Coupe Davis 2012

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Tennis - Davis : Les Tchèques rejoignent l'Espagne


La République tchèque disputera la finale de la Coupe Davis. Elle a éliminé l'Argentine (3-1) en demi-finale, grâce à la victoire de Berdych face à Berlocq (6-3, 6-3, 6-4). Comme en 2009, les Tchèques affronteront l'Espagne.

Cette fois, il a fait mieux. L'an dernier, Tomas Berdych avait craqué lors du quatrième match face au Kazakhstan (défaite 2-3 au premier tour), après avoir contribué aux deux premiers points. Ce dimanche à Buenos Aires, le n°6 a, certes, connu quelques défaillances en fin de match contre Carlos Berlocq. Mais il a conquis l'essentiel : une victoire (6-3, 6-3, 6-4) qui envoie les Tchèques en finale de Coupe Davis. Pilier de son équipe sur la terre battue argentine, Berdych aura un challenge de taille, mi-novembre : tenter d'offrir à la République tchèque une revanche sur l'Espagne, trois ans après la gifle reçue lors de la finale 2009 (5-0). Tenants du titre, les Espagnols ont en effet battu les Etats-Unis dans l'autre demi-finale.
Le challenge, ce dimanche, a été moins relevé qu'attendu pour Berdych. Il était difficile, pour Berlocq, de faire oublier l'absence de dernière minute de Juan Martin Del Potro, qui avait empoché vendredi contre Stepanek le premier point de cette demi-finale. L'Argentin n'a jamais réussi à profiter pleinement des baisses de concentration de Berdych. Dans les deux premières manches, elles lui avait permis d'obtenir des balles de break, mais pas de les valider. Dans la troisième, Berlocq a arraché un débreak (pour revenir à 3-4), mais a laissé passer deux balles de 5-4 alors que Berdych devenait davantage fébrile. Pour empocher un point, le Tchèque s'est souvent obligé à jouer deux coups de raquette en plus. Un manque de tranchant sans conséquence, finalement.

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Tennis - Davis : L'Espagne de nouveau en finale


Tenante du titre, l'Espagne va de nouveau disputer la finale de la Coupe Davis. Elle a sorti les Etats-Unis (3-1), sur la terre battue de Gijon, grâce à la victoire de David Ferrer sur John Isner (6-7[3], 6-3, 6-4, 6-2), dimanche.

Elle est presque réglée comme une horloge. Non pas l'équipe de Suisse (qui vient d'obtenir son maintien dans le Groupe Mondial), mais celle d'Espagne : la formation entraînée par Alex Corretja va disputer, mi-novembre, sa quatrième finale de Coupe Davis en cinq ans. Tenants du titre, les Espagnols peuvent rêver au doublé après leur succès face aux Etats-Unis (3-1) en demi-finale. Déjà victorieux de son premier simple (contre Querrey), David Ferrer a apporté dimanche le point décisif aux dépens de John Isner (6-7[3], 6-3, 6-4, 6-2). Grâce à son seizième succès en seize matches de Coupe Davis sur terre battue, il a validé les plans espagnols. Ceux-ci ont été seulement contrariés par une défaite anticipée face aux frères Bryan samedi lors du double, et par la surprenante mobilité d'Isner sur la terre battue de Gijon.

Isner a tenu et parfois dominé les échanges de fond de court dans le premier set. Cela n'a pas duré.Ferrer voulait mettre le jeu de jambes d'Isner à l'épreuve. Pendant le premier set, le test s'est avéré concluant pour... l'Américain. Ce dernier a souvent réussi à tenir l'échange, notamment dans le tie-break de ce premier set : c'est lui qui a fait craquer Ferrer en fond de court et a d'emblée réussi le mini-break (2-1). Isner s'est appuyé sur son service pour concrétiser cet avantage. Avec son coup droit, il s'était aussi sorti d'un mauvais pas sur son jeu de service précédent (5-5, balle de break Ferrer). Mais se muer en essuie-glace n'est pas un exercice idéal pour l'Américain. Au fil des jeux, les lift et la science tactique de Ferrer ont eu raison de ses jambes. Et son service a trouvé un parfait relanceur. L'an dernier, le n°5 mondial avait déjà qualifié l'Espagne pour les demies en battant Roddick et Fish.

