Yanina Wickmayer - 2

Yanina Wickmayer (BEL) d. Anna Chakvetadze (RUS) 36 64 61 en plus de 2h de match.

Steph' a écrit:

Yanina Wickmayer (BEL) d. Anna Chakvetadze (RUS) 36 64 61 en plus de 2h de match.

Tiens cela faisait un petit temps que je n'avais plus entendu parler de la russe, que devient-elle?

Tant mieux pour Yanina, toute victoire est bonne à prendre

Pauline a écrit:

Steph' a écrit:

Yanina Wickmayer (BEL) d. Anna Chakvetadze (RUS) 36 64 61 en plus de 2h de match.

Tiens cela faisait un petit temps que je n'avais plus entendu parler de la russe, que devient-elle?

Tant mieux pour Yanina, toute victoire est bonne à prendre

Malade depuis début 2011, les médecins n'ont jamais vramient trouvé ce qu'elle avait, elle s'est présentée aux 2lections russes pour devenir députée, mais elle n'a pas été élue, elle était dans un petit parti.

36 46 C'est terminé pour Nina qui s'incline au 2ème Tour à Bruxelles face à Cibulkova ...

Caramba...encore raté..

Ben en même temps , c'est pas une surprise en soi, Dominika a quand même inquieté dans un match Azarenka sur la tournée americaine sur dur au printemps naissant... Nina a pris une rouste contre Vinci qui n'a aucun titre super reluisant à son palmarès, elle bat Chakvetadze en 3 sets, joueuse qui est à peine de retour et en manque de repères donc ma foi fallait pas se leurrer. Elle a pe encore des problemes de dos recurrents et elle se cherche dans la modification de son service et il faudrait un coach de poigne, sinon je vois mal comment elle pourra remonter la pente...

Et défaite en 3 set dès le 1er tour
Reste le double pour sauver ce qui peut l'être.

Citation :

Défaite au premier tour contre Pironkova, Yanina Wickmayer a reconnu connaître une passe difficile. Malgré les résultats décevants des dernières semaines, elle reste optimiste pour la suite. Compte-rendu de sa conférence de presse.

Yanina, est-ce que la déception est grande ce soir?
Perdre est toujours décevant, surtout dans un grand tournoi. Mais je ne pense pas avoir beaucoup à me reprocher. J'ai fait ce que j'ai pu. Ce n'était pas mon jour.

Pourtant, tout avait bien commencé avec un premier set de bonne facture...
Oui, après j'ai manqué un peu de confiance, d'agressivité et de prise d'initiative. Ce fut une conjonction de plusieurs éléments. J'essaierai de retirer les choses positives de ce match et de persévérer. Je traverse actuellement une période plus difficile de ma carrière, mais je crois que cela ne peut que me rendre plus forte. C'est à moi de rester positive et de continuer à travailler.

Où en est votre encadrement? Cette recherche de stabilité est quand même un aspect important. Ann Devries vous coache depuis trois tournois. N'est-il pas temps de trouver une solution à ce niveau-là?
Comme je le répète depuis deux semaines, les choses se mettent tout doucement en place. Cela ne va tarder. Je ne peux rien communiquer tant que ce n'est pas entériné. Vous comprendrez plus tard pourquoi ça traîne un peu.

Dans les moments difficiles que tu vous vivez aujourd'hui au niveau de votre tennis, quelle est la personne la plus importante?
Je peux compter sur Ann (Ndlr. Devries), sur mon papa (Ndlr. Marc) aussi évidemment. Il est important d'avoir des personnes qui puissent rester positives dans les moments plus difficiles.

Allez-vous reprendre la compétition à Rosmalen?
Oh, je n'ai pas encore décidé, à vrai dire. Je ne suis pas inscrite à Birmingham, je vais voir ce qui est possible. Là, je vais retourner en Belgique, avant de rejoindre Monaco.

Grosse Déception pour Nina car à priori, sur Terre, Pironkova était une Adversaire tout à fait à sa portée ... En plus, c'était bien parti dans ce Match ..
Toujours ce fichu manque de confiance grrr ..

Défaite en double : Dekmeijere/Tanasugarn (LAT/THA) d. Stephens/Wickmayer (USA/BEL) 57 75 64

Citation :

Les démons de Yanina, le sourire de Virginie

Je le dis avec force: tennistiquement, Razzano n’est pas plus forte que Wickmayer. Hier, la Française a battu Serena Williams et la Belge s’est inclinée devant TsvetanaPironkova.

