Venus & Serena Williams - 2

Venus se consolera en Double ...

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WTA - Madrid > Double - Les soeurs Williams s'imposent

Par Pauline Dahlem, dimanche 16 mai 2010 à 14:20


Venus Williams a l'occasion de faire le doublé à Madrid cette semaine. Elle s'est imposée tard hier soir en double avec sa sœur, dominant en finale la paire Dulko/Pennetta (6/2 7/5).

Comme tu dis Mathieu, cette Rezai est une bourrineuse, on a dit ça un moment donné de Kleybanova, mais je trouve qu'elle savait quand même faire autre chose avec la balle que seulement taper à mort.

Je suis d'accord elle sait frapper et souvent juste, elle était en confiance après avoir éliminé
Justine en 3 sets quand même, puis Petkovic qui ne s'était pas mal défendu, ensuite une Jankovic fatiguée, mais j'ai trouvé Venus méconnaissable hier, elle ne savait plus à quel saint se vouer. Je n'avais jamais imaginé que Venus se serait fait battre!!!!

Chacun â son avis là-dessus mais moi je n'aime pas son jeu, je parle de Rezai, et je me pose la question "combien de temps celà va-t-il durer?"

Citation :

People > Serena la bague au doigt ?

Par Vincent Esse, lundi 17 mai 2010 à 18:04


Dans une interview, le rappeur-acteur de Chicago Common, boyfriend de Serena depuis deux ans, envisage de passer à l'acte. "Notre relation devient sérieuse, j'aimerais beaucoup me marier et avoir des enfants". Pas sûr que Serena veuille arrêter sa carrière tout de suite, ou qu'elle envisage un retour à la Clijsters. En attendant, Common regarde les matches de sa douce avec passion : "Je suis très tendu quand je regarde Serena. Les gens essaient de venir me parler, je leur dis de me laisser tranquille, c'est comme si je ne remarquais personne". Par contre, quand il s'agit d'aller taper la balle avec Serena, c'est autre chose : "J'ai fait quelques parties avec elle mais c'est trop dur, je suis incapable de la battre", a déclaré Common.

mamie a écrit:

Comme tu dis Mathieu, cette Rezai est une bourrineuse, on a dit ça un moment donné de Kleybanova, mais je trouve qu'elle savait quand même faire autre chose avec la balle que seulement taper à mort.

Je suis d'accord elle sait frapper et souvent juste, elle était en confiance après avoir éliminé
Justine en 3 sets quand même, puis Petkovic qui ne s'était pas mal défendu, ensuite une Jankovic fatiguée, mais j'ai trouvé Venus méconnaissable hier, elle ne savait plus à quel saint se vouer. Je n'avais jamais imaginé que Venus se serait fait battre!!!!

Chacun â son avis là-dessus mais moi je n'aime pas son jeu, je parle de Rezai, et je me pose la question "combien de temps celà va-t-il durer?"

Rezai, on l'avait découverte à RG en 2006 en fait. Elle était sortie des Qualifs, elle avait battu Sugiyama et ne s'était inclinée que contre Nicky, au 3ème Tour.

Elle avait fait assez forte impression à l'époque, même sur moi lol, avec son Jeu de frappeuse-cogneuse à outrance. Quand elle est en pleine réussite, ça fait TRES MAL en effet mais c'est rare chez elle 90% du temps elle arrose un max

Tout de suite les Médias français en avaient fait une future Grande, comme depuis Hier quoi

Or, en 4 ans, faut avouer qu'elle n'a pas fait grand chose, seulement 2 3èmes Tours à Wimbly et à l'AO ... C'est un peu "léger" pour une "Nouvelle Légende" comme certains se complaisent à l'écrire depuis ce Matin dans les Médias

Elle a déjà 23 ans, elle n'est plus "toute jeune" en plus ...

Ca me conforte dans l'idée qu'elle aura sûrement du mal à répéter mais si jamais elle sait le faire, je reconnaitrais sans problème mon erreur
Disons qu'entre 2006 et 2010, j'ai plutôt été refroidi lol donc je suis devenu méfiant et je trouve que nos Médias feraient bien d'en faire autant ...

