Roger Federer - 2

Par contre, Fed participe cette Semaine à l'Exhib' d'Abu Dhabi cette Semaine ...

Citation :

Tennis
31/12/2009 - 21:03
Soderling pour Federer


Abu Dhabi : David Ferrer bat Nikolay Davydenko 2-6, 6-2, 6-4. Prochain adversaire : Nadal. Robin Soderling bat Stanislas Wawrinka 7-6, 7-6. Prochain adversaire : Federer.

Matthieu a écrit:

Par contre, Fed participe cette Semaine à l'Exhib' d'Abu Dhabi cette Semaine ...

Citation :

Tennis
31/12/2009 - 21:03
Soderling pour Federer


Abu Dhabi : David Ferrer bat Nikolay Davydenko 2-6, 6-2, 6-4. Prochain adversaire : Nadal. Robin Soderling bat Stanislas Wawrinka 7-6, 7-6. Prochain adversaire : Federer.

ca remporte plus

Pas d'excuse pour Roger cette fois!

Citation :

Federer se confie au Télégramme



Le n°1 du tennis mondial a accordé une interview exclusive au Télégramme. Considéré par beaucoup comme le meilleur tennisman de tous les temps, Roger Federer s'apprête à attaquer une nouvelle saison avec le statut de n°1 mondial. Il y a dix ans, le Suisse avait ouvert son fabuleux palmarès en Bretagne en remportant le tournoi Challenger de Brest.

«Federer, c'est super!» Dans son édition du 1er novembre 1999, voilà le titre qu'avait choisi Le Télégramme pour saluer la victoire d'un jeune Suisse lors de la 12e édition des Internationaux de Bretagne à Brest. Un joueur encore inconnu du grand public, même si Roger Federer avait débarqué à la pointe du Finistère auréolé du statut de champion du monde juniors. «On savait que c'était un bon. Tout le monde le savait», raconte François Derrien, le directeur du tournoi brestois. «Mais on n'avait pas fait d'effort particulier pour le faire venir chez nous.» Sous-entendu, il n'y avait pas eu besoin de sortir le carnet de chèques pour qu'il vienne taper la balle sur les courts de Penfeld.

«Ce mec n'était pas pareil que les autres»
Car à l'époque, le natif de Bâle n'occupait «que» le 67e rang mondial. Ce qui était tout de même déjà exceptionnel pour un gamin âgé d'à peine 18 ans, professionnel depuis un an et demi seulement. Pourtant, c'est un joueur au palmarès encore vierge de titre significatif chez les seniors (1) qui avait débuté le tournoi de Brest, un Challenger (équivalent de la deuxième division) très bien doté (100.000 dollars plus l'hébergement). «En terme de niveau, c'était l'un des plus relevés au monde dans sa catégorie», assure Rodolphe Gilbert, adversaire malheureux de Federer au deuxième tour. «Je le connaissais un peu. Et comme il parlait français, c'était plus facile», raconte le Rennais, avant de s'épancher sur le jeu de l'actuel n°1 mondial: «Déjà à l'époque, on voyait que ce mec n'était pas pareil que les autres. Il sortait des coups de ?ouf? (de fou). Il ne m'est pas arrivé souvent de ressentir ça face à un adversaire.» Rien d'étonnant, donc, que le Suisse ait enfin réussi à débloquer son compteur en cette fin de saison 1999.

«Il était trop fort»
Il l'aurait peut-être fait plus tôt sans cette nervosité qui, dans sa jeunesse, l'a parfois desservi. «Il avait une attitude désinvolte et une tendance à s'énerver rapidement. Il était encore en phase d'apprentissage», souligne Lionel Roux, aujourd'hui entraîneur de l'équipe de France de Coupe Davis. «J'ai surtout le souvenir d'une personne très agréable», poursuit François Derrien. «Il se disait qu'il était très nerveux. Mais chez nous, ça ne s'était pas vu.» Il est vrai que Federer, tête de série n°1 à Brest, n'avait pas vraiment eu de raison de sortir de ses gonds. Avec un seul set concédé, le Suisse avait survolé le tournoi jusqu'à la finale remportée face à Max Mirnyi. Et ce malgré une bronchite qui l'avait perturbé durant sa semaine brestoise. «Il était trop fort pour moi aujourd'hui», avait reconnu le géant biélorusse, battu 7-6, 6-3.