A 29 ans, Virginie Razzano, peu épargnée par la vie – elle a perdu son fiancé et coach une semaine avant le Roland Garros 2011- a signé hier la plus émouvante performance de sa carrière finissante. Elle a en effet battu Serena Williams au terme d’un match haletant, joué devant un public évidemment conquis à sa cause et face à la meilleure joueuse du troisième millénaire (pour le moment). A sa huitième balle de match, Virginie a pu laisser exploser sa joie et confiait, quasi en larmes: “je me bats toujours jusqu’au bout”.

A 22 ans, Yanina Wickmayer a joué un premier set quasi parfait face à Tsvetana Pironkova. Par la suite, le grain de sable qui l’empêche de trouver son équilibre est revenu se poser à un endroit particulier de son cerveau et, de 6-3 en sa faveur, le score est passé à 6-0 pour la Bulgare. Dans le troisième, alors qu’elle tentait avec plus ou moins de succès de reprendre le contrôle, elle a replongé dans ses tourments et s’est inclinée par 6-3. “A l’entraînement, je joue pourtant très bien, dira-t-elle par la suite.”

Je le dis haut et fort: Yanina ne joue pas moins bien que Virginie. La Française est 111ème mondiale et a été 16ème, la Belge est 35ème et a été 12ème. En Grand Chelem, Razzano n’a jamais été en quarts de finale, Wickmayer a déjà joué une demi. Et dans leur tête-à-tête, les deux joueuses en sont à un partout.

Mais voilà, dans le tennis – et plus particulièrement dans le tennis féminin – tout cela ne sert à rien. La vérité d’un jour n’est pas celle du lendemain. Pire: la vérité d’un set peut ne pas être celle du suivant.

En tennis – et surtout en tennis féminin – il faut avoir des nerfs. Ou du moins, un peu plus de nerfs que son adversaire. Il faut croire en soi. Croise en ses possibilités. Croire en sa chance.

La spirale de l’échec, en tennis – masculin et féminin cette fois – est quelque chose que les non-pratiquants ne peuvent pas comprendre. Ou difficilement.

La spirale de l’échec, c’est celle qui vous fait dire, après un match, comme l’a dit hier Yanina : ‘à l’entraînement, je joue bien.”

Ce qui est vrai. Pour l’avoir vue jouer face à Cibulkova au Brussels Open, je peux dire que Yanina joue bien au tennis. Très bien, même. Oh, d’accord, pas avec la variation nécessaire mais, comme je le disais hier, elle a tout d’une Top 20. Je n’ai pas dit d’une Top 10. Et, hier, face à Pironkova, elle a pris le match à son compte.

Les jeux défilaient. Mais, plus elle se rapprochait du gain du premier set, moins elle s’imposait.

La spirale de l’échec ne se ressent pas quand on est loin de la victoire. Elle réapparaît lorsque, à 4-2 ou 5-2, un petit esprit malin s’insinue ans votre tête et vous glisse, sans avoir l’air d’y toucher “tu ne crois tout de même pas que tu vas gagner? Tu ne gagnes plus de match depuis des semaines.”

Et votre bras se met à trembler. Ou à se raidir. Et les frappes de Yanina sont devenues moins lourdes. Pironkova, assez calme, elle, puisque menée, s’en est rendue compte. Elle est revenue dans les échanges. Il était trop tard pour gagner ce set mais elle préparait le deuxième.

Yanina, elle, discutait avec ses démons. Elle essayait. Elle se battait, elle en voulait. Mais elle n’y parvenait plus.

Après avoir gagné le premier par 6-3, elle a pris les coups. Ne parvenait plus à les rendre. Et elle s’est inclinée par 6-0. 6-0!

Là, dos au mur, elle n’avait plus de choix. Et, donc, dos au mur, quand on n’a plus rien à perdre, fatalement, on se libère. On lâche ses coups. On ne pense plus à la victoire qui est tellement loin qu’elle paraît inaccessible. Et comme elle est inaccessible, elle ne fait pas peur. Yanina, à ce moment, ne pense plus gagner, elle pense simplement à jouer. Et cela fonctionne.

Cela fonctionne même après le 0-2 dû entre autre à une faute arbitrale tardive. Elle revient à 2 2. Le succès est encore loin, son ombre ne fait pas encore douter Yanina. A 2-2, elle aura plusieurs balles de break. 3-2 Pironkova.

30-0 Yanina sur son service. 4-2 Pironkova. C’en est fini.

