Ligue 1 - Saison 2011/2012

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Foot - Ligue 1 - 38e j. : Montpellier champion !


En s'imposant à Auxerre (2-1) grâce à un doublé d'Utaka lors d'un match plusieurs fois interrompu, Montpellier est devenu champion de France pour la première fois de son histoire.

Si près du but, les Montpelliérains n'ont pas flanché. Les Héraultais, qui avaient échappé de peu à la relégation en Ligue 2 la saison dernière, ont inscrit leur nom dans le marbre des champions de France, après un parcours d'une implacable régularité. Ils ont tenu leur rang, sans jamais vraiment trembler, même quand Olivier Kapo a ouvert le score de la tête au bout de dix-neuf minutes, alors qu'ils avaient posé leur patte sur le match à peine le coup d'envoi donné par Saïd Ennjimi. Au moment où Kevin Monnet-Pacquet a marqué, en compliquant un peu plus la mission du Paris-SG au stade du Moustoir, John Utaka a égalisé, redonnant à Montpellier cette avance de trois points qu'ils possédaient à 21h00 sur les joueurs de la capitale.

Utaka le libérateur
A la pause, Montpellier est plus que jamais champion de France. Et ce n'est pas l'interruption de la rencontre pendant vingt interminables minutes, le temps que soient évacuées les balles de tennis lancées dans les dix-huit mètres de Jourdren par des ultras auxerrois sous les yeux de Manuel Valls (ministre de l'Intérieur), qui l'a perturbé. Bien sûr, entre deux occasions de Giroud (52e, 61e) et alors qu'à Lorient, un PSG jamais résigné a su inverser le cours des choses, Le Tallec (56e) et Ndinga (68e) ont rappelé aux Montpelliérains la possible menace d'une sortie de route dans la dernière ligne droite. Et puis, les ultras auxerrois, dont l'attitude a fini par exaspérer la majeure partie des autres supporters de l'AJA, ont de nouveau interrompu la rencontre, après qu'un fumigène a achevé sa course dans la surface de Jourdren.

Ce nouvel incident, intervenu dans cette atmosphère de grand n'importe quoi, a conduit à l'évacuation de la tribune Leclerc par les gendarmes mobiles, mais n'a pas ébranlé le si solide édifice montpelliérain. La délivrance, après plusieurs occasions de Giroud (71e, 74e) est intervenue à un quart d'heure de la fin, toujours par Utaka, auteur dans l'Yonne de ses sixième et septième buts de la saison. Accessoirement les plus importants de sa carrière. Avec plus de trois quarts d'heure de retard sur l'horaire prévu, Montpellier a fêté son titre avec ses supporters, dont certains n'ont pas hésité à envahir la pelouse...

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Football, Ligue 1
Montpellier, quelle première !


Fondé en 1974, Montpellier est devenu pour la toute première fois de son histoire champion de France de Ligue 1 après sa victoire enregistrée à Auxerre (1-2). Un sacre mérité au bout d’une saison des plus surprenantes pour le club fondé par Louis Nicollin.

Il ne lui suffisait que d’un point à Auxerre pour être titré. Montpellier a fait mieux avec un 25e succès empoché cette saison (1-2). Un match qui a mis du temps à livrer son verdict final, la faute aux supporters auxerrois. Mécontent du sort de leur équipe et de cette descente en Ligue 2, ils ont perturbé pas mal cette rencontre en provoquant son arrêt à plusieurs reprises. Cela aurait pu déstabiliser les visiteurs qui, avec caractère, ont trouvé les ressources pour renverser un match bien mal engagé par l’ouverture du score de Kapo (20e). Mais le doublé d’Utaka (32e, 78e) les a envoyés au paradis. Comme Lens en 1998 et Lyon en 2008, Montpellier a fêté son titre au stade Abbé-Deschamps et est devenu en ce 20 mai 2012 le 19e club à inscrire son nom au palmarès du championnat de France de Football. Son tout premier sacre en Ligue 1, 32 ans après sa création. Logique et mérité tant les Héraultais ont été récompensés par leur régularité tout au long de cette saison. Et aussi leur mental par cette propension à faire souvent la différence dans les derniers instants de la partie, à l’image du but marqué par Aït-Fana face à Lille dimanche dernier (1-0), qui a peut-être achevé les derniers espoirs de titre du dauphin parisien.

