Ligue 1 - Saison 2011/2012

Lille a souffert pôur venir à bout d'Ajaccio, il va falloir resserrer les boulons sur le Plan Défensif pour la LDC ...

Brest partage A NOUVEAU chez Lui ... "assez logiquement" face aux Verts ...

Dijon partage aussi "assez logiquement" à Domicile avec Sochaux.

Evian continue son Beau Parcours de Promu en s'imposant à Domicile face à VA !

Montpellier n'en finit plus de surprendre, CARTON à la Maison ce Soir face à Lorient !!!!!!
Leurs Ambitions européennes à présent affichées devraient pouvoir être tenues ...

Nice se donne de l'air en battant Rennes chez Lui !
Coup d'arrêt en revanche pour les bretons ..

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Nice se réveille enfin


Nice a mis fin à une série de cinq matches sans victoire en Championnat en l'emportant contre des Rennais décevants (2-0) ce samedi.

Il aura fallu un nouveau coup dur pour que Nice réagisse enfin. Peu chanceux depuis le début de la saison, les Azuréens , privés de Mouloungui, Digard, Faé, ont encore senti le vent de la malédiction souffler à leurs oreilles dès la 4e minute du match contre Rennes, lorsque Xavier Pentecôte s'est écroulé au sol après un contact avec Boye. Cette sévère blessure au genou droit de l'attaquant a pourtant sonné le vent de la révolte des Niçois. Rien n'indiquait pourtant que ce samedi soir marquerait le redressement des joueurs de René Marsiglia. Les Niçois restaient ainsi sur trois défaites consécutives, et cinq matches sans victoire en L1.

Trente minutes auront suffi aux Niçois après la grave blessure de leur attaquant Xavier Pentecôte pour faire la différence.

Et l'identité des visiteurs ne poussaient pas non plus à la confiance, puisque Rennes était la meilleure équipe du Championnat à l'extérieur. Mais Nice, qui avait déjà montré des nets progrès dans le jeu depuis la prise en main de Marsiglia, a enfin concrétisé au score leur redressement. Trente minutes auront suffi aux Niçois après la blessure de leur attaquant pour faire la différence. Mounier envoyait un premier avertissement avec une frappe en pivot qui atterrissait sur la transversale (9e). Puis dans la foulée, Dja Djedje obtenait un penalty, transformé par Monzon (1-0, 15e). Civelli doublait même la mise d'une belle tête sur un corner (2-0, 35e), pour donner aux Niçois un solide avantage avant de rentrer au vestiaire.

Rennes inexistant
L'affaire de mornes Rennais empirait encore en début de seconde période lorsque Boye était expulsé pour un tacle appuyé sur Mounier (47e). Pejcinovic (70e) puis Guié-Guié (72r) étaient proches de corser encore l'addition, mais l'essentiel était fait : les locaux retouvaient le succès. Marsiglia remporte sa première victoire depuis sa prise de fonction, et Nice monte à la 18e place du classement, à un point d'une sortie de la zone rouge, alors que Rennes, éliminé de la Ligue Europa cette semaine, manque l'occasion de doubler provisoirement le Paris-SG. Un juste sort, au vu de la pauvreté de la prestation bretonne. -Y.S.

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Montpellier continue sa farandole


Montpellier a joué samedi pour la première fois en position de leader, et a gagné sans coup férir contre Lorient (4-0). Le MHSC confirme sa position.

Montpellier marche sur l'eau. Invaincue depuis huit rencontres et sa défaite contre Paris (0-3) au soir du 24 septembre, l'équipe de René Girard, qui purgeait son dernier match de suspension derrière le banc de touche, a confirmé sa place de leader en s'imposant, samedi avec la manière contre Lorient (4-0). A la pointe de ce festival offensif, un Olivier Giroud sur un nuage, buteur et trois fois passeur décisif, une semaine après son triplé contre Sochaux (3-1) ! Dominée en début de rencontre, la meilleure attaque du Championnat s'est simplifié la soirée grâce à Geoffrey Dernis, buteur (du droit !) pour sa première titularisation depuis le 17 septembre (2-2 à Brest), sur le premier tir cadré du match. Une minute plus tôt, Emeghara avait raté le cadre et l'occasion d'ouvrir le score (26e).