9.650 € la victoire à Brest
«Il me fait penser à Sampras. Le tennis paraît si simple quand on le voit jouer...», avait déclaré, de son côté, François Derrien qui avait remis un chèque de 14.400dollars (9.650 € environ) au joueur suisse à l'issue de sa victoire finale. Si on y ajoute ses gains en double (630dollars, soit 422 € environ), Federer avait donc quitté Brest avec un peu plus de 10.000 € en poche. Et avec la satisfaction d'avoir remporté le premier (et unique) Challenger de sa carrière. Derrière, il lui a fallu patienter plus d'un an avant de soulever un nouveau trophée. C'était à Milan, en janvier2001. Depuis, 61titres ont enrichi son immense palmarès.

1. Fin 98, Federer a remporté deux tournois Satellite (petits tournois nationaux) chez lui en Suisse.

Citation :

Dix ans après, Roger Federer n'a rien oublié (ou presque) de sa victoire à Brest. Lors de l'interview exclusive qu'il nous a accordée, il est revenu sur ce titre qui l'a marqué, avant de se projeter sur la suite de sa carrière.

- Roger Federer, il y a dix ans, vous remportiez le tournoi Challenger de Brest. Vous en souvenez-vous ?
«Oui, quand même. C'est le seul Challenger que j'ai gagné dans ma carrière. Je me souviens, c'était en fin de saison. J'avais commencé l'année vers les 300 mondiaux et j'avais fini dans les 100. C'était une superbe année. Je me rappelle que c'était un Challenger très bien organisé. C'était sympa de l'avoir joué.»

- Vous rappelez-vous qui vous avez battu ?
«Oui, il y avait Lionel Roux, Michaël Llodra, Max Mirnyi, Martin Damm. Euh, voilà. Il doit en rester un autre, mais je ne m'en souviens plus.»

- Rodolphe...
«Rodolphe Gilbert, ah oui c'est vrai.»

- Un seul d'entre eux avait réussi à vous prendre un set. Qui était-ce ?
(longue hésitation). «C'était peut-être Lionel Roux, non?»

- Oui, c'est ça. Bravo.
«Merci (rires).»

- Quelle valeur a ce titre pour vous aujourd'hui?
«Je pense qu'il est plus important pour moi que pour les médias par exemple. Les médias, ils oublient vite malheureusement, surtout avec tous les succès que j'ai eus après. Mais quand même, il a fallu commencer par jouer des petits tournois, même si Brest était un très grand Challenger. Sur le coup, quand tu gagnes, c'est un très grand moment que tu gardes pour toujours. C'est presque au début de ta carrière que tu vis les choses les plus dramatiques, parce que tu veux tellement bien faire, tu veux tellement entrer dans le Top 100, tu veux montrer qui tu es, à quel point tu peux bien jouer au tennis... Alors, pour un jeune joueur, gagner un Challenger comme ça, c'est super important.»

- Vous arrive-t-il de reparler de cette victoire à Brest avec votre entourage ?
«Bon, rarement maintenant. Dans mon entourage, tout le monde connaît mon chemin. Je ne vais pas leur en reparler tous les jours. On se concentre plutôt sur le futur. Mais parfois, j'en parle avec certains joueurs qui ne savent pas que j'ai gagné à Brest. Ils me disent: ?Ah oui, il n'existe plus maintenant, mais c'est vrai qu'avant, il y avait un super tournoi là-bas.?»

- Vous souvenez-vous de votre partenaire de double à Brest ?
(sans hésiter) «Oui, Guillaume Raoux. Je me souviens que c'était l'un des meilleurs partenaires que j'avais jamais eus jusque-là. Alors, j'étais presque déçu d'avoir perdu au deuxième tour.»

