Tennis et Politique de lutte contre le dopage

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ATP > Champion évoque l'affaire Gasquet

Par Pauline Dahlem, mercredi 09 décembre 2009 à 15:28


Alors qu'il annonçait la fin de sa carrière d'entraineur sur RMC, Thierry Champion a évoqué l'affaire Gasquet à laquelle il a malgré lui été lié ces derniers mois.

"Il parait qu’il y a toujours des victimes collatérales de ce genre d'affaires. Après, je ne sais pas si je suis vraiment une victime. Le Team Lagardère avait déjà décidé d’opérer plusieurs licenciements économiques. Cette histoire est arrivée au même moment. Il y a forcément eu plusieurs personnes licenciées. Pourtant, je ne suis pas amer. J’ai trinqué, car ça ne m’a pas fait plaisir de voir mon nom cité dans la presse, surtout vis-à-vis de mes proches." [...]

Champion reprend : "Richard n’est pas sorti ce soir-là pour prendre de la cocaïne. Je n’y crois pas une seule seconde. Je ne sais pas s’il s’est fait piéger. Ce qui est dommage pour lui, c’est que cette histoire ait mis sa carrière en pointillé. Mais c’est un jeune joueur. Il a beaucoup de talent. Il faut espérer que sa peine ne soit pas trop lourde et qu’il puisse redémarrer l’année en janvier. Il devra être fort moralement pour se sortir ça de la tête. Pour vraiment décoller, Richard a peut-être besoin d’un peu plus d’autonomie. Aujourd’hui, il a 23 ans. Il doit mûrir un peu et assumer un peu plus ses propres décisions. Mais ce n’est pas mort pour lui. Son envie va être décuplée."

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Tennis - Dopage
Gasquet fixé jeudi


Saisi par la Fédération internationale de tennis (ITF) et l'Agence mondiale antidopage (AMA), le Tribunal arbitral du Sport (TAS) a annoncé mercredi qu'il rendrait le lendemain sa décision sur le cas Richard Gasquet. L'AMA et l'ITF ont jugé trop clémente la suspension de deux mois et demi décidée à la mi-juillet par le tribunal antidopage de l'ITF après le contrôle positif à la cocaïne subi par l'ancien n°1 français le 28 mars en marge du tournoi de tennis de Miami. Le tribunal avait estimé «plus plausible qu'improbable» l'idée que Gasquet ait pu être contaminé par des baisers avec une jeune femme.

Matthieu a écrit:

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Tennis - Dopage
Gasquet fixé jeudi


Saisi par la Fédération internationale de tennis (ITF) et l'Agence mondiale antidopage (AMA), le Tribunal arbitral du Sport (TAS) a annoncé mercredi qu'il rendrait le lendemain sa décision sur le cas Richard Gasquet. L'AMA et l'ITF ont jugé trop clémente la suspension de deux mois et demi décidée à la mi-juillet par le tribunal antidopage de l'ITF après le contrôle positif à la cocaïne subi par l'ancien n°1 français le 28 mars en marge du tournoi de tennis de Miami. Le tribunal avait estimé «plus plausible qu'improbable» l'idée que Gasquet ait pu être contaminé par des baisers avec une jeune femme.

On va voir s'il va s'en sortir !

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Affaire Gasquet > Agassi s'exprime

Par Pauline Dahlem, jeudi 17 décembre 2009 à 15:13


Interrogé par RMC.fr sur les soucis actuels de Richard Gasquet, Andre Agassi a apporté pour la première fois son soutien au Biterrois.

"J’aime beaucoup Richard. Mais la question qu’on doit se poser, c’est de savoir si les règles sont les bonnes quand on est contrôlé positif à une drogue récréative. Qu’il ait été contaminé après avoir embrassé une fille ou qu’il en ait pris, on a quoi qu’il arrive besoin d’une règle adaptée au crime. [...] J’aimerais que la réglementation soit revue. Il faudrait une échelle des sanctions. J’espère que Richard pourra jouer."

