Olympique de Marseille - 4

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Foot - Ligue 1- OM : Valbuena: «On est encore présent»


Les Marseillais ont savouré samedi leur victoire en Championnat contre Valenciennes (1-0) acquise une nouvelle fois dans le dernier quart d'heure. Ils peuvent préparer en toute sérénité leur prochain Classique.

Les Marseillais ont poussé un «gros ouf de soulagement», après ce succès arraché dans le temps additionnel (90e+4) sur un but de Rod Fanni (1-0). Après le traumatisme causé par la défaite contre Nancy (0-1), ils n'en ont apprécié que davantage ces trois points pris in extremis. «Nous sommes allés chercher cette victoire avec nos tripes, a souligné Nicolas Nkoulou. Et même s'il y a des choses à corriger encore, nous sommes très contents. D'autant plus que nous n'avons pas pris de but, cela nous donne encore plus de sérénité pour la suite.»

«Ce que je veux transmettre à mes joueurs, c'est de continuer à poser le jeu, et d'amener du surnombre et des centres dans les couloirs.»Les Olympiens en oublieraient presque le contenu du match, et leurs difficultés à concrétiser une domination bien réelle, notamment en première période. «Nous avions pourtant le match bien en main, assure Morel, mais nous n'avons pas su gérer. Nous n'avons pas converti nos occasions, heureusement l'état d'esprit a fait la différence.» Le latéral gauche est à l'origine du but, repris du bout du pied par le latéral droit, Rod Fanni. Elie Baup qui exige beaucoup d'investissement de ses hommes de couloir, a pu apprécier leur efficacité. «Ce que je veux transmettre à mes joueurs, c'est de continuer à poser le jeu, et d'amener du surnombre et des centres dans les couloirs, pour aller jusqu'au bout, ça s'est passé comme ça. A un moment donné, on a repris le fil du jeu.»

« Y croire jusqu'au bout »
Le scénario du match lui a donné quelques frayeurs. L'OM, une nouvelle fois, s'en est sorti avec un but marqué dans le dernier quart d'heure. «En ayant renversé des situations comme ça quatre fois dans la saison, dans les arrêts de jeu, on sait qu'on doit y croire toujours jusqu'au bout ! S'il y a une chose à retenir, c'est justement celle-là : y croire jusqu'au bout !»
Mathieu Valbuena: «On ne joue pas un football de rêve, mais on n'a rien lâché comme une vraie équipe.»Encore une fois, les Marseillais ont pu faire la différence sur le cœur et la détermination. «On ne joue pas un football de rêve, confirme Mathieu Valbuena mais on n'a rien lâché comme une vraie équipe. Nous sommes au point dans l'état d'esprit, l'abnégation, ce qu'on avait perdu ces derniers temps mais aujourd'hui, même si Paris a un peu d'avance, on est encore présent.» Paradoxalement et défiant toutes les analyses se basant sur le jeu, l'OM compte quasiment le même nombre de victoires que Paris. Cela lui donne beaucoup d'espoir avant ce Classique. «J'espère qu'on se montrera à la hauteur de cet enjeu à venir», indique encore Valbuena. La préparation se fera au moins dans la bonne humeur.

L'OM remonte, sans doute provisoirement, en 2nde Position, à 5 Points de Paris et avec 1 Point d'Avance sur l'OL mais ces 2 Equipes jouent ce Dimanche ..

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Marseille est ce Soir 3ème, à 2 Points de Lyon et 5 "seulement" de Paris !