- En relisant les coupures de presse de l'époque, on apprend également que vous aviez été un peu malade durant la semaine. Vous aviez une bronchite... Ça vous revient en mémoire ça aussi ?
«Euh, un peu moins. Ça devait être au début du tournoi, parce qu'à la fin, j'étais en forme. Contre Mirnyi, je me souviens que j'ai réussi une performance parfaite contre un joueur très dangereux indoor (en salle). Je me rappelle aussi que c'était Halloween la semaine de Brest. On avait des masques. On faisait peur un peu à tout le monde en faisant toujours des gags!»

- Avez-vous conservé le trophée ?
«Oui, il est toujours chez mes parents.»

- En Suisse ?
«Voilà, exactement.»

- A l'époque, vous étiez déjà 67e mondial mais vous n'aviez pas encore gagné de tournoi significatif. Ça commençait à vous agacer ou pas ?
«Non, pas vraiment. J'aurais bien aimé gagner un tournoi ATP déjà en nonante-neuf (1999). Cette année-là, j'ai participé à de grands tournois et j'ai réussi à faire des quarts de finale et une demi-finale. Alors, j'étais tout content. Mais ça aurait quand même été décevant de n'avoir jamais gagné un Challenger. En Future (équivalent de la troisième division), j'ai aussi joué trois fois et j'ai perdu trois fois en qualif'... (rires).»

- C'était une période durant laquelle vous étiez accompagné de Peter Carter (1)...
«Oui, il était là. Je suis d'ailleurs allé le saluer après ce premier titre. Je vais rarement, ou jamais en fait, remercier mes coachs après une victoire. Je ne grimpe pas dans les gradins pour embrasser mon entourage. Mais à Brest, j'ai vite couru vers lui. Je lui ai serré la main car ce premier titre, c'était quand même quelque chose de spécial. J'ai voulu le montrer un peu. Il me connaissait depuis que j'avais dix ans. On a fait un long chemin ensemble. C'était sympa pour nous deux.»

- A l'issue de la finale, vous aviez déclaré: ?Il ne faut pas se fixer de buts trop hauts.? C'était une façon de vous protéger, ou vous imaginiez vraiment que ce serait très difficile d'atteindre les sommets ?
«Bon, en nonante-neuf, j'étais le plus jeune dans le Top 100 à 18 ans et quelques mois. J'étais déjà quand même un peu en avance. Neuf ou dix mois avant Brest, j'avais battu Carlos Moya à Marseille. Il était 4e mondial et deux mois plus tard, il est devenu n°1 mondial. Donc, je savais que je pouvais battre les meilleurs et que je pouvais viser haut. Mais j'ai vu tout de suite que la presse aimait bien me mettre la pression car beaucoup d'experts disaient que j'avais un talent extraordinaire et que j'étais le futur n°1 mondial. J'ai toujours trouvé ça pas trop ?fair? (cool). J'ai toujours essayé de calmer les choses parce que j'ai vu à quel point il était difficile de gagner des tournois ou de dominer un sport. Mais c'est vrai qu'après avoir fini n°1 mondial chez les juniors en nonante-huit (1998), mon rêve était de devenir n°1 mondial et de gagner Wimbledon.»

- Dix ans ont passé depuis Brest. Serez-vous encore sur les courts dans dix ans ?
«Je ne sais pas. Ça dépend beaucoup de la façon dont mon corps va gérer les matchs, les voyages. De la manière dont mon mental va gérer tout ça. Mais l'envie de jouer le plus longtemps possible est là. Dans dix ans, j'aurai 38 ans. Honnêtement, ce n'est pas quelque chose de super impossible. Pour moi, la deuxième mi-temps vient de commencer. Et je ne sais pas quand elle va se terminer.»

