Ligue 1 - Saison 2011/2012

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Foot - L1
Lyon a déjà bien changé


Vainqueur à Nice (3-1), l'Olympique Lyonnais s'est rassuré après une préparation peu convaincante et une dernière saison compliquée. Les Lyonnais sont leaders provisoires du Championnat après ce premier succès.

Lyon a attaqué samedi cette nouvelle saison de Ligue 1 de la meilleure manière. Vainqueur (3-1) à Nice, l'OL a déjà conjuré bon nombre de ses vieux démons, car avant la rencontre le spectre du Nice - Lyon (2-2) de la saison dernière hante encore les esprits. Avec un avantage de deux buts, les Lyonnais avaient alors vu leurs filets trembler par deux fois dans le temps additionnel. «Tu es une bonne équipe, tu as des objectifs, tu ne peux pas avoir des trous comme ça dans un match et perdre complètement les pédales pendant un quart d'heure», prévenait d'ailleurs Hugo Lloris dans L'Equipe de samedi. Pourtant, ce sont bien les Niçois qui entament la rencontre de la meilleure manière. Plus incisifs, les protégés d'Eric Roy trouvent la faille dès le début du match par l'ancien Gone, Anthony Mounier, sur corner (5e). Dix-septième défense de Ligue 1 à l'extérieur la saison dernière, l'OL semble alors déjà bien mal engagé.

Un OL à réaction
Mais cet Olympique Lyonnais là a bien changé en comparaison avec l'OL version Claude Puel. S'ils auraient, l'an dernier, pu baisser les bras dès ce premier but concédé, les Rhodaniens ont cette fois-ci réagi. Et rapidement puisque dès la 9e minute c'est Lisandro Lopez qui remet les deux équipes à égalité d'un pointu opportuniste. Plus solides physiquement, les Lyonnais prennent petit à petit le contrôle du match et concrétisent leur domination, suite à un cafouillage dans la surface niçoise, grâce à Bafétimbi Gomis (32e). Maxime Gonalons venait achever le travail de la tête sur un coup-franc de Kim Kallström (75e). Avec deux buts d'avance, comme en avril dernier, les Lyonnais ne flanchaient pas cette fois-ci et s'ôtaient déjà bon nombre de doutes de la tête.

Résultat, l'Olympique Lyonnais est provisoirement leader du Championnat, avant les deux dernières rencontres de dimanche, et compte déjà plus de points après un match que la saison dernière après deux journées. Surtout, les hommes de Rémi Garde ont montré samedi soir un visage qu'on ne leur avait plus connu depuis un certain temps. Prometteur pour cette saison...

Au Général Provisoire, les Equipes qui ont gagné sont Devant, Celles qui ont fait Nul sont au Milieu et Celles qui ont perdu sont en Bout de Classement

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Foot - L1 - Dijon
Le DFCO ne s'emballe pas


Le DFCO va disputer dimanche face à Rennes (17h00) la première rencontre de son histoire en Ligue 1. Un évènement abordé sereinement.

Ce n'est plus qu'une question d'heures. Dimanche en fin d'après-midi, le DFCO, treize ans d'existence et sept saisons de professionnalisme, touchera du doigt cette Ligue 1 dont ses dirigeants avaient fait un objectif prioritaire. A une date où la capitale bourguignonne s'est vidée d'une grosse partie de sa population, la venue de Rennes favorisera une transhumance appelée à se renouveler encore dix-huit fois d'ici au 20 mai prochain. « Jusqu'à présent, c'est assez calme, on ne sent pas un engouement énorme, constate Grégory Thil. Mais contre Rennes, le stade sera plein, et l'ambiance promet d'être belle... »

