Le topic des Joueurs et Joueuses belges (Hors Topics Spécifiques) - 4

Xabia (Espagne - Future - $25.000 - Terre-battue - outdoor)
Simple
1T : Romain Barbosa (599) - George Loffhagenq (GBR, Ncl) 6/2 7/5
1T : Kimmer Coppejans (285, n°7) - Benjamin Winter Lopezwc (ESP, Ncl) 6/0 6/0
1T : Germain Gigounon (725) - Eduard Guell Bartrinaq (ESP, 1815) 6/2 6/3
1T : Marco Trungelliti (ARG, 265, n°3) - Omar Salman (796) 6/4 6/3
2T : Kimmer Coppejans (285, n°7) - Antonio Muniz Hidalgoq (ESP, Ncl) 6/1 6/0
2T : Germain Gigounon (725) - Bernabe Zapata Miralles (ESP, 269, n°4) 6/4 6/2
2T : Pedro Martinez (ESP, 225, n°2) - Romain Barbosa (599) 6/7 7/6 6/1
1/4 : Kimmer Coppejans (285, n°7) - Pedro Martinez (ESP, 225, n°2) 3/6 7/6 6/4
1/4 : Germain Gigounon (725) - Marc Giner (ESP, 421) 6/3 6/4
1/2 : Germain Gigounon (725) - Sergio Gutierrez-Ferrol (ESP, 282, n°6) 7/6 7/5
1/2 : Marco Trungelliti (ARG, 265, n°3) - Kimmer Coppejans (285, n°7) 6/3 6/1
F : Germain Gigounon (725) - Marco Trungelliti (ARG, 265, n°3) 6/4 6/3

Ramat Hasharon (Israel - ITF - $15.000 - Dur - outdoor)
Simple
1T : Helene Scholsen (516, n°6) - Lauren Marker (USA, 833) 6/3 6/3
1T : Kana Daniel (USA, 856) - Eliessa Vanlangendonck (668) 7/6 6/4
2T : Helene Scholsen (516, n°6) - Timea Jaruskovaq (SLQ, Ncl) 6/1 6/2
1/4 : Helene Scholsen (516, n°6) - Gozal Ainitdinova (KAZ, 410, n°2) 7/6 6/0
1/2 : Helene Scholsen (516, n°6) - Kana Daniel (USA, 856) 6/0 7/6
F : Helene Scholsen (516, n°6) - Anastasia Pribylova (RUS, 487, n°5) 6/3 6/2

Citation :

L'aventure de Dominique Monami en Fed Cup n'aura duré que trois rencontres. Désignée capitaine de l'équipe belge le 28 septembre 2016, elle a été démise de ses fonctions.


Samedi soir, l'AFT a annoncé dans un communiqué officiel la fin de la collaboration. "Les relations entre Dominique Monami et l'équipe ne semblaient plus être optimales", précise la Fédération.

Au niveau des résultats, rien ne peut être reproché à l'ancienne joueuse. Sous son capitanat, la Belgique a réintégré pour la première fois le groupe mondial depuis cinq ans, avec des victoires en Roumanie et en Russie. Malgré la déception en quarts de finale face à la France (ndlr. défaite lors du double décisif), le bilan était largement positif pour l'ancienne numéro 9
mondiale.

Il faut donc trouver la raison ailleurs. Selon plusieurs sources, il y avait de l'eau dans le gaz entre les joueuses (notamment Wickmayer et Flipkens). Les tensions étaient déjà apparues lors du double contre la France. Lors des changements de côté, le manque de communication entre la paire Flipkens-Mertens et la capitaine avait frappé les observateurs. L'arrivée de Monami en 2016 n'avait pas provoqué un grand d'enthousiasme auprès des joueuses les plus expérimentées.

Très touchée par ce limogeage, la Verviétoise n'a pas souhaité réagir. Ivo Van Aken (directeur technique de Tennis Vlaanderen) assurera l'intérim pour la rencontre face à l'Italie (21 et 22 avril). Cela donnera le temps à la Fédération de trouver un(e) remplaçant(e) pour Monami. Le nom de Johan Van Herck, coach de l'équipe de Coupe Davis, est cité avec insistance. Le projet semble en tous les cas l'intéresser.

Citation :

Ce mercredi, Dominique Monami nous a reçu chez elle, à un jet de pierre de Malines, pour « tout clarifier », « parce qu’à un moment les gens doivent savoir », et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça va laisser des traces.

Dominique, pouvez-vous nous dire pourquoi vous réagissez seulement maintenant à votre éviction annoncée samedi soir par la Fédé ?
Parce que j’ai été anéantie d’apprendre que la Fédération avait décidé de me couper la tête, en me l’annonçant par téléphone, samedi, deux petites heures avant de lâcher un communiqué à la presse qui était déjà prêt… Je n’en ai pas dormi de la nuit. Le dimanche, j’étais une épave, et le lundi, j’ai reçu tant de messages de soutien que j’en pleurais… J’étais sous le choc. Ce n’est pas de la rage que j’ai en moi, mais c’est une telle injustice que la déception est immense. Je suis dégoûtée.

Que vous reproche-t-on, en fait ?
D’après ce qu’on m’a dