Roger Federer - 3

46 67 62 76 61, Federer est VRAIMENT revenu de l'enfer ce Soir, le suisse était prenable et Julien lui a posé d'énormes problèmes durant les 3/4 de la Partie ... Avant de craquer dans le Final .. Le français a été à plusieurs reprises à deux Points du Match mais n'a pas su saisir sa chance, Fed a su sortir des Services Gagnants au Bons Moments et serrer le Jeu quand il l'a fallu ...

Citation :

Tennis - Wimbledon (H) : Federer a eu chaud


Julien Benneteau a frôlé l'exploit contre Roger Federer vendredi. Le Français a mené deux manches à zéro, mais il s'est finalement incliné contre le Suisse (4-6, 6-7[3], 6-2, 7-6[6], 6-1).

Julien Benneteau est passé à deux doigts d'un exploit face à Roger Federer ce vendredi, mais le Français s'est finalement incliné en cinq sets (4-6, 6-7 [3/7], 6-2, 7-6 [8/6], 6-1) lors du troisième tour. Peut-être inspiré par le Tchèque Lukas Rosol, le 100e mondial, qui avait envoyé dans les cordes la veille Rafael Nadal, Benneteau a fait souffler un vent de folie sur le Court Central. La tête de série N°29 a mené deux sets à zéro face au sextuple vainqueur du tournoi, et s'est retrouvé cinq fois à deux points du match dans le quatrième set, avant de céder dans la cinquième manche.

Hormis dans le troisième set qu'il a laissé filer, et au cinquième où, épuisé, il n'avait plus les armes physiques pour lutter, Benneteau a été très solide au service et en revers. Mais le Suisse, sans jouer un grand tennis, a laissé passer l'orage. Il a quand même tremblé une dernière fois dans le tie-break du quatrième set, qu'il s'est adjugé de justesse. Benneteau, qui restait sur une victoire sur le numéro 3 mondial en 2009 à Bercy, n'a pas vraiment de reproches à se faire. Federer a sorti les coups qu'il fallait, notamment quelques bons services, à chaque fois qu'il a été à deux points du match.

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Julien Benneteau : «(A la fin du match) J'avais des crampes aux quadriceps, c'était difficile pour moi de servir et d'avoir de bons appuis. (Sur sa chute au troisième set) Je ne me suis pas blessé, mais cette chute a été dure à encaisser. J'étais un peu tremblotant après ça. Les conditions étaient parfaites, pas de vent, un peu d'humidité, le meilleur joueur de tous les temps devant moi, c'était parfait. Il a bien joué quand il a fallu. Mentalement, c'est un roc. A deux sets zéro, il ne montre rien. Et si votre niveau baisse un peu, il saisit l'opportunité. Il a la capacité de s'améliorer au cours du match. Il est devenu plus agressif, a frappé plus fort. Il faut rester concentré sur chaque point, ne faire aucune erreur, faire toujours le bon choix tactiquement. J'ai bien frappé, j'étais en forme. Je savais qu'il fallait que je prenne le contrôle de l'échange, que je l'agresse, que je ne le laisse pas diriger l'échange avec son coup droit. Je peux me servir de ce match comme base de travail. Après un match comme ça, vous êtes un meilleur joueur. Même si j'ai perdu, je pense que ce sera positif pour la fin de ma saison et même pour ma carrière. C'était un moment magique. Pour l'instant il n'y pas de déception. Il y en aura peut-être un peu ce soir. Mais je ne peux pas être déçu. J'ai fait ce que j'espérais faire. Je suis sorti la tête haute, face au plus grand joueur, chez lui. C'est un moment fabuleux.»