Qu'il se permette, ne serait-ce que d'intervenir sur un Tel Sujet, avec le passif qu'il traine, c'est un peu gros ...

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Tennis - Dopage
Le TAS disculpe Gasquet


Le Tribunal arbitral du sport a totalement disculpé jeudi Richard Gasquet, contrôlé positif à la cocaïne le 28 mars en marge du tournoi de Miami.

«Le joueur a été exonéré de toute faute ou négligence et le TAS a rejeté les appels déposés par l'ITF et l'AMA», a indiqué le TAS sur son site internet. Gasquet, qui a purgé une suspension provisoire de deux mois et demi entre mai et le 15 juillet, conserve tous les points et les primes gagnés sur les terrains entre mars et mai. L'ancien n°1 français âgé de 23 ans avait écopé, le 15 juillet, d'une suspension de deux mois et demi - qu'il avait donc déjà effectué - par le tribunal antidopage de la Fédération internationale de tennis (ITF). Mais l'ITF avait fait appel de cette décision qu'elle jugeait trop clémente. L'Agence mondiale antidopage (AMA) s'était associée à cet appel.
Un pur accident pour le TAS

«La quantité de métabolites de cocaïne était si faible qu'elle ne pouvait être que le résultat d'une exposition fortuite plutôt que d'une consommation (...) pour un but récréatif.»

«La formation du TAS a décidé de rejeter les appels après avoir déterminé que, dans cette affaire, Richard Gasquet n'avait commis aucune faute ou négligence au sens du règlement antidopage de l'ITF», indique le TAS. Le TAS ne nie pas la présence d'une «quantité minime» de cocaïne dans l'urine du joueur «mais précise que» cela n'était pas dû à une faute ou négligence du joueur. Le TAS a fondé sa décision sur «les preuves fournies par les experts cités par le joueur et par l'ITF, qui ont établi que la quantité de métabolites de cocaïne était si faible qu'elle ne pouvait être que le résultat d'une exposition fortuite plutôt que d'une consommation de cocaïne dans des quantités usuelles pour un but récréatif». Et le TAS d'ajouter pour justifier sa décision : «Par ailleurs, il a également été établi que le joueur n'était clairement pas un consommateur régulier de cocaïne, même pour des quantités infimes.»

Le joueur, qui avait déclaré forfait pour le tournoi de Miami quelques heures avant de subir son contrôle antidopage, a toujours assuré n'avoir jamais pris de cocaïne. Gasquet, retombé à la 52e place mondiale, était revenu à la compétition le 22 août lors du tournoi américain de New Haven. (Avec AFP)

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Tennis - Dopage
Deblicker : «Énorme soulagement»


Les acteurs du tennis français, l'entraîneur Eric Deblicker en tête, bientôt suivi par Mickaël Llodra ou encore Arnaud Clément et Jean Gachassin, n'ont pas tardé à exprimer leur soulagement après que Richard Gasquet a été disculpé jeudi par le TAS.

«C'est un énorme soulagement, surtout pour Richard et son entourage. On a reconnu que Richard était allé dans une soirée et qu'il y a eu un accident. Il a été blanchi. C'est très important, s'est réjoui l'homme de 57 ans. Il a repris le travail depuis cinq semaines et tous les jours c'était difficile. Mais à travers l'entraînement, il a réussi à s'entraîner, à oublier. Mentalement c'était dur. Mais derrière tout cela, il a su se préparer en montrant du caractère. Il m'en parlait tous les jours. Le plus important maintenant est de le voir retrouver le plaisir sur le terrain. Il va revenir la tête haute. Le plus important est qu'il puisse exercer son métier. On avait imaginé son programme en fonction d'une issue heureuse et que donc il partirait en Australie. Il sera à Brisbane, puis Sydney et ensuite il participera l'Open d'Australie. J'ai envie de dire: Vivement 2010 !»

