Olympique de Marseille - 3

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Foot - C1 - OM
Deschamps : «On a essayé»


Légitimement déçu, Didier Deschamps ne ressentait aucun regret après l'élimination de l'OM, mercredi en quart de finale retour de la Ligue des champions par le Bayern Munich (0-2). «On peut sortir la tête haute» a même estimé l'entraîneur olympien.

Didier Deschamps (entraîneur de Marseille): «Je n'ai pas de regret, mais cela aurait pu être différent. On a essayé de faire de notre mieux. On a pris plus de risques ce soir, on s'est exposé et c'est logique que le Bayern fasse partie des quatre meilleures équipes d'Europe. On a essayé. On a fait de bonnes choses, d'autres moins. On peut sortir la tête haute. L'avantage au tour précédent contre l'Inter n'était pas forcément dans la logique sportive, il faut s'en rappeler. Aujourd'hui, la marche était trop haute pour nous. Il y a une certaine forme de logique. Mes 11 joueurs au coup d'envoi n'avaient pas connu de quart de C1. C'est quelque chose qui va leur servir pour acquérir de l'expérience. On a eu des occasions, eux aussi. La différence c'est que eux les ont concrétisées. La déception est là. J'avais dit avant le match que c'était un privilège de faire ce match dans ce stade contre cette équipe. C'est triste d'être éliminé mais on a connu des moments merveilleux.
«Il y a une part de doute, un manque de confiance et les gestes sont moins naturels. On n'a pas fait exprès d'être éliminé.»On a eu du mal à concrétiser offensivement. Bon, en face, c'est le niveau international. Mais ne pas le faire en L1, c'est plus embêtant. Il y a une part de doute, un manque de confiance et les gestes sont moins naturels. Il nous reste le Championnat même si on est mal embarqué. C'est notre menu jusqu'à la fin de la saison. Pendant un long moment on a joué sur les quatre tableaux. On n'a pas fait exprès d'être éliminé. La C1, ça consomme des énergies mais c'est beau d'y être. C'est important de relativiser. On est dans une série de matches où l'on n'obtient pas les résultats qu'on voudrait. En tant que responsable technique, c'est évident que j'ai connu des jours meilleurs. Il faut récupérer et évacuer la déception d'une élimination même si elle est logique.» (AFP)

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Foot - C1 - OM
Rien de «grave» pour Rémy


Remplacé après l'heure de jeu (63e) par Charles Kaboré, mercredi à Munich face au Bayern (0-2), Loïc Rémy souffre toujours de la même blessure à cuisse, celle qui le gêne depuis plusieurs semaines. «Loïc a ressenti un peu sa cuisse et il m'a demandé à sortir, a expliqué après coup son entraîneur, Didier Deschamps. Je pense que ce n'est pas grave mais il a toujours des sensations qui ne sont pas optimales». Le coach olympien n'a ensuite pas voulu se prononcer sur les chances de l'attaquant de participer au choc de dimanche en Championnat face au PSG. (Avec AFP)

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Foot - C1 - OM
Cheyrou : «Garder la tête haute»


Conscients de leurs lacunes et d'avoir été éliminés par plus forts qu'eux, les joueurs marseillais ne sont pas tombés dans la déprime après leur quart retour face au Bayern Munich (0-2). Ils ne veulent pas baisser la tête malgré leur période noire.

Dans le camp marseillais, la déception était palpable après l'élimination logique face au Bayern Munich. Toutefois, les joueurs n'ont pas voulu paraître abattus. «Ce soir, ce n'est pas de la résignation mais bien la déception qui nous anime, car on est éliminé», a répondu Benoît Cheyrou, premier à se présenter devant la presse. Réalistes, les Olympiens n'ont pas cherché à nier l'évidence : le Bayern était au-dessus. «Il y avait une classe d'écart entre nous et le Bayern. Ils nous ont donné une bonne leçon de football», a froidement répliqué le milieu défensif. Les regrets ne sont donc pas à l'ordre du jour. Les deux buts à remonter étaient un challenge beaucoup trop haut pour une équipe incapable de gagner depuis dix rencontres. «La marche n'était pas trop haute ce soir, c'est le match aller qui a fait la différence», pense pour sa part André Ayew.
«On va apprendre. Une occasion ou une demi-occasion, ça doit faire but.» (André Ayew)Ce que Marseille peut en revanche regretter, c'est son manque d'efficacité en début de match. «Comme à l'aller, on a une occasion avant eux mais ils ont eu davantage de réalisme», a noté Cheyrou. «Si elle va au fond, c'est un autre match, a poursuivi l'aîné des Ayew. On va apprendre. Une occasion ou une demi-occasion, ça doit faire but. Ils ont été supérieurs sur cette double confrontation et je pense qu'ils avaient de la marge pour faire encore plus». Effectivement, les Bavarois ont tranquillement géré la seconde période, sans s'affoler et en faisant tourner leur effectif.