On est trop proche de la ligne d’arrivée pour que la jeune Belge – oui, la jeune Belge – se libère à nouveau. Elle va se battre, espérer voir Pironkova se laisser gagner par le doute, amis cela n’arrivera pas vraiment. Et la Bulgare s’impose 6-3 dans la troisième manche.

Rongée par ses démons, Yanina Wickmayer a perdu un match largement à sa portée.

Virginie Razzano a quant à elle remporté un match qui n’était pas à sa portée. Sur papier s’entend. Serena Williams, d’ailleurs, n’avait jamais perdu jusque-là un premier tour en Grand Chelem. Pourtant, elle a commencé sa carrière au siècle dernier. C’est dire si l’exploit de la Française face à celle qui portait mes deux étoiles, est exceptionnel.

D’autant qu’elle était menée 6-4 et 6-6 5-1 dans le tie-break. Mais voilà, à ce stade, on n’a plus peur de rien puisque l’on n’a rien à perdre. Et Virginie s’est lâchée. Pour réussir un come-back sidérant et mener cinq jeux zéro dans le troisième set.

Là, ce n’est plus la même chose. On se dit: “non, vais-je le faire?”? Et Serena – qui s’est battue comme la formidable lionne qu’elle est – est revenue à 5-3, a sauvé 7 balles de match avant de s’écrouler sur la huitième.

Razzano a battu Williams. Wickmayer a été battue par Pironkova.

Demain, dans une semaine, dans un mois, les scores pourraient être inversés.

Cela dépendra du mental de l’une et de l’autre. Si Yanina gagne un gros match dans un futur proche, la confiance pourra revenir.

Reste à le gagner, ce match. Et là, s’il y a évidemment le travail de la joueuse – et dieu sait qu’elle travaille Yanina -, il y a aussi la nécessité de s’apaiser. De ne pas perdre de l’énergie à du n’importe quoi.

Il est grand temps que l’encadrement de Yanina se pose quelque peu. Cesse de croire qu’en changeant de coach tous les x mois, cela aide la joueuse. Cesse de penser que c’est le coach qui joue à la place de sa joueuse.

Une joueuse, surtout une aussi émotive et généreuse que Yanina, a besoin de sérénité, de confiance, d’équilibre. Elle doit penser, manger, dormir tennis.

Je sais qu’Ann Devries en est consciente et qu’elle tente de convaincre les proches de Yanina. J’espère sincèrement que ceux-ci, d’une extrême bonne volonté, vont enfin apporter ce dont Yanina a besoin: la paix!

Yanina est, pour moi, l’une des joueuses les plus athlétiques du circuit. Elle se bat comme une diablesse, elle en veut, n’abdique jamais. Son jeu est loin d’être complet et c’est plutôt une très bonne nouvelle puisqu’elle est perfectible dans quasi tous les domaines.

Et je répète qu’elle est JEUNE. Ben oui, elle est née en octobre 1989. Pour comparaison – même si le tennis féminin n’est pas le tennis masculin – David Goffin est né en décembre 90… Il n’a donc qu’un an de moins.

Alors, de grâce: donnons du crédit à Yanina. Elle traverse un creux, manque d’assurance. Mais c’est ainsi que va le tennis mondial – surtout le féminin. Il suffira de peu pour qu’elle retrouve ses marques, ses repères.

Il suffirait de peu.

Un peu qui, hélas, peut paraître beaucoup pour d’aucuns.

Moi, j’y crois, à Yanina.


patrick haumont

Citation :

Une Wildcard pour Wickmayer


Yanina Wickmayer a reçu une invitation des organisateurs du tournoi WTA sur terre battue de Bad Gastein, qui a lieu la semaine prochaine en Autriche.

Wickmayer, 35e jouese mondiale, sera la 2e tête de série en Autriche, la tête de série N.1 étant l'Allemande Julia Goerges (WTA 27). Le tirage au sort aura lieu dimanche.

Yanina Wickmayer disputera à Bad Gastein son premier match depuis sa défaite au 1er tour de Roland Garros, le 29 mai face à la Bulgare Tsvetana Pironkova.

(2/WC) Yanina Wickmayer (BEL) d. Mariana Duque-Mariño (COL) 63 64

Steph' a écrit:

(2/WC) Yanina Wickmayer (BEL) d. Mariana Duque-Mariño (COL) 63 64

Bonne Entame pour Yanina ! Ca devrait pouvoir se poursuivre au 2nd Tour, face à Mayr ou Rottman.

76 63 Face à Mayr, Nina enchaine !!

Meusburger en 1/4, elle devrait pouvoir passer et se qualifier pour les 1/2.

Allezzzzzzzzzzzzz