De la même manière, les coéquipiers du joueur français en Coupe Davis ont unanimement fait part de leur plaisir après la nouvelle de sa disculpation. «Je suis vraiment heureux pour Richard, a commenté Arnaud Clément. Vraiment très content que cette sale histoire fasse partie du passé. Il va pouvoir tourner la page car vivre dans le doute aussi longtemps n'a pas été facile à vivre pour lui. Il va désormais pouvoir attaquer la saison 2010 l'esprit libre. C'est important pour lui que les gens sachent que Richard Gasquet n'est pas un tricheur.»


Llodra et Mathieu heureux pour Gasquet

De leur côté, peu après le match qui les a opposé à Toulouse dans le cadre du Masters France, Mickaël Llodra et Paul-Henri Mathieu n'ont pas pu éluder les questions des journalistes. «C'est bien pour Richard car cela a été une longue période de galère. C'est du passé maintenant et il faut qu'il saisisse cette opportunité comme un nouveau départ (...) une nouvelle chance de démontrer son énorme potentiel. C'est aussi une chance pour le tennis français car on a tous besoin de lui en Coupe Davis. Je suis vraiment content car il est passé par tous les états et le fait de reprendre la compétition va définitivement le libérer. A lui de repartir de l'avant», a déclaré Mickaël Llodra bientôt rejoint par PHM. «Je sais que cela n'a pas été évident pour lui puisque je m'entraînais encore à ses côtés la semaine dernière. C'est vraiment une bonne chose pour lui et aussi pour tout le tennis français. Ce qui s'est passé est peut-être encore ancré dans la tête des gens, mais avec le temps cela va s'estomper», a espéré le 33e joueur mondial. (Avec AFP)


Jean Gachassin, président de la FFT, s'attendait à pire

«Pour la Fédération française, c'est un vrai soulagement et pour Richard aussi je suppose. Le TAS a reconnu qu'il n'y avait aucune intention de dopage de sa part. Notre ami s'est montré imprudent. J'espère que cela va lui permettre de gagner en maturité. Il va maintenant montrer qu'il est le plus fort. Comme je suis juriste (huissier), j'ai craint qu'ils lui mettent un an (de suspension) car la première sanction de deux mois et demi ne respectait pas les règles qui disaient au miminum un an et au maximum deux ans. Cela aurait été catastrophique pour sa carrière. Je pense qu'il va en sortir plus fort. Je vais lui dire de se battre.»

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Affaire Gasquet > Des dédommagements pour Richard

Par Pauline Dahlem, jeudi 17 décembre 2009 à 18:00


Aucune trace de ce qui a longtemps été appelé "l'affaire Gasquet" ne figurera dans le dossier du Biterrois à l'ITF. L'ex-numéro 1 français aura même droit à des dommages et intérêts de la part de l'AMA et de l'ITF, condamnées chacune à verser 5 000 francs suisses (soit 10 000 francs suisses en tout c'est à dire 6650 euros).

Il s'en est sortit mais dans quel état mental ! il doit surement être épuiser mentalement !

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ATP > Richard Gasquet : "Cette histoire ne sera plus une excuse"

Par Pauline Dahlem, vendredi 18 décembre 2009 à 11:26


Invité sur Europe1 ce matin, Richard Gasquet a longuement répondu aux questions de Marc-Olivier Fogiel suite à la décision du TAS. Le tribunal mandaté par l'AMA et l'ITF l'a lavé hier de tout soupçon concernant son contrôle positif à la cocaïne de mars dernier.


La dernière fois que vous étiez venu à ce micro vous étiez en pleine polémique. Maintenant ça va un peu mieux non ?
C'est sûr que la dernière fois que j'étais dans ce studio là, j'étais moins bien qu'aujourd'hui, j'étais en pleine polémique donc c'était quelque chose de très difficile. Je m'en suis sorti, le sujet est clos, l'affaire est close, je peux repartir sur les terrains avec la tête relâchée de tout soupçon. Je suis simplement très heureux de pouvoir rejouer aujourd'hui. Ces 8 mois ont été terribles pour moi.