Ferrer : du 16/16 sur terre battue en Coupe Davis
Isner a laissé passer sa chance alors qu'il était en position de breaker dès le premier jeu du deuxième set. Puis laissé filer le deuxième set (34'). Même avec son coup droit, l'inconstance était revenue à l'ordre du jour. Le n°10 mondial a joué au "ça passe ou ça casse". Il y a laissé des plumes dans le deuxième set (17 fautes directes contre 10 pour Ferrer), comme dans le troisième, même s'il a alors parfois fait mouche (16 fautes directes pour 13 coups gagnants). Ferrer s'est appliqué à maîtriser la cadence. Il s'est permis un ace sur deuxième balle, au début du quatrième set. Une manière de clarifier le message à l'encontre d'Isner : dans tous les domaines, Ferrer était capable de lutter, et de gagner. La force de l'habitude.

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Pays-Bas - Suisse : 1-3
Robin Haase a subi dimanche le même sort que Thiemo de Bakker vendredi : une défaite en trois sets contre Roger Federer (6-1, 6-4, 6-4). Le n°1 mondial a ainsi apporté à la Suisse le point décisif face aux Pays-Bas. La victoire des Néerlandais lors du double n'était donc qu'un sursis. Après leur défaite en 8es de finale des JO de Londres, Federer et Wawrinka s'étaient en effet inclinés face à Jean-Julien Rojer et Robin Haase, samedi (6-4, 6-2, 5-7, 6-3). Mais Federer avait donné le ton de la victoire suisse lors du premier simple de vendredi face à De Bakker (6-3, 6-4, 6-4 en 1h42'), et ce malgré les conditions difficiles (pluie). Wawrinka avait enfoncé le clou en battant Haase (6-3, 3-6, 6-3, 7-6 [4]).

Kazakhstan - Ouzbékistan : 3-1
Victorieux du premier simple, vendredi (contre Evgeny Korolev ; 6-3, 4-6, 6-2, 0-6, 6-3), Denis Istomin n'a pas récidivé. Il a perdu dimanche, lors du quatrième match, face à Mikhail Kukushkin (6-4, 6-2, 6-7[7]). Résultat : l'Ouzbékistan est relégué, tandis que le Kazakhstan se maintien. Kukushkin avait déjà gagné son simple de vendredi contre Farrukh Dustov (6-2, 6-4, 3-6, 7-6 [5]), et le Kazakhstan avait pris la main après la victoire en double de Golubev/Schukin face à Istomin/Dustov (7-6 [3], 6-3, 6-4).

Suède - Belgique : 0-5
La Belgique a remporté son duel face à la Suède grâce à une troisième victoire, samedi, et retrouve le Groupe Mondial. Rubens Bemelmans et Olivier Rochus ont dominé Johan Brunstrom et Michael Ryderstedt (6-4, 4-6, 6-3, 6-2). Les Belges avaient déjà fait le break à la fin de la première journée grâce à Steve Darcis, premier à entrer en lice face à Michael Ryderstedt (6-3, 7-6 [3], 6-0) et David Goffin, vainqueur face à Andreas Vinciquerra (6-4, 6-3, 7-5). Le score s'est alourdi dimanche (5-0).

Brésil - Russie : 3-0
Les Brésiliens n'ont pas fait de détail pour décrocher leur place dans le Groupe Mondial aux dépens de la Russie. Samedi, Marcelo Melo et Bruno Soares ont dominé Alex Bogomolov Jr et Teymuraz Gabashvili (7-5, 6-2, 7-6 [7]) pour glaner le troisième point. Vendredi, le premier simple entre Rogerio Dutra Silva et Igor Andreev avait tourné court, le Russe étant contraint à l'abandon à la fin du deuxième set, touché à une épaule. Le Brésilien, qui avait aisément dominé les deux premières manches (6-2, 6-1), avait donc été déclaré vainqueur. Son compatriote Thomaz Bellucci avait ajouté un deuxième point face à Teymuraz Gabashvili (6-3, 4-6, 6-0, 7-6 [4]).

