fond de court, c'est une option... Payante au Masters de Londres où les enjeux sont individuels. Perdante avec la pression de la Coupe Davis où il faut tirer des passings sous le poids d'une nation. A ce jeu, Marc Lopez n'a pu compenser son manque de puissance au service par sa qualité de passings et de retours et son coéquipier a craqué lors du money time. A 6-5 aux deuxième et troisième sets, Marcel Granollers a vendangé des volées faciles. Et dans la dernière manche, il est tombé en panne de première balle (0/4) et a perdu son engagement sur un jeu blanc à 3-2.

Avec leur expérience des grands rendez-vous, Tomas Berdych et Radek Stepanek n'ont pas tremblé et ont suivi leur ligne conductrice. Le 6e mondial n'est pas un grand volleyeur, mais il prend sa chance. Le 37e mondial n'est pas un grand relanceur, mais il n'hésite pas à enchaîner les retours-volées pour brouiller les cartes et obliger ses adversaires à tirer des passings dans les moments chauds. Cette audace est logiquement récompensée par un point très précieux. Tomas Berdych le fête avec retenue. Pour être un héros, il faut aussi savoir économiser ses forces. David Ferrer l'attend. - S.D.

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Tennis-Davis : Berdych : «J'ai encore des forces»


Après leur victoire en double, Tomas Berdych et Radek Stepanek étaient déjà tournés vers le dernier point à conquérir. Le 6e mondial prévient qu'il a «encore des forces» pour affronter dimanche (13 h) David Ferrer.

Tomas Berdych : « Leur style de double est assez différent par rapport au nôtre, il fallait s'y habituer et cela nous a coûté la première manche. Le match a été loin d'être facile. Dimanche, c'est aussi un match particulièrement difficile (contre Ferrer) qui m'attend, mais j'ai encore des forces. Il faut bien se reposer. Je tenterai de m'imposer par un jeu qui m'est propre, je ferai tout pour le succès, je compte aussi beaucoup sur notre public. »

Radek Stepanek : « Ils ont très bien commencé, leur jeu était presqu'incroyable, sans faille. Mon service m'a encore trahi en début de la partie. Mais notre jeu s'améliorait constamment et nous avons fini par dominer. Nous nous sommes concentrés sur le service de Lopez, moins fort par rapport à celui de son coéquipier, dans les phases finales des sets. Nous savons très bien ce qui nous attend demain (dimanche), chacun de nous a sa façon de se préparer. Il faut décrocher encore un point, il faut s'y concentrer pleinement. »

Jaroslav Navratil (capitaine de l'équipe de République tchèque) : « Nous sommes encore très loin du succès final. Ferrer et Almagro sont d'excellents joueurs, le ou les matches de dimanche seront très difficiles. »

Marcel Granollers : « Radek et Tomas sont de grands joueurs de simples mais ils se débrouillent aussi fort bien en double. Ils ont joué mieux que nous, nous devons l'admettre. »

Marc Lopez : « Nous sommes bien sûr déçus d'avoir perdu, mais nous avons donné tout dans ce match. »

Alex Corretja (capitaine de l'équipe d'Espagne) : « Nous savions que cela pouvait arriver. Nous avons très bien commencé, notre jeu était parfait sur le plan tactique. Dans les autres sets, nous avons concédé des balles de break. Mais demain (dimanche), les joueurs tchèques risquent de payer le prix de cet effort.» (AFP)

SUPER GRAND BRAVO aux tchèques qui remportent la Coupe Davis, leur 1ère depuis 1980 mais à l'époque c'était la Tchécoslovaquie !!

Ils font le Doublé en 2012 Fed Cup/Coupe Davis !! C'est suffisamment RARE pour être souligné ...

Je suis content que ça change, que ça ne soit pas ENCORE l'Espagne qui gagne ! GRAND BRAVO TOUT PARTICULIER à Radek qui s'est VRAIMENT arraché, qui a su aller au bout de ses forces, qui s'est transcendé devant son public, qui s'est sublimé pour son pays ! C'est le Plus Beau Titre de sa Carrière, un Titre collectif mais qu'il a lui-même porté, une Belle Apothéose !!! Il partira peut-être à la retraite sur ça, ça serait compréhensible.

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Tennis - Davis : Ferrer, l'homme fort


Auteur d'un grand match, David Ferrer a dominé (6-2, 6-3, 7-5) Tomas Berdych et permis ainsi à l'Espagne d'égaliser à 2-2 contre la République tchèque.