L'ancien attaquant de Boulogne-sur-Mer, que l'on croyait définitivement ancré à sa terre du nord, a trouvé des vertus à cette préparation qui s'est étirée dans « un climat sain ». « Pour travailler, c'est idéal. J'arrive dans un club où les dirigeants et le staff technique ont les pieds sur terre, et cela a favorisé notre travail au mois de juillet. » A 31 ans, Thil va redécouvrir une Ligue 1 qui s'était précocement refusée à lui il y a deux ans, à cause d'une grave blessure à une cheville contractée au bout de cinq journées. « Je n'avais pas joué pendant six mois. Là, j'ai hâte de rejouer en Ligue 1, mais comme tout l'effectif, je ne m'enflamme pas. Tout le monde est concentré et personne ne cherche à se mettre une pression négative. »

Sur ce thème, Patrice Carteron ne contredit pas son nouvel attaquant. « Nous avons eu la chance d'effectuer une préparation sans avoir à déplorer de blessures, assure celui qui sera à 41 ans le plus jeune entraîneur de Ligue 1. A l'approche d'un tel rendez-vous, l'essentiel est de ne pas gaspiller son énergie à se stresser inutilement. Il y a de la motivation, de l'excitation, peut-être un peu d'appréhension chez ceux qui vont découvrir la Ligue 1, et c'est tout à fait normal. » Et l'ancien défenseur du Stade Rennais (1994-1997) de transférer subtilement la pression sur son ancien club. « Ils sont favoris. Les Bretons ont une équipe faite pour jouer le haut du tableau. Nous, on se contentera du maintien... »

Dijon a littéralement été désintégré par Rennes, à Domicile pourtant ... Pour un Baptème du feu en L1, ça fait mal lol ... La Saison risque d'être longue et pénible pour les dijonnais en L1 ............... Cela étant, le Match fut fou fou fou et c'est l'expérience qui ce soir à fait la différence ...

St Etienne gagne pour la 1ère fois depuis 12 Ans à Bordeaux mdr et ça faisait aussi 20 Ans lol que les Verts n'avaient plus remporté leur 1er Match de Championnat !!!
C'est dire si le Résultat est surprenant ...
Match "plié" à la mi-temps grâce au REALISME SAISISSANT des Verts qui ont "scotché" sur place des Girondins volontaires, souvent Supérieurs dans le Jeu mais ayant toujours autant de mal à marquer des Buts ...
... Ca risque A NOUVEAU de leur couter bien cher cette Saison cette faiblesse en Attaque !!

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Foot - L1 - 1re j.
Rennes se positionne


Malmené en début de match, le Stade Rennais s'est finalement imposé assez facilement sur la pelouse de Dijon (5-1). Il prend la tête provisoire.

Six buts, un penalty manqué de chaque côté, deux réalisations refusées aux Dijonnais dont une à tort... Le premier match du DFCO dans l'élite a accouché d'un scénario rocambolesque qui a logiquement fini par sourire au Stade Rennais (1-5). Pour avoir su exploiter à merveille les failles de leurs adversaires -et en attendant Bordeaux-Saint-Etienne (21h00)-, les joueurs de Frédéric Antonetti se sont installés sur la plus haute marche du podium à la faveur d'une meilleure différence de buts que Lyon et Montpellier (+4 contre +2). Globalement maîtrisée, leur prestation ne doit cependant pas totalement occulter les difficultés entrevues en début de match, notamment sur le plan défensif.

Ces quelques trous d'airs, les Rennais s'en étaient déjà fait l'écho en Ligue Europa contre les Géorgiens du Metallurgiste Roustavi. Ils auraient pu -ou dû- être sanctionnés dès la 8e minute, si M. Fautrel n'avait pas injustement privé Jovial de l'ouverture du score pour une position de hors-jeu. Jusqu'au penalty manqué de Thil (53e) qui aurait pu permettre aux Bourguignons de revenir à 3-2, Rennes a parfois vacillé devant l'enthousiasme de Dijonnais totalement décomplexés. «On peut parler d'apprentissage, regrettait Patrice Carteron au micro de Foot + dès le coup de sifflet final. Si on était revenu, ça aurait changé la donne, mais on ne va pas non plus se prendre la tête bêtement. Il reste 37 journées...».