Roger Federer : «C'est toujours une très bonne sensation que de revenir de deux sets zéro. Avec le toit fermé, l'atmosphère était spéciale. Le public s'en est mêlé et pour les joueurs c'était fantastique. Après un match comme ça, ça gonfle le moral. (Qu'est-ce qui a fait la différence?) Avoir été là si souvent, savoir comment gérer ces situations, ne pas paniquer. Je savais que le physique ne serait pas un problème, mais je ne pouvais plus me permettre la moindre erreur. J'ai manqué une situation à 0-40 sur son service au 4e set. Ca a été le moment le plus difficile. Mais j'ai joué de mieux en mieux au fil du match, c'est ce que j'espérais. L'expérience est importante mais ne fait pas tout, il faut se battre. J'ai manqué beaucoup d'opportunités, mais j'ai aussi réussi quelques gros coups quand il fallait. (Sur le Belge Xavier Malisse, son adversaire au prochain tour) Je pense que le gazon est sa meilleure surface. Il lit très bien le jeu, bouge extrêmement bien. Ce sera un match difficile.»

Il affrontera Malisse en 8ème !

Il ne me reste DEJA plus que Roger a supporter j'aime bien Xavier ou Ferru mais bon ce n'est pas non plus la grande ,grande passion ,pour le Belge c'est surtout à cause qu'il ne se fait que rarement violence...Wimbledon aussi triste que RG !!! Mis à part la victoire de" Rafa pour le reste ...
Allez Roger jusqu'au bout!!!

Matthieu a écrit:

Il affrontera Malisse en 8ème !

PFFFF, quel tirage de M**** !!

Pauline a écrit:

Matthieu a écrit:

Il affrontera Malisse en 8ème !

PFFFF, quel tirage de M**** !!

Un huitième c'est normal Pauline !?

Comment vous sentez-vous après cette victoire face à Julien Benneteau?

R.F. : Je me sens bien, de toute évidence. C'est toujours un des meilleurs sentiments de revenir dans le match après avoir été mené deux sets à rien en Grand Chelem, en particulier ici à Wimbledon où j'ai déjà réalisé pareille performance. Avec le toit fermé, cela donnait une atmosphère particulière à cette rencontre. Quand vous sortez vainqueur de genre de match, vous avez ensuite l'esprit libéré. Car vous êtes toujours dans le tournoi et que vous avez toujours une chance...

Rafael Nadal a été battu la veille de votre match dans des conditions quasiment similaires, avec le toit fermé. Qu'est-ce qui a fait la différence pour vous?

R.F. : Probablement parce que j'ai été souvent dans cette situation et que je sais la gérer. Je n'ai pas paniqué. Je savais qu'en breakant au début du troisième set, le match était plus ouvert et que j'allais être plus fort. Physiquement, tout allait bien, c'est plus mentalement que cela s'est joué. On peut parler de l'expérience, mais parfois cela ne fait pas gagner des matches. J'ai raté pas mal d'occasions, mais j'ai su rester calme et dans l'oeil du cyclone.

Pensez-vous que les conditions indoor vous ont aidé?

R.F. : Sans doute. J'aime quand les conditions de jeu sont stables. Je veux dire par là, quand il n'y a pas de vent qui peut faire changer la trajectoire de la balle ou quand le soleil peut rendre votre vision différente en fonction de la luminosité qu'il y a sur le court. Dès le départ, à l'échauffement, j'ai tout de suite senti que le vent allait être un acteur important du match. Le fait de fermer le toit ou non allait donc être également un facteur tout aussi important. Je ne peux pas vous dire que cela m'avantage à chaque fois, mais cela change beaucoup de choses. Je suis persuadé que cela a influencé aussi le jeu de Rosol face à Nadal. Aurait-il joué comme il l'a fait face à lui dans des conditions en plein air ? Je n'en suis pas sûr.

Au-delà de la surprise de l'exploit de Rosol, qu'avez-vous ressenti avec la défaite de Nadal?

R.F. : Ce n'est pas contre Rafa, mais cela prouve que ce genre d'exploit est encore possible. Il y a quinze ans, il y avait des matches comme cela beaucoup plus souvent sur des surfaces beaucoup plus rapides avec des gars qui prenaient feu et qui vous passaient dessus. Aujourd'hui, c'est pratiquement impossible. Notamment en raison des conditions de jeu qui sont plus lentes. Donc c'était incroyable d'assister à cela. J'étais mal pour Rafa quand même car c'est défaite difficile à vivre ici à Wimbledon. Mais ce sont des choses qui arrivent. Toujours est-il que le cinquième set est une plaisanterie car il n'a pas joué comme ça pendant cinq sets. J'en ai ri pendant dix minutes après cela. Je ne pouvais pas croire que Rosol soit parvenu à faire cela.