Cheyrou : «Le match de Paris tombe à pic pour un déclic»
Alors que Paris, Montpellier et Lyon arrivent à toute allure dans le rétro de l'OM, les protégés de Deschamps y voient malgré tout une bonne occasion de rebondir enfin, de trouver le déclic. «On est dans une période difficile, a reconnu Cheyrou. Le match de Paris (dimanche) tombe à pic pour un déclic. La saison de ne va pas se terminer en roue libre. Il y a des matches très importants, notamment la finale de Coupe de la Ligue». André Ayew sait que le peuple olympien ne peut se satisfaire de tels résultats. «Mais on ne vas pas se casser la tête à réfléchir plus que ça, a-t-il rétorqué. On sait que ce n'est pas ce qu'on attend de Marseille». La solution ? «Il faut être soudé, pense le Ghanéen. On ne peut que réussir ensemble, il faut tourner la page de la Ligue des champions». Là, elle est bel et bien tournée. - D. Mi., à Munich

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«Un sentiment de honte»


Steve Mandanda et Nicolas Nkoulou ne cherchaient pas d'excuses à l'élimination de Marseille en Ligue des champions. Les deux joueurs n'hésitent pas à pointer du doigt l'état d'esprit du groupe.

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Labrune veut garder Deschamps
4/04 18h29 - Football, L1


«C’est évidemment mon souhait (de conserver Didier Deschamps) et c’est pourquoi nous avons pris la décision avec l’actionnaire de prolonger son contrat jusqu'en 2014. On est tous fatigués. Marseille, c’est fatiguant, c’est usant. Je vous rappelle que l’année dernière, l’entraineur était aussi fatigué en avril-mai. Je peux vous en parler parce que je l’ai beaucoup vu pour le convaincre de rester avec nous», a confié Vincent Labrune sur RMC mercredi. Le président de l'OM a par ailleurs réfuté l'idée d'un exode massif des joueurs à la fin de la saison : «Un club comme l’OM n’est pas économiquement viable s’il ne fait pas de recettes sur les transferts. On a vendu un joueur en 2010 et aucun cet été. On sera donc dans l’obligation de vendre un ou deux joueurs mais ça aurait été aussi le cas si on avait fini sur le podium. L’objectif pour un club comme l’OM c’est de garder l'équipe la plus compétitive possible pour l’an prochain ce qui veut dire que tous nos meilleurs joueurs ne seront pas amenés à partir, loin de là.»

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Des examens pour Rémy
4/04 20h51 - Football, L1


Contraint de céder sa place lors de la défaite en quarts de finale retour de la Ligue des Champions face à Marseille, Loïc Rémy va passer des examens, a annoncé Guy Stephan sur OMtv.

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Rémy opérationnel
6/04 13h26 - Football, L1


En délicatesse avec sa cuisse ces derniers temps, Loïc Rémy s’est entraîné normalement ce vendredi matin. Didier Deschamps a d’ailleurs indiqué ce vendredi en conférence de presse que l’attaquant français pourra tenir sa place dimanche au Parc des Princes.

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Foot - L1 - OM
Mbia et Morel, le clash


La tension est montée d'un cran dans le camp marseillais après l'élimination face au Bayern Munich en Ligue des champions, et surtout avant le choc face au PSG dimanche.

Avec de tels résultats (10 matches sans victoire), Marseille devait bien se douter que la situation allait finir par se tendre. Elle a même dérivé en clash, vendredi, dans les couloirs de la Commanderie. Jeudi déjà, le staff et l'équipe s'étaient réunis en vase-clos pour se dire leur quatre vérités. Réunion d'où André-Pierre Gignac, Benoît Cheyrou, jugés trop individualistes par leurs camarades, ou Jérémy Morel, avaient été invectivés. Comme le révèle notre quotidien ce samedi, Stéphane Mbia a demandé aux deux premiers ce qu'ils faisaient pour aider le défenseur, en grande difficulté. Une remarque qui n'a pas été du goût de l'ancien Lorientais, qui a vu là une manière ouverte de remettre en question son niveau, surtout après avoir été sorti à la pause par Didier Deschamps sur la pelouse du Bayern.

