Coupe de la Ligue - 2011/2012

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Foot - C. Ligue
Nice revient de loin


Mené au score à trois reprises, l'OGC Nice a arraché sa qualification en demi-finale aux dépens de Dijon (3-3, 5 t.a.b à 3).

Rendez-vous était pris «avec l'histoire», et l'histoire se termine pour Dijon. Une accrocheuse équipe de Nice est passée par là, victorieuse au bout du suspense de ce quart de finale de Coupe de la Ligue (3-3 a.p., 5 t.a.b à 3), son troisième succès en quatre matches toutes compétitions confondues. Menés au score à trois reprises, les Aiglons ont chaque fois trouvé les ressources pour recoller à leurs adversaires. Dans ce genre d'épreuve-là, on se forge un mental. Ce même mental qui vous laisse penser que le dénouement de la soirée ne peut jouer qu'en votre faveur.

C'est donc à l'issue d'un tir au but réussi par Anthony Mounier que les Azuréens se sont hissés, comme en 2009, dans le dernier carré de la compétition. Quelques secondes auparavant, Younousse Sankharé, jusque-là impeccable, avait totalement manqué le sien. Une grande déception pour le camp bourguignon, qui avait pourtant plutôt bien géré ce fameux rendez-vous, menant toujours aux points : l'ouverture du score rapide de Guerbert (18e), le break de Jovial sur un beau service de Corgnet (59e), puis le but de Bauthéac en fin de prolongation (116e). Sur sa pelouse, Nice a relevé la tête à chaque coup de butoir, par Mounier (34e), Civelli (77e) et Monzon (118e) sur un joli coup franc. Ce même coup franc concédé sur une des quelques fautes d'inattention de Dijon, pourtant dominateur dans le jeu. (Rédaction)

Carteron remonté contre l'arbitrage : - L'entraîneur dijonnais a contesté le coup franc accordé par M. Kalt en fin de prolongation, coup-franc qui amène l'égalisation niçoise par Monzon : «Encore un arbitrage difficile, en championnat M. Kalt leur a donné un ballon pour égaliser et ce soir M. Fautrel donne un coup franc inexistant. Je suis fier de mes joueurs qui ont été héroïques, leur parcours est magnifique et stoppé lamentablement. J'ai du mal à digérer. On aura du mal à se maintenir comme ça, on a un public bon enfant qui nous supporte, on accueille bien les arbitres et à l'extérieur voilà ce qu'il se passe. On a l'impression d'être les bons gentils qui se font avoir. Maintenant on ne peut compter que sur nous. Je n'en dirai pas plus sinon la Commission d'Ethique va me suspendre six mois», déclare t-il sur le site officiel du club.

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Foot - C. Ligue
Lorient n'a pas manqué sa chance


Eliminé par le Havre en Coupe de France le week-end dernier, Lorient a cette fois fait respecter la hiérarchie face au Mans (1-0), dernière écurie de Ligue 2 en lice.

Le dernier représentant de Ligue 2 en Coupe de la Ligue est tombé. Le Mans a perdu sa dernière bouffée d'air de la saison mercredi, éliminé en quart de finale de Coupe de la Ligue par Lorient (0-1). Pris à défaut le week-end denier en Coupe de France par une équipe de division inférieure, les Merlus ont cette fois maîtrisé leur sujet et su prendre de la vitesse en seconde période au moment même où les Manceaux accusaient physiquement le coup. Mise en difficulté défensivement le week-end dernier en Coupe de France face au Havre (3-4), la paire centrale Romao - Koné n'a pas connu pareilles difficultés face à des Sarthois à la peine devant. Après plusieurs tentatives ratées de Kevin Monnet-Paquet, Gilles Sunu, d'une frappe croisée au ras du poteau (70e), a donc logiquement envoyé son camp en demi-finale. Les Morbihanais mettent ainsi fin à une spirale négative qui les a privés de victoire depuis le 27 novembre dernier. (Rédaction)

C. Gourcuff : «On passe, tant mieux» - L'entraîneur lorientais a apprécié que sa défense remaniée ait cette fois tenu le choc : «La priorité c'était de ne pas concéder de but. On passe, tant mieux. Dans le jeu, on avait la maîtrise. Arriver en demi-finale, ça commence à sentir bon.» Côté manceau, Denis Zanko a appelé son groupe à la remobilisation : «Ce que l'on a produit est insuffisant. Quand un petit veut manger le gros, il lui faut un petit truc en plus. On encaisse 3-0 sur les deux matches de Coupe. J'ai envie que le groupe ne perde pas sa flamme, on ne s'en sortira en championnat que tous ensemble». (avec AFP)

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Foot - C. Ligue
Le coeur de Lyon a parlé


Réduit à dix dès la 11e minute, l'OL s'est imposé face à Lille (2-1) grâce à un but de Lisandro et rejoint les demi-finales.