Italie - Chili : 4-1
Pour son troisième match en trois jours, Andreas Seppi n'a pas failli : déjà victorieux de son premier simple vendredi, il a battu dimanche Paul Capdeville (6-3, 6-1, 6-3). Un succès qui permet à l'Italie de mener 3-1 et donc d'assurer son maintien dans l'élite. Samedi, le Chili avait seulement retardé l'échéance grâce à son double. Jorge Aguilar et Paul Capdeville avaient dominé Daniele Bracciali et Andreas Seppi en quatre sets (6-4, 4-6, 6-4, 6-2). Le deuxième simple de vendredi, qui avait opposé Fabio Fognini à Paul Capdeville, avait été interrompu par la nuit après 3h36 minutes de jeu et à deux sets partout, 1 jeu partout dans la 5e manche. L'Italien s'était finalement imposé samedi (2-6, 6-2, 6-7, 6-1, 6-2). Score final de cette rencontre : 4-1.

Allemagne - Australie : 3-2
Les Allemands ont été renversants, ce week-end. Menés dans leur duel face à l'Australie à l'issue du double - remporté par Chris Guccione/Lleyton Hewitt aux dépens de Becker/Petzschner (6-3, 6-2, 2-6, 7-6 [4]) -, ils ont offert au public de Hambourg un superbe finish : Florian Mayer et Cedrik-Marcel Stebe ont gagné leur simple respectif, dimanche, et offert à l'Allemagne son maintien dans le groupe mondial. Mayer a battu Bernard Tomic (6-4, 6-2, 6-3) et Stebe a maîtrisé Lleyton Hewitt (6-4, 6-1, 6-4). Ce dernier a subi sa deuxième défaite du week-end, après celle vendredi face à Mayer (7-5, 6-3, 6-2).

Israël - Japon : 3-2
Go Soeda a ouvert le compteur du Japon avec une victoire en quatre sets face à Dudi Sela (6-2, 6-4, 3-6, 6-4). L'Israélien Amir Weintraub a ensuite pris le meilleur sur Tatsuma Ito (6-3, 6-2, 6-4). Israël a alors pris l'avantage grâce la victoire en double de la paire Jonathan Erlich - Andy Ram sur le duo Tatsuma Ito - Yuichi Sugita, en quatre sets (5-7, 6-3, 6-3, 6-1). Avant d'être rejoint (2-2), succès de Kei Nishikori sur Dudi Sela (6-3, 3-6, 4-6, 6-4, 7-5) oblige, puis d'assurer l'essentiel grâce à Weintraub, vainqueur (6-3, 7-6 [5], 4-6, 6-3) de Soeda.

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La Belgique domine la Suède 5-0


La Belgique s'est imposée 5-0 face à la Suède en match de barrage pour le Groupe mondial de la Coupe Davis, sur la terre battue du Primerose à Bruxelles.

Lors de la 5e et dernière rencontre, Steve Darcis, très convaincant, a en effet battu Andreas Vinciguerra, non classé à l'ATP.

Le Liégeois, 73e mondial, a gagné en deux sets 6-4, 6-2 et 66 minutes face au Suédois, 31 ans, ex-33e mondial en 2001 et qui s'est remis de 5 opérations au genou.

Il faut remonter à avril 2002 pour voir la Belgique s'imposer 5 à 0 dans un match de Coupe Davis. C'était face à la Grèce en quart de finale du groupe 1 de la zone Euro-Afrique à Liège, avec déjà Olivier Rochus.

Dimanche, David Goffin (ATP-56) avait inscrit le 4e point belge en s'imposant 6-3, 6-4 face à Markus Eriksson (ATP-650).

La Belgique rejouera l'année prochaine dans le Groupe mondial, que la Suède quitte pour la première fois depuis 2000.

Ruben Bemelmans et Olivier Rochus avait offert dès samedi le point décisif pour la Belgique en prenant la mesure - 6-4, 4-6, 6-3, 6-2 - de Johan Brunström et Michael Ryderstedt en double.