Un but et trois passes décisives pour Giroud
En souffrance dans les deux zones de vérité, Lorient, trop handicapé par les absences, s'est alors complètement délité après un second but, plein de hargne, du meilleur buteur de Ligue 1 sur un coup franc de Belhanda difficilement repoussé par Audard (47e). Et sous l'influence d'un Joris Marveaux omniprésent, le milieu de terrain des Merlus a craqué à son tour, laissant la place pour un scénario de fin de match à sens unique. Au coeur de cette sarabande, Giroud en a profité pour se muer deux autres fois en passeur, d'abord pour Utaka (62e) puis Cabella (86e). Younes Belhanda, lui aussi brillant, a même été à deux doigts d'y aller de son but sans un sauvetage sur sa ligne de Pedrinho (52e). Après seize journées, Montpellier, porté par son potentiel offensif et un Giroud de classe internationale, s'affirme semaine après semaine comme un candidat au titre. - J. Di., à Montpellier

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Lille se sort du piège corse


Petit vainqueur d'un Ajaccio accrocheur (3-2), Lille poursuit sa bonne série. Invaincus depuis 14 matches en L1, les champions en titre remontent provisoirement à la deuxième place.

Six sur six ! Pour la sixième fois de suite, Lille n'a pas perdu le match de L1 qui lui était proposé avant une rencontre de Ligue des champions. Après St-Etienne, Lorient, Auxerre, Valenciennes et Toulouse, c'est Ajaccio qui n'a pas pu battre le LOSC, vainqueur difficile (3-2). Malgré la présence de Hazard et de Sow sur le banc au coup d'envoi, les Dogues reprennent donc provisoirement la deuxième place du Championnat à Paris. Ils restent tout de même à cinq points d'un Montpellier qui s'est promené contre Lorient (4-0).

Solide ces derniers temps, Lille a vu l'invincibilité de Landreau s'arrêter après 357 minutes consécutives. Par deux fois, même, la défense a craqué face à une équipe d'Ajaccio très dure sur l'homme mais enfin intéressante dans le jeu. Kinkella a ouvert le score après 1 minute et 26 secondes sur un coup-franc malicieux que Chedjou a dévié dans ses filets. Menés ensuite 2-1 suite à la réaction nordiste (Obraniak sur coup franc à la 12e puis Basa de la tête quatre minutes plus tard), les Corses sont revenus au score grâce à Ilan (37e). S'ils n'ont pris que trois points sur les onze dernières journées, les hommes de Pantaloni ont prouvé ce samedi soir qu'ils allaient se battre jusqu'au bout pour éviter la relégation.

Hazard rentre et marque d'une panenka
Rudi Garcia, lui, a encore été contraint de s'en remettre à Hazard pour forcer la décision. Comme à Auxerre il y a un mois et demi, l'entrée du Belge a tout changé. C'est lui qui a trouvé Balmont sur le généreux penalty accordé à la 80e. Et c'est lui qui a marqué d'une panenka. Préféré à Sow, Jelen n'a pas du tout pesé offensivement. Fantomatique, Cole a souffert de la comparaison avec un Payet très remuant. A quatre jours d'un match de Ligue des champions décisif face à Trabzonspor, Lille a donc fait le boulot à Ajaccio. - C.O.

Au Général Provisoire, Montpellier CONFIRME sa Suprématie, Devant Lille ...
Les Promus Evian et Dijon sont bien positionnées en Milieu de Chart ..
VA replonge dans ses doutes tandis que Nice se donne de l'air !
Ajaccio joue bien et n'est hélas pas payé en retour ............

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bordeaux CONFIRME son redressement en s'imposant "sereinement" en Gironde face à la Lanterne Rouge nancéienne !

Le PSG "sort la tête de l'eau" en battant AVEC LA MANIERE l'AJA au Parc MAIS si la Qualité de Jeu fut présente, la Défense a encore inquiété ..

Lyon s'impose DANS LA DOULEUR face à Toulouse !
Les toulousains auraient sans problème pu décrocher le Nul avec un soupçon de réussite supplémentaire ..

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Du répit pour Paris


Après deux défaites consécutives, le PSG a dominé Auxerre (3-2), dimanche, et conforte sa deuxième place. Sera-ce suffisant pour sauver la tête d'Antoine Kombouaré ?

Plongé dans la tourmente depuis un mois, le PSG n'avait plus trop le choix dimanche, contre Auxerre. Pour «relancer la machine», comme espéré par Antoine Kombouaré, et ne pas laisser filer trop loin devant Montpellier, il devait absolument mettre fin à une série de trois défaites consécutives toutes compétitions confondues. En dominant une pâle équipe bourguignonne (3-2), qui restait pourtant au coup d'envoi sur cinq défaites et une victoire seulement lors des six derniers matches, les Parisiens n'ont pas retrouvé tout leur crédit, loin de là. Mais ils ont au moins stoppé l'hémorragie. Sera-ce suffisant pour sauver la tête de leur entraîneur ? Seuls Nasser Al-Khelaïfi et Leonardo pourront le dire. En attendant une semaine qui s'annonce déjà plus calme, Paris se maintient à la deuxième place, à trois points du leader.

