Venus & Serena Williams - 3

Demi-finales
S.Williams (USA, n°18) bat Sevastova (LET, n°19) : 6-3, 6-0

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Naomi Osaka remporte l'US Open face à une Serena Williams sortie du match à cause de l'arbitrage
La Japonaise Naomi Osaka, 19e joueuse mondiale, a décroché son premier titre en Grand Chelem en remportant l'US Open, samedi, à New York. Osaka a battu en finale l'Américaine Serena Williams (WTA 26) 6-2, 6-4. La rencontre a duré 1 heure et 19 minutes.

Alors qu'elle était menée 6-2, 4-3 Serena Williams a écopé d'un jeu de pénalité en raison de protestations trop véhémentes.

Osaka succède au palmarès à l'Américaine Sloane Stephens. La Japonaise, 20 ans, avait gagné son premier tournoi cette année, Indian Wells.

Williams, 36 ans, manque une deuxième occasion, après sa finale perdue à Wimbledon, d'égaler le record absolu de titres en Grand Chelem détenu par Margaret Court. L'Américaine reste bloquée à 23 sacres.

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Serena Williams a écopé de 17.000 dollars d'amende en raison de ses trois avertissements reçus en finale de l'US Open samedi, marquée par son emportement contre l'arbitre qu'elle a qualifié de "voleur", selon le rapport des amendes établi par les organisateurs.

L'Américaine avait été avertie pour "coaching", "bris de raquette", puis "insulte" au cours de sa finale perdue contre la Japonaise Naomi Osaka. Le premier lui vaut 4.000 dollars d'amende, le second 3.000 dollars et le troisième 10.000 dollar

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Richard Ings, un ancien arbitre de tennis australien, a estimé dans une chronique écrite pour le Sydney Morning Herald, que Serena Williams devait s'excuser auprès de Carlos Ramos, l'arbitre de la finale dames de l'US Open, avec qui elle a eu un vif échange.

Les faits se sont déroulés samedi, durant la finale de l'US Open l'opposant à Naomi Osaka : Serena Williams s'en est prise violemment à Carlos Ramos, l'arbitre de la rencontre, qui l'avait sanctionnée pour cause de coaching. L'ex numéro 1 mondiale a eu un vif échange avec lui, le traitant notamment de « voleur ». Une séquence qui a tout de suite déclenché de nombreuses polémiques. Certains observateurs ont notamment pris la défense de Serena Williams, ce qui n'est pas le cas de Richard Ings, ancien arbitre international de tennis.

Ings prend la défense de Ramos

En effet, ce dernier a écrit dans une chronique au Sydney Morning Herald : « Même quatre décennies d'expérience dans l'arbitrage n'auraient pas suffi à préparer quelqu'un à vivre ce qu'a vécu Carlos Ramos samedi. Dans notre jargon, on appelle ça des matchs « bienvenue dans le job (...) Tous les coachs savent que faire des gestes à l'intention de leur joueur est une infraction au code de conduite. Tous les joueurs savent que détruire une raquette sur le court est une violation du règlement ». Richard Ings accentue sur le fait que de nombreux arbitres sont voués à garder leur calme en toute circonstance et il félicite Ramos pour cela. « Ramos a patiemment attendu la fin de la tirade de Williams, montrant un grand calme jusqu'à ce qu'elle l'accuse de tricher. »

Une faute professionnelle avant tout

Pour Ings, Serena Williams n'a pas été victime de sexisme, comme elle le prétend. Ce dernier estime que la joueuse ainsi que son entraineur étaient simplement en faute professionnelle au moment des faits. « Williams est la plus grande joueuse de tous les temps Mais nous ne devrions pas laisser son palmarès, aussi brillant soit-il, masquer le fait que sur ce match, Williams a eu tort. » Un avis partagé par les organisateurs du tournoi, qui lui ont infligé une amende de 17 000 dollars.

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La Japonaise Naomi Osaka a créé l’énorme surprise d’écraser Serena Williams (6-2, 6-4) en finale de l’US Open, la privant du fameux record des 24 titres en Grand Chelem. Mais depuis ce samedi soir on parle, malheureusement, plus de Serena et de son nouvel incident avec l’arbitrage.
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Peut-on être à la fois la plus grande championne de tennis de tous les temps et une énorme… mauvaise perdante ? Serena Williams a une nouvelle fois apporté sa réponse sur le plus grand court du monde.
Elle qui a été nourrie, depuis son enfance à Compton, à grands coups de cuiller de confiance en soi et de lutte pour vaincre toute adversité, n’a jamais goûté la contrariété. Pour être un monstre de sa discipline, dominant les décennies, jusqu’à ses 37 ans (elle les fêtera le 26 septembre), les mots « défaite » ou « contretemps » ont été bannis. Pour gagner, il faut refuser de perdre, au plus profond de soi-même. Ça semble logique, mais il y a une limite : le respect des règles et des adversaires. Une limite que Serena, enfant gâtée du tennis, a tendance à oublier. Surtout lorsque les enjeux sont énormes, la tension extrême et les émotions à fleur de peau. Maître du circuit WTA, l’Américaine l’est rarement de ses nerfs dans ces conditions.
Avertie pour un « coaching » (NDLR : totalement interdit) depuis les tribunes de Patrick Mouratoglou (que ce dernier a reconnu avec honnêteté) alors qu’elle ne trouvait pas de solutions face à l’étonnante Osaka, la cadette des Williams a validé du mieux qu’elle pouvait l’expression « péter un câble »… Brisant sa raquette et s’en prenant verbalement à l’arbitre de chaise, Carlos Ramos, traité de « voleur », après lui avoir infligé réglementairement trois avertissements, et donc un point de pénalité, alors que le score s’envolait à 6-2, 4-3 pour la jeune Japonaise. Serena était en train de voir son rêve de remporter ce fameux 24 e Major, le premier en tant que jeune maman, se briser devant son public de l’US Open. Ceci, après avoir déjà perdu la finale de Wimbledon (Kerber) deux mois plus tôt…
De sensation, cette finale tournait à tragédie, avec la « Drama Queen » dans son plus mauvais rôle, et la pauvre Osaka, en larmes, privée du premier grand moment de sa carrière. Ce n’est malheureusement pas le premier acte de mauvaise conduite de Serena, et comme par hasard, les précédents ont déjà eu lieu dans « son » US Open où le public new-yorkais ne fait qu’ajouter à la démesure comportementale.
Déjà lors de sa finale perdue contre Samantha Stosur en 2011, elle avait menacé l’arbitre Eva Asderaki, lui conseillant de « changer de côté si elles devaient se croiser à l’avenir dans un couloir ». En 2009, toujours au centre de l’Arthur Ashe Stadium, elle avait même été privée de balle de match (une pénalité à la place !) lors d’une demi-finale aussi tristement célèbre, face à Kim Clijsters. « Je vais t’enfoncer la balle dans la gorge jusqu’à ce que tu étouffes » avait-elle vociféré à Louise Engzel, une juge de ligne qui avait « osé » lui compter une faute de pied à deux points de la victoire… de la Belge !
En conférence de presse, ce samedi, Serena Williams a tenté une défense peu convaincante, arguant qu’elle n’avait pas vu le coaching et donc « pas triché », allant jusqu’à parler d’une « décision sexiste » de la part de l’arbitre, contre elle, la gardienne des droits de la femme (et donc aussi des femmes arbitres ?).
Serena Williams devra, un jour, arriver à accepter la contrariété ou reconnaître ses erreurs, histoire qu’on puisse lui concéder qu’on voit aussi les grand(e)s champion(ne)s dans la défaite…

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Quatre jours après le psychodrame de Flushing Meadows avec Serena Williams dans le rôle principal, une vidéo plutôt embarrassante pour la joueuse américaine refait surface.

La finaliste de l'US Open est rattrapée par un ancien sketch, datant d'une dizaine d'années, dans lequel elle se moque de l'apparence physique d'Amélie Mauresmo, incarnée par un... homme. Pour quelqu'un qui se proclame la défenseuse des droits des femmes, ça fait plutôt tache.

"Voici Serena Williams, qui se bat pour le droit des femmes, dans un sketch qui se moque du physique d'Amélie Mauresmo. Le rôle d'Amélie, bien sûr, est joué par un homme, parce que c'est tellement drôle", lance l'internaute qui a ressorti la vidéo, déjà vue à plus de 230.000 reprises.

En conférence de presse, la joueuse américaine, lauréate de 23 titres du Grand Chelem, avait dénoncé le "sexisme" de l'arbitre Carlos Ramos, qui lui avait infligé un jeu de pénalité après avoir été traité de "voleur" et de "menteur". "Je me bats pour le droit des femmes", avait-elle expliqué, s'estimant victime d'un traitement différent par rapport aux hommes.

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L'Américaine Venus Williams a annoncé mettre un terme à sa collaboration avec son coach, David Witt, après onze années de service.

Ancienne numéro 1 mondiale, Venus Williams, 38 ans, a connu une année difficile passant de la 5e à la 38e place au classement WTA après n'avoir remporté que 18 rencontres cette saison. Elle n'aura pu dépasser le stade du 3e tour dans les tournois du Grand Chelem de l'année.

David Witt, 45 ans, était au service de l'aînée des soeurs Williams depuis 2007. Le duo avait même commencé à travailler ensemble cinq ans plus tôt quand les soeurs Serena Williams avaient demandé à l'ancien joueur américain (128e mondial en 1993) de devenir leur sparing partner, détaille le quotidien l'Equipe.

Hopman Cup
Etats-Unis - Suisse : 1-2
Federer (SUI) bat Tiafoe (USA) : 6-4, 6-1
S.Williams (USA) bat Bencic (SUI) : 4-6, 6-4, 6-3
Bencic/Federer (SUI) battent S.Williams/Tiafoe (USA) : 4-2, 4-3 (3)

AUCKLAND (Nouvelle-Zélande, WTA International, dur, 218 561€)
V.Williams (USA, n°6) bat Azarenka (BIE) : 6-3, 1-6, 6-3

Etats-Unis - Suisse : 1-2
Federer (SUI) bat Tiafoe (USA) : 6-4, 6-1
S.Williams (USA) bat Bencic (SUI) : 4-6, 6-4, 6-3
Bencic/Federer (SUI) battent S.Williams/Tiafoe (USA) : 4-2, 4-3 (3)

S.Williams (USA) bat Boulter (GBR) : 6-1, 7-6 (2)
Norrie (GBR) bat Tiafoe (USA) : 7-6 (4), 6-0
Boulter/Norrie (GBR) battent S.Williams/Tiafoe (USA) : 3-4 (2), 4-3 (4), 4-1

Etats Unis éliminés.

QF: Bianca Andreescu d Venus Williams 6-7(1),6-1,6-3

Australian Open :
2T V.Williams (USA) bat Cornet (FRA) : 6-3, 4-6, 6-0
S.Williams (USA, n°16) bat Bouchard (CAN) : 6-2, 6-2

3T Halep (ROU, n°1) bat V.Williams (USA) : 6-2, 6-3
S.Williams (USA, n°16) bat Yastremska (UKR) : 6-2, 6-1