Il va falloir trouver mieux que le superlatif pour parler de lui. Il va falloir éviter les répétitions, il va falloir inventer comme il s'y emploie sur le terrain, et cela sans minimiser ses performances. Capitaine de l'OL ce mercredi en l'absence de Cris, Lisandro Lopez a revêtu le costume qu'il préfère, et celui qu'il porte si bien : celui d'homme des grands matches. Déjà auteur d'un triplé contre Lyon-la-Duchère en Coupe de France ce week-end, l'Argentin a signé le but de la victoire contre Lille (2-1) lors d'une soirée extrêmement mal engagée, puisque son camp était réduit à dix dès la 11e minute de jeu. Certes, l'attaquant lyonnais est efficace, mais il sait surtout, comme personne, imprégner son camp de son esprit combatif. Il en fallu, beaucoup, contre des Nordistes bien armés.

Bien armés, car arrivés à Gerland dans une configuration quasi-type (seul Enyeama débarquait dans le but), avec Eden Hazard en pointe. Et encore mieux partis quand M. Kalt expulsait assez sévèrement Mouhamadou Dabo pour un tacle assez haut sur Laurent Bonnart (11e). A partir de là, et face à une défense lyonnaise Gonalons - Umtiti inexpérimentée, Lille avait toutes les clés en main. Il fallait, encore, savoir qu'en faire. Commencer par assommer l'adversaire, évidemment, grâce à Joe Cole (27e), l'homme en forme, décalé par Hazard. Ensuite ? Ensuite, Lille a perdu son fil sur une route si bien dégagée. Et Lyon, doublement à terre, a relevé la tête pour dépasser son rival. Réorganisé en deux lignes de quatre avec Bastos en arrière droit, l'OL est revenu au combat, emmené par un Källström très combatif, auteur de l'égalisation sur un coup-franc de Bastos (41e).

Cette place en demi-finale, Lille l'a autant perdue que Lyon l'a gagnée. Car les Dogues n'ont jamais su mettre leur patte sur la seconde période, où le trio Bastos-Källström-Lisandro a pris toute la lumière. Le LOSC a trop privilégié la solution individuelle, même si la tête de Jelen a failli faire mouche (60e). Son manque de construction et sa légère suffisance ne pouvaient pas peser lourd face au courage lyonnais. Après des raids incessants, le capitaine rhodanien, dont l'efficacité n'est plus à prouver, trouvait la faille sur sa deuxième tentative de la soirée (64e) d'une frappe en pivot sur un centre Michel Bastos, modèle d'abnégation. Son sixième but en 2012 (dont 2 en amical contre Bastia). Et il en redemandait encore (86e) ! De quoi énerver en face, où Mathieu Debuchy prenait la porte (80e) pour une deuxième faute sur l'ancien joueur de Porto. De quoi laisser rêver Lyon à une douce soirée au Stade de France. Sevré de conquêtes depuis 2008, Lyon a l'homme pour mener ce combat. -A.-S. BOURDET

Lyon, Marseille, Lorient et Nice sont donc en 1/2 !!

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Foot - C. Ligue - Demies
Marseille et Lyon s'évitent


Lyon et Marseille ne se retrouveront pas avant la finale de la Coupe de la ligue, selon le tirage au sort des demi-finales effectué ce mercredi à Gerland. Les Lyonnais joueront le 31 janvier à Lorient, tandis que Marseille recevra Nice le 1er février.
Les demi-finales

Lorient - Lyon
Marseille - Nice

Les 1/2 seront à suivre cette Semaine, donc !

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Foot - C.Ligue - OL
Cris titulaire ?


De retour de blessure, Cris pourrait jouer en demi-finale de la Coupe de la Ligue mardi à Lorient (20h45). Cette solution permettrait de faire remonter Gonalons au milieu de terrain.

En plus de ses Africains concernés par la CAN (Mensah et Sidy Koné), Lyon sera aussi privé de Dejan Lovren, mardi à Lorient en demi-finale de la Coupe de la Ligue. Le défenseur central croate, qui était suspendu contre Luçon puis devant Dijon, souffre toujours des tendons d'Achille. Ce qui inquiète Rémi Garde, dans l'incapacité de dater le retour de son joueur. «C'est le propre d'une tendinite, ce sont des douleurs sournoises et lancinantes. Un jour, elles diminuent et quelques minutes après elles réapparaissent juste en courant. Pour lui, c'est psychologiquement difficile.»