Cela est devenu impossible aussi parce que les joueurs du Top 3 mondial dont vous faites partie trustent tous les titres depuis plusieurs années. Cette période s'essouffle peut-être?

R.F. : Vous pouvez demander cela à différents joueurs, je ne suis pas sûr que vous ayez les mêmes réponses. Une peut-être : nous ne savons pas à quoi ça se joue. Peut-être parce que vous donnez le meilleur de vous même à l'entraînement, sur chaque point que vous jouez, en évitant un maximum les blessures. Personnellement, j'ai fait le tour de la question. Je sais combien il est difficile de battre des joueurs quel que soit leur classement. Chacun représente un défi et un style de jeu qui vous convient ou non. C'est pourquoi j'aime ce sport où chaque jour apporte son lot de nouveautés. Vous ne savez jamais à quoi vous attendre.

En huitièmes de finale, vous affronterez Xavier Malisse (75e mondial, NDLR), que vous avez battu neuf fois sur dix confrontations depuis 1999. Vous souvenez-vous de votre victoire en cinq sets ici même en 2001, seul match sur gazon disputé face à lui?

R.F. : Ce match en cinq sets date un peu, je ne m'en souviens pas précisément, mais je le croisais souvent en junior et dans les premières années de ma carrière. Nous nous recroisons à nouveau et c'est sympa de le voir à nouveau bien se débrouiller sur le circuit. Je connais la difficulté. J'ai deux jours de repos (samedi et dimanche, NDLR) pour me poser et tout le temps de penser à ce match qui sera difficile... Je sais que le gazon est sa meilleure surface. C'est un joueur très talentueux qui lit très bien le jeu et la géométrie du court. Il a un bon service et bouge très bien, surtout sur herbe. Ce sera forcément un joueur à ne pas prendre à la légère.


----------------------------Ah bon Xavier bouge TRES bien lol quand il s'en donne la peine peut-être lol

76 61 46 63 Fed passe "logiquement" l'Obstacle Malisse MAIS il a connu des soucis physiques au dos qui laissent planer des doutes quant à la suite de son Tournoi ...

Il affrontera Youzhny en 1/4, Tombeur en 5 Sets d'Istomin.

Citation :

Tennis - Wimbledon (H) : Federer dit 33


Malgré un dos douloureux, Roger Federer a écarté (7-6 [1], 6-1, 4-6, 6-3) Xavier Malisse et atteint ainsi son 33e quart de finale consécutif en Grand Chelem. Son prochain adversaire : Mikhail Youznhy.

Après sa victoire (7-6 [1], 6-1, 4-6, 6-3), Roger Federer présente ses excuses à Xavier Malisse. Pendant dix minutes à 4-3 au premier set, le Suisse sort du court pour se faire soigner le dos (voir son explication). Quand il revient, il joue en marchant et concède son service à 5-5. Au changement de côté, il enserre son dos avec sa serviette. Le public du centre court craint le pire. Mais le Suisse peut compter sur son bras magique et son expérience. Il ne panique pas et compense ses difficultés physiques par sa faculté à prendre la balle tôt. Sur une amortie gagnante, il rentre aux vestiaires avec un set d'avance en raison de la pluie.

Après trois quarts d'heure d'interruption, le 3e mondial bouge mieux et profite des errances du Belge dans la deuxième manche. Faute de vitesse au service (177 km/h en première balle, 154 en seconde en moyenne), il cherche les zones et le pourcentage (70% au total). Faute de percussion, il montre l'efficacité des variations. Mais il reste à la merci du talent du 75e mondial. Sur d'excellents retours, Xavier Malisse se relance, remporte le troisième set mène 2-0 sur une magnifique demi-volée amortie dans le quatrième.