A l'image d'un contre assassin conclu par Montano (33e), d'un face à face gagné par Féret (36e) ou encore d'une perte de balle de Diallo dont a bénéficié Boukari (50e), Dijon a payé ses erreurs au prix fort. Ni la réduction du score de Jovial (1-2, 45e), ni les entrées conjuguées de Matsui, Mandanne et Caceres (67e) n'ont permis d'enrayer le festival offensif des Rennais. Positionnés en 4-2-3-1 -plutôt qu'en 4-3-3, le système utilisé l'an passé-, les Bretons ont affiché de belles promesses matérialisées par deux nouvelles réalisations signées Mangane (75e) et Tettey (85e), mais aussi l'intégration réussie de Pitroipa et Féret. Ils s'affirment dès à présent comme des outsiders crédibles dans la course au titre.

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Foot - L1 - 1re j.
Des Verts en avance


Pour la première fois depuis 20 ans, les Verts lancent leur saison par une victoire en s'imposant (2-1) à Bordeaux, toujours en rodage.

Pour sa première mise au Vert, Stéphane Ruffier n'a pas pris de gants. Et Jérémie Janot, quelques mètres plus loin sur le banc stéphanois, a donc bien reçu le message. Celui d'un titulaire à part entière, qui ne lâchera rien cette saison, et n'a d'ailleurs pas relâché le moindre ballon, ni son attention. Janot a vu son rival solide, rassurant, prendre une grande part dans ce premier succès de l'ASSE de la saison, le premier inaugural depuis 20 ans (Ligue 1 et Ligue 2 confondues) sur les terres d'un Bordeaux qu'on attendait revanchard (2-1), et qu'on vit intermittent. A Chaban-Delmas, la reconquête attendra, pas la reconstruction. Saint-Etienne, dans ce domaine, semble avoir pris une longueur d'avance. Et Janot, en toute impuissance, une longueur de retard.

Ainsi donc, les Verts, spécialistes du relâchement en fin de match la saison passée, ont soigné leur rentrée. Les préceptes de Christophe Galtier, en tête de liste une assise défensive solidifiée, sonnent frais dans les esprits foréziens, qui ont affiché une vraie solidarité dans leurs rangs. Solidarité et agressivité, deux valeurs qui ont payé face à des Girondins pas vraiment décevants, mais pas vraiment séduisants non plus. A leur solde, deux bonnes entames de mi-temps, mais cela ne suffit pas à vous faire un match. Surtout quand lors de la première, une bévue de Mickaël Ciani, qui ouvre trop son pied, offre à son camp un but en sa défaveur (0-1, 18e). Surtout quand, lors de la seconde, alors que Jussiê avait réduit le score sur penalty (56e, 2-1), Bordeaux faillit à maintenir son rythme et peine à trouver son jeu, malgré du mieux, indéniable.

En face, bien resserrés sur leurs lignes, les Stéphanois ont fait corps et ont même fait merveille, à l'image du deuxième but de la soirée, plein de réussite, signé Aubameyang, qui cherchait le centre et trouvait finalement le petit filet opposé de Carrasso (30e). A l'image de Ruffier, aussi, sollicité mais jamais pris à défaut (36e, 65e, 69e), et qui peut espérer un accueil chaleureux du Chaudron, samedi prochain, contre Nancy. Quand le Bordeaux de Francis Gillot, sur la voie du mieux mais pas encore guéri, ira chercher davantage de certitudes à Lorient. Le technicien girondin a promis que son groupe irait crescendo. Après cette confrontation face à un autre candidat à l'Europe, il sait désormais plus clairement d'où il part. Pour mieux arriver ? A.-S. B.

Au Général, les Verts et les rennais rejoignent en Tête Montpellier, Caen, Toulouse, Lorient et Lyon !

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Foot - L1 - 1re j.
Une ouverture en fanfare


Le Championnat de France a démarré sur de très bonnes bases. Du spectacle, de jolis et nombreux buts, des désillusions... Le bilan.

