Candidature belgo-néerlandaise pour le Mondial 2018

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21/09/2009 - 21:45
Mondial 2018: La Belgique et les Pays-Bas candidats


Forts du succès de l'organisation de l'Euro 2000, la Belgique et les Pays-Bas ont officiellement déposé lundi leur candidature commune à l'organisation du Mondial 2018. Pour ce faire, un projet de construction de 12 nouveaux stades, jugé "attrayant" par Sepp Blatter en personne, a d'ores et déjà été avancé. La concurrence sera néanmoins rude. A ce jour en effet, dix autres prétendants se sont manifestés pour succéder à l'Afrique du Sud et au Brésil: l'Australie, l'Angleterre, l'Indonésie, le Japon, la Corée du Sud, le Mexique, le Qatar, la Russie, les Etats-Unis et enfin l'Espagne et le Portugal conjointement.

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Van Himst, Scifo, Gevaert et Henin en ambassadeurs


Paul Van Himst, Enzo Scifo, Kim Gevaert et Justine Henin seront ces 15 prochains mois les ambassadeurs belges de The HollandBelgium Bid ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] association réunissant les fédérations de football belge et néerlandaise, qui a dévoilé à Eindhoven les noms de ses ambassadeurs et partenaires commerciaux.

Cet évènement a eu lieu au Philips Stadion du PSV Eindhoven, où les Premiers ministres Balkenende et Van Rompuy ont également apporté leur soutien à cette mission par l'intermédiaire d'un message vidéo. Johan Cruijff, Ruud Gullit, Pieter van den Hoogenband et Daphne Koster sont les ambassadeurs néerlandais.

Cinq grandes entreprises au rayonnement international se sont également liées à "The HollandBelgium Bid": BAM, ING, KLM, PricewaterhouseCoopers et Randstad ont en effet uni leurs forces pour soutenir la candidature. Jusqu'à l'attribution des éditions 2018 et 2022, en décembre 2010 à Zurich, ces entreprises joueront le rôle d'"Official Partner". Les cinq partenaires soutiennent la campagne d'un point de vue financier et par l'apport de leurs connaissances, expertises, réseaux et implication sociale.

Harry Been, directeur de "The HollandBelgium Bid", a parlé d'un jour unique pour le sport belge et néerlandais. Il a chaudement remercié les éminentes personnalités et les entreprises pour leur confiance. "Elles se savent soutenues par les gouvernements des deux pays candidats, qui croient également à l'énorme plus-value que générerait l'organisation d'une Coupe du monde en Belgique et aux Pays-Bas", a-t-il souligné, rappelant que "la porte avait déjà été ouverte lors de l'Euro-2000 belgo-néerlandais.

Tous les candidats pour l'organisation de la Coupe du monde de 2018 ou 2022 doivent fournir un dossier de candidature détaillé à la FIFA le 14 mai 2010. La commission d'inspection de la FIFA leur rendra visite en automne. Pour la Coupe du monde de 2018, outre la candidature Belgique/Pays-Bas, se sont également portés candidats le Mexique, les États-Unis, l'Angleterre, le duo Portugal/Espagne, la Russie, l'Australie, l'Indonésie et le Japon. La Corée du Sud et le Quatar se disputent l'organisation de la Coupe du monde de 2022 avec les neuf autres candidats. L'Afrique du Sud organise la Coupe du monde en 2010, tandis que le Brésil s'est vu attribuer la Coupe du monde de 2014.

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Cruijff pas encore ambassadeur



Johan Cruyff n'est toujours pas officiellement ambassadeur de la candidature belgo-néerlandise à l'organisation du Mondial-2018 ou 2022.

C'est ce que l'ancienne icône du foot néerlandais a fait savoir dans les colonnes du journal néerlandais De Telegraaf.

"Je ne deviendrai l'ambassadeur que si je sens que la candidature est largement soutenue. Que tout le monde la supporte. Je n'ai pas encore ce sentiment, donc je veux au mieux donner des conseils mais pas en être le représentant officiel", y déclare Cruyff, 62 ans.

Cette position est un petit contre-temps pour la candidature commune qui avait annoncé la semaine passée que les anciennes vedettes Ruud Gullit et Johan Cruyff seraient deux des ambassadeurs néerlandais.

Cruyff s'était déjà fait remarquer par son absence lors de cette annonce à Eindhoven, où siège les bureaux de la candidature.

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Le Mexique se retire


Le Mexique a retiré sa candidature à l'organisation des Coupes du monde en 2018 et de 2022, en raison de la crise économique qui empêche la construction des infrastructures nécessaires.
"L'environnement économique mondial actuel et les perspectives à court terme ne permettent ni à la Fédération ni aux gouvernements fédéral et locaux de prendre des engagements d'investissements permettant de financer en temps voulu les travaux nécessaires", écrit la Fédération mexicaine (Femexfut) sur son site internet.