En défense centrale, l'entraîneur lyonnais va récupérer rapidement Bakary Koné, qui joue son dernier match de la CAN ce lundi avec le Burkina Faso. «On a affrété un avion pour le faire revenir tout de suite après. L'idée, c'est de l'emmener avec nous à Lorient», indique Garde, qui pourrait soit associer une charnière Gonalons-Umtiti pour la sixième fois d'affilée, soit titulariser Cris, de nouveau sur pied.

«Le synthétique on s'en fout, lâche Michel Bastos. Ils pourraient même mettre du parquet, Cris sera à fond s'il joue.»La pelouse synthétique du Moustoir peut-elle être un frein, sachant que le Brésilien n'avait pas été performant en Championnat, en décembre dernier ? «Son expérience est importante», répond son entraîneur. Michel Bastos a aussi un avis très tranché : «Le synthétique on s'en fout, lâche son compatriote. Ils pourraient même mettre du parquet, Cris sera à fond s'il joue.» Sa titularisation permettrait de faire remonter Gonalons dans l'entrejeu.

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Foot - C.Ligue - Lorient
Avec les recrues


Christian Gourcuff a dévoilé lundi une liste de 18 joueurs appelés pour la réception de Lyon mardi (20h45) en demi-finale de la Coupe de la Ligue. L'entraîneur lorientais peut notamment compter sur Douniama et Gassama (un ancien Lyonnais), les deux recrues hivernales du club breton. Pour le reste, aucun changement n'est à signaler par rapport au match contre Sochaux samedi dernier (1-1) .

Le groupe lorientais
Gardiens : Audard, Lecomte
Défenseurs : Baca, Gassama, Le Lan, Koné, Mareque, Romao
Milieux :Autret, Jouffre, Monnet-Paquet, Mvuemba, Mulumba, Coutadeur, Barthelmé
Attaquants :Emeghara, Campbell, Douniama.

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Foot - C.Ligue - Lyon
«Le club est en manque»


Les Lyonnais peuvent gagner un billet pour le Stade de France pour la première fois depuis 2008. D'où beaucoup d'enthousiasme avant leur demi-finale à Lorient ce mardi (20h45).

«Un rêve !» De l'avis de tous les Lyonnais, une finale, même de Coupe de la Ligue, les marquerait à vie. Difficile en même temps de faire la fine bouche pour un club qui a mangé son pain noir durant trois saisons. Quatre ans après une victoire en Coupe de France qui ponctuait un doublé et un septième titre de champion consécutif, Lyon est à un match du Stade de France. «Ce n'est peut-être pas la compétition la plus prestigieuse au départ de la saison mais quand on regarde la finale à la télé, on se dit que cela aurait été bien d'y être, indique Rémi Garde. Là, c'est peut-être pour nous. On prend donc très au sérieux cette demi-finale.»

Si la lassitude avait gagné joueurs et supporters lors des dernières années de succès, c'est l'enthousiasme et la fraîcheur qui cette fois prévalent. Car la plupart de l'effectif n'a jamais rien gagné. «Moi le premie », déplore Michel Bastos dont le palmarès tant avec Lille (2006-09) qu'avec Lyon (depuis 2009) est vierge. Malgré tout, le Brésilien sait ce que représente une finale. «J'en ai parlé avec mon ami Cris qui a remporté de nombreux titres (quatre de champion de France plus la Coupe de France), il m'a dit que c'est extraordinaire. C'est beau à jouer et beau à gagner.» Après avoir ramené une victoire de Saint-Etienne en huitième de finale (2-1) et arraché une qualification en infériorité numérique devant Lille (2-1), les Lyonnais ne veulent pas s'arrêter là. « Dans le vestiaire, on est tous à fond, reprend Bastos. On a envie de redonner des trophées à ce club qui en avait l'habitude.»

Cet entrain s'est propagé à l'ensemble du staff, Garde ou Bruno Génésio, son adjoint, ayant été champions de France avec l'OL en 1989... mais de D2. À part ça, rien ! Leur motivation à conquérir un trophée avec leur club de toujours est sensible. «Depuis trois ans, le club est en manque, affirme le technicien lyonnais. Il faut mettre cette Coupe de la Ligue au rang de trophée, c'est ce qui nous motive.» Jean-Michel Aulas n'a pas eu besoin de piqûre de rappel avant le rendez-vous breton. Il sait à quel point ses joueurs ont faim.

Lorient a longtemps cru avoir fait le plus dur, menant 1/0 puis 2/0 mais hélas les Gones ont su revenir avant de faire la différence dans les Prolongations ...

Lyon est donc le 1er Qualifié pour la Finale de la Coupe de la Ligue 2011/2012 !!!