Jankovic a parlé d'"anti-Tennis" la concernant, sous entendant que son Style de Jeu était plus en rapport avec de la Boxe qu'avec du Tennis, sans même parler d'Art, elle n'a pas tort même s'il y a sûrement un peu d'aigreur comme suite à la Défaite
Perso je trouve que Kleybanova est bien plus complète. Il y a du Davenport en Alisa qui a un Jeu de cogneuse de fond, ok, mais qui a aussi un Service de feu et une grande endurance au vu de son Gabarit, sans compter sa capacité à varier en montant assez souvent au filet derrière de profondes attaques en coups droits ... Là où Rezai frappe pas mal sans réfléchir, "ça passe ou ça casse", Alisa a un Jeu un peu plus réfléchi et construit ...

Moi je n'ai à priori rien contre Rezai.
Je DETESTE en revanche son père qui est EXTREMEMENT PRETENTIEUX, qui impose à sa fille un mode de vie d'un autre âge, qui est VIOLENT ET TRES AGRESSIF, tant verbalement que physiquement ...
Forcément l'image du père finit un peu par rejaillir sur celle que j'ai de la fille, c'est dommage mais c'est comme ça ...
Vous le verriez régulièrement dans les Médias français, vous penseriez pareil

Il pourra se vanter autant qu'il voudra quand sa fille aura un Palmarès.
3 Titres et 2 3èmes Tour en GC, à 23 piges, ça ne me suffit pas pour justifier autant d'arrogance ...
En plus, elle a eu un max de bol de tomber sur une Juju malade, sur une Janko visiblement lessivée par la somme d'efforts accumulés et sur une Venus dans un Jour Sans ...On verra si elle sait répéter dans un tout autre contexte et avec cette fois ci la pression médiatique

Elle SEMBLE incarner l'Avenir du tennis féminin français, TRES BIEN !! On verra ...
Il y a pas mal de françaises qui ont ainsi été "bombardées" de "Promesses dorées" en tous genres et qui ont ensuite ENORMEMENT DECU (Razzano, Bartoli, Cornet ... Mladenovic aussi actuellement ...) donc j'attends de voir désormais

Je ne connais pas son père, ni le genre de comprtement envers sa fille....

Ce type en a des casseroles derrière le dos, et pas qu'un peu ...

Il a maintes fois insulté, diffamé ET VIOLENTE Journalistes, Responsables de Tennis en tous genres ET ATHLETES ... C'est un fou furieux, ultra violent, macho au possible, même envers sa fille qui pour autant n'est pas non plus une tendre comme le confirment ces documents (tricheuse et agressive verbalement et physiquement) :

Citation :

«Un jour, il m’a prise à la gorge»


Vendredi dernier, Arsalan Rezaï, père d’Aravane, espoir classée 45e mondiale, s’en est pris à Georges Goven, capitaine de Fed Cup. Un épisode tumultueux de plus qui ne surprend pas Julie Wieckowski. La Lorraine a été elle aussi victime des agissements du clan Rezaï.

Il a encore frappé. Une fois de trop, peut-être. On saura bientôt si la mansuétude fédérale a ses limites, si quelqu’un va avoir le courage cette fois de calmer le tempétueux père d’Aravane Rezaï, jeune Française de 19 ans, actuellement 45e joueuse mondiale. Vendredi dernier, Arsalan Rezaï a semble-t-il été loin dans ses actes, trop loin dans ses paroles. Victime de son courroux : Georges Goven, entraîneur national et capitaine de l’équipe de France de Fed Cup. Dans son édition d’hier, L’Equipe rappelle la mauvaise plaisanterie jouée sur l’un des courts du centre national de Roland-Garros. Une prise de bec d’une «rare violence » selon Florent Serra ou Julien Benneteau, témoins de la scène, durant laquelle le père et entraîneur de la jeune fille a qualifié Goven de «violeur de petites filles ». En attendant de voir l’affaire éventuellement passer devant un tribunal, le capitaine tricolore a choisi de garder le silence.

Mais quid de la position de la fédération ? Cela fait des années maintenant qu’Arsalan Rezaï perturbe des rencontres, critique ouvertement la Direction technique nationale, menace physiquement des joueuses sans que cela n’empêche sa fille de recevoir des aides substantielles. Il y a bien eu quelques mesures contre cette famille particulière. Un temps, Aravane et son père se sont fait exclure de la ligue du Lyonnais, le père a été condamné à 500 € pour violences volontaires à l’encontre de Georges Ayassamy, père d’une adversaire ; il a même été interdit d’approcher des courts, au point, un jour, de faire les cent pas devant l’entrée de Roland-Garros tout un après-midi pendant une rencontre de championnat de France disputée par sa fille.