Quand hier la nouvelle est tombée, qu'avait vous fait?
J'ai appelé mes parents, cela a été très dur pour eux aussi. La suspicion pendant 8 mois, le regard des autres... Mais bon j'ai été heureux, soulagé, tout simplement je me suis dit "Voilà maintenant c'est fini, tu peux repartir sur les courts", c'est pour ça que je suis fait aujourd'hui, c'est là que j'ai envie d'être. J'ai su que j'allais jouer à Brisbane pour mon premier tournoi en janvier en Australie, ça donne envie.


Les larmes vous sont venues quand vous avez appris la décision ?
J'ai eu plus de larmes de tristesse, pendant Roland Garros notamment où j'étais là à regarder les amis jouer, je ne pouvais même pas rentrer dans le stade. Donc voilà énormément de larmes de tristesse, mais maintenant je suis très heureux.


Qu'est-ce qui s'est passé pendant ces mois-là ?
Ça a été quand même très relayé dans les médias, donc au début quand on se voit à la télé pour quelque chose qu'on n'a jamais fait, on voit "Gasquet cocaïne", on se dit vraiment qu'on est dans un mauvais film ! On se dit "Tu vas te réveiller", c'est un truc de fous. Mais bon à un moment donné il faut se reprendre, il faut se défendre pour prouver son innocence. Donc voilà j'ai toujours eu à cœur de prouver mon innocence, je ne suis pas un tricheur, et vraiment pas quelqu'un qui prendra de la cocaïne.


Est-ce que vous avez déprimé pendant ces longs mois ?
Oui. Je suis quand même un être humain et j'ai eu des moments très difficiles, tout seul le soir dans ma chambre. C'était très très dur à vivre, donc oui j'ai déprimé, ça c'est clair.


Et comment on remonte la pente ?
Je dois dire qu'il y a quand même des choses plus graves dans la vie. Je suis en bonne santé, ma famille aussi. J'ai toujours joué au tennis, j'ai quand même une belle vie. Bon c'est sûr que ça a quand même été dur à vivre. Mais dès que j'ai pu repartir sur les courts en juillet dernier, je l'ai fait. Même si j'ai su que j'avais un appel j'avais la possibilité de jouer au tennis, de jouer contre Rafael Nadal à l'US Open. Même s'il m'a battu, j'étais là au moins. Maintenant j'ai envie de repartir l'année prochaine et de faire une belle saison.


Un de vos objectifs doit être de remonter à l'ATP ? Vous avez été 7ème, vous êtes aujourd'hui 52ème.
C'est sûr qu'aujourd'hui, je ne suis pas heureux avec mon classement. On ne peut pas faire des miracles en ayant été arrêté quelques mois. Mon objectif, c'est vraiment de retourner un jour dans les 10 premiers, je ne me satisfais pas avec une 50ème place. Je suis encore jeune, je n'ai que 23 ans.


Qu'est-ce qui va rester de tout ça, faire plus gaffe ?
Je faisais déjà gaffe. D'ailleurs le tribunal a mentionné que même avec la plus grande prudence je ne pouvais pas m'attendre à être contaminé de la sorte. C'est sûr que c'est une histoire assez incroyable, je ne resterai pas inchangé d'une histoire pareille, j'ai pris un gros coup. Je me suis relevé de beaucoup de choses, là c'était un coup dur mais je suis prêt à oublier ça. Ce ne sera plus une excuse, maintenant ça va être fini, je suis prêt à repartir sur les courts.