Il n'aime pas les chichis et les flonflons. Seuls les actes l'intéressent. Alors David Ferrer agit. C'est peut-être un second rôle mais il crève encore l'écran ce week-end en Coupe Davis avec une deuxième victoire en trois sets pour ramener l'Espagne à 2-2 contre la République tchèque. Au début du film de la saison, le 5e mondial apparaît comme la doublure de Rafael Nadal. En battant (6-2, 6-3, 7-5 en 2h24') Tomas Berdych lors de son dernier match de l'année, il occupe bien le haut de l'affiche et dépasse même le recordman de l'année de victoires, Novak Djokovic, avec 76 succès.

A l'O2 Arena de Prague, David Ferrer n'a plus rien d'une doublure. Le bon soldat du capitaine Corretja déclenche la marche avant dès le premier point. Il sait qu'il faut bousculer le Tchèque qui manque de vélocité et a déjà enchaîné deux matches en deux jours. Il le prend donc à la gorge d'entrée avec un break dès le deuxième jeu. Sur sa ligne, il distribue les coups et impose sa cadence. Sur chaque balle courte, il attaque et n'hésite pas à venir conclure au filet. Il prend ses responsabilités à l'image de ses deux balles de débreak sauvées sur deux coups gagnants à 4-2 (15-40) au premier set (40 coups gagnants pour 27 fautes directes).

Ferrer, recordman de victoires en 2012
Et Tomas Berdych ne trouve aucune réponse. Sa puissance est annihilée par les qualités de contre et la longueur de balle adverses. Quand il vient au filet, l'Espagnol se régale. Quand il reste au fond du court, il devient un joueur moyen. Le 6e mondial se transforme en simple proie. Un exemple ? Le break d'entrée de deuxième manche. Le Tchèque attaque, son adversaire riposte avec un passing de revers en slice enchaîné par un coup droit gagnant.

Avec son jeu de jambes exceptionnel, David Ferrer rend la surface rapide, lente ! Il se donne le temps et envoie un message subliminal « Accroche-toi pour me faire un point... » à Tomas Berdych. L'Espagnol use son adversaire physiquement et mentalement. Il ne lâche rien. Même le débreak à 4-3 au troisième set ne le déstabilise pas. Il ne se pose pas de question et remet le couvert. Le Tchèque n'a plus la force. Le « Pou » l'a vampirisé. Comme au cinéma, un grand film se juge aussi sur le talent des seconds rôles. David Ferrer décroche bien l'Oscar de l'année 2012. - S.D.

Ferrer : «Concentré sur ma tâche»
David Ferrer : «C'était bien sûr un match difficile, car j'étais sous pression. Je me suis concentré sur ma tâche, mon jeu a été agressif et j'ai fait aussi un très bon début de match. C'était peut-être la clé. (Tomas) a dû affronter la fatigue car il avait joué cinq manches vendredi et quatre autres samedi. Je suis très content de ma performance non seulement lors de ce match, mais aussi lors de toute cette finale.»Tomas Berdych : «(David) a maîtrisé ce match de façon incroyable. Je dois avouer qu'il était meilleur aujourd'hui, dans tous les aspects. J'essayais sans cesse de trouver la manière de prendre l'initiative et de le pousser de faire des fautes, malheureusement en vain.» (AFP)

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Tennis - Davis : Stepanek, le héros tchèque


Après un cinquième match de haute volée, Radek Stepanek a fait craquer (6-4, 7-6 [0], 3-6, 6-3) Nicolas Almagro pour apporter le premier Saladier d'Argent à la République tchèque.

Un cinquième match de Coupe Davis, c'est toujours un combat de gladiateurs. Ce dimanche 18 novembre 2012, l'O2 Arena de Prague fête son héros : Radek Stepanek. A bientôt 34 ans, le 37e mondial apporte le point décisif en battant (6-4, 7-6 [0], 3-6, 6-3) Nicolas Almagro. Sous les yeux d'Ivan Lendl, le dernier Tchèque vainqueur de la Coupe Davis en 1980 (Tchécoslovaquie), il permet à la République tchèque de réussir le doublé Fed Cup/Coupe Davis avec la manière.