- Si vous pouviez exaucer un rêve, ce serait quoi ? Réaliser le Grand chelem, gagner la Coupe Davis, les JO en 2012, battre Nadal en finale à Roland-Garros ?
«Ce qui me fait le plus plaisir, c'est quand je joue bien au tennis, quand je me régale sur le terrain et en dehors. Voyager avec ma famille maintenant, c'est super agréable. Ça m'a redonné une motivation supplémentaire. Depuis dix ans, j'ai déjà essayé plusieurs fois de gagner la Coupe Davis. Je réessaierai un jour, c'est clair. Aux Jeux Olympiques, j'ai déjà eu une médaille d'or en double. Ça me suffit largement. Mais c'est clair que je vais essayer d'être en forme pour Londres en 2012. En fait, j'aimerais avoir le plus de succès possible. Mais ce dont je me réjouis le plus, c'est de jouer contre tous ces jeunes qui montent et de voir combien de temps encore je peux être performant contre eux.»

- Comment imaginez-vous la saison 2010 ?
«Je pense que ça va être très intéressant, avec beaucoup de joueurs de caractère à la bagarre, notamment les Français comme Monfils qui a super bien joué à Bercy, ou Tsonga qui a raté de peu sa place au Masters. Moi, bien sûr, je vais me concentrer sur les grands événements. Si je suis en forme physiquement, je n'aurai pas peur. Je serai capable de très bien jouer.»

1. A cette époque, l'Australien Peter Carter était l'entraîneur de Roger Federer. Il est décédé accidentellement en 2002 lors d'un safari. Une mort tragique qui avait beaucoup affecté le joueur suisse.

Pauline a écrit:

ca remporte plus

Pas d'excuse pour Roger cette fois!

Ô que oui ça doit rapporter un max Impossible de trouver l'Info sur le montant précis mais je ne renonce pas à découvrir ...

Roger a l'air d'apprécier en tout cas ...

Citation :

Federer bling-bling à Dubaï
Le Suisse y a préparé 2010 comme un prince


DUBAÏ Il n’aura qu’un saut de puce à faire pour sa première sortie de l’année, fin de semaine, lors de la lucrative exhibition d’Abou Dhabi réunissant également Rafael Nadal et Nikolay Davydenko. Roger Federer (ATP 1) a en effet à nouveau préparé à Dubaï sa saison tennistique où il espère cimenter encore un peu plus sa place dans l’histoire du jeu.

“Dubaï concentre tous les avantages d’une grande ville”, confia le Suisse qui peut s’entraîner dans une quiétude toute helvétique sur les courts de l’hôtel Al Qasr, un palace protégé des regards par une palmeraie verdoyante. “Je peux marcher seul, sans être importuné. Et la plage est à proximité.”

La crise annonce une nouvelle traversée du désert dans le conglomérat Dubaï World du Sheik Mohammed, mais elle ne sera qu’un mirage pour Roger Federer, comme le raconte un confrère suisse dans le quotidien genevois Le Matin. Le recordman du nombre de titre du Grand Chelem, qui a dépassé l’été dernier la barre des 50 millions de dollars de gains, habite ainsi depuis trois ans un loft de 600 m2, vue imprenable sur la marina, au treizième étage d’un gratte-ciel pharaonique.

Quand les élites du tennis migrent vers les palmiers de Floride ou les courts couverts de Mons, Roger Federer s’est donc établi à Dubaï, dans le postulat du standing bling-bling qui possède la plus forte concentration de grues au monde. Son petit bijou de logis, où chaque salle de bain est équipée d’un écran plasma, aurait coûté 1,7 million de dollars, chauffeur, conciergerie et restauration gastronomique incluse.

Rien n’est toutefois trop beau pour le numéro un mondial, qui a vécu une année riche en émotions avec un triomphe à Roland-Garros et la naissance de jumelles, Charlène et Myla. Il y fait ainsi venir ses potes Yves Allegro et Marco Chiudinelli pour officier comme sparring-partners de même que son préparateur physique Pierre Paganini. Pour le logement, il s’occupe de tout vu qu’il dispose d’une suite gratuite au Burj Al Arab, où la nuitée culmine à 6.000 dollars.