Steve Darcis (ATP-73) - face à Michael Ryderstedt (ATP-457) 6-3, 7-6 (7/3), 6-0 - et David Goffin - face à Andreas Vinciguerra, 6-4, 6-3, 7-5, avaient placé les Belges sur du velours vendredi.

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Tennis - Davis : Une finale Berdych - Ferrer ?


Grands artisans de la qualification de leurs nations respectives pour la finale de la Coupe Davis, l'Espagnol David Ferrer et le Tchèque Tomas Berdych se tournent vers le choc de la mi-novembre (16 au 18) où ils auront les clés de la rencontre.

Il n'y a pas de secrets pour aller loin en Coupe Davis. Avoir un numéro un qui empile des succès en simple permet déjà de faire une bonne partie du chemin. Alors, quand on compte dans ses rangs un David Ferrer ou un Tomas Berdych, il n'y a rien d'étonnant à se retrouver en finale de la compétition. L'Espagne et la République Tchèque peuvent se targuer d'avoir un leader, un vrai, là où d'autres nations ont parfois du mal à exploiter les talents de leurs stars. Serbes, Suisses voire Britanniques auront du mal à dire le contraire. Le constat est d'autant plus remarquable pour la nation ibérique, privée de Rafael Nadal, son numéro 1 naturel mais qui a su trouver en David Ferrer un patron en Coupe Davis.
« Avec Ferrer, vous pouvez aller n'importe où »

Les succès probants du numéro 5 mondial face à Querrey et Isner le week-end dernier ont un peu plus affirmé son statut, lui qui a remporté ses huit derniers simples dans la compétition collective et déjà soulevé le saladier d'argent la saison dernière. « Avec lui, vous pouvez aller n'importe où », confirmait son capitaine Alex Corretja après le succès face aux Américains. « C'est comme un rêve pour moi », lâchait l'intéressé, qui a trouvé dans cette épreuve par équipes une occasion de briller, lui qui peine à venir chatouiller le Big 4 dans les grands évènements individuels.

Berdych, 10 matches, 10 points
Nadal de retour ou non, c'est sûrement dans sa confrontation avec Tomas Berdych du côté d'Ostrava que devrait se jouer la victoire finale. Dans la foulée de l'US Open et de sa victoire face à Roger Federer, le numéro 6 mondial a tour à tour battu Monaco et Berlocq dans le chaudron de Parque Roca. « Nous n'étions pas favoris pour cette rencontre mais on y a cru, déclarait-il. Je me sentais très bien après l'US Open et je voulais montrer que j'étais au top et que je pouvais enchaîner.» Accompagné de l'inusable Radek Stepanek avec lequel il a gagné le double en Argentine, Berdych, qui a remporté ses 10 derniers matches en Coupe Davis (simple et double confondus), a de quoi nourrir des espoirs de sacre à domicile dans deux mois sur une surface qui s'annonce très rapide pour mieux le favoriser. Au détriment de David Ferrer.

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Tennis - Davis : Bhupathi/Bopanna, suspension levée


Un tribunal a levé la suspension touchant Mahesh Bhupathi et Rohan Bopanna, interdits par leur Fédération de représenter leur pays en Coupe Davis jusqu'en juin 2014. Les deux joueurs indiens avaient refusé de participer au double des jeux Olympiques 2012 aux côtés de Leander Paes. La presse indienne a révélé samedi que la Haute Cour de l'Etat fédéral du Karnataka (sud-ouest) a accédé à la demande des avocats des joueurs qui estimaient que la décision de la Fédération indienne de tennis «était arbitraire, puisque prise sans audition des joueurs». (avec AFP)

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Tennis - Coupe Davis : La finale à Prague


L'ITF a annoncé mardi que la finale de la Coupe Davis opposant la République tchèque à l'Espagne serait disputée du 16 au 18 novembre dans l'O Arena de Prague. C'est la première fois de l'histoire qu'une même salle accueille la même année les finales de Fed Cup (République tchèque - Serbie) et Coupe Davis.