Vendredi, Jérémy Morel s'en est donc pris en retour au Camerounais, en mettant en doute ses capacités intellectuelles. Stéphane Mbia a vite réagi, de manière plutôt virulente, et les deux hommes ont même dû être séparés par l'assistance. Ils ont toutefois pris part ensuite à l'entraînement normalement. Un épisode anecdotique mais révélateur de l'ambiance qui règne au sein du vestiaire marseillais, à 24 heures du choc contre Paris au Parc des Princes. (Rédaction)



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Mbia et Morel démentent


Jérémy Morel et Stéphane Mbia ont démenti ce samedi sur le site officiel de l'OM les informations parues dans L'Equipe du jour, relatant une altercation entre les deux hommes vendredi. «Cette information est complètement fausse a confié Mbia avant d'ajouter. Je remarque avec inquiétude que certains veulent faire du mal à l'OM. Jérémy et moi nous entendons très bien et il n'y a jamais eu de problème entre nous. Il n'y a pas de conflit et ce genre d'information, surtout à 24 heures d'un match capital (PSG-OM dimanche à 21h), ne nous déstabilisera pas». Même son de cloche chez le latéral gauche olympien : «C'est énervant ! Il n'y a pas du tout eu d'altercation avec Stéphane. Quand on prépare un match comme celui de dimanche, ça remet encore plus de tension, alors qu'il y en a déjà assez autour du club. On n'est pas très bien en ce moment et ils cherchent la petite bête pour nous déstabiliser».

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Azpi encore à gauche ?


Deschamps cherche la bonne formule pour rendre son équipe plus solide. La position de Mbia au milieu ou en défense est déterminante.

À Marseille, les derniers jours ont été consacrés essentiellement à remobiliser le groupe sur le plan psychologique. Mais Didier Deschamps a aussi dû s'employer pour trouver des solutions côté terrain pour enrayer l'hémorragie. «Je ne vais pourtant pas inventer des remèdes», s'agace t-il quand on lui demande s'il sait panser les maux de son équipe. Après un temps de discussion indispensable pour dégager les tensions, il lui faut maintenant redessiner son équipe pour qu'elle retrouve un semblant d'équilibre. En sachant que la latitude de ses choix reste très mince.

Face à Paris, l'entraîneur marseillais pourrait s'appuyer sur le même quatuor défensif qu'en deuxième période à Munich après la sortie de Morel : une charnière centrale Mbia- NKoulou avec Fanni à droite et Azpi à la place de l'ancien Lorientais. «A Munich, c'était un choix technique, rappelle-t-il. Je pensais l'équipe plus armée défensivement, ça n'a pas été le cas. J'ai voulu redonner une touche technique au milieu en mettant Amalfitano.» Même si la sortie prématurée du latéral gauche a pu surprendre dans un match de ce calibre, le niveau de Morel pose problème depuis quasiment le début de saison.

Plus d'impact au milieu ?
«Quand les résultats sont là, une équipe se dégage dans sa grande majorité mais dans le cas contraire, je suis obligé de faire des choix», a poursuivi Deschamps, qui a également admis qu'une titularisation d'Azpi à gauche était «une possibilité». «Il l'a déjà fait et il peut le faire». Mais l'entraîneur de l'OM aime aussi s'appuyer sur un duo à fort potentiel physique au milieu comme Diarra-Mbia. Ce tandem avait pesé de tout son poids dans la victoire du match aller (27 novembre 2011, 3-0). Cela pourrait jouer au moment du choix final, d'autant que Kabore au même profil physique est suspendu.

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Labrune :«Un plan d'attaque financier»


Le président de l'Olympique Marseille, Vincent Labrune, a estimé dans le journal La Marseillaise que son club, 9e de Ligue 1, devrait compter sur un «plan d'attaque», «avant tout financier», pour «être très compétitif la saison prochaine», malgré des recettes «en chute libre». Revenant sur les pertes financières générées par les mercatos précédents et le manque à gagner résultant d'une non qualification pour la prochaine Ligue des champions, le président marseillais a répété que l'actionnaire principale, Margarita Louis-Dreyfus, «était là et bien là», donnant pour «faux» des contacts potentiels avec des acquéreurs.

Quant à l'entraîneur Didier Deschamps, dont l'entourage du président disait vendredi qu'il serait placé face à ses responsabilités en cas de défaite à Paris dimanche, «on l'a défendu naturellement toute la saison, il n'y a pas de raison que ça change», a-t-il souligné. «On fera un bilan en fin de saison, on évoquera les perspectives et la feuille de route. On discutera avec lui comme tous les ans de l'avenir», a déclaré le président de l'OM, concluant la longue interview par : «Je n'ai pas accepté ce poste pour la gloire».

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Foot - L1 - OM
Rémy et Brandao sont aptes


Les deux attaquants olympiens feront bien le déplacement avec le groupe de l'OM pour le Clasico dimanche soir (21h00).