Julie Wieckowski, aujourd’hui entraîneur à Mont-Saint-Martin, a longtemps fait partie de proches des Rezaï. A Lyon, plus jeune, elle s’entraînait régulièrement avec Aravane. Malgré des comportements déjà «limites » de la part du père, les relations se montraient plutôt saines. Jusqu’à une rencontre à Périgueux, en 2004. «Je connais toute la famille. Petite, le père d’Aravane m’adorait, ça se passait très bien entre nous. En match officiel, j’avais toujours l’habitude de perdre. Seulement, ce jour-là, sur terre battue, j’avais prévu de tout faire pour la battre, explique la Lorraine. J’ai volontairement levé mes balles. Ce n’était pas beau mais efficace : je lui ai fait péter les plombs et je l’ai emporté. Elle s’en est alors prise à moi verbalement ; je me suis défendue. Et puis, elle a tout raconté à son père…»
L’outrage ne pouvait rester impuni. La suite se trouve consignée sur une main courante. «Je sortais de la douche quand il a défoncé la porte des vestiaires, qui se trouvaient malheureusement assez loin du club house. J’étais toute seule, se rappelle Julie Wieckowski. Il m’a prise à la gorge en criant qu’un jour il me "choperait". Franchement, je ne faisais pas la fière, j’ai eu très peur.»
Un exemple parmi tant d’autres. On pourrait encore parler de ce jour où, après avoir perdu une rencontre, Aravane s’est retrouvée le crâne rasé. Ou de ces menaces proférées à l’encontre d’adversaires de son fils, lui aussi compétiteur. Décidément, une habitude pour Arsalan Rezaï…

Citation :

Au petit club de tennis de la Métare Arsalan n’admettait pas que l'entraîneur responsable du club soit une femme. Comme il récusera plus tard tous les entraîneurs féminins de la Ligue. Il chercha un terrain ailleurs. « II ne comprenait pas qu'il ne puisse pas avoir accès aux courts de l'université qui était à côté de chez lui » se souvient Grab. Alors il entraîna sa fille au TC de la Palle.

A force de disputes, le clan Rezai se mis a dos tout la region. Les clubs de la loire n’en voulurent plus Les enfants avaient la réputation de piquer des points dans les matches et le père d'intervenir avec furie Un leur trouva un club à Lyon.à l'ASUL.Ça ne dura pas.

Ils revinrent à l'ASM Saint-Etienne. Nouvelle embrouille. Ils prirent alors une licence au Nice LIC tout en restant s'entraîner sur les structures du Saint-Étienne tennis mises à leur disposition parla municipalité.

Quelle famille !!
Effrayant ...
Vous comprendrez qu'il m'est assez difficile de voir à outrance la tronche de ce pourri dans les Médias français et même celle de sa fille qui a pas mal de défauts du père ...
A côté, les Bartoli sont vraiment des anges

Matthieu a écrit:

Ce type en a des casseroles derrière le dos, et pas qu'un peu ...

Il a maintes fois insulté, diffamé ET VIOLENTE Journalistes, Responsables de Tennis en tous genres ET ATHLETES ... C'est un fou furieux, ultra violent, macho au possible, même envers sa fille qui pour autant n'est pas non plus une tendre comme le confirment ces documents (tricheuse et agressive verbalement et physiquement) :

Citation :

«Un jour, il m’a prise à la gorge»


Vendredi dernier, Arsalan Rezaï, père d’Aravane, espoir classée 45e mondiale, s’en est pris à Georges Goven, capitaine de Fed Cup. Un épisode tumultueux de plus qui ne surprend pas Julie Wieckowski. La Lorraine a été elle aussi victime des agissements du clan Rezaï.

Il a encore frappé. Une fois de trop, peut-être. On saura bientôt si la mansuétude fédérale a ses limites, si quelqu’un va avoir le courage cette fois de calmer le tempétueux père d’Aravane Rezaï, jeune Française de 19 ans, actuellement 45e joueuse mondiale. Vendredi dernier, Arsalan Rezaï a semble-t-il été loin dans ses actes, trop loin dans ses paroles. Victime de son courroux : Georges Goven, entraîneur national et capitaine de l’équipe de France de Fed Cup. Dans son édition d’hier, L’Equipe rappelle la mauvaise plaisanterie jouée sur l’un des courts du centre national de Roland-Garros. Une prise de bec d’une «rare violence » selon Florent Serra ou Julien Benneteau, témoins de la scène, durant laquelle le père et entraîneur de la jeune fille a qualifié Goven de «violeur de petites filles ». En attendant de voir l’affaire éventuellement passer devant un tribunal, le capitaine tricolore a choisi de garder le silence.

