Roger Federer - 2

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Roger Federer > Roger le métier de Papa
Par Jérémy Alen, lundi 24 août 2009 à 17:57


Alors qu'il a rendu hommage à ses jumelles, Federer a aussi précisé que le rôle de papa s'apprenait en grandissant en même temps que ses enfants: "J'essaye d'être un bon papa, et je pense que j'en suis un" a déclaré le joueur Suisse. De notre côté, John McEnroe nous avait confié que cette situation avait beaucoup perturbé sa carrière. Pour l'instant, ce n'est pas le cas du Suisse bien au contraire. Au fait, pour les fans, la photo des jumelles est visible sur le Facebook de Federer.

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ATP > US Series, Roger pointe le bout de son nez
Par Jérémy Alen, lundi 24 août 2009 à 11:04


Avec son succès à Cincinnati, Roger Federer est désormais 4e au classement de l'US Series avec 125 points. Le leader est Andy Murray avec 145 points, suivent Del Potro (140 pts) et Querrey (130 points). A l'issue de cette serie qui inclut encore le tournoi de New Haven et l'Us Open, le vainqueur aura le droit a un petit bonus d'1 millions de dollars....

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Insolites > Roger donne rendez-vous à ses fans!
Par Pauline Dahlem, mardi 25 août 2009 à 14:33


Roger Federer prend toujours autant soin de sa page Facebook, dont le nombre de fans augmente à un vitesse vertigineuse. Aujourd'hui à 13h13, ils ne sont pas moins de 2 801 578 inscrits. Il faut dire que le Suisse y prête beaucoup d'attention. Après avoir posté une photo de ses filles dans les bras de leurs parents, il donne aujourd'hui rendez-vous à ses fans : "Ce mercredi, de 10h15 à 10h45 je serai au Nike "Game. Set. NYC" à Manhattan. Ils installeront un court de tennis et j'essaierai de répondre à quelques questions d'un vrai New-Yorkais...John McEnroe! J'espère vous voir là bas, tandis que je me prépare pour l'US Open. Prenez-soin de vous et merci pour tout votre soutien."

Rendez-vous à la fin du dernier Grand Chelem de la saison, où le nombre de fans aura peut-être dépassé les 3 millions...

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US Open > Federer à la chasse au Jimbo ?
Par Jérémy Alen, mercredi 26 août 2009 à 11:49


Avec 5 titres d'affilée, Roger Federer n'est pas tout seul sur la plus haute marche du podium de l'histoire de l'US Open. Il partage cette place avec l'idole de tout un peuple, l'un des maîtres des lieux, Jimmy Connors, vainqueur lui aussi 5 fois. C'était en 1974, 76, 78, 82, 83. Peut-être que Jimmy, un temps coach d'Andy Roddick, sera invité pour la remise des prix si le Suisse est en finale.

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ATP > Roger, 2430 points d'avance
Par Pauline Dahlem, mercredi 26 août 2009 à 13:42


A l'aube du dernier Grand Chelem de l'année, Roger Federer l'actuel numéro 1 mondial, compte 2430 points d'avance sur son poursuivant direct au classement, l'Ecossais Andy Murray. Le Suisse qui s'était imposé à New York l'an passé aura 2000 points a défendre tandis que l'Ecossais devra gérer ses 1400 points glânés grâce à sa finale de l'an passé.

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US Open > Britton, 18 ans, future victime de Fed
Par Jérémy Alen, jeudi 27 août 2009 à 22:43


Le jeune américain classé 1364e à l'ATP risque de prendre une sacrée leçon face au numéro 1 mondial au sommet de sa forme. On sait peu de choses de ce joueur. Il a par exemple participé au "warm-up" de Pete Sampras lorsque l'ancien joueur américain a rencontré Marat Safin pour un match exhibition à Los Angeles. Le grand Pete avait expliqué que cet espoir retournait et passait très bien. Lorsque Devin Britton a appris la nouvelle, il a eu cette réaction: ''"Vraiment, c'est sur, ben disons que c'est bon et que c'est pas bon à la fois, en même temps, je serai sur un grand court, et même peut-être en night session"''

Fed bat Rafa à Madrid, après que l'espagnol eu disputé une demi-finale d'enfer la veille.
Fed gagne RG en profitant clairement de la blessure de Rafa.
Fed gagne Wimbly en l'absence de Rafa et d'un cheveu face à un éblouissant Roddick qui a fait le match de sa vie ce jour là.
Fed va débuter l'USO face au 1364è mondial, du jamais vu comme Tirage pour un numéro 1 Mondial.
Chanceux le Fed, vous avez dit chanceux ?