“En Suisse, le climat est trop instable pour planifier des stages de longue durée. Je retournerai y vivre après ma carrière”, glissa-t-il encore, alors qu’il s’entraîne parfois jusqu’à six heures par jour, par 40 degrés. “Quand je joue en Australie ou à New York, je n’ai pas peur de la canicule...”

L'excuse du climat ne tient pas la route une seconde lol. Un peu de franchise, Roger, tu es là bas pour amasser un max de pognon ET tu vis à Dubaï pour ne pas payer d'impôts.
Voilà qui devait être dit ...

Il est LOIN d'être le seul dans ce cas mais quand on est suisse, "paradis fiscal" par excellence, ça laisse songeur d'aller vivre là-bas ...

Bon, le "cheikh" sera un peu moins gros que prévu car il commence la Saison par une Défaite face à Soderling lol, 76 67 26 ...

Citation :

Tennis -Exhibition- A. Dhabi
Söderling sort Federer


Robin Söderling a dominé vendredi Roger Federer en demi-finales du tournoi exhibition d'Abu Dhabi (6-7, 7-6, 6-2).

Roger Federer est encore en rodage. Pour son premier match de l'année, le numéro 1 mondial a concédé la défaite contre Robin Söderling, en demi-finales de l'exhibition d'Abu Dhabi (6-7, 7-6, 6-2). Un revers dont il faut relativiser la portée puisque l'épreuve ne figure pas au calendrier officiel. Malgré un premier set remporté au jeu décisif et un break dans la deuxième manche (3-1), il a fini par s'incliner, pour la première fois en treize oppositions face au Suédois, qu'il a l'habitude de martyriser dans les grandes occasions.

Un set et un break d'avance n'ont pas suffi
Pas dans le rythme et coupable de grossières errreurs, le Suisse a complètement manqué sa fin de match. Breaké à l'entame de la dernière manche (3-1), il a eu tout de suite l'occasion de se reprendre, mais a gâché quatre balles de break. Du coup, Söderling ne s'est pas privé pour l'enfoncer, s'envolant au score pour conclure sur un ace. Battu pour la deuxième année d'affilée d'entrée, après sa défaite l'an passé contre Andy Murray, Federer a encore trois jours pour corriger ces quelques défauts dans son jeu, avant d'entamer véritablement sa saison, à Doha. Pour le Suédois en revanche, tout va déjà pour le mieux. Reste à confirmer samedi en finale face à Rafael Nadal, vainqueur de l'autre demie, 100% espagnole, face à son compatriote David Ferrer.

Matthieu a écrit:

Pauline a écrit:

ca remporte plus

Pas d'excuse pour Roger cette fois!

Ô que oui ça doit rapporter un max Impossible de trouver l'Info sur le montant précis mais je ne renonce pas à découvrir ...

Roger a l'air d'apprécier en tout cas ...

Citation :

Federer bling-bling à Dubaï
Le Suisse y a préparé 2010 comme un prince


DUBAÏ Il n’aura qu’un saut de puce à faire pour sa première sortie de l’année, fin de semaine, lors de la lucrative exhibition d’Abou Dhabi réunissant également Rafael Nadal et Nikolay Davydenko. Roger Federer (ATP 1) a en effet à nouveau préparé à Dubaï sa saison tennistique où il espère cimenter encore un peu plus sa place dans l’histoire du jeu.

“Dubaï concentre tous les avantages d’une grande ville”, confia le Suisse qui peut s’entraîner dans une quiétude toute helvétique sur les courts de l’hôtel Al Qasr, un palace protégé des regards par une palmeraie verdoyante. “Je peux marcher seul, sans être importuné. Et la plage est à proximité.”

La crise annonce une nouvelle traversée du désert dans le conglomérat Dubaï World du Sheik Mohammed, mais elle ne sera qu’un mirage pour Roger Federer, comme le raconte un confrère suisse dans le quotidien genevois Le Matin. Le recordman du nombre de titre du Grand Chelem, qui a dépassé l’été dernier la barre des 50 millions de dollars de gains, habite ainsi depuis trois ans un loft de 600 m2, vue imprenable sur la marina, au treizième étage d’un gratte-ciel pharaonique.