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Tennis - Davis - Espagne : On prend les mêmes


David Ferrer, Nicolas Almagro, Marcel Granollers et Marc Lopez ont été appelés par Alex Corretja pour affronter la République tchèque en finale de Coupe Davis, du 16 au 18 novembre. Il s'agit du même quatuor qu'en quarts et en demi-finales. L'Espagne est tenante du titre.

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Tennis - Davis - RTC : Berdych en leader


Sans surprise, Tomas Berdych et Radel Stepanek mèneront la République tchèque lors de la finale de la Coupe Davis à Prague face à l'Espagne (16-18 novembre). Lukas Rosol et Ivo Minar ont également été retenus dans l'équipe. L'Espagne avait annoncé son groupe lundi avec David Ferrer aux commandes.

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Au tour de la République tchèque?


La 100e finale de Coupe Davis se disputera ce week-end entre la République tchèque et l'Espagne. Les Tchèques espèrent prendre leur revanche sur une Espagne privée de Rafael Nadal, blessé.

La République tchèque peut devenir le premier pays à remporter la même année la Hopman Cup, la Fed Cup et la Coupe Davis. L'O2 Arena de Prague sera le théâtre de la finale de la Coupe Davis et c'est dans cette même salle que Petra Kvitova, Lucie Safarova, Lucie Hradecka et Andrea Hlavackova ont remporté la Fed Cup il y a une quizaine de jours.

Mais l'adversaire, l'Espagne, sera coriace. Et même en l'absence de Rafael Nadal, blessé. En simple, les Espagnols peuvent se targuer de posséder deux joueurs du top-11. David Ferrer (ATP 5) est l'homme en forme, vainqueur dernièrement des tournois de Valence et Paris. Nicolas Almagro (ATP 11) réalise lui la plus belle saison de sa carrière et il a remporté les cinq matchs qu'il a disputés en Coupe Davis cette saison.

Mais le plus solide atout et peut-être le plus surprenant des Espagnols, c'est sa paire de double composée de Marcel Granollers et Marc Lopez. Les deux hommes ne jouent ensemble régulièrement que depuis cette année et ils sont très complémentaires. Ils ont surpris tous les observateurs la semaine dernière en remportant le Masters. Sur leur route vers la finale, ils n'ont perdu qu'un match: face à l'Indien Leander Paes associé à... Radek Stepanek.

Le vétéran tchèque, âgé de 34 ans et classé 37e mondial, sera associé à Tomas Berdych, âgé de 27 ans et 6e mondial, pour cette finale de Coupe Davis. Le week-end sera très intense pour les deux hommes, qui seront sollicités du vendredi au dimanche. Leurs équipiers Lukas Rosol (ATP 71) et Ivo Minar (ATP 189) sont en effet nettement moins performants. Mais le capitaine tchèque Jaroslav Navratil peut toujours sortir un lapin de son chapeau...

L'Espagne a la possibilité ce week-end de remporter l'épreuve pour la quatrième fois en cinq ans. La Tchécoslovaquie a remporté la Coupe Davis en 1980, mais la République tchèque ne l'a jamais remportée depuis son indépendance. Elle a disputé la finale en 2009... perdue 5-0 à Barcelone face aux Ibères. Il y aura de la revanche dans l'air dès vendredi à Prague...

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Tennis - Davis : La colère de F. Lopez


L'ambiance est apparemment très tendue à Prague à la veille du début de la finale de la Coupe Davis entre la République tchèque et l'Espagne. Après les déclarations de Tomas Berdych sur Nicolas Almagro, ce joueur à qui il manque, selon le Tchèque, le petit quelque chose qui fait les grands joueurs et qui n'a gagné que des « petits tournois », c'est au tour de Feliciano Lopez de mettre le feu. Sauf que l'Espagnol a attaqué son propre camp.

Suite à l'annonce par le capitaine Alex Corretja de la sélection de Nicolas Almagro et David Ferrer, le gaucher a piqué une colère. «C'est incompréhensible. Demandez à Berdych qui il préfère ne pas affronter. S'il y en a bien un qui peut le battre sur ce court, c'est moi. Cette surface correspond parfaitement à mon jeu. C'est la décision du capitaine, c'est dur, mais il faut l'accepter», aurait-il ainsi déclaré selon As. Il faudra désormais attendre avant de constater, ou pas, les dommages causés par cette sortie.