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Lyon revient de loin !


Au terme d’un match à rebondissements, Lyon s’est qualifié pour la finale de la Coupe de Ligue grâce à une victoire acquise à Lorient (2-4, ap). Les Gones retrouveront Marseille ou Nice au Stade de France.

Lorient-Lyon 2-4 ap
Lorient : Emeghara (60e), Monnet-Paquet (68e)
Lyon : Lacazette (81e,121e), Briand (90+4e), Gomis (102e)

L’Olympique Lyonnais disputera en avril prochain la quatrième finale de Coupe de la Ligue de son Histoire. Le club rhodanien a validé son billet pour le Stade de France en s’imposant ce mardi sur la pelouse de Lorient (2-4, ap). Un succès obtenu à l’issue d’un match qui a attendu la prolongation pour livrer son verdict. Cette rencontre s’emballait d’entrée de jeu grâce aux velléités offensives des deux équipes, alignées toutes deux en 4-4-2. Vainqueurs 1-0 en décembre dernier sur ce même terrain en Ligue 1, les Gones étaient les premiers à se montrer dangereux. Gomis inquiétait Lecomte d’une superbe frappe lointaine (6e) alors que Lisandro faisait preuve d’une maladresse inhabituelle en manquant deux énormes occasions face au portier breton. (9e, 17e). Les Lorientais n’étaient pas en reste et passaient également très près de l’ouverture du score, notamment sur une frappe pure du virevoltant Barthelme qui rebondissait sur la transversale (28e). Les débats perdaient en intensité à l’approche de la pause et l’arbitre sifflait la mi-temps sur un score de parité malgré une dernière occasion à mettre à l’actif d’Emeghara (45+1e).

Sur la lancée de leur bonne fin de première période, les Merlus prenaient le contrôle de la rencontre dès la reprise, face à des Lyonnais hors sujet. Dangereux par l’intermédiaire de Douniama, le club breton concrétisait sa domination à l’heure de jeu grâce à Emeghara qui se jouait de Cris avant de tromper Lloris avec l’aide involontaire d’Umtiti (1-0, 60e). Menés, les visiteurs ne réagissaient pas et continuaient de subir la loi de Bretons déchaînés qui doublaient rapidement la mise par l’intermédiaire de Monnet-Paquet (0-2, 68). S’ils frôlaient la correctionnelle sur une énorme occasion de Baca (72e), les hommes de Rémi Garde revenaient de nulle part en fin de match. Lacazette relançait le suspense d’une frappe limpide (2-1, 80e) puis Briand, d’un coup de tête salvateur au bout du temps additionnel (2-2, 90+4e), permettait aux Gones d’arracher une prolongation inespérée.

Revigoré par un tel scénario, l’OL gérait assez tranquillement son affaire avant de prendre l’avantage par l’intermédiaire de Gomis (2-3,102e) Lorient jetait alors ses dernières forces mais cette fois la défense rhodanienne tenait bon. Lacazette assurait définitivement la qualification des siens en inscrivant son deuxième but de la soirée à quelques secondes du coup de sifflet final (2-4, 121e). Tandis que les Merlus risquent de regretter cette défaite pendant de longues semaines, Lyon connaîtra le nom du deuxième finaliste de l’épreuve dès mercredi soir, à l’issue d’un duel 100% méditerranéen qui opposera Marseille à Nice.

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Départ retardé pour les Niçois
31/01 21h26 - Football, CdL


«Prévu en milieu d'après-midi en bus, le départ des joueurs niçois pour Marseille aura finalement lieu demain matin, en avion. Les conditions météorologiques épouvantables en PACA ont conduit l'OGCN à privilégier la voie des airs pour leur déplacement le plus court de la saison», indique l'OGCN sur son site officiel.

J'espère BIEN EVIDEMMENT une Finale OM/OL !

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Garde : «Le groupe a été super»
1/02 08h39 - Football, CdL


Rémi Garde a tenu à féliciter ses joueurs après la victoire en Coupe de la Ligue face à Lorient (2-4) à l’issue des prolongations : «J’ai douté un peu à la mi-temps car on sait qu’en ratant beaucoup d’occasions comme on l’a fait c’est compliqué par la suite. En début de seconde période, on était trop bas, trop passifs et on pas gagné assez de duels. Même si tout n’a pas été parfait et qu’on a été en difficulté on est allé chercher cette victoire. C’était difficile de digérer ces occasions ratées en première période. S’il n’y avait pas de difficulté avant le plaisir, le plaisir serait moindre. Le groupe a été super. Cris revenait, il était très fatigué donc il m’a signalé qui était trop juste pour terminer.»