En France, on a tendance à se plaindre, souvent à raison, du spectacle en berne sur les pelouses de L1 et du faible nombre de buts. Pour la reprise du Championnat, ce week-end, nous avons eu droit à une journée de Bundesliga, avec 31 réalisations, ce qui en fait la rentrée la plus prolifique depuis près de trente ans. La palme revient à Rennes, incapable de planter un but en fin de saison dernière mais qui a débuté en marquant la bagatelle de cinq buts chez le promu Dijon (5-1). Un démarrage comme ça, on ne va pas s'en plaindre. Que le feu d'artifice continue, on en redemande.

PERF : Lyon déroule
L'OL s'est préparé dans l'ombre de Lille, Marseille et Paris, sous les feux des projecteurs. Les matches amicaux ont été laborieux, avec une seule victoire en cinq matches. Et pas une recrue n'est venue renforcer le septuple champion de France, qui espère l'arrivée de l'Auxerrois Ndinga. Mais à Nice (3-1), les Lyonnais de Rémi Garde ont débuté du bon pied avec un duo Gomis-Lisandro à la baguette, un Gonalons décisif et un Lloris encore déterminant. Une première réussie pour Rémi Garde, qui ne pouvait pas rêver mieux.

CONTRE-PERF : Paris brûle
C'est un euphémisme de dire que le PSG était très attendu samedi soir au Parc des Princes pour la venue de Lorient. Si la manière n'était pas forcément à l'ordre du jour, une victoire pour débuter ce nouvel exercice était le minimum espéré pour ce Paris version qatarie. Au lieu de ça, et alors que Pastore venait de signer et d'être présenté dans un Parc sous le déluge, l'équipe d'Antoine Kombouaré s'est noyée (0-1) en beauté face à des Merlus très au point collectivement, eux. Paris commence mal. Réaction obligatoire à Rennes, une terre où le club parisien ne sait ni gagner ni marquer...

TOP : Lucho régale
Les dirigeants de l'OM ne s'en cachent pas. Si Lucho venait à quitter le club, la porte étant au passage grande ouverte, la venue d'un grand attaquant deviendrait d'actualité. En attendant, l'Argentin est toujours là, et bien là. Samedi face à Sochaux (2-2), il était même titulaire. Très affûté, il a régalé, ce qui n'était plus vraiment le cas depuis très longtemps. C'est lui qui a ouvert la marque d'une frappe splendide avant la pause. Il s'est également distingué en éclairant le jeu avec des passes lumineuses. Du grand Lucho. Mais cela n'a pas suffi pour que l'OM gagne.

FLOP : Sakho très fébrile
Capitaine du PSG et annoncé titulaire mercredi avec les Bleus contre le Chili, Mamadou Sakho s'est emmêlé les pinceaux samedi au Parc contre Lorient (0-1). Le défenseur central a affiché une fébrilité étonnante, qui a notamment surpris son entraîneur. « Sakho je ne l'ai jamais vu faire une première mi-temps comme ça », a réagi Antoine Kombouaré. Son entente avec Bisevac reste également à parfaire. Sans compter que Sirigu, le protier italien, ne parle pas un mot de français. Ça fait désordre.

LE CHIFFRE : 2
Dijon, qui a pris une sacrée rouste à domicile pour son premier match dans l'élite (1-5), a étrangement démarré sa partie. Alors que le score était toujours nul et vierge, les Dijonnais ont inscrits deux buts, qui à chaque fois ont été refusés par l'arbitre. Le premier, signé Jovial, a été injustement sifflé pour un hors jeu imaginaire. Le second, l'oeuvre de Thil, a cette fois été logiquement refusé pour hors jeu là encore. Et pour couronner le tout, le Rennais Féret a manqué un penalty dans la foulée, avant que le tableau d'affichage ne se débloque enfin. Et de quelle manière.