Mais quid de la position de la fédération ? Cela fait des années maintenant qu’Arsalan Rezaï perturbe des rencontres, critique ouvertement la Direction technique nationale, menace physiquement des joueuses sans que cela n’empêche sa fille de recevoir des aides substantielles. Il y a bien eu quelques mesures contre cette famille particulière. Un temps, Aravane et son père se sont fait exclure de la ligue du Lyonnais, le père a été condamné à 500 € pour violences volontaires à l’encontre de Georges Ayassamy, père d’une adversaire ; il a même été interdit d’approcher des courts, au point, un jour, de faire les cent pas devant l’entrée de Roland-Garros tout un après-midi pendant une rencontre de championnat de France disputée par sa fille.

Julie Wieckowski, aujourd’hui entraîneur à Mont-Saint-Martin, a longtemps fait partie de proches des Rezaï. A Lyon, plus jeune, elle s’entraînait régulièrement avec Aravane. Malgré des comportements déjà «limites » de la part du père, les relations se montraient plutôt saines. Jusqu’à une rencontre à Périgueux, en 2004. «Je connais toute la famille. Petite, le père d’Aravane m’adorait, ça se passait très bien entre nous. En match officiel, j’avais toujours l’habitude de perdre. Seulement, ce jour-là, sur terre battue, j’avais prévu de tout faire pour la battre, explique la Lorraine. J’ai volontairement levé mes balles. Ce n’était pas beau mais efficace : je lui ai fait péter les plombs et je l’ai emporté. Elle s’en est alors prise à moi verbalement ; je me suis défendue. Et puis, elle a tout raconté à son père…»
L’outrage ne pouvait rester impuni. La suite se trouve consignée sur une main courante. «Je sortais de la douche quand il a défoncé la porte des vestiaires, qui se trouvaient malheureusement assez loin du club house. J’étais toute seule, se rappelle Julie Wieckowski. Il m’a prise à la gorge en criant qu’un jour il me "choperait". Franchement, je ne faisais pas la fière, j’ai eu très peur.»
Un exemple parmi tant d’autres. On pourrait encore parler de ce jour où, après avoir perdu une rencontre, Aravane s’est retrouvée le crâne rasé. Ou de ces menaces proférées à l’encontre d’adversaires de son fils, lui aussi compétiteur. Décidément, une habitude pour Arsalan Rezaï…

Citation :

Au petit club de tennis de la Métare Arsalan n’admettait pas que l'entraîneur responsable du club soit une femme. Comme il récusera plus tard tous les entraîneurs féminins de la Ligue. Il chercha un terrain ailleurs. « II ne comprenait pas qu'il ne puisse pas avoir accès aux courts de l'université qui était à côté de chez lui » se souvient Grab. Alors il entraîna sa fille au TC de la Palle.

A force de disputes, le clan Rezai se mis a dos tout la region. Les clubs de la loire n’en voulurent plus Les enfants avaient la réputation de piquer des points dans les matches et le père d'intervenir avec furie Un leur trouva un club à Lyon.à l'ASUL.Ça ne dura pas.

Ils revinrent à l'ASM Saint-Etienne. Nouvelle embrouille. Ils prirent alors une licence au Nice LIC tout en restant s'entraîner sur les structures du Saint-Étienne tennis mises à leur disposition parla municipalité.

Quelle famille !!
Effrayant ...
Vous comprendrez qu'il m'est assez difficile de voir à outrance la tronche de ce pourri dans les Médias français et même celle de sa fille qui a pas mal de défauts du père ...
A côté, les Bartoli sont vraiment des anges

On va peut-être pas aller jusqu'à dire des conneries hein

Fan_tennis80 a écrit:

On va peut-être pas aller jusqu'à dire des conneries hein

Il va de soi que c'était une image cher ami

Ceci dit, je ne place pas les défauts des uns au même niveau que ceux des autres Et d'assez loin ...

Serena jouera contre Stefanie Voegele au premier tour de RG, ce sera Patty Schnyder pour Vénus qui a un premier tour difficile!