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US Open > SOS statistiques Fed-Britton
Par Jérémy Alen, jeudi 27 août 2009 à 22:55


Est-ce que dans un tournoi du Grand Chelem, un tel écart entre deux joueurs a déjà eu lieu..Car un 1364e contre le numéro 1, c'est un peu comme si un - 30 joueait dans le grand tableau de Roland Garros contre un top 10....Si des personnes possèdent des informations précises à ce sujet, on est preneurs.

Peut être...
Mais ne peut-on pas dire que Rafa a aussi profité par moments des faiblesses de Roger?
Pour réussir, il faut être talentueux, travailler et avoir une part de chance, c'est peut être malheureux quelque part

Pauline a écrit:

Peut être...
Mais ne peut-on pas dire que Rafa a aussi profité par moments des faiblesses de Roger?
Pour réussir, il faut être talentueux, travailler et avoir une part de chance, c'est peut être malheureux quelque part

Ca a encore marché

J'adore taquiner Fed car à chaque fois ya sa sauveteuse favorite qui accoure

Je suis trop fort J'ai même réussi à faire passer pour "sérieux" mon Post

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Roger Federer > 50 000 000 $ for the number one
Par Pauline Dahlem, vendredi 28 août 2009 à 15:36


La totalité des gains en tournoi (simple et double confondus) depuis le début de la carrière de Roger Federer s'élève aujourd'hui 49 977 919 $. Le Suisse devrait donc dépasser lors de l'US Open qui débute lundi la barre des 50 millions de dollars !

Ses Jumelles ne devraient pas être trop malheureuses

Oups c'est plus fort que moi dsl

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Insolites > Roger and Tiger
Par Pauline Dahlem, vendredi 28 août 2009 à 14:57


Alors qu'il participait à une exhibition dans les rues de New York, Roger Federer a été interrogé par la chaîne Américaine CNBC sur son amitié avec Toger Woods :
De quoi parlez vous avec Tiger ? De business, du mental dans votre sport ? Quelles sont les sujets de vos conversations ?
"Je crois que nous parlons juste comme deux amis parlent entre eux. Pas particulièrement de business ou quoi que ce soit, juste comme deux copains qui discutent. Nous essayons tous les deux d'être les meilleurs athlètes possibles. Vous savez nous nous ressemblons aussi parce que nous avons beaucoup de réussite dans notre sport. Nous aimons bien savoir aussi ce qui se passe dans nos vies respectives, je suis ce qu'il fait et lui aussi. Également d'ailleurs en ce qui concerne nos vies de famille. Il a deux enfants, maintenant j'en ai deux aussi... Vous voyez il y a beaucoup de ressemblances entre nous. Et puis j'ai entendu qu'il est dans le coin en ce moment, il joue aussi à New York, et j'espère vraiment que nous pourrons nous voir!"

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US Open > Britton n'y croyait pas
Par Pauline Dahlem, samedi 29 août 2009 à 08:58


Le jeune Américain Devin Britton, joueur le moins bien classé du tableau à l'US Open, a eu la chance ou la poisse c'est selon, d'être désigné premier adversaire de Roger Federer au premier tour des Internationaux des Etats-Unis. Le joueur raconte comment il a appris cette nouvelle, et ses sentiments à l'approche de son premier match en Grand Chelem :"J'étais un peu choqué. Quand mon agent me l'a dit, je ne l'ai pas cru au début. Puis j'ai reçu 15 textos en l'espace de 10 minutes et j'ai compris que c'était vrai. Je me suis dit : "c'est dingue !". Un peu plus tard, alors que je marchais dans les vestiaires, les joueurs Américains - Brendan Evans, Jesse Levine et Robby Ginepri - ont commencé à rire en me voyant ! Mais bon, tout le monde me supporte. Je ne sais pas trop quoi penser de ce tirage. C'est entre de l'amour et de la haine. C'est une expérience unique de jouer Roger Federer à l'US Open, mais en même temps, ça rend la tache de gagner son premier match dans un tournoi si important assez compliquée !"