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Tennis - Davis : Ferrer/Stepanek d'entrée


David Ferrer va ouvrir le bal de cette 100e finale de Coupe Davis face à Radek Stepanek, vendredi (16h00) à Prague. Nicolas Almagro sera ensuite opposé à Tomas Berdych.

« Tout était contre nous, aujourd'hui tout est de notre côté. » Tomas Berdych n'a pas tort. Depuis la finale perdue (5-0) en 2009 contre l'Espagne, les choses ont bien changé. La surface s'est accélérée avec un court très rapide à la place de la terre battue, l'équipe ibérique n'a plus le même visage en l'absence de son maître à jouer Rafael Nadal et la ferveur populaire est passée de Barcelone à Prague. Dans ce contexte, les Tchèques assument leur statut de favoris de cette 100e édition et Alex Corretja leur laisse bien volontiers en fin capitaine.

Si le terrain plaide en faveur des hommes de Jaroslav Navratil, les données chiffrées sont nettement moins favorables aux locaux. David Ferrer, opposé vendredi (16h00) à Radek Stepanek, a réalisé sa meilleure saison et a prouvé qu'il n'est pas seulement un joueur de terre à l'instar de sa victoire lors du Masters 1000 de Bercy. En neufs confrontations face au Tchèque, le 5e mondial reste sur trois victoires (6-3) dont une épique (1-6, 2-6, 6-4, 6-4, 8-6) en finale de Coupe Davis en 2009. Contre Tomas Berdych, il mène aussi 5-3.
Et Nicolas Almagro n'a pas perdu un match dans l'épreuve cette saison. Pour la motivation, l'Espagnol peut aussi lire les déclarations de son futur adversaire, Tomas Berdych, qui sous-entend que l'Espagnol est un petit joueur qui n'a gagné que des « petits tournois ». Quant au double, Marcel Granollers et Marc Lopez arrivent à Prague avec le titre au Masters, leurs adversaires Berdych/Stepanek auront joué les simples. A 33 ans, Radek Stepanek a-t-il la fraîcheur pour résister à l'enchaînement ? C'est une des inconnues capitales de cette rencontre...

Matthieu a écrit:

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Tennis - Davis : La colère de F. Lopez


L'ambiance est apparemment très tendue à Prague à la veille du début de la finale de la Coupe Davis entre la République tchèque et l'Espagne. Après les déclarations de Tomas Berdych sur Nicolas Almagro, ce joueur à qui il manque, selon le Tchèque, le petit quelque chose qui fait les grands joueurs et qui n'a gagné que des « petits tournois », c'est au tour de Feliciano Lopez de mettre le feu. Sauf que l'Espagnol a attaqué son propre camp.

Suite à l'annonce par le capitaine Alex Corretja de la sélection de Nicolas Almagro et David Ferrer, le gaucher a piqué une colère. «C'est incompréhensible. Demandez à Berdych qui il préfère ne pas affronter. S'il y en a bien un qui peut le battre sur ce court, c'est moi. Cette surface correspond parfaitement à mon jeu. C'est la décision du capitaine, c'est dur, mais il faut l'accepter», aurait-il ainsi déclaré selon As. Il faudra désormais attendre avant de constater, ou pas, les dommages causés par cette sortie.

Feli en colère !!
Déçu oui ,très déçu cela est certain mais pourquoi Corretja lui a dit qu'il jouerait ( ils sont même allé au Queen's pour s'entraîner la semaine dernière!) pour aujourd'hui devant la presse à la marie de Prague lui apprendre que finalement il ne jouerait pas! Sur le coup de la déception il a laissé sortir des mots qu'en temps normal il n'aurait dit et cela a pris une proportion incroyable sur Twitter et le WEB ! Si il avait été mis au courant cela ne serait pas arrivé ce n'est pas le genre à créer une polémique ...mais il est humain il a dit ce qu'il avait sur le coeur ...plus tard il a déclaré que l'on avait sorti ses mots de leur contexte...j'en ai lu des vertes et des pas mures,je confirme !!!!