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Foot - Transferts : L'OM vise Bedimo et Chedjou


La saison est encore loin d'être terminée, pourtant les recruteurs marseillais réfléchissent déjà aux contours à donner à leur équipe pour le prochain exercice. Selon nos informations, l'OM souhaiterait plutôt se renforcer en défense et deux joueurs seraient visés : le Montpelliérain Henri Bedimo (28 ans, sous contrat jusqu'en 2016) et le Lillois Aurélien Chedjou (27 ans, sous contrat jusqu'en 2016). Les deux internationaux camerounais sont des valeurs sûres du Championnat et c'est ce que recherche Elie Baup pour apporter de l'expérience à sa formation. D'autres pistes sont aussi à l'étude comme celle menant au Roumain du Chakhtior Donetsk Razvan Rat (31 ans, libre en juin) ou au Lorientais Bruno Ecuele Manga (24 ans, sous contrat jusqu'en 2015). Enfin, Mathieu Valbuena (28 ans) portera-t-il toujours le maillot phocéen ? La questions se pose car l'international français aurait bien prolongé son bail jusqu'en 2017, mais cet engagement ne serait effectif qu'en cas de qualification pour la Ligue des champions.

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Foot - Transferts : Kaboré proche de Krasnodar


Charles Kaboré devrait quitter l'Olympique de Marseille. Selon La Provence, le club marseillais aurait trouvé mercredi un accord avec le FC Kuban Krasnodar pour transférer le milieu burkinabé. L'OM toucherait 1,5 millions d'euros, bonus compris, dans la transaction. Charles Kaboré devrait s'engager pour quatre ans et demi avec le club russe.

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Foot - Ligue 1 - OM : Pas de Classique pour Cheyrou


Déjà absent contre Valenciennes samedi dernier (1-0) en raison d'une élongation du quadriceps fémoral droit, Benoît Cheyrou a été contraint de renoncer au déplacement à Paris dimanche (21h00) pour le Classique. Selon La Provence, Morgan Amalfitano devrait lui aussi déclarer forfait. Resté en soins mardi, le milieu offensif est toujours gêné par son genou gauche.

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Foot - Transferts : Kaboré, c'est OK à Kuban


Ce jeudi à Antalya (TUR), Charles Kaboré a passé avec succès la visite médicale préalable à la signature de son contrat avec le FC Kuban. Cette formalité aura lieu dans la soirée. Le milieu international burkinabé de 25 ans va parapher un bail portant sur quatre saisons et demi avec le club russe (4e de son Championnat à la trêve). Ce transfert va rapporter 1,5 millions d'euros, bonus compris, à Marseille.

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Foot - Ligue 1 : Baup: «Les empêcher de dicter leur loi»


Elie Baup, l'entraîneur de l'OM, s'est fixé un nouveau challenge contre le PSG: lutter avec le coeur et la combativité, pour remporter une confrontation à priori déséquilibrée face à une équipe «plus forte qu'au match aller».

La rivalité entre les deux clubs
«Pendant longtemps, ce match a représenté l’opposition d’un club de province, à l’ancrage populaire, au club de la capitale. Il a toujours dépassé le cadre du foot, autour d’un ensemble de choses, des mentalités, de l’image que peut représenter Marseille dans et hors du foot. Aujourd’hui, Paris a basculé dans un autre monde avec tout cet afflux d’argent. Par exemple, ils viennent d'acheter 40 millions d'euros un joueur de complément (Lucas, ndlr). Il n’y a plus de comparaison possible entre leur masse salariale et la nôtre. Leurs objectifs élevés sont clairement fixés à moyen terme en fonction de cet investissement : il leur faut figurer sous peu parmi les meilleurs clubs d’Europe. Du coup, on a envie de répondre à ce défi, face à cette équipe supérieure sur le papier, par nos armes : la solidarité et la combativité. On n’est pas toujours à l’aise dans le jeu mais au niveau de la volonté, on est bien présent.»

Le match aller (OM-PSG : 2-2)
«Aujourd’hui, Paris est une vraie équipe, plus complète et plus forte qu’à l’aller. Les joueurs qui ne jouaient pas et qui posaient problème sont partis. D‘autres, comme Jallet et Armand ont trouvé leur place. Il y a moins de problèmes d’égo. Beaucoup, comme Pastore, travaillent pour le collectif. Lors du match à Marseille, c’est Ibra qui a fait la différence. Quant à nous, nous avions réussi, dans une période difficile, à sortir un gros match. Nous avions apporté une réponse collective, à la hauteur de l’événement, en rendant coup pour coup. Mais nous n’avions pas réussi à tenir 90 minutes. Ce match retour paraît, a priori, déséquilibré. Mais il peut y avoir des surprises, comme on l’a vu à Sochaux. Et on veut les empêcher de dicter leur loi.»