EQUIPE-TYPE
L'équipe-type de cette premiètre journée dessine un onze assez surprenant. Elle offre son entrée au jeune gardien de Toulouse Ahamada. Solide au Parc, le Lorientais Ecuele-Manga fait la paire en charnière centrale avec le Caennais Heurtaux. Au milieu, on trouve un autre Normand, Proment, auteur d'un magnifique but contre Valenciennes. La recrue rennaise Pitroïpa est également présente dance ce onze en compagnie de son coéquipier Montano, virevoltant à Dijon. Le Lyonnais Gomis et le Brestois Lesoimier ont également récolté les premiers lauriers.

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Foot - L1 - Stats
Féret aime les premières


La LFP publie après chaque journée un bilan statistique de la L1. A l'honneur après l'ouverture : le Rennais Julien Féret et le Lillois Florent Balmont.

Outre un nombre inédit de buts depuis la saison 1982-83 (31), la première journée de Ligue 1, samedi et dimanche, a vu aussi Lille améliorer le record de possession de balle de la saison dernière. A Nancy (1-1), le LOSC a contrôlé le ballon pendant 73% du temps effectif. Mieux que Rennes l'an dernier lors d'une défaite (0-1) contre Caen lors de la 19e journée (68%).

Autre statistique au crédit du champion de France en titre : avec 103 passes réussies, Florent Balmont, le milieu lillois, a d'ores et déjà battu le record de la saison dernière détenu par l'ex-Lensois Adil Hermach (100). Avec 640 passes, Lille a également amélioré à Marcel-Picot son meilleur total sous l'ère Rudi Garcia, soit depuis la saison 2008-2009.

Malgré un pénalty manqué...
Les chiffres publiés lundi par la LFP mettent également à l'honneur le néo-Rennais Julien Féret, spécialiste des buts inscrits lors de la première journée. Après avoir expédié un penalty dans les tribunes de Gaston-Gérard, l'ancien Nancéien a inscrit dimanche le deuxième des cinq buts bretons à Dijon (5-1). C'est la troisième année consécutive qu'il marque d'entrée, à chaque fois à l'extérieur. Sous les couleurs de l'ASNL, Féret avait scoré dès la première journée à Valenciennes (3-1 en aût 2009) et à Lens (2-1 en août 2010).

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Foot - L1 - Dijon
Padovani écarté !


Jean-Daniel Padovani paye cher les cinq buts encaissés par Dijon contre Rennes lors de l'ouverture de la L1 (1-5). Patrice Carteron a décidé de l'écarter purement et simplement du déplacement à Toulouse prévu ce week-end. C'est le jeune Reynet qui sera le gardien titulaire, l'international togolais Baba Tchagouni prendra place sur le banc.

Je ne suis pas sur du tout que ce soit le Choix le Meilleur possible après une déroute ... Car la Défense aussi a sa part de responsabilités ... Et du coup le Gardien va en prendre un sacré coup au moral, dès la 1ère Journée !!!!!!!!!!!

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Foot - L1 - 3e j.
Les équipes probables


Bakary Koné va débuter en défense centrale avec Lyon contre Ajaccio. Bodmer et Hoarau sont en balance pour démarrer avec le PSG à Rennes.

Saint-Etienne - Nancy (19h00)
SAINT-ETIENNE : Ruffier - L. Perrin, Mignot, Marchal, Ghoulam - Aubameyang, Guilavogui, Clément, Sako - Sinama-Pongolle, Bergessio
NANCY : Gregorini - Chrétien, André Luiz, Lotiès, Brison - Karaboué, B. Traoré, Diakité, Bakar ou Cuvillier - Hadji, Jeannot ou Bakar

Lorient-Bordeaux (19h00)
LORIENT : Audard - Pedrinho, Bourillon, Ecuélé Manga, Mareque - Jouffre, Romao, Mvuemba, Coutadeur - Monnet-Paquet, Quercia
BORDEAUX : C. Carrasso - Chalmé, L. Sané, Ciani, Trémoulinas - Ab. Traoré ou Krychowiak, Nguémo, Plasil, Maurice-Belay - Jussiê, Modeste