C'est vrai que ça parait compliqué pour Venus car Patty est une BONNE JOUEUSE de Terre mais c'est marrant car ça fait un peu comme Juju/Jankovic Venus mène en effet par 10 Victoires à 0 contre la suissesse, sa Bête Noire en somme

4/0 sur Terre dont 3 Matchs en 3 Sets MAIS 62 62 au dernier Tournoi de Rome ...

Citation :

Tennis - RG (F)
Serena : «Je déteste perdre !»


Malgré une coupure de trois mois après Melbourne, Serena Williams aborde Roland-Garros en numéro un mondiale. Eliminée en huitièmes à Madrid, l'Américaine a rappelé vendredi qu'elle n'était jamais aussi motivée que pour les grands rendez-vous.

«Serena Williams, comment considérez-vous votre préparation à Roland-Garros ?
J'aurais aimé jouer le tournoi de Charleston et les autres tournois mais finalement, j'ai eu assez de matches dans les jambes avant d'arriver à Roland-Garros. Je me sens bien. J'ai donné tout ce que j'ai pu dans les matches que j'ai joués. (...) Je sens que je suis encore sur la pente ascendante.

Vous attendiez-vous à une coupure de trois mois après votre victoire à Melbourne ?
Après l'Open d'Australie, je ne m'attendais pas à ne plus jouer sur dur avant l'été. J'ai essayé de profiter de mon temps libre comme je le fais à chaque fois, que ce soit imposé ou non. J'ai travaillé dur pour revenir mais c'était à chaque fois trop tôt. A Rome (demi-finales) et à Madrid (huitièmes de finale), je me suis sentie bien. A Madrid, j'ai pu jouer de longs matches. J'ai bien récupéré. J'ai même pu gagner le double. Mon tournoi de reprise à Rome m'a mise en confiance.

Avec Venus, vous retrouvez vos vieilles habitudes : vous êtes numéro un et numéro deux mondiales...
C'est vraiment bien. Nous avons l'impression que c'est mérité avec tout le travail que nous avons fourni depuis tellement d'années. Nous avons connu des hauts et des bas mais être de retour au sommet, c'est vraiment cool. Les gens disaient qu'on ne retrouverait jamais ce classement. Au bout de dix ans, nous sommes parmi les meilleures.

Et comment vous sentez-vous à Paris ?
Nous avons loué le même appartement que l'an dernier. Venus garde la grande chambre. Moi, j'ai la petite mais cela me convient (sourire). Je suis arrivée lundi. C'est comme être à la maison. Nous sommes détendues à la maison (...) J'aimerais juste avoir une doublure physique qui parlerait à la presse. Dans ce cas, je serais en train de regarder Smallville (une série télé américaine, ndlr).

Pensez-vous au Grand Chelem avant ce tournoi qui est peut-être le plus dur pour vous ?
C'est ma cinquième occasion (rires). Peut-être que je vais être capable de le réussir dans les années à venir. Je ne sais pas si c'est le tournoi du Grand Chelem le plus difficile. Physiquement, c'est un tournoi très exigeant. Il faut être particulièrement affûtée. (...) Cette année, toutes les filles jouent bien, cela sera ouvert.

Que répondez-vous aux critiques qui disent que vous négligez les tournois en dehors des Grands Chelems ?
Cela a peu d'importance. Ces gens ne sont pas toutes les semaines en train de jouer sur le circuit. J'aimerais réaliser de belles performances dans tous les tournois mais je choisis de donner le meilleur de moi sur les Grands Chelems. Quand je participe à un tournoi plus petit, je n'y vais pas pour essayer de perdre. Je déteste perdre ! » - Recueilli par A T.-C., à Roland-Garros

Matthieu a écrit:

C'est vrai que ça parait compliqué pour Venus car Patty est une BONNE JOUEUSE de Terre mais c'est marrant car ça fait un peu comme Juju/Jankovic Venus mène en effet par 10 Victoires à 0 contre la suissesse, sa Bête Noire en somme

4/0 sur Terre dont 3 Matchs en 3 Sets MAIS 62 62 au dernier Tournoi de Rome ...

Evidemment vu comme ça, ça parait directement plus simple

Mais bon un Match est un Match, il faut déjà le jouer pour avoir une Chance de le gagner

Si on disait à Juju c'est à chaque fois gagné d'avance contre Jankovic sous prétexte qu'elle mène par 10 à 0, pas sûr qu'elle le prendrait bien