Une gestion intelligente
Plus globalement, les chiffres sont également on ne peut plus parlants : 82 points au final, meilleure équipe à domicile (première équipe à glaner 50 points chez elle depuis l’instauration de la victoire à trois points), plus grand nombre de victoires (25), meilleur buteur (Giroud avec 21 unités) et meilleure défense (ex-aequo avec Toulouse). Le 13e budget de Ligue 1 a donc surpris tous les observateurs et s’est appuyé sur un groupe soudé subtil mélange d’expérience (Pitau, Hilton, Jeunechamp, Dernis) et de jeunes prometteurs et formés au club (Belhanda, Saihi, Jourdren, Yanga-Mbiwa, Stambouli, Aït-Fana). Jamais titré, donc, le meilleur classement du club avait été jusque-là atteint lors de la saison 1987-1988, lorsque les partenaires de Roger Milla et Laurent Blanc avaient achevé l’exercice à la troisième place du classement. De cette épopée, un homme est resté estampillé MHSC : Pascal Baills, l’actuel adjoint de René Girard. L’ancien défenseur est mieux placé que quiconque pour savourer au mieux ce titre si surprenant…

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Foot - Ligue 1 : Girard : «Le plus beau cadeau»


René Girard, l'entraîneur d'un Montpellier champion de France, a estimé dimanche que «l'argent ne faisait pas le bonheur» pour expliquer le succès de son club qui a devancé au classement le richissime Paris-SG. «Et Loulou Nicollin a reçu le plus beau cadeau possible», a-t-il rajouté.

«René Girard, quelle est votre réaction après ce fabuleux dénouement ?
C'était un match un peu heurté et saccadé mais ça se termine bien pour nous. On se demande comment on va finir, on est toujours inquiet après deux interruptions. Mais ça couronne la saison. Je suis très fier de mes garçons. Ils ont fait une saison exceptionnelle. On a marqué des buts et on n'en a pas beaucoup pris. On a mérité d'aller au bout.

C'est l'aboutissement de votre carrière ?
Vaut mieux tard que jamais. Je l'ai vécu en tant que joueur. C'est fort. Nos supporters ont été exceptionnels. J'espère qu'on va faire une fête extraordinaire à la Comédie. Je ne savais pas qu'on pouvait soulever un enthousiasme comme ça. Ce dimanche soir, il y avait des Montpelliérains partout. On doit leur tirer un grand coup de chapeau. C'est quelque chose qui commence entre cette équipe et le public.Vous devez avoir une pensée pour Louis Nicollin...
J'ai vu qu'il était stressé à cinq minutes de la fin et je lui ai dit: "Positivez, soyez cool" et après deux minutes, il m'a dit: "Je crois que ce coup-ci, on y est." Lui aussi va réaliser demain que c'est un grand moment pour le football pailladin. Si j'avais un cadeau à lui faire, c'est le plus beau que je pouvais lui offrir.

Qu'est-ce que cela fait de terminer devant tous les cadors de L1 ?
Je crois que c'est frais, c'est bien. Cela ravive notre football, ça montre qu'il ne faut craindre personne, que l'argent ne fait pas le bonheur. On est un club de copains, un club formateur. Et à l'arrivée, ça donne un cocktail pas trop mal. On a produit un football complet. On n'a pas fait que défendre. Il y a eu un bel équilibre dans l'équipe et je suis bluffé.»



Dernis «n’a pas de mots»
20/05 23h31 - Football, L1


Goeffrey Dernis savourait le titre de champion de France de Montpellier, vainqueur à Auxerre (1-2), au micro de Canal+ : «J’ai pas de mots, c’est tellement fort ! On avait rien à jouer à part le maintien et on finit champions. C’est une première pour moi et c’est une grande émotion. Je vais en profiter.»



Foot-Ligue 1-MHSC : Nicollin : «Vous en mangerez cinq ans»


Après avoir souffert durant tout le match, c'est un Loulou Nicollin le souffle court qui a répondu aux médias. Selon lui, l'ère de Montpellier ne fait que commencer.