Federer s'adapte
Comme toujours, Roger Federer ne bouge pas un cil et profite d'un faux rebond pour recoller au score (2-2) avant de s'échapper 5-2. Sur un 9e ace, il peut se détendre. Son médecin ne lui a pas demandé de dire 33, mais le Suisse accroche pourtant son 33e quart de finale d'affilée. A Wimbledon plus qu'ailleurs, tout est une question d'habitude. Pour l'ancien numéro 1 mondial plus que quiconque, tout est une question d'habitude. Et son prochain adversaire, Mikhail Youzhny, ne va pas le dépayser. En treize confrontations, Roger Federer n'a jamais perdu. L'un a mal au dos, mais l'autre peut avoir mal à la tête avant ce match.

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Tennis - Wimbledon : «Pas tant inquiété que ça»


Après sa victoire contre Xavier Malisse, Roger Federer a expliqué qu'il s'était bloqué le dos en début de match. Mais le Suisse ne s'est «pas tant inquiété que ça».

Événement rarissime sur le Centre Court : Roger Federer qui sort pour recevoir un traitement médical. En l'occurrence c'est le dos qui s'est bloqué. Au milieu du premier set (4-3) face à Xavier Malisse, le numéro 3 mondial, est donc sorti pour se faire masser. A son retour, huit minutes plus tard, sous anti-inflammatoires, il a ensuite pensé à réchauffer le bas de son dos en y apposant sa serviette pendant les changements de côté. Par moments assez passif et sans réaction dans le jeu, il a néanmoins su se reposer sur son talent, même breaké d'entrée de quatrième set, pour l'emporter en quatre manches face à un Malisse comme souvent trop inconstant (7-6, 6-1, 4-6, 6-3). Federer affrontera mercredi Mikhail Youzhny, l'un de ses adversaires préférés : il l'a battu treize fois sur treize...

«Roger Federer, racontez ce qui vous est arrivé...
Il y a avait beaucoup de vent et il faisait frais. Et puis ça s'est passé au début du match, en une minute, j'ai senti un grand spasme arriver, et je me suis bloqué le dos. Peut-être que ça vient à la fois de mon long match précédent (cinq sets contre Julien Benneteau) et du froid qu'il faisait aujourd'hui. On ne dirait pas que c'est l'été ! En tout cas, c'est pour ça que j'ai appelé le soigneur.

Que s'est-il passé hors du court à ce moment là ?
Un massage, de la crème chauffante, des anti-inflammatoires, et voilà. Je me suis excusé auprès de Xavier à la fin parce que je sais que ce n'est pas facile d'affronter quelqu'un qui est clairement diminué physiquement. Le traitement m'a aidé un tout petit peu. Dans ces cas là, la douleur s'estompe au fur et à mesure, tu peux servir plus fort, aller un peu plus loin, mais tu ne sais pas vraiment quand tu peux y aller à fond. Alors j'ai essayé au quatrième, pour m'éviter un cinquième. Ça a marché, je m'en suis bien sorti...

Vous avez eu peur ?
Xavier aurait dû gagner ce premier set, j'ai eu un peu de chance. Mais sincèrement, je ne me suis pas tant inquiété que ça. Ça m'est déjà arrivé et je sais comment gérer plus ou moins. Mais c'était quand même compliqué donc un grand soulagement. Je suis content de m'en être sorti et là, face à vous, je me sens plutôt bien.

Vous pensez être à cent pour cent en quart de finale ?
Je vais avoir besoin de deux bonnes nuits de repos et je pense être bien mercredi, contre Youzhny. Je peux réussir à revenir comme neuf...»

Matthieu a écrit:

76 61 46 63 Fed passe "logiquement" l'Obstacle Malisse MAIS il a connu des soucis physiques au dos qui laissent planer des doutes quant à la suite de son Tournoi ...

Oui inquiétant j'ai vraiment cru qu'il allait abandonner tant il était raide ,bouger mal ou pas du tout ...comme il le dit Xavier aurait dû remporter le 1er set et cela aurait été un autre match ,malgré tout je suis contente qu'il s'en est sorti et j'espère que face à Youzhny il sera à 100%?

61 62 62 Balade de santé on ne peut plus "logique" pour le suisse qui sort Youzhny en ne lui laissant que 4 p'ti Jeux ... 14ème Victoire contre le russe en autant de Confrontations ..

Il retrouvera Nole en 1/2.