Matthieu a écrit:

Pauline a écrit:

Peut être...
Mais ne peut-on pas dire que Rafa a aussi profité par moments des faiblesses de Roger?
Pour réussir, il faut être talentueux, travailler et avoir une part de chance, c'est peut être malheureux quelque part

Ca a encore marché

J'adore taquiner Fed car à chaque fois ya sa sauveteuse favorite qui accoure

Je suis trop fort J'ai même réussi à faire passer pour "sérieux" mon Post

c'est désespérant de toujours tomber dans le panneau! trop impulsive peut être....

Mais ne va quand même pas me faire croire que tu ne pensais pas un mot de ce que tu as dit!

Va savoir

Peut-être que oui, peut-être que non ... Je ne dévoile pas tout de ma riche et subtile personnalité qui fait en partie le charme irrésistible de la personne que je suis ...

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Roger Federer aurait été «Un vrai petit diable!»



«Il fallait constamment qu'il bouge, sinon il devenait insupportable...» C'est Lynette Federer qui parle ainsi de son Roger, qui, petit déjà, avait un joli coup droit...

Roger Federer, qui tente de remporter, à New York, un 6e US Open d'affilée, n'a pas toujours été un enfant modèle. «Il lui arrivait même de tricher à Hâte-toi lentement pour ne pas perdre», avoue sa soeur

Mais comment était-il avant d'entrer dans la Légende, de devenir le meilleur joueur de tennis du monde et ce papa comblé, si heureux dimanche dernier à Cincinnati? A vrai dire, même les géants sont tout petits, au début. Roger Federer, qui a commencé à taper dans une petite balle contre le mur de sa maison à l'âge de 4 ans, était-il un enfant modèle, sage comme son image? «C'était un vrai petit diable!», avoue Diana, sa soeur aînée. «Il fallait constamment qu'il bouge, sinon il devenait insupportable», renchérit Lynette, sa maman. «Et quand il n'aimait pas quelque chose, il pouvait devenir agressif», conclut, au filet, son père Robert. Et la tata, Diana, d'ajouter qu'il lui arrivait, même, d'ailleurs, de «tricher à «Hâte-toi lentement» pour ne pas perdre. Faute de quoi, il envoyait voler les pièces à travers le salon!


«Il a fallu que je me calme»
Le petit Roger, qui a aussi essayé le ski alpin, la natation, le skateboard, le foot, le badminton, le handball et le basket, en a fait voir de toutes les couleurs à ses parents, même s'ils reconnaissent, évidemment, que c'était, surtout, «un petit gars très sympa». Fan des Chicago Bulls, de Michael Jordan et du FC Bâle, ce touche-à-tout, qui n'appréciait pas trop l'école, finit, vers les huit ans, par opter pour le coup droit et le revers, par mettre définitivement la main sur la raquette. «Mais je dois avouer qu'à cette époque, je n'arrêtais pas de la balancer...»

Souvent en retard aux entraînements, le futur crack est loin d'être un exemple. Plutôt fragile mentalement, il écope régulièrement de sanctions disciplinaires. «A un moment donné, mes parents m'ont même menacé de ne plus me suivre dans les tournois. Il a donc fallu que je me calme, sourit le No 1 mondial, qui est alors égratigné dans le Basler Zeitung, sur l'ordre de la maman. Responsable du programme jeunes au Old Boys Club de Bâle, Madelaine Bärlocher admet que si son poulain «a beaucoup juré», c'est uniquement parce que «cela n'allait pas assez vite pour lui...»


Le souvenir de Marco Chiudinelli
Son pote bâlois, Marco Chiudinelli (174e joueur mondial et 28 ans comme son prestigieux camarade) raconte cette belle anecdote, dans L'Equipe du 19 juin dernier: «Un jour, on a été opposés à la Bambino Cup. On était encore très petits. Le match commence et Roger se détache au score. Je me mets à pleurer. Il fait vite le tour du court et vient me consoler: «Ne t'en fais pas, tu n'as pas encore perdu, accroche-toi.» Effectivement, je remonte et là, c'est lui qui se met à pleurer et moi qui vais le consoler. A la fin, j'ai gagné. Mais je n'avais jamais vu ça, quelqu'un qui a vraiment de la peine pour l'adversaire qu'il est en train de battre!» Unique, Roger a toujours été un grand émotif!

