KIM CLIJSTERS - VIDEOS ET/OU BIO - 2

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Kim Clijsters (37 ans) a été testée positive au coronavirus le mois dernier. Elle présentait des symptômes légers et a repris l’entraînement entre-temps. La Limbourgeoise, dont le come-back a été parsemé d’obstacles, espère faire son retour sur le circuit en mars, du moins si elle est totalement remise physiquement.

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Blessures, coup de blues, arrêt forcé de la compétition à cause d’une pandémie et finalement le coronavirus contracté : c’est la totale pour Kim Clijsters depuis qu’elle a surpris le monde du sport, le 12 septembre 2019, en annonçant son deuxième come-back, à 36 ans (à l’époque) et après trois maternités ! Pour l’instant ce fameux « Kimback » est un terrible flop avec, jusqu’ici, beaucoup de déboires, et seulement trois matches officiels disputés pour un seul set remporté. Pourtant la Limbourgeoise ne renonce pas : ce n’est juste pas dans ses gènes.

Il doit être écrit quelque part que rien ne sera épargné à Kim Clijsters dans sa tentative de troisième carrière qui, jusqu’à présent, lui a apporté plus de revers (et on ne parle pas ici du coup de tennis) que de satisfactions. Le pari était osé à la base et il est parti de travers, quasiment dès le début, puisqu’un mois après avoir annoncé son come-back, la Limbourgeoise se blessait déjà au genou lors d’une partie de padel ! Conséquence : d’emblée pas de tournée australienne pour celle qu’on appelait jadis « Aussie Kim », la petite fiancée des Antipodes.

Non, le retour officiel et très médiatique, il aura finalement lieu à Dubaï, voici pratiquement un an (le 17/02/2020). Kim est logiquement battue par Garbine Muguruza qui vient de disputer la finale de l’Open d’Australie et, s’il lui manque évidemment du rythme et des matches, elle laisse entrevoir, durant le 2e set, quelques beaux « restes ». Elle enchaîne avec une autre défaite début mars, mais à nouveau avec des progrès, contre Johanna Konta au tournoi de Monterrey, au Mexique. Mais quatre jours après (le 8 mars), c’est la catastrophe. La crise du coronavirus se transforme en pandémie et met le monde à l’arrêt, y compris évidemment le tennis et le come-back de Kim.

Tout est à refaire ou presque. Kim en profite tout de même pour se soigner aux deux genoux. Le défi essentiellement physique, comme on pouvait le pressentir, de son pari fou, est bien là pour un corps déjà usé par les années de compétition et les maternités de Jada (bientôt 13 ans), de Jack (7) et de Blake (4). Une petite famille qu’elle emmène, fin juin, vivre dans le New-Jersey où le couple Clijsters-Lynch possède une deuxième résidence et s’offre une sorte de deuxième vie. C’est aussi aux Etat-Unis que Kim veut redonner un coup de fouet à son come-back avec, en tête, cet US Open qu’elle avait réussi à remporter, de manière épatante, après son premier come-back de maternité, mais elle avait 25 ans à l’époque…

Le tennis reprend sous conditions sanitaires et avec pas mal d’exhibitions et c’est notamment à la « World Team Tennis » qu’on revoit la Limbourgeoise gagner de « petits matches », réduits souvent autour de la demi-heure de jeu (première joueuse à 5 jeux). Kim impressionne à nouveau les observateurs américains avant de… se blesser aux abdos et de déclarer forfait pour sa rentrée à Cincinnati. Mais elle disputera bien l’US Open même si le Grand Chelem new-yorkais se joue complètement à huis clos. Son troisième match officiel est une nouvelle défaite, même si elle est tout de même parvenue, cette fois, à enlever un set (le premier) contre la Russe Alexandrova, 27e mondiale.

On ne le sait pas encore, mais il s’agit là, pour l’instant et toujours, du 3e et dernier match du « Kimback ». Car la Limbourgeoise mesure toutes les améliorations physiques qu’elle doit encore produire, tout en devant relancer une nouvelle vie de famille aux USA. Pas simple. Elle fait d’ailleurs une croix sur la saison sur terre battue (exigeante), et ce Roland-Garros déplacé à fin septembre, début octobre. Une croix, en fait, sur le reste de la saison 2020, mais aussi sur l’Open d’Australie 2021. En plus de ce come-back qui prend des allures pénibles, elle ne veut pas imposer à toute sa famille une quarantaine stricte au bout du monde. Elle refuse donc l’invitation pourtant lancée par les organisateurs qui n’ont pas oublié « Aussie Kim ».

Elle ne baisse pas les bras
Mais Clijsters n’est pas au bout de ses peines puisque, croyant protéger sa famille, elle a fini par attraper le coronavirus, en janvier, comme révélé, ce vendredi, par Filip Dewulf dans les colonnes du Het Laatste Nieuws. Elle n’a souffert que « de symptômes légers », peut-on lire dans le quotidien flamand, mais c’est évidemment un nouveau coup d’arrêt dans la préparation de la Limbourgeoise. Un coup fatal alors qu’elle a fêté ses 37 ans, le 8 juin dernier ? D’autres auraient baissé les bras pour moins que ça, et depuis longtemps déjà. Pas Kim Clijsters ! Via son team de management, on apprend qu’elle poursuit ses entraînements pour envisager une nouvelle rentrée durant le courant du mois de mars où on retrouve au calendrier, tiens tiens, les tournois de Dubaï et de Monterrey, mais aussi celui de Miami que Kim a toujours apprécié (succès en 2005 et 2010).