Rennes-PSG (19h00)
RENNES : Costil - Danzé, Kana-Biyik ou Boye, Mangane, Théophile-Catherine - Mvila, Mandjeck ou T. Doumbia - Pitroipa, Féret, Boukari ou Brahimi - Montano ou Boukari
PARIS-SG : Sirigu - Jallet, Bisevac, Sakho, Tiéné ou Ceara - Ménez, Chantôme, Matuidi, Nene - Bodmer ou Hoarau, Gameiro

Lyon-Ajaccio (19h00)
LYON : Lloris - Réveillère, B. Koné, Lovren, A. Cissokho - Briand, Gonalons, Källström, Bastos ou Pied- B. Gomis, Lisandro
AJACCIO : Ochoa - Mostefa, Medjani, Poulard, Begeorgi - Pierazzi, B. André - Kinkela, J. Cavalli, Sammaritano - Socrier

Sochaux-Caen (19h00)
SOCHAUX : Richert - Corchia, Perquis, Carlao, Sauget - Boudebouz, Nogueira, Anin, Martin, Roudet - Maïga
CAEN : Thébaux - Vandam, Sorbon, Heurtaux, Raineau - Seube, Proment - Hamouma, Nivet ou Mb. Niang, Bulot - Frau

Toulouse-Dijon (19h00)
TOULOUSE : Ahamada - Congré, Abdennour, Fofana, Tabanou - Devaux - Mou. Sissoko, Regattin, Sirieix, Machado - Bulut ou Pentecôte
DIJON : Reynet - Varrault, Zarour, Meïté, L. Malouda - Guerbert, Altama, Sankharé, Bauthéac - Thil, Jovial

Valenciennes-Brest (21h00)
VALENCIENNES : Penneteau - Ducourtioux, Isimat-Mirin, Angoua, Bong - Cohade, C. Sanchez, R. Gomis - Dossevi, Pujol, Danic
BREST : Elana - O. Coulibaly, Baysse, Martial, Gentiletti - L. Touré, Grougi, Ewolo ou Culma, Lesoimier - J. Ayité ou Ben Basat, Roux

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Foot - L1 - Bordeaux
Le Moustoir, un cauchemar


Battus par Saint-Étienne (1-2), les Girondins se déplacent à Lorient samedi (19h00). Une destination qui rappelle de mauvais souvenirs aux Bordelais, étrillés au Moustoir la saison passée.

Une défense à la rue, un score humiliant (5-1), des joueurs sans réaction et une expulsion de Cédric Carrasso pour couronner le tout, les Bordelais se souviennent encore de leur dernier voyage au Moustoir. « On n'avait rien fait de bien », se rappelle Michaël Ciani, en grande difficulté devant le duo Gameiro-Amalfitano : « On avait joué haut et large, contre une équipe compacte, qui allait très vite devant. Forcément on s'était exposé », raconte l'international français. Ce soir-là, Jean Tigana alors entraîneur des Girondins avait parlé de « faillite collective » et la distance entre le Champion d'Europe 84 et certains de ses joueurs s'était fait ressentir comme jamais en zone mixte. Quelques jours après la crise du Moustoir, Michel Pavon avait quitté son rôle d'entraîneur adjoint et abandonné un navire bordelais alors en pleine tourmente.