Vous en voulez à ceux qui vous ont critiqué lorsque l'affaire a éclaté ?
Disons que je suis content qu'il n'y en ait pas eu beaucoup. Il y en a eu très peu en fait. Le plus virulent a été Henri Leconte et ce n''est peut être pas la personne la plus fine, la plus intelligente qu'on ait connue sur Paris. C'est un drôle de personnage. En tout cas moi je l'appréciais, sincèrement, je ne sais pas pourquoi il a dit ça, peut-être qu'il a voulu se rendre intéressant. Ce n'est pas mon problème. Je ne l'ai pas encore croisé, mais bon la vie est longue et je n'oublierai pas, ça c'est sûr. Oui je lui en veux encore un peu, ce n'est pas mon ami.


Est-ce que vous vous rendez compte que maintenant vous allez être scruté à votre retour sur les courts, et ce dès Brisbane, que vous n'êtes plus un simple joueur de tennis suite à cette histoire, que vous allez être traité différemment ?
Je suis scruté depuis l'âge de 9 ans donc j'ai l'habitude. Là c'est sûr que je suis un peu sorti de la sphère tennistique, ça a été relayé un peu partout dans la France entière. Je ne m'attendais vraiment pas à une répercussion pareille. Mais voilà c'était le cas et il a fallu se défendre. Je vais jouer avec, ce n'est pas un gros souci. Je retiens juste que je peux retourner sur les courts, c'est là où je suis heureux et il y a beaucoup de personnes qui aimeraient être à ma place.


Etes-vous toujours en contact avec Pamela ?
Non. Personne ne m'en voudra et on ne lui en voudra pas non plus de ne plus être contact avec moi.


Tout ce qui ne tue pas rend plus fort. Vous vous sentez plus fort aujourd'hui ?
Oui c'est sûr. J'ai appris beaucoup. Je me serais bien passé d'une histoire pareille sincèrement mais je suis heureux de rejouer.


Pour 2010 il faut vous souhaiter quoi ?
Déjà de bien jouer, de me faire plaisir, d'être heureux sur le court, c'est ça le plus important. Après bien jouer c'est remonter dans les 10 premiers, c'est également bien jouer à Roland Garros, à Wimbledon aussi. Ce sont deux tournois qui me tiennent à cœur, ceux que j'ai loupés cette année. C'est sûr que c'était dur mais l'année prochaine je serai là.


La prochaine fois sur Europe1, c'est pour une victoire ?
Exactement !


A Roland Garros ?
Exactement !


C'est à portée de raquette ?
On va essayer d'aller le plus loin possible, c'est sûr que ça me tient à cœur, c'est un beau tournoi. On va essayer de revenir dans ce studio avec des victoires et pas pour des histoires de fous. Voilà tout simplement.

Qu'il se remette le plus vite possible dans le bain après une année perturbée ! courage à lui !

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WTA: 'La règle des whereabouts pas applicable'


La WTA, l'organisation du tennis professionnel féminin, veut adapter la réglementation sur le dopage concernant la localisation des joueuses, mieux connue par le terme 'whereabouts'.

La responsable de la WTA, Stacey Allaster a révélé cette intention en marge de l'Open d'Australie à Melbounrne.

"Il y a des règles et les professionnelles doivent aussi s'y soumettre. Mais il y a aussi des règles qui doivent être adaptées, car elles ne sont pas applicables par les joueuses. Selon la règle (du 'whereabouts'), les joueuses doivent toujours indiquer où elles se trouvent. Avec 53 tournois WTA sur 11 mois de compétition, ce n'est pas réaliste. Nous savons où sont les joueuses, mais elles ne savent pas si elles vont gagner ou pas et donc combien de temps elles vont rester à tel ou tel endroit. La règle n'est donc pas applicable."

On se souvient de Yanina Wickmayer a été victime de ce règlement des 'whereabouts', ayant commis trois infractions en la matière ce qui lui avait valu le 5 novembre dernier une suspension d'un an ferme de la part du tribunal antidopage flamand de Gand. La sanction avait ensuite été annulée par la justice civile à Bruxelles.