Louis Nicollin (président de Montpellier) : «C'est de la fierté. Notre club est champion de France ! Ce n'est pas pensable. Ce n'est pas volé surtout que cela n'a pas été un match facile, ce dimanche soir. C'est fabuleux. Je pense que c'est mérité. Nous verrons lundi ce que dit la presse. Je crois que c'est la plus grosse joie que le club m'a procuré. C'est le plus beau jour de ma carrière sportive, c'est sûr. C'était dur, quand on arrête trois fois le match... Lundi, je vais aller me faire couper les cheveux comme je l'ai promis et à midi, nous irons déjeuner au mas. Et ensuite, nous partirons ensuite tranquille sur "La Comédie" où, je pense, il y aura une grande fête. Le titre, nous l'avons gagné lorsqu'on a gagné à Rennes. Président, c'est éprouvant. Champion, c'est la cerise sur le gâteau. Ce n'est pas un pied de nez au PSG. Mais ne vous faites pas de soucis, vous allez manger du Montpellier pendant cinq ans car la mayonnaise va prendre».



Foot - Ligue 1 - MHSC : «La victoire de tout un groupe»


Sacrés champions de France pour la première fois de l'histoire de Montpellier, après leur succès à Auxerre (2-1), les Héraultais ont salué le comportement de toute l'équipe au terme d'une soirée rendue délicate par les événements. Chacun a mis en avant l'état d'esprit et les qualités du groupe.

Dans l'agitation du petit stade de l'Abbé-Deschamps, après une fin de match interminable contre Auxerre (2-1), les Montpelliérains ont finalement lâché leurs premiers mots en tant que nouveaux champions de France, longtemps après la rencontre. Tous à leur joie de ce premier titre, ils n'ont pas été avares de superlatifs. «C'est une soirée exceptionnelle, quelque chose de grand, a réagi à chaud Olivier Giroud. On a tenu la route, et c'est vraiment la victoire de tout un groupe, de tout un collectif». «On va fêter ce titre avec nos supporters, qui ont été derrière nous toute la saison, a ajouté Karim Aït Fana. Sans eux, nous n'aurions peut-être pas remporté ce titre. Ce titre récompense le travail de tout un effectif, sans exception».

«Les interruptions ont été un peu déstabilisantes»
Soulagés d'être sortis indemnes d'une soirée cahotique, les Héraultais avaient aussi peine à croire qu'ils seraient sacrés de la sorte, après plusieurs arrêts de leur dernier match. «Nous avons prouvé que nous étions solides, d'abord en égalisant, puis en gérant bien les évènements, puisque les interruptions de la rencontre ont été un peu déstabilisantes, a indiqué le milieu marocain. Nous ne connaissions pas le résultat du Paris-SG à Lorient, mais on voulait obtenir la victoire. On a fait un match plein. Nous vivons de très grands moments». Plus au courant de l'évolution du score du PSG, Giroud a lui aussi vécu une soirée intense. «Quand Auxerre a mené au score, cela n'a pas été facile, mais on a su réagir en égalisant avant la mi-temps, a-t-il raconté. Il y a eu les interruptions du match, le Paris-SG a égalisé puis pris l'avantage à Lorient, mais on a su aller chercher cette victoire».

«J'espère qu'il y aura encore de grands moments à vivre avec ce groupe.» (Henri Bédimo)Suspendu mais bel et bien présent à Auxerre, Henri Bédimo était lui aussi aux anges. Non seulement du résultat final mais aussi que son équipe soit enfin récompensée pour son travail fourni et reconnue désormais à sa juste valeur. «Ce groupe a des qualités, du talent, du courage. Il vit bien, et on réalise quelque chose de grand. Il a prouvé sa solidité, en gérant très bien les évènements, a estimé le défenseur camerounais. Terminer champion de France avec quatre-vingt-deux points, c'est très fort. J'espère qu'il y aura encore de grands moments à vivre avec ce groupe». A commencer par la célébration du titre avec la remise du trophée, dès lundi, quand tout le monde sera de retour à Montpellier. Geoffrey Dernis sera évidemment de la partie. «A mon âge, vivre des moments comme ça, c'est fantastique, a lâché le vétéran. Je savoure pleinement, car je suis plus près de la fin que du début. C'est un vrai privilège de vivre une telle aventure à Montpellier». - Avec A.Bi., à Auxerre

Au Général,

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Foot - Ligue 1 : Le bilan de la saison


Champion : Montpellier

Ligue des champions : Montpellier et Paris-SG (phase de groupes), Lille (barrages).