Malgré la défaite (0-2) et les critiques, Kombouaré avait plutôt apprécié le comportement de ses joueurs, jeudi à Salzbourg en Ligue Europa. Il s'attendait donc sûrement à voir mieux face à formation condamnée à se battre pour le maintien, tant les Auxerrois semblent faibles à bien des niveaux cette saison. Pendant une mi-temps, le PSG n'a pas pourtant rien montré ou presque. Sans idée, sans mouvement et presque sans occasion, il a longtemps laissé croire que la victoire lui échapperait de nouveau. Mais après la pause, après la sortie de Matuidi sur blessure (42e), tout s'est emballé. Sous l'impulsion d'un Jérémy Ménez aux jambes retrouvées, les partenaires de Javier Pastore, un peu plus inspiré cette fois, ont enfin créé du jeu, mis en difficulté leur adversaire et surtout marqué. Bref, en l'espace de quelques instants, les récents déboires ont comme par magie disparu.

Ménez marque le 2000e but du PSG parmi l'élite
L'ouverture du score est d'abord intervenue par Christophe Jallet, à la suite d'un bon décalage côté droit de l'ancien Romain (52e). C'est ensuite l'international français lui-même qui s'est mué en buteur, pour inscrire en lettres capitales la 2.000e réalisation du PSG parmi l'élite (77e). Un penalty de Nene (81e), le cinquième cette saison, a enfin donné un avantage plus confortable aux Parisiens, malgré la réduction du score d'Oliech (59e) puis de Dudka (87e), d'un sublime coup franc en pleine lucarne. La manière laisse encore à désirer mais les trois points font un bien fou. La tempête est passée, Kombouaré peut souffler. Mais pour combien de temps encore ?
Hugues SIONIS au Parc des Princes

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Bordeaux confirme


Une semaine après sa victoire contre Caen (2-0), Bordeaux s'est imposé contre Nancy dimanche à Chaban-Delmas (2-0). Les Girondins confirment leur regain de forme.

«Pour moi, c'était le match le plus important depuis le début de saison. Être capables de mettre le premier relégable à cinq points, c'est une bonne chose». Pour Francis Gillot, l'heure est enfin au soulagement, pour la première fois depuis qu'il est arrivé à la tête de Bordeaux. Une semaine après leur victoire contre Caen (2-0), les Girondins se sont à nouveau imposés dimanche à Chaban-Delmas. «On est heureux. Les joueurs ont mérité cette victoire. On a fait une bonne première mi-temps et même si on a été moins dominateurs en deuxième, dans l'ensemble ça a été une bonne soirée. On a bien maîtrisé ce match», a expliqué le coach après la rencontre.

L'attente d'une confirmation a duré moins d'une minute dimanche après-midi : Jaroslav Plasil a ouvert le score dès la 16e seconde de jeu, le Brésilien Henrique confirmant de la tête sur corner, au retour des vestiaires (50e). Un succès qui permet aux Girondins de remonter au classement. Quinzièmes avant le début du match, les joueurs du président Jean-Louis Triaud sont désormais douzièmes, avec 19 unités au compteur. Quant à savoir si Bordeaux peut désormais regarder devant lui, on préfère rester prudent côté bordelais : « Ce n'est pas parce qu'on a gagné deux matches que tout est fait. Un gros match nous attend à Marseille samedi prochain. On verra après cette rencontre », a confié Plasil.

Fernandez : «C'est inquiétant»
Nancy, bien trop timide dans le jeu, n'a pas su saisir sa chance. Peu avant la pause, Djamel Bakar, servi par Daniel Niculae, s'est retrouvé seul face à Cédric Carrasso. L'attaquant lorrain n'a toutefois pas cadré sa frappe (43e). Le tournant du match certainement. « On savait que ce serait difficile, mais on s'est encore plus compliqué la tâche avec ce premier but. C'était un scénario idéal pour Bordeaux. Pour nous, ça a été un match très compliqué, a expliqué le technicien nancéien Jean Fernandez. Étant donné notre situation, oui c'est inquiétant, mais c'est depuis le début de saison que je suis inquiet. On était mieux depuis quelques matches avec cette organisation, mais là on recommence à prendre deux buts par match. Ce sera difficile en prenant autant de buts, d'autant plus qu'on est la dernière attaque du Championnat » . L'ASNL, qui a concédé sa huitième défaite de la saison en Gironde, reste relégable et pointe à la 19e place au classement.
Kévin LABORDE, à Bordeaux

Citation :

Foot - L1 - 16e j.
Un OL efficace mais fragile


Lyon prend la quatrième place du Championnat à la faveur de sa victoire contre Toulouse (3-2). Passeur et buteur, Lisandro tire derrière lui un OL fragile défensivement.