Avec sa panoplie de superman rouge et bleue, il donne le tournis à l'Espagnol. Comme Ulysse, il compense son déficit de puissance par l'intelligence. Son cheval de Troie est simple : ne jamais donner de rythme au cogneur adverse et le prendre à la gorge à la moindre occasion. Aussi vif qu'un jeune homme malgré un coup de barre au troisième set, Radek Stepanek ne dévie jamais de sa ligne. A l'avant toute ! Il multiplie les service-volée, il se rue au filet sur chaque seconde balle adverse à l'image de la balle de premier set et il remet à la mode les montées à contretemps, le toucher de balle et les variations de rythme.

L'intelligence de jeu de Stepanek
Avec son jeu de frappeur monolithique, Nicolas Almagro cogne et s'embourbe. Il perd son break à 4-3 dans le deuxième set et reçoit une leçon au tie-break (7-0). Même la perte de la troisième manche ne l'ébranle pas. A 33 ans, il en a vu d'autres. Le fantasque reste calme et préserve chaque millilitre d'énergie. Il sait que son adversaire est fragile mentalement. Il sait que l'Espagnol va connaître une baisse d'adrénaline après le gain du troisième set.

Fidèle à ses convictions, il lui saute à la gorge d'entrée et réalise le break à 1-0. Et il garde ce bien si précieux jusqu'au bout. Après 3h50' de combat, le gladiateur peut se lâcher, tomber, pleurer, saluer les vaincus, déchirer son polo et danser avec tous ses coéquipiers. Les Espagnols cèdent leur Saladier d'Argent. Le gladiateur David Ferrer ne peut pas jouer seul. Depuis 100 ans, la Coupe Davis produit les mêmes effets : elle transcende ou elle inhibe. Néophyte dans l'épreuve, Nicolas Almagro, 11e mondial, s'est brûlé lors de ce baptême du feu. Radek Stepanek s'est transcendé. - S.D.

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Tennis - Davis : Stepanek «n'avait plus de doute»


Radek Stepanek n'en revenait pas d'avoir été le héros de la victoire tchèque en finale de la Coupe Davis, dimanche à Prague.

«J'ai vécu toute ma carrière pour connaître ce moment. Je n'arrive pas à décrire mes impressions», a déclaré Radek Stepanek, bientôt 34 ans et très ému après avoir remporté son combat face à Nicolas Almagro, dimanche. Une lutte de presque quatre heures au terme de laquelle le Tchèque, vainqueur (6-4, 7-6 [0], 3-6, 6-3), a offert la première Coupe Davis à son pays. «Je suis entré sur le court avec l'objectif de rester calme, affamé, motivé et concentré... J'ai joué de manière très agressive. Je voulais être celui qui était actif, qui contrôlait le jeu et ça a payé», a raconté Stepanek, 37e mondial et doyen du Top 50.
«Pendant toute la partie et au fur et à mesure que le match durait, je n'avais plus de doute sur mon succès final.»«Je me sentais très bien sur le court, pendant toute la partie et au fur et à mesure que le match durait, je n'avais plus de doute sur mon succès final», a avoué le héros de la journée, devant les anciennes gloires locales Ivan Lendl, Jan Kodes, Tomas Smid et Jana Novotna. Une performance saluée par son coéquipier Tomas Berdych, qui avait lui aussi dominé Almagro vendredi après cinq sets très accrochés (6-3, 3-6, 6-3, 6-7 [5], 6-3) : «Chapeau, Radek ! Battre Almagro alors que le score de la finale était 2-2, c'est fantastique.»

«Nous avons écrit un nouveau chapitre de l'histoire, il n'y a rien de plus beau que cela, a-t-il ajouté. Je tiens à remercier tout les spectateurs, ils ont largement contribué à notre victoire. Nous sommes en train de vivre des moments inoubliables.» Jaroslav Navratil, le capitaine tchèque, était lui aussi très fier. «Chaque membre de l'équipe a apporté sa contribution à cette victoire. C'est un succès fantastique de tout notre pays, du tennis tchèque et surtout de Tomas et Radek». Un succès qui devrait être dignement célébré, dimanche soir, «car c'était le dernier match de la saison», a précisé dans un clin d'oeil le sélectionneur. La soirée ne faisait que commencer à Prague.

Ils est TOUJOURS marié avec Nicky, Radek, le bisou "fait foi" !

Quel bel homme ce Radek, franchement

Sinon, toujours un FANTASTIQUE PLAISIR de suivre ces Compét' par Equipes qui transcendent et avec un Public qui décuple les forces Ca en donne des frissons