Ligue Europa : Lyon (phase de groupe), Bordeaux (barrages), Marseille (3e tour préliminaire).

Relégués : Caen, Dijon, Auxerre

Promus : Bastia, Reims, Troyes

Meilleurs buteurs : Olivier Giroud (MHSC) : 21 buts (dont 2 penalties). 2e, Nene (PSG) : 21 buts (9 penalties). 3e, Hazard (Lille) : 20 buts (dont un triplé dimanche soir).

Meilleurs passeurs : Hazard (Lille) : 15 ; 2e, Valbuena (OM) : 13 ; Ménez (PSG) : 12.

Très beau champion légitime, très content de la 3e place du LOSC, en esperant de beaux matchs en Ligue des Champions dans le nouveau Grand Stade!
Autre bonne nouvelle, le maintien pour Valenciennes!!

Nicolas a écrit:

Très beau champion légitime, très content de la 3e place du LOSC, en esperant de beaux matchs en Ligue des Champions dans le nouveau Grand Stade!
Autre bonne nouvelle, le maintien pour Valenciennes!!

Oui, VA méritait de se maintenir, c'est un Club qui a des Valeurs ! Même chose pour Ajaccio qui se maintient AU COEUR, avec un tout petit Budget mais des hommes DE CARACTERE qui savent ce que c'est l'amour du Maillot !!!

TRES DECU par la Saison marseillaise mais bon, je ne vais pas épiloguer là-dessus ... On a su se qualifier malgré tout pour l'EL, via la Coupe de la Ligue, donc ca atténue UN PEU la déception !

Je vois pas mal de Points communs entre le LOSC et le MHSC
Outre la qualité du Football pratiqué par ces 2 Equipes, ce sont 2 Equipes qui n'ont pas de gros Budgets mais qui ont su miser sur la Formation de jeunes et sur l'état d'esprit du Collectif ! Ca, ça compte ENORMEMENT à mes yeux !

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Foot - Ligue 1 - MHSC : Nicollin a une crête rouge !


Comme promis à ses joueurs depuis longtemps, dans le cas de figure où Montpellier serait sacré champion de France, Louis Nicollin a accepté de changer radicalement de coupe de cheveux. Invité lundi midi sur le plateau de France 3 Languedoc-Roussillon, au lendemain de la victoire de son club à Auxerre (2-1), "Loulou" s'est présenté avec une crête orange et bleu, les couleurs de son club, sur la tête. « Plus je regarde cette crête, plus je me trouve intronchable », a-t-il déclaré avec sa gouaille habituelle.

Mais le président héraultais ne s'est pas arrêté là puisqu'il a aussi lancé un autre pari sur le ton de la rigolade. « Si on gagne la Ligue des champions la saison prochaine, je me rase partout », a-t-il promis devant une assistance amusée.

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J'adore

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Foot - Ligue 1 : Montpellier a reçu son trophée


Devant des dizaines de milliers de supporters réunis sur le parvis de l'opéra, Frédéric Thiriez a remis le trophée de champion de France aux joueurs de Montpellier, lundi en début de soirée.

Avec un peu de retard sur l'horaire initialement prévu, les Montpelliérains ont reçu leur trophée de champions de France, lundi en début de soirée (19h40), des mains de Frédéric Thiriez, le président de la Ligue professionnelle (LFP). Devant des dizaines de milliers de supporters réunis sur le parvis de l'opéra place de la Comédie, l'ensemble du club, joueurs, entraîneur, staff et dirigeants compris, a pu soulever "l'Hexagoal" sur une estrade dressée pour l'occasion. Accompagné par l'historique président Louis Nicollin, c'est le capitaine Mapou Yanga-Mbiwa qui a brandi en premier la récompense.