Peut-on marquer six buts en deux matches de Ligue 1 sans convaincre dans le jeu ? Lyon apporte la preuve que c'est possible. Après avoir gagné à Auxerre (3-0) une rencontre qui aurait dû voir deux penalties être sifflés contre lui, l'OL a été très réaliste devant une bonne équipe de Toulouse. Dans le sillage d'un Lisandro Lopez omniprésent, les Lyonnais ont repris la quatrième place du Championnat. Mais surtout, ils sont retombés dans leurs travers défensifs. Menant 3-0 jusqu'à la 68e, ils ont eu peur suite à la réaction des Violets pour ne s'imposer que 3-2.

Meilleure défense de la L1, restant sur quatre matches sans défaite à Gerland, Toulouse a produit du jeu pendant toute la rencontre malgré la sortie sur blessure (claquage) de Rivière dès la 33e. Lloris a même sauvé son camp à plusieurs reprises comme sur cette parade au sol superbe de la 9e suite à une frappe vicieuse de Ninkov. Mais, presque sans savoir pourquoi, le TFC s'est retrouvé largement mené, Koné (de la tête), Ederson (frappe magnifique du gauche sous la barre) et Lisandro (sur penalty) ayant trouvé la faille en l'espace de 66 minutes.

La perle de Bulut, les déboires de Cris
Contre l'Ajax et Auxerre, la défense de l'OL n'avait pas été battue. Ce dimanche soir, elle en a pris deux. Bulut a marqué l'un des buts de l'année, d'une frappe sublime de 36 mètres (68e). Sissoko, lui, a obtenu et transformé un penalty à un quart d'heure de la fin. Privé de Lovren au dernier moment, Lyon a souvent grincé derrière, Cris n'étant pas dans un bon soir. Mercredi, à Zagreb en C1, il faudra encore faire preuve d'efficacité offensive pour rêver d'une qualification en huitièmes de finale. Et il faudra serrer les boulons derrière... - C.O.

Au Général, Montpellier garde 3 Points d'Avance sur Paris.
Toulouse est "Bon 6ème" tandis que Nancy s'enlise dans la Zone Rouge ... L'éclaircie de la Victoire à Paris est déjà bien loin ...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Au Menu de la Prochaine Journée de JL :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Citation :

Foot - L1 - Brest
Fatale panne d'oreillettes


L'incident avait particulièrement irrité le camp brestois, samedi soir, qui a déposé une réserve technique après le nul face à Saint-Etienne (2-2). Explications : le défenseur breton Jonathan Zebina change de chaussures sur le terrain. Le quatrième arbitre lui ordonne de faire vérifier ses nouveaux crampons au bord de la pelouse, le joueur tarde à s'exécuter, et le jeu reprend sur un coup-franc de Grougi. Le quatrième arbitre, pressé par Zebina, demande à l'arbitre principal de le laisser entrer en cours de jeu, comme l'y autorise la circulaire 5.18 de la DTN de l'arbitrage. Peine perdue : au milieu du terrain, Benoît Bastien, ne lui répond pas. Victime d'une infiltration d'eau sous le crachin brestois, son oreillette a rendu l'âme depuis un quart d'heure.

Du coup, le quatrième arbitre décide d'autoriser lui-même l'entrée du Brestois, mais en attendant encore car l'action en cours se déroule dans sa zone de jeu, et pas question de désavantager les Stéphanois. Moralité : plus de deux minutes se sont écoulées avant que Jonathan Zebina ne revienne sur la pelouse et entre-temps, Pierre-Emerick Aubameyang a égalisé à onze contre dix...

Citation :

Foot - L1 - PSG
Pastore ne «se sent pas libre»


Encore très décevant dimanche face à Auxerre (3-2), le milieu de terrain argentin Javier Pastore livre les raisons de sa méforme actuelle dans une interview au magazine So Foot, à paraître jeudi prochain : sa position sur le terrain, dans laquelle il ne s'épanouit pas pleinement. «Au PSG, je suis dans une zone et je n'en sors pas... C'est ce qu'on me demande, donc je le fais, mais je ne me sens pas libre. Depuis que je suis ici, rares sont les fois où j'ai pris la balle dans une zone où je sais que je peux faire mal à l'adversaire. (...) Aujourd'hui, je joue pour le PSG et il faut que je m'adapte. (...) C'est vrai que je ne me sens pas bien. Je n'ai pas l'impression de pouvoir m'exprimer comme je le voudrais.»

L'international argentin y va également d'une petite remarque sur ses coéquipiers : «Il y a beaucoup de fois où je bouge et où il ne se passe rien parce que mes coéquipiers ne me suivent pas. (...) En France, on joue avec la tête baissée.»

Encore, encore !!!!!!!!!!!