Est-ce raisonnable ? C’est plutôt la passion qui a toujours guidé la Limbourgeoise, mais aussi la hantise de l’échec. Gagner enfin un match et prouver à toute sa petite famille qu’elle n’a pas traversé ce « désert » pour rien, c’est peut-être l’espoir, la motivation ultime de l’ex-nº1. Envisager plus, c’est oublier trop vite que ce fameux « Kimback » s’est avant tout transformé en galères, avec ce fichu coronavirus, en plus, qui a rendu le pari fou en un pari perdu, on doit bien le craindre.

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Le tournoi WTA de Miami a accordé une wild card à Kim Clijsters. Notre compatriote débutera donc sa saison 2021 en Floride avec le statut de joueuse "invitée". Elle jouera également à Charleston.

L'ancienne N.1 mondiale n'a plus joué depuis sa défaite contre Ekaterina Alexandrova au premier tour de l'US Open. Son deuxième "Kim back" se résume pour l'instant à trois rencontres.

Kim Clijsters aimerait encore atteindre la deuxième semaine d'un Grand Chelem, a confié la Limbourgeoise au journal floridien Miami Herald vendredi. L'ex-numéro 1 mondiale, 37 ans, avait annoncé mercredi son retour à la compétition Miami Open, le tournoi WTA 1000 de Miami, du 23 mars au 3 avril, qu'elle a remporté à deux reprises, en 2005 et en 2010.

Pour Kim Clijsters, qui a vu son troisième come-back entamé l'an dernier être perturbé par la pandémie de la Covid-19, il s'agira de la première réapparition sur le circuit depuis sa défaite au premier tour à l'US Open contre la Russe Ekaterina Alexandrova le 2 septembre dernier. Elle a d'ailleurs prévu d'enchaîner dans la foulée par le tournoi WTA 500 sur terre battue verte de Charleston, qui commence le 5 avril.

"Par le passé, je ne pensais qu'à moi. Et je jouais comme si ma vie en dépendait", a expliqué Kim Clijsters. "Désormais, mon état d'esprit est différent. Je songe d'abord aux enfants et au fait que le réfrigérateur soit plein pour que Brian (son mari, ndlr) puisse gérer si je ne suis pas là. Je veux simplement voir quel est le maximum que je peux tirer de mes capacités. J'aimerais encore atteindre la deuxième semaine d'un Grand Chelem. J'ai des amies en Belgique qui me disent 'je veux courir un marathon avant mes 40 ans'. C'est la même chose pour moi, un défi", a ajouté la native de Bree, qui se sent encore capable d'effectuer ses fameux grands écarts. "Oui, mais je risque de rencontrer un peu plus de difficultés à me relever", a-t-elle souri.

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Kim Clijsters a renoncé à disputer les tournois de Miami et Charleston, pour lesquels elle avait reçu une wildcard. L’ancienne numéro 1 mondiale, qui devait effectuer son retour à la compétition aux États-Unis, l’a annoncé dimanche via son compte Twitter. Le tournoi de Miami est prévu du 23 mars au 3 avril, celui de Charleston du 5 au 11 avril.

Kim Clijsters, 37 ans, n’a plus joué depuis l’US Open et sa défaite au 1er tour face à la Russe Ekaterina Alexandrova le 2 septembre dernier. Elle a ensuite été opérée du genou droit en octobre et a été testée positive au coronavirus en janvier. Elle n’a pas donné de date quant à un retour sur les courts.

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Kim Clijsters aurait dû faire son grand retour à la compétition dans moins de 10 jours à Miami. L’ex-numéro 1 mondiale, avait reçu une wild-card, pour participer à ce qui devait être son premier match officiel, depuis le 2 septembre dernier. C'est à cette date que la Belge de 37 ans, s’était inclinée au premier tour à l’US Open, contre la Russe Ekaterina Alexandrova.

Une opération au genou et le Covid retardent son retour
Mais elle a annoncé, ce dimanche après-midi, sur son compte twitter qu’elle n’irait pas à Miami. Une opération au genou subie en octobre dernier, puis le Covid-19 qu’elle a contracté en janvier, ont dû la pousser à revoir son planning. Elle a donc renvoyé ses invitations pour les tournois de Miami et de Charleston.

Si on ne sait pas encore où et quand Kim Clijsters sera de retour sur les terrains, une chose semble sûre, ces contretemps n’auront pas raison de sa troisième carrière : "Je suis triste et frustrée. Je savais que cette nouvelle aventure allait être compliquée. Et il y a eu des événements qui m’ont dépassée, mais je ne suis pas prête à raccrocher".

Kim s’apprête à vivre encore quelques semaines compliquées avant, espère-t-elle, de retrouver la forme : "Je vais subir un traitement de gestion de la douleur pour les 3 à 6 prochaines semaines. Ensuite on fera le point avec mon staff pour fixer la suite de ma saison".

Kim Clijsters n’a joué que trois tournois et trois matches en 2020, battue à chaque fois au premier tour. Elle espère que 2021 sera réellement l’année de son "Kim-Back".

2021 l'année du "Kim-Back"?
Kim s’apprête à vivre encore quelques semaines compliquées avant, espère-t-elle, de retrouver la forme : "Je vais subir un traitement de gestion de la douleur pour les 3 à 6 prochaines semaines. Ensuite on fera le point avec mon staff pour fixer la suite de ma saison".

Kim Clijsters n’a joué que trois tournois et trois matches en 2020, battue à chaque fois au premier tour. Elle espère que 2021 sera réellement l’année de son "Kim-Back".