La gestion des deux matches d'affilée
«Il est délicat d’enchaîner ces deux matches, à l’extérieur en plus. J’aurai préféré jouer le match de Coupe à domicile, mais on s’adapte. Nous avons choisi de rester sur place à Paris, pour privilégier la récupération, car quand on joue à 21h00, on rentre vers 3h00 du matin et on perd du sommeil. On a bien pesé le pour et le contre, et cela nous a semblé plus rationnel. Nous allons aussi essayer de gérer au mieux entre les deux matches, notamment sur le plan psychologique. Nous savons que le résultat du premier aura son influence sur le second. Positive ou négative. Il faudra travailler sur la confiance en fonction du scénario de la rencontre. Quant à la gestion de l’effectif, il y aura des rotations naturelles en fonction des suspensions (J.Ayew dimanche, Amalfitano, mercredi). Je mettrai les joueurs les plus frais.»

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Foot - Ligue 1 - OM : Gignac absent ?


Après Benoît Cheyrou et Morgan Amalfitano, déjà forfait pour affronter le PSG dimanche (21h), André-Pierre Gignac pourrait aussi faire défaut à Marseille. Auteur de huit buts cette saison, l'ancien attaquant de Toulouse «est en délicatesse avec un adducteur» comme le confirme Christophe Baudot sur le site du club phocéen. Mais le médecin de l'OM se veut plutôt rassurant au sujet de la présence de Gignac dans le groupe convoqué par Elie Baup. «On l’a laissé deux, trois jours au repos, ce qui rompt un peu l’équilibre de l’entraînement dans la semaine. Mais il a fait des soins, il s’entraînera normalement samedi et devrait être dans le groupe pour dimanche», ajoute-t-il. Lors de la phase aller, Gignac avait inscrit un doublé face au club de la capitale (2-2).

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Foot - Ligue 1 - OM : Amalfitano forfait face au PSG


A l'instar de Benoît Cheyrou, contraint de déclarer forfait pour le match face au PSG dimanche (21h), Morgan Amalfitano sera absent au Parc des Princes pour régler ses problèmes au genou gauche. Le milieu de terrain phocéen manquera également le huitième de finale de Coupe de France entre les deux clubs mercredi. «Il va suivre un protocole médical de rééducation pour son problème au genou qui dure depuis quelques temps, a précisé Baup en conférence de presse vendredi. Il va partir dans un centre de rééducation pendant 15 jours pour retrouver son genou dans un meilleur état. C'est un problème récurrent depuis la trêve, qui le gêne et le handicape beaucoup.»

Tous ces absents ...

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Foot - Ligue 1 - OM : Gignac est bien là


Ménagé jeudi en raison de douleurs aux adducteurs, André-Pierre Gignac est opérationnel pour le déplacement de l’OM à Paris, dimanche. L’ancien Toulousain fait partie des 18 joueurs retenus par Elie Baup. Comme prévu, le technicien sera, en revanche, privé de Cheyrou et Amalfitano blessés, mais aussi de Jordan Ayew, suspendu. Les jeunes Aloé et Anani en profitent pour intégrer le groupe phocéen.

Le groupe marseillais : Mandanda, Samba - Fanni, Abdallah, Diawara, Nkoulou, Mendes, Morel, Aloé - Romao, Barton, Abdullah, Valbuena, A.Ayew, Kadir - Gignac, Sougou, Anani

Marseille s'incline hélas, DE FACON PREVISIBLE MAIS ON ESPERE TOUJOURS UN "EXPLOIT", à Paris, 0/2 ...

On n'a pas été ridicules, on prend un But TRES TOT qui nous PLOMBE, on en encaisse un 2ème EN TOUTE FIN DE MATCH ... Entre temps, on a joué, on a tenté des trucs, sans réussite .. On est battus par plus réalistes que nous hélas, pas "par plus forts", cette Equipe parisienne est CHIANTE comme pas possible à voir jouer en Championnat ........ Mais comme pas mal de "Grands", elle est bigrament EFFICACE, tout ce qui nous manque depuis 3 Mois Maintenant, après un SUPER Début de Saison ... Mais bon, c'était PREVISIBLE tout ça, on n'a pas de quoi faire deux Equipes, nous .. Qu'on nous donne le fruc des milliardaires du Qatar et on sera compétitifs ... Ca me débecte enfin bref soit ça ne fait que commencer leur Règne, je sens que ça va être long mais longgggggg, mais longgggggggggggggggggggggg

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Foot - Ligue 1 - 26e j. : Paris, c'est du classique


Paris ne s'est pas montré flamboyant lors du ''Classique'' face à Marseille, dimanche soir, mais il a gagné (2-0) et conforté son fauteuil de leader. L'OM (3e) est à huit points, Lyon (2e), à trois.

Cela n’a pas été limpide, mais le Paris-SG est toujours le patron de la L1. Une semaine après sa défaite inattendue à Sochaux (2-3), le club de la capitale a réaffirmé dimanche soir son autorité sur le Championnat en repoussant à huit longueurs un concurrent direct, Marseille (0-2). De la lutte à trois pour le titre, il ne reste, pour l’instant, plus que Lyon, vainqueur un peu plus tôt de Lorient (3-1), pour contester l'hégémonie du PSG. Un dénouement certainement frustrant pour les Marseillais, qui ont monopolisé le ballon (61% de possession) sans parvenir à faire fructifier cette domination. Un dénouement heureux pour Paris qui, pour la première de David Beckham - entré en jeu à la 75e minute -, ne s’est pas manqué, à défaut de briller.

Paris a pu laisser le ballon à l'OM pour le contrer
Il est donc possible de mener 1-0 à la pause sans avoir cadré le moindre tir. Le PSG l’a démontré avec la complicité involontaire de Nicolas Nkoulou. Le défenseur camerounais a détourné dans ses propres filets une tentative de Lucas (11e), récompensant, au passage, la très bonne entame de match parisienne. Dès la 2e minute, Lavezzi avait déjà été tout proche d’ouvrir le score, mais la frappe de l’Argentin avait été repoussée par le montant de Mandanda. Devant au tableau d’affichage, les joueurs de Carlo Ancelotti se sont retrouvés dans une configuration où ils excellent : ils ont abandonné la possession du ballon à l’OM pour mieux le contrer. Par ses accélérations, Lavezzi a fait planer une menace constante, mais à trop rechercher Ibrahimovic, l’ancien joueur de Naples n’a pas toujours fait les bons choix. Une mésentente entre Nkoulou (encore) et Mandanda aurait toutefois pu lui profiter, juste avant la pause (44e).

Sirigu a été décisif à plusieurs reprises et Ibrahimovic a scellé la victoire dans le temps additionnelParis n’a pas à eu à regretter sa stratégie, mais le mérite en revient d’abord à Salvatore Sirigu. Si l’OM a attendu la demi-heure de jeu pour enfin frapper au but, la tentative de Kadir a marqué le début d’un festival d’occasions pour les Marseillais. En vrac : un coup franc de Valbuena repoussé par le portier parisien (41e) ; un tir de Gignac détourné par le gardien italien juste avant la pause (43e) ; mais aussi (et surtout) deux nouvelles tentatives de l’international français qui ont contrait Sirigu à s’employer (53e, 61e). Sous pression jusqu’au bout, à l’image de frappe de Valbuena de peu à côté (83e), mais toujours aussi menaçant en contre, le PSG a finalement bouclé sa soirée par un deuxième but signé Ibrahimovic (90e+1). Il n’y a désormais plus que Lyon, pointé à trois longueurs, dans ses rétroviseurs.