Didier Deschamps pourra bien compter sur ses deux attaquants Brandao et Loïc Rémy dimanche soir au Parc des Princes (21h00). Le premier, absent de l'entraînement vendredi pour des allergies, est partant et l'international français est apte malgré sa sortie à l'heure de jeu pour une blessure à une cuisse mardi en Ligue des champions. En revanche, Charles Kaboré est suspendu alors que Souleymane Diawara a terminé sa saison.

Le groupe marseillais
Mandanda, Bracigliano - Azpi, Fanni, Nkoulou, Mbia, Morel, Traoré, Sabo - Diarra, Cheyrou, Amalfitano, Valbuena, A. Ayew - J. Ayew, Remy, Brandao, Gignac.

ALLEZ LES GARS !!!!!!!!!!!!!!!

10ème Défaite en 11 Match ce Soir pour l'OM ... 1/2 à Paris ..

On a dominé la Partie en terme de possession, on a dominé au nombre de Tirs au But mais on a manqué de réalisme ...

Les parsisiens ont converti 2 de leurs 3 occas' ...

Il y a VRAIMENT de quoi avoir la rage ... RIEN ne sourit, quoi qu'on fasse ...

On passe 9ème au Général, il ne reste VRAIMENT PLUS que la Finale de la Coupe de la Ligue face à Lyon pour sauver cette Saison ...

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Foot - L1 - 31e j.
Le PSG déprime l'OM


Le Paris-SG s'est imposé ce dimanche au Parc des Princes face à l'Olympique de Marseille (2-1). Le PSG est deuxième à égalité de points avec Montpellier. Dixième défaite en onze matches toutes compétitions confondues pour l'OM...

Paris n'a pas encore tout à fait l'étoffe d'un champion. Au moins peut-il se réjouir de ne pas avoir laissé Montpellier prendre la poudre d'escampette. Dans l'obligation de s'imposer contre Marseille pour revenir provisoirement à hauteur des Héraultais, les joueurs de Carlo Ancelotti n'ont pas failli (2-1). Leur série de quatre matches sans victoire a pris fin dimanche soir en même que celle des Marseillais s'est étendue à onze rencontres sans succès. A l'image d'une balle du 2-2 manquée par Cheyrou (81e), ils ont toutefois vécu un match crispant jusqu'au bout. En décidant d'attendre les Olympiens dans leur camp pour les prendre en compte, les Parisiens ont clairement manqué de panache. Un manque déjà perceptible dans le onze aligné par «Carletto». Outre Sakho, de nouveau remplaçant, le technicien italien avait le choix de se priver d'un véritable attaquant de pointe pour aligner un trio Menez-Pastore-Nene.

De l'engagement, de l'intensité et des nerfs à vifs. Des ingrédients indispensables pour un Clasico, certes, mais il manquait le plus important pour un faire un bon Clasico : du spectacle.La promesse d'un grand match n'a été tenue que six minutes. Le temps que Jérémy Ménez convertisse la très bonne entame des Parisiens (6e, 1-0). Après ? De l'engagement, de l'intensité et des nerfs à vifs. Des ingrédients indispensables pour un Clasico, certes, mais il manquait le plus important pour un faire un bon Clasico : du spectacle. Alors qu'il était parti sur les chapeaux de roue, Paris a inexplicablement desserré son étreinte juste après l'ouverture du score. En a découlé une première période hachée pendant laquelle les deux équipes se sont rendues coup pour coup. Le plus souvent au sens propre. Une scène assez insolite illustre bien la tension qui a enveloppé le Parc des princes : à la 14e, Ancelotti est entré sur le terrain pour séparer Nene et Ayew qui se prenaient le bec. Sans grande surprise, la bataille s'est achevée par l'expulsion de Sissoko (86e) quelques minutes après une échauffourée initiée par Brandao.

Paris a accepté de subir. Il aurait pu en payer le prix fort si Alex n'avait pas fait pas (re)basculer les supporters parisiens dans l'ivresse (61e), deux minutes seulement après l'égalisation méritée d'Ayew (59e). Sur un corner de Nene, le défenseur brésilien a pris le meilleur sur Alou Diarra. Et marqué son deuxième but de la saison après celui non moins important inscrit face à Montpellier (2-2), le 19 février dernier. Si Paris, emmené par un Jérémy Ménez au four et au moulin, a davantage pointé le bout de son nez dans le camp marseillais en deuxième période, il est aussi resté à la merci d'un retour marseillais. Sans conséquences fâcheuses. En attendant Marseille-Montpellier, mercredi, le voilà de nouveau revenu sur Montpellier, seulement devancé à la différence de buts. Contrat rempli donc, mais sans fioriture.