Le Mexique, organisateur du "Mundial" en 1970 et en 1986, dispose d'un "nombre suffisant de stades", mais la majorité d'entre eux doivent faire l'objet "d'investissements importants" pour être mis aux normes de la Fédération internationale de football (Fifa), explique la Femexfut.

L'économie mexicaine, la deuxième d'Amérique latine après le Brésil, a été frappée de plein fouet par la crise économique internationale: son produit intérieur brut (PIB) a chuté de 9,2% au premier semestre 2009.

Le comité exécutif de la FIFA désignera fin 2010 les pays organisateurs des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde. Plusieurs pays ou paires de pays ont déjà déposé leurs candidatures. L'Angleterre, l'Australie, la Belgique et les Pays-Bas (candidature commune), l'Espagne et le Portugal (candidature commune), les Etats-Unis, l'Indonésie, le Japon et la Russie postulent pour 2018 ou 2022. La Corée du Sud et le Qatar se sont inscrits pour 2022.

Un Concurrent en moins

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9/10 15h32 - Football, CM 2018
La Russie candidate


La Russie s’est portée candidate à l’organisation de la Coupe du Monde 2018.
La longue liste des prétendants à l’organisation de la Coupe du monde 2018 compte un nouveau membre. Après l'Australie, l'Angleterre, l'Indonésie, le Japon, le Qatar, la Corée du Sud, les Etats-Unis, mais aussi la Belgique et les Pays-Bas et l'Espagne et le Portugal (candidatures communes), la Russie s'est à son tour portée candidate. Une première sélection est prévue en décembre par la FIFA

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L'Espagne et le Portugal se présentent


Les présidents des Fédérations espagnole, Angel Maria Villar, et portugaise, Gilberto Madailont rencontré à Zurich le président de la Fifa Joseph Blatter pour lui présenter la candidature ibérique à l'organisation du Mondial-2018 ou 2022.
MM. Villar et Madail ont présenté à M. Blatter une candidature conjointe hispano-portugaise et lui ont remis une lettre dans laquelle ils font part de "l'unité des deux peuples et du magnifique service (qu'ils peuvent) offrir au football mondial", a indiqué la Fédération espagnole sur son site internet.
La candidature conjointe souligne encore "l'unité de deux peuples qui veulent être compétitifs et travailler ensemble pour, premièrement, obtenir des mains de la plus haute instance du football mondial l'organisation de la Coupe du monde de la Fifa 2018 ou 2022 et, deuxièmement, pour donner au monde et à la Fifa la mieux organisée et la plus festive des Coupes du monde".
M. Blatter a de son côté assuré que l'Espagne et le Portugal étaient "deux grandes nations qui ont une grande expérience en matière d'organisation. L'Espagne a organisé le premier Mondial avec 24 sélections (en 1982, ndlr) et le Portugal a été l'hôte en 2004 du Championnat d'Europe".
Parmi les autres pays intéressés pour 2018 figurent la Belgique et les Pays-Bas (ensemble), l'Angleterre, l'Australie, le Japon, le Mexique et la Russie. Les pays candidats ont jusqu'à mai 2010 pour présenter à la Fifa toute la documentation nécessaire.
Le comité exécutif de la Fifa désignera le (ou les) pays organisateur(s) en décembre 2010.

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Courtois: 'On ne peut forcer aucune ville'


"On ne peut forcer aucune ville belge à être candidate pour accueillir l'un des stades de football en vue du Mondial de 2018", a expliqué mardi Alain Courtois, en réaction à la déclaration de l'échevine des Sports de la Ville de Charleroi, Ingrid Colicis.

Ingrid Colicis estime que la Ville ne dispose pas des moyens financiers nécessaires pour organiser le Mondial, si d'aventure la Belgique devait en décrocher l'organisation.

Si la ville et son bourgmestre Jean-Jacques Viseur (cDH) ont clairement marquer leur intention d'organiser la Coupe du monde, l'échevine (PS)estime pour sa part que le projet est "irréaliste et trop cher".

"Je ne peux avoir d'autres réactions pour l'instant", a poursuivi Courtois, "tant le dossier est sensible au niveau politique. Nous attendons calmement et constaterons au 15 décembre quelles sont les deux villes wallonnes candidates pour accueillir l'événement avec un stade d'une capacité minimale de 40.000 personnes," selon Courtois.

Depuis que Gilbert Timmermans a pris la place d'Alain Courtois au sein de l'équipe de management du comité d'organisation pour la candidature belgo-néerlandaise du Mondial 2018-2022, ce dernier se consacre désormais à un travail de lobbying en faveur des nouveaux stades en Belgique.