« Il faut arrêter avec ça. Le passé, c'est le passé. Ne vous inquiétez pas, les joueurs oublient vite les choses », riposte Gillot, qui tente de soigner un groupe traumatisé par les dix-huit derniers mois qu'il vient de vivre, depuis son arrivée au club début juin. « Je pense que le coach a raison, on a tiré des enseignements de ce match-là », abonde Ciani, qui avoue avoir reparlé de cette soirée du 19 février avec certains de ses coéquipiers. S'il se veut ambitieux, le défenseur sait pourtant que malgré de nombreux départs, Lorient reste un adversaire tenace : « C'est toujours comme ça à Lorient, assure l'ancien Merlu. Il y a eu Saïfi, Gignac, Vahirua... Là, Gameiro est parti, mais ils ont recruté Quercia qui a le même gabarit. Il y a aussi Arnold Mvuemba au milieu qui distribue très bien et Bruno Ecuele Manga en défense qui reste sur une bonne fin de saison. La touche lorientaise, c'est leur jeu rodé, ils ont des automatismes. En plus, ils sont en pleine confiance avec cette victoire contre Paris », lâche celui qui aimerait définitivement tirer un trait sur le dernier exercice : « C'est une revanche pour nous. Remporter un match à Lorient nous ferait vraiment gommer ce qui s'est passé la saison dernière. » Et lancer celle-ci ?

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Foot - L1 - PSG
Kombouaré (déjà) sous pression


Une semaine après la défaite contre Lorient (0-1), la position d'Antoine Kombouaré est déjà fragilisée. Une défaite à Rennes (19h00), un adversaire qui ne réussit pas au PSG, l'affaiblirait davantage.

La saison vient à peine de débuter et Antoine Kombouaré est déjà sur la sellette. La faute à une défaite inaugurale contre Lorient (0-1) samedi dernier. Forcément, la rencontre à Rennes est déjà capitale pour le Kanak. Mais n'allez surtout pas lui demander. Interrogé sur son avenir vendredi, l'entraîneur a été clair : «Je vais répondre une bonne fois pour toutes. Je viens en conférence de presse pour répondre à toutes les questions concernant le jeu. Et le jeu, c'est le terrain, la tactique, les joueurs. Je ne répondrai plus jamais à cette question. A chaque fois qu'elle sera posée, je me lèverai et je m'en irai.»

Antoine Kombouaré n'a pas mis sa menace à exécution. Il a parlé jeu, et donc joueur, afin de revenir sur la piètre performance de Sakho au Parc des Princes : «Je n'ai pas de regret de le mettre sur le terrain, car c'est le meilleur défenseur du Championnat. Pendant deux, trois saisons, il a été énorme. C'est un compétiteur, il va relever la tête.» Comme l'ensemble de ses troupes, enfin l'espère-t-il : «J'attends de mon équipe un autre visage. Il faudra être solide, plus que face à Lorient, et être capable de proposer du jeu pour se créer des situations. Dans les intentions, j'espère un autre PSG. Les joueurs savent ce que j'attends d'eux.»

Afin de redonner confiance à ses joueurs, les deux ingrédients de Kombouaré sont «le temps» et «le travail». Il a d'abord évoqué un «groupe» qui n'est «pas au complet». Ce qui d'ailleurs a été le cas cette semaine, puisque Kombouaré a été privé de ses internationaux, dont les cinq Français (Sakho, Matuidi, Ménez, Hoarau, Gameiro). «Certains sont en retard [Sissoko, Pastore, ndrl], d'autres blessés [Douchez, Armand, ndrl]. J'ai un groupe qui a un potentiel énorme, qui est jeune, avec du talent. Mais il faut du temps, il faut que cela se mette en place.»

En ce qui concerne le deuxième ingrédient, Antoine Kombouaré a assuré que ses troupes «répétaient les séances, les situations de match...» «Après, il y a le discours que j'ai au quotidien. Cela fait plus de deux ans que je suis avec les joueurs. Concernant les nouveaux, il faut apprendre à se connaître. Travailler, parler, instaurer la confiance. Cela passe aussi forcément par les bons résultats.» Et donc une victoire contre Rennes, un adversaire qui ne sied guère aux Parisiens, puisqu'ils restent sur cinq défaites consécutives à la Route de Lorient en L1 et qu'ils n'ont plus gagné depuis neuf matches contre les Bretons. Pour retrouver trace de leur dernière victoire, il faut remonter au 28 octobre 2006. Les Parisiens s'étaient imposés (1-0). Un tel résultat ferait certainement le bonheur de Kombouaré. Et lui permettrait de gagner du temps.