« Je me voyais jouer. Je ne comprends pas la décision, bien que je l'accepte.
La piste était idéal pour mon jeu », a affirmé Feliciano après le dessin contesté dans la mairie de Prague.
Celui qui décide c'est le capitaine. C'est une décision dure et difficile et j'accepte la décision du capitaine », a ajouté le joueur de tennis de Tolède, qui dans les dernières heures avait reçu des garanties qu'il allait jouer comme titulaire et qu'on l'avait formé pour cela au Queen's pendant la semaine du Masters ATP de Londres.



Voici une photo d'un entrainement du Queen's




Je me devais de rétablir la vérité quand je vois que ses propos sont déformés

EX avec cet article :Depuis l'Open d'Australie 2012 où Almagro a refusé de serrer la main du Tchèque après sa défaite (4-6 7-6 7-6 7-6), les deux hommes se haïssent ! Hasard du calendrier, Almagro et Berdych se sont pourtant rencontrés à 4 reprises depuis. Lors des deux derniers affrontements, le Tchèque, une classe au-dessus, a littéralement fait craquer son pire ennemi. D'abord à l'US Open (7-6 6-4 6-1), puis lors du récent ATP Stockholm (6-3 6-2), en indoor, où Almagro a été réduit au rang de faire-valoir. Dans les mêmes conditions indoor et sous la pression du public tchèque, l'Espagnol parviendra-t-il à résister au bombardier ?
Berdych s'est imposé sans concéder le moindre set lors des 3 dernières confrontations.
Le Tchèque a littéralement humilié Almagro en indoor lors du récent ATP Stockholm (6-3 6-2). Lors de ce match, Almagro n'a remporté que 35% des points derrière son 2e service et n'a pas obtenu la moindre balle de break, pour 7 concédées.
Almagro est connu pour sa capacité à s'agacer rapidement surtout face aux grands serveurs. D'ailleurs lors de l'US Open, l'Espagnol avait résisté au géant tchèque le temps du premier set avant d'abandonner le match (7-6 6-4 6-1).
>>>>L'ambiance est très tendue dans le groupe Espagne après que Feliciano Lopez ait déclaré regretter la titularisation de Nicolas Almagro face à Berdych, jugeant son compatriote trop faible en indoor pour affronter un tel joueur...>>>>
Entre Berdych et Almagro, il existe une classe d'écart. Devant son public, le Tchèque ne devrait faire qu'une bouchée d'un Espagnol trop vulnérable sur son engagement et manquant de puissance. Comme lors des trois dernières confrontations, le 6e mondial devrait s'imposer sans concéder le moindre set.


C'est le faire passer pour ce qu'il n'est pas ,il est clair qu'il mène aux face à face contre Berdych 4/3 notamment lors d'un premier tour de la CD ou l'Espagne était menée 1/2 Feli a battu Tomas en quatre set pour rétablir l'égalité et son pays a fini par s'imposer ,en Argentine en 2008 et l'année dernière face à Fish ,en indoor il a plus le jeu que Nicolas c'est ce que Corretja lui a dit ainsi que le capitaine Tchèques c'est ce que Feli a voulu dire !

Par contre...la journaliste du journal l'Equipe ( Carole Bouchard) n'en rate pas une!
Jeudecisif ( c'est son nom sur twitter Suis à Prague et cet aprem j'ai trouvé que tout le monde rigolait bien côté ibère.

Carole Bouchard ils n'avaient peut-être pas encore lu As ah t'as de la chance d'être à Prague !

Carole Bouchard Ambiance, ambiance ça continue à Prague. Après la provoc de Berdych, voilà maintenant Feliciano Lopez qui est furax de ne pas être retenu

Carole Bouchard @ jeudecisif -( Bon dis moi qu'en revanche tu n'as pas raté la crise d'ego de Feliciano Lopez qui est vert de rage de ne pas jouer ?



Ici un lien audio où Feli s'explique après le radam sur le Web


http://www.cadenaser.com/deportes/audios/feliciano-lopez-larguero-respeto-decision-siento-dolido/csrcsrpor/20121116csrcsrdep_1/Aes/