Nicollin remercie les anciens
"Loulou" a ensuite pris le micro pour exprimer son émotion. «La paillade, c'est tout une histoire, a lancé celui qui dirige le club depuis 1977. Ça me fait chaud au coeur de vous voir tous réunis là». Il n'a pas oublié non plus de remercier les illustres anciens qui, selon lui, ont aussi rendue possible cette consécration. Les noms de Georgres Frêche, ancien maire de la ville décédé en 2010, de Bernard Gasset, «qui a permis à Montpellier d'avoir un club professionnel», de Michel Mézy, de Robert Nouzaret et de l'actuel coah René Girard ont été cités. A l'applaudimètre, ce dernier l'a d'ailleurs largement emporté.

Cette joyeuse colonie parée aux couleurs orange et bleu du club avait auparavant défilé dans les rues de la ville. La pluie n'a pas gâché la fête. Rien ne pouvait en effet empêcher les Héraultais de célébrer ce premier titre de champion du MHSC.

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Championnat de France


MONTPELLIER CHAMPION 2012

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BRAVO MONTPELLIER !!!!!

Focus sur la Journée écoulée :

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Foot - Trophée des champions : Nicollin n'ira pas


Ravi du titre de champion de France de Montpellier, son président Louis Nicollin n'en perd pour autant de vue ses priorités. Pas question pour lui de changer ses habitudes, il ne veut pas dépenser le moindre sou pour se rendre à New York, le 28 juillet, où son équipe affrontera Lyon, le vainqueur de la Coupe de France, lors du Trophée des champions. «Je trouve cela complètement con d'aller le jouer à New York», a-t-il estimé mardi soir sur RTL. Il a en revanche confirmé qu'il se rendra à Londres pour assister au tournoi féminin de football, pour lequel plusieurs joueuses de Montpellier ont été sélectionnées.

Le patron du club héraultais, qui s'exprime également longuement dans notre quotidien à paraître mercredi, n'a pas non plus l'intention de remettre la main au porte-monnaie pour récompenser ses joueurs de leur saison. «Je ne vois pas pourquoi je verserais une prime de champion, alors que c'est marqué dans leur contrat, a-t-il tranché, stoppant net toutes éventuelles négociations que son effectif aurait pu entamer. Ils doivent estimer qu'il en faut une de plus. On va donner une primette comme on a donné contre Lille. Il faut être raisonnable».

Du Loulou dans le texte

Ne change jamais, Loulou, on t'adore !!!!!!

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Foot - Ligue 1 - PSG : «Reconstruire le Parc des Princes»


Dans un entretien à paraître mercredi dans L'Equipe, Nasser al-Khelaïfi réaffirme la volonté du PSG et de Qatar Sports Investments d'ériger un nouveau Parc des Princes de 60 000 places.

A la tête du PSG depuis bientôt un an, Nasser al-Khelaïfi se satisfait d'avoir «atteint l'objectif de se qualifier pour la Ligue des champions», même s'il ne cache pas sa «déception» d'avoir vu le titre de champion échapper au club de la capitale. Sur le dossier sensible du stade, le patron de Qatar Sports Investments, actionnaire unique du PSG, semble écarter définitivement l'hypothèse d'un déménagement au Stade de France. «Le Parc des Princes est la maison du PSG. L'histoire du club est ici, les joueurs s'y sentent bien. Notre volonté première est de rester ici», souligne Nasser al-Khelaïfi.

Qui se montre très précis sur son autre ambition, celle de bâtir, un nouveau Parc dont la capacité serait portée à 60 000 places (contre 45 000 aujourd'hui). «Notre priorité, c'est de reconstruire le Parc, sur le même site, et d'ériger une enceinte de 60 000 places. C'est un projet très ambitieux. La seconde option serait de simplement rénover le stade actuel. Il serait alors plus petit, d'environ 54 000 places. Ce n'est pas beaucoup...»

Le président du PSG indique que Jean-Claude Blanc, le directeur général du club, «continue de discuter avec la mairie de Paris», propriétaire du Parc à 100%. «Rien n'est encore finalisé, conclut-il. Nous annoncerons bientôt notre décision.» - A.C. et J.T.