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CM 2018: Un stade pour les matchs d'entraînement à Malines?


Le dossier du projet d'un nouveau stade de Malines sera examiné mercredi à la Ville de Malines. Les responsables communaux veulent présenter le nouveau stade comme candidat aux matches d'entraînements pour le Mondial-2018, rapporte la radio locale Reflex.

Ce qui veut dire que la capacité de l'enceinte doit atteindre au moins 20.000 places assises.

Avant de présenter officiellement le projet, Bart Somers (Open Vld), le bourgmestre de Malines, veut convaincre tous les responsables politiques de la nécessité de le mener à bien, pour doter Malines d'un nouveau stade, où joueront le FC Malines et le Racing, et pour ne pas rater le cas échéant, le bon wagon pour le Mondial-2018.

La Belgique et les Pays-Bas ont présenté leur candidature pour
l'organisation des Coupes du monde 2018 et 2022.

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HollandBelgium Bid est Cap


Le tirage au sort du tour final de la CM 2010 est programmé le 4 décembre au Cap. L'occasion pour The HollandBelgium Bid de présenter sa candidature pour la CM 2018/2022.
La FIFA donnera l'occasion aux candidats à l'organisation de la CM 2018/2022 de se présenter aux médias de 9 à 12 h. Ceci au moyen d'un stand et en présentant un petit film à la FIFA World Cup Bidding Country Media Expo.
The HollandBelgium invite la presse belge et néerlandaise un jour plus tôt. La All Star Team - notamment composée de Ruud Gullit, Enzo Scifo et Jean-Marie Pfaff - disputera une rencontre sur Cruyff Court face à une sélection de joueurs africains emmenés par Bwalya Kalusha.
L'ensemble de la délégation des plats pays se retrouvera en soirée pour un dîner organisé à l'ambassade des pays-Bas.

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CM 2018: La candidature des villes pour le 15 décembre


Les villes candidates pour accueillir la Coupe du monde 2018 (ou 2022) dans le dossier belgo-néerlandais doivent rentrer officiellement leur dossier pour le 15 décembre à la Fédération internationale de football (FIFA), a expliqué vendredi le Comité de candidature rassemblant la Belgique et les Pays-Bas, qui a tenu aussi à apporter plusieurs précisions.

La FIFA exige la mise à disposition par l'organisateur de 12 stades minimum, rappelle 'The HollandBelgium Bid'. En principe donc, la Belgique proposerait 6 stades et les Pays-Bas 6 stades. Chacun doit avoir une capacité minimale de 40.000 places. Les stades abritant les demi-finales doivent pouvoir accueillir 60.000 personnes alors que l'exigence pour le match d'ouverture et la finale est de 80.000 places.

A ce jour, 12 villes se sont portées candidates. En Belgique, il s'agit d'Anvers, Bruges, Bruxelles, Charleroi, Gand, Genk et Liège. Aux Pays-Bas: Amsterdam (2 stades), Eindhoven, Enschede, Heerenveen et Rotterdam (2). Ces villes se présenteront à la presse le lundi 9 novembre à Eindhoven. Ces villes doivent officiellement se porter candidates auprès de la FIFA pour le 15 décembre, en indiquant la localisation de leur stade.

Pour la Coupe du monde 2018 (ou 2022), il faut non seulement proposer 12 stades mais également 32 complexes d'entraînement. La Belgique proposerait donc 16 stades avec une capacité minimale de 500 places et une infrastructure précise en matière d'accueil de la presse notamment. Le Gouvernement flamand a fait savoir que dans le cadre de la candidature au Mondial 2018 (ou 2022), il soutiendrait à concurrence de 50 millions les projets de construction de 2 stades et 6 stades d'entraînement. Il appartient à la FIFA, en concertation avec le Comité d'organisation, de choisir les stades. Ceci interviendra en 2013 (pour le cas du Mondial 2018) et en 2017 (pour celui de 2022).

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Préférence pour la Chartreuse


Le nouveau stade du FC Bruges devrait voir le jour sur le site de la Chartreuse et non de Loppem. Ainsi en a décidé le gouvernement flamand.

Les plans du gouvernement flamand prévoient un stade multifonctionnel situé sur le site de la Chartreuse, en région brugeoise.

Selon le ministre flamand de l'Aménagement du Territoire, Philippe Muyters (N-VA), les plans comprennent l'implantation de "300.000 mètres carrés d'espace de bureaux, de magasins, ou une combinaison des deux".