«Roger aimait bien faire le guignol»
A 14 ans, celui qui a été aussi ramasseur de balles, rejoint le centre national d'Ecublens. Dans cette localité vaudoise, le Suisse alémanique vit durant deux ans, chez la famille Christinet. Cornelia et Jean-François le considèrent alors comme leur quatrième fils. Vincent, le cadet (27 ans) est même devenu l'un de ses meilleurs amis. «Il était jovial, détendu, sans problème, témoigne le père. Comme tous les jeunes, il fallait toujours l'envoyer au lit. Et le matin... on devait le réveiller!» Et de reconnaître, à son tour, qu'il est vrai que Roger «aimait bien faire le guignol et envoyer des balles sur le toit de la salle d'entraînement.»

A cette époque, l'ex-espoir du tennis français, Christophe Freyss, qui le dirigeait à l'Académie nationale, n'avait pas été subjugué par l'as des aces. «Ce n'était pas un prodige du tennis, se souvient-il. On ne pouvait pas imaginer, à voir sa technique, son jeu de jambes ou son attitude, qu'il deviendrait un si grand champion. Il frappait très fort, mais très loin derrière la ligne de fond. Son coup droit était quasiment identique à celui d'aujourd'hui. Mais... son jeu de jambes et sa concentration n'étaient pas bons. Il n'était pas stable et très colérique sur le terrain.» Un vrai petit diable, qu'elle a dit, Diana!

«C'était une grande gueule!»
Le Valaisan Yves Allegro, devenu, depuis, son ami et confident, témoigne, lui aussi, «que lorsqu'il est arrivé à Ecublens, c'était une grande gueule, régulièrement viré de l'entraînement.» Peter Lundgren, l'un de ses premiers entraîneurs, l'a même traité, à cette période, de «petit morveux, d'enfant gâté, qui donnait des coups de tête dans son oreiller». Cossard, grognard, désinvolte: celui qui allait bientôt crever l'écran, remporter quinze tournois du Grand chelem et devenir No 1 mondial, a même pensé, à un moment donné, qu'il était cinglé. Mais, heureusement, des amis l'ont rassuré...

Depuis, les années ont passé. Le «sale gosse» a grandi, mûri. On connaît la suite de sa si belle histoire. Père de jumelles, Roger n'a pas fait les choses à moitié. Ne dit-on pas que des chiens ne font pas des chats ou vice-versa? Si Charlene Riva et Myla Rose possèdent ses gênes, alors, les filles du Maître pourraient bien avoir un caractère bien trempé, celui de championne. Au fait, la maman était-elle plus calme?



Christian Maillard - le 29 août 2009, 23h47
Le Matin Dimanche

Bon là, sur son enfance, j'invente rien hein

Ca m'étonne pas de ce petit garnement ...

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Roger Federer > Federer se souvient d'Agassi
Par Apolline Céleste, dimanche 30 août 2009 à 13:36


Interrogé sur les conseils qu'il donnerait à son adversaire du 1er tour, le jeune Devin Britton, âgé de 18 ans, Roger Federer est lui-même revenu sur les sentiments qui l'ont traversé lors de son premier match sur le circuit ATP contre Andre Agassi : "J'ai vécu un peu la même situation avec André à Bâle, dans ma ville, là où j'avais été ramasseur de balles. Donc c'état une grosse affaire que de recevoir une wild card pour le tirage. C'était l'incrédulité. Je pensais que les gens se foutaient de moi quand ils m'ont dit que je jouais Agassi. Il y avait quelques gars dans le tableau que je ne voulais pas jouer. Je savais que j'avais encore pas mal de boulot à effectuer sur la ligne de fond, et j'allais jouer peut-être un des plus grands joueurs de tous les temps sur ce match-là. J'étais sous le choc, mais vous essayez de le savourer et de vous lancer dans la bataille. Ici c'est un peu différent, c'est un Grand Chelem. Au meilleur des cinq manches, quelque chose que Britton n'a peut-être jamais joué, mais je pense que la chose intéressante en tennis c'est que vous avez toujours une chance. Qu'importe l'adversaire, où ça se joue, si vous croyez que le gars ne va pas faire un jeu, vous rêvez. Le tennis c'est comme ça. Il faut être sur ses gardes. Je dois m'appliquer à produire une bonne performance"