Quand les élites du tennis migrent vers les palmiers de Floride ou les courts couverts de Mons, Roger Federer s’est donc établi à Dubaï, dans le postulat du standing bling-bling qui possède la plus forte concentration de grues au monde. Son petit bijou de logis, où chaque salle de bain est équipée d’un écran plasma, aurait coûté 1,7 million de dollars, chauffeur, conciergerie et restauration gastronomique incluse.

Rien n’est toutefois trop beau pour le numéro un mondial, qui a vécu une année riche en émotions avec un triomphe à Roland-Garros et la naissance de jumelles, Charlène et Myla. Il y fait ainsi venir ses potes Yves Allegro et Marco Chiudinelli pour officier comme sparring-partners de même que son préparateur physique Pierre Paganini. Pour le logement, il s’occupe de tout vu qu’il dispose d’une suite gratuite au Burj Al Arab, où la nuitée culmine à 6.000 dollars.

“En Suisse, le climat est trop instable pour planifier des stages de longue durée. Je retournerai y vivre après ma carrière”, glissa-t-il encore, alors qu’il s’entraîne parfois jusqu’à six heures par jour, par 40 degrés. “Quand je joue en Australie ou à New York, je n’ai pas peur de la canicule...”

L'excuse du climat ne tient pas la route une seconde lol. Un peu de franchise, Roger, tu es là bas pour amasser un max de pognon ET tu vis à Dubaï pour ne pas payer d'impôts.
Voilà qui devait être dit ...

Il est LOIN d'être le seul dans ce cas mais quand on est suisse, "paradis fiscal" par excellence, ça laisse songeur d'aller vivre là-bas ...

S'il veut vivre là bas pour payer moins, ça ne me dérange pas...c'est comme quand on critiquait Justine à cause de Monaco...

Pauline a écrit:

Matthieu a écrit:

Pauline a écrit:

ca remporte plus

Pas d'excuse pour Roger cette fois!

Ô que oui ça doit rapporter un max Impossible de trouver l'Info sur le montant précis mais je ne renonce pas à découvrir ...

Roger a l'air d'apprécier en tout cas ...

Citation :

Federer bling-bling à Dubaï
Le Suisse y a préparé 2010 comme un prince


DUBAÏ Il n’aura qu’un saut de puce à faire pour sa première sortie de l’année, fin de semaine, lors de la lucrative exhibition d’Abou Dhabi réunissant également Rafael Nadal et Nikolay Davydenko. Roger Federer (ATP 1) a en effet à nouveau préparé à Dubaï sa saison tennistique où il espère cimenter encore un peu plus sa place dans l’histoire du jeu.

“Dubaï concentre tous les avantages d’une grande ville”, confia le Suisse qui peut s’entraîner dans une quiétude toute helvétique sur les courts de l’hôtel Al Qasr, un palace protégé des regards par une palmeraie verdoyante. “Je peux marcher seul, sans être importuné. Et la plage est à proximité.”

La crise annonce une nouvelle traversée du désert dans le conglomérat Dubaï World du Sheik Mohammed, mais elle ne sera qu’un mirage pour Roger Federer, comme le raconte un confrère suisse dans le quotidien genevois Le Matin. Le recordman du nombre de titre du Grand Chelem, qui a dépassé l’été dernier la barre des 50 millions de dollars de gains, habite ainsi depuis trois ans un loft de 600 m2, vue imprenable sur la marina, au treizième étage d’un gratte-ciel pharaonique.

Quand les élites du tennis migrent vers les palmiers de Floride ou les courts couverts de Mons, Roger Federer s’est donc établi à Dubaï, dans le postulat du standing bling-bling qui possède la plus forte concentration de grues au monde. Son petit bijou de logis, où chaque salle de bain est équipée d’un écran plasma, aurait coûté 1,7 million de dollars, chauffeur, conciergerie et restauration gastronomique incluse.