Reste à déterminer qui sera en charge du projet et de le financer. Et si le Cercle de Bruges pourra lui-aussi profiter de ces infrastructures. Un accord est envisagé avec les communes de
FC Bruges: 'Les pierres angulaires du projet tel que dessiné par le Club de Bruges ? concernant la localisation et le financement ? n'ont pas été retenues.'
Zedelgem en Oostkamp.

Le Club a pris acte de la décision. "Le Club de Bruges est ouvert au dialogue. Il a toujours prôné la sérénité et continuera de le faire à l'avenir.", précise un communiqué publié sur le site du club.

"Le Club de Bruges constate que la décision autorise la construction d'un nouveau stade, mais que les pierres angulaires du projet tel que dessiné par le Club de Bruges ? concernant la localisation et le financement ? n'ont pas été retenues.

Et de conclure: "Le modèle financier cohérent élaboré par le Club pour la construction et l'entretien d'un stade qui lui serait propre, sans intervention financière des autorités, n'est plus réalisable au vu de la présente décision. Le Club de Bruges attend impatiemment de voir comment le tout nouvel organe de conciliation établira le financement".

C'est bien, vous allez avoir plein de nouveaux stades, tout neufs et agrandis

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Charleroi sera candidat


Charleroi sera bien la 7ème ville d'accueil pour la Belgique si la candidature belgo-néerlandaise était retenue pour l'organisation du Mondial 2018 ou 2022.

C'est ce qu'ont confirmé mercredi Alain Courtois, l'un des initiateurs du projet en Belgique, et l'échevinat des Sports de la Ville de Charleroi.

Bruxelles, Liège, Bruges, Genk, Anvers, Gand et Charleroi donc seront les 7 villes candidates pour la Belgique, tandis qu'aux Pays-Bas, Amsterdam, Rotterdam, Eindhoven, Enschede et Heerenveen seraient les cinq villes néerlandaises retenues pour accueillir des rencontres de la Coupe du monde de football 2018 ou 2022.

"Le Collège a en effet pris position et plusieurs représentants de la Ville seront présents à la signature symbolique des villes candidates, lundi à Eindhoven", a précisé l'échevinat carolo.

On se souvient que son échevine des Sports, Ingrid Colicis (PS), s'était montré pour le moins sceptique quant à l'organisation de cet événement planétaire, estimant que la Ville ne disposait pas des moyens financiers nécessaires.

Les projets d'implantation des 7 stades belges et 5 néerlandais pouvant accueillir au minimum 40.000 personnes ne seront dévoilés que le 15 décembre, lors de la présentation officielle des villes candidates.

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7 villes en course pour 2018


Les 12 villes candidates à la candidature belgo-néerlandaise en vue d'accueillir la CM 2018 ou 2022 ont ratifié leur engagement lundi à Eindhoven.
Elles ont apposé une signature symbolique sur la carte des deux pays. Bruxelles, Anvers, Bruges, Charleroi, Gand, Genk et Liège, au même titre que cinq villes néerlandaises (Amsterdam, Eindhoven, Enschede, Heerenveen et Rotterdam) figurent sur cette carte.

Elle a été dévoilée par le nageur néerlandais Pieter Van den Hoogeband et les footballeurs belges Paul Van Himst et Jean-Marie Pfaff au siège de "The HollandBelgium Bid", le comité organisateur pour la candidature commune.

Les lieux d'implantation des stades, qui devront accueillir au minimum 40.000 personnes, seront connus lors de la remise officielle des dossiers de présentation qui devront être rentrés pour le 15 décembre à la Fédération Internationale.

Quatorze stades sont prévus, sept dans chaque pays. Le match d'ouverture devrait avoir lieu à Bruxelles, la finale aux Pays-Bas. Les noms des pays sélectionnés pour l'organisation des Mondiaux 2018 et 2022 seront dévoilés en décembre 2010.

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Gand a le meilleur dossier


Le gouvernement flamand a prévu une enveloppe de 50 millions d'euros pour financer les nouveaux stades dans le cadre de la candidature belgo-néerlandaise pour l'organisation du Mondial 2018 ou 2022. Pour bénéficier de ces subsides, les dossiers devront être bouclés pour le 27 novembre.
Le gouvernement flamand s'est penché sur dix dossiers (Gand, Bruges, Saint-Trond, Louvain, Malines, Waregem, Lokeren, Anvers, GBA et Anderlecht), qu'il a cotés dans différents domaines (impact social, impact sportif, satisfaction aux normes de stades modernes, mobilité et environnement, faisabilité financière).
Gand arrive en tête de ce classement, avec 154 points, devant le Germinal Beerschot (145), dont le projet est différent de celui de la ville d'Anvers, qui pointe au 7e rang avec 120 points. Anderlecht est en 5e position (125,5 points). Cette étude a été menée en juin. Une nouvelle étude est prévue, selon Het Nieuwsblad.