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Dopage > Wayne Odesnik sur la sellette

Par Charlotte Ezdra, vendredi 26 mars 2010 à 16:45


D'après Marca.com, la Fédération Internationale de tennis pourrait sanctionner Wayne Odesnik. L'Américain avait en effet été trouvé en possession d'hormone de croissance lors des tournois de Brisbane et de l'Open d'Australie. L'actuel 98ème mondial risque deux ans de suspension.

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ODESNIK-CAÑAS, LA COINCIDENCE QUI FAIT JASER


Rien de nouveau sous les nuages ? Si, un cas de dopage. Wayne Odesnik, 24 ans, 98e mondial, a décidé de plaider coupable ce vendredi après avoir été contrôlé par la douane en Australie en possession d'hormones de croissance dans ses bagages. Le joueur risque deux ans de suspension après avoir écopé de 5400 euros d'amende. L'affaire serait simplement triste, ou "extrêmement décevante" comme le dit l'ATP dans un communiqué s'il ne fallait remarquer que l'Américain travaillait récemment avec Guillermo Cañas.

L'Argentin, opéré quatre fois du poignet, avait annoncé il y a quelques jours sa retraite officielle. "Je pense à la retraite depuis l'US Open, où j'avais dû déclarer forfait à cause de mon poignet, a indiqué Canas vendredi. Mais je voulais me donner le temps d'être sûr et certain de cette décision. En décembre, j'ai joué deux matches exhibition en Argentine et ça n'était pas très bon." Vainqueur du Masters 1000 de Toronto en 2002 et trois fois quart de finaliste à Roland-Garros, a décidé de devenir entraîneur et de se consacrer à l'académie de tennis qu'il a ouverte à Miami. Plus précisément, Guillermo Cañas avait commencé à coacher... Wayne Odesnik. Cela devient compliqué car tout le monde se souvient du grand scandale qui a marqué sa carrière :

En 2005, le joueur de Buenos Aires avait été suspendu pour deux ans pour dopage à l'hydrochlorothiazide, un diurétique. Sa sanction avait ensuite été réduite à 15 mois par le Tribunal arbitral du sport (TAS), qui avait estimé que Canas n'était pas complètement fautif pour la prise de ce médicament. Faut-il en déduire qu'il y a un lien entre la prise d'hormones de croissance d'Odesnik et les conseils de Cañas ? Ce serait aller vite en besogne, d'autant plus que nous ne savons pas à l'heure actuelle la date du début de leur collaboration. La coïncidence entre la retraite de l'Argentin et l'enquête concernant Odesnik tombe mal. En plein orage à Miami, en attendant les joueurs, on doit se souvenir des deux victoires de Guillermo Cañas sur Roger Federer dès son retour de suspension (à Indian Wells puis Miami 2007). "J'avais battu le meilleur joueur de l'histoire, c'était incroyable. Et dix jours plus tard, je l'ai refait. C'était comme dans un rêve", s'est rappelé Cañas.

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Indiscrétions > Roddick tacle Odesnik

Par Alexandra Roost, dimanche 28 mars 2010 à 13:07


L'Americain a violemment réagit à l'annonce du dopage d'Odesnik.Il a tenu à évoquer le cas de son compatriote «C'est de la pure tricherie et les instances devraient le virer du tennis. J'étais choqué. Nous n'avons pas besoin d'histoires comme ça. S'il a bien plaidé coupable, je n'ai aucune sympathie pour lui.» Wayne Odesnik a avoué avoir eu recours à des fioles d'hormones de croissance lors de l'Open d' Australie.

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ATP - Houston > Odesnik joue et gagne

Par Pauline Dahlem, mardi 06 avril 2010 à 09:35


Bien que sous le coup d'une suspension pour dopage, Wayne Odesnik participe au tournoi d'Houston cette semaine. L'Américain qui s'est attiré les foudres de bon nombre d'autres joueurs a même passé le premier tour au Texas. Il élimine le Polonais Jerzy Janowicz (6/3 6/4).

Une HONTE qu'il ait le droit de jouer ce type !!