Rien n’est toutefois trop beau pour le numéro un mondial, qui a vécu une année riche en émotions avec un triomphe à Roland-Garros et la naissance de jumelles, Charlène et Myla. Il y fait ainsi venir ses potes Yves Allegro et Marco Chiudinelli pour officier comme sparring-partners de même que son préparateur physique Pierre Paganini. Pour le logement, il s’occupe de tout vu qu’il dispose d’une suite gratuite au Burj Al Arab, où la nuitée culmine à 6.000 dollars.

“En Suisse, le climat est trop instable pour planifier des stages de longue durée. Je retournerai y vivre après ma carrière”, glissa-t-il encore, alors qu’il s’entraîne parfois jusqu’à six heures par jour, par 40 degrés. “Quand je joue en Australie ou à New York, je n’ai pas peur de la canicule...”

L'excuse du climat ne tient pas la route une seconde lol. Un peu de franchise, Roger, tu es là bas pour amasser un max de pognon ET tu vis à Dubaï pour ne pas payer d'impôts.
Voilà qui devait être dit ...

Il est LOIN d'être le seul dans ce cas mais quand on est suisse, "paradis fiscal" par excellence, ça laisse songeur d'aller vivre là-bas ...

S'il veut vivre là bas pour payer moins, ça ne me dérange pas...c'est comme quand on critiquait Justine à cause de Monaco...

Oui tout à fait mais le pire avec Ju c'est que les grincheux qui feraient pareil continuent à le lui reprocher !J'espère que les Suisses ont l'esprit plus grand que mes compatriotes!
Allez Roger !!!

Fed bat Ferrer 61 75 dans "la p"'tite Finale" d'Abu Dhabi.

Le suisse jouera Christophe Rochus au 1er Tour de Doha.

Matthieu a écrit:

Le suisse jouera Christophe Rochus au 1er Tour de Doha.

Le bol Enfin il en faut allez Roger!

Citation :

Roger Federer > Federer : "Gagner plus de tournois"

Par Rémi Cap-Vert, lundi 04 janvier 2010 à 17:04


En marge du tournoi de Doha, Roger Federer a fait part de ses ambitions pour l'année 2010. Le Suisse espère remporter plus de tournois que la saison dernière (4 titres et 3 finales).

"Je crois pouvoir, sans aucun doute, si mon corps me le permet, gagner beaucoup plus de tournois que ce que j'ai fait l'an passé. Si je suis en bonne forme cette année, je pourrai remporter davantage de tournois. Je pourrai également gagner en confiance et bien plus de choses deviendront alors possibles. Je voudrais rester numéro un mondial. C'est un objectif évident, il n'y a aucun doute là-dessus, parce que passer de la deuxième à la première place n'a pas été une tâche facile, surtout avec Rafael Nadal jouant si bien."

Depuis deux ans, il est vrai, le Suisse a clairement baissé de rythme dans sa course aux titres. 4 victoires la saison dernière, 4 la précédente... Un résultat bien loin de ses 12 trophées de l'année 2006. Avec l'explosion de Rafael Nadal, l'arrivée sur le devant de la scène de joueurs tels Djokovic, Murray et Del Potro, il est sûr que la tâche s'est largement compliquée. Il conserve, néanmoins, toute sa régularité sur les tournois du Grand Chelem. Toujours présent quand ses adversaires directs, eux, pèchent par un physique défaillant ou une inconstance régulière. La constance, c'est d'ailleurs ce gouffre qui sépare les bons et très bons joueurs des plus grands champions. C'est également la grande inconnue de cette année 2010. Gagner plus de tournois et rester numéro 1 mondial : cela en dépendra.

Matthieu a écrit:

Le suisse jouera Christophe Rochus au 1er Tour de Doha.

allez Roger !!! tant pis pour Christophe

61 62 Fed passe sans trembler le 1er Tour face à Christophe.

Voilà un p'ti Résumé du Match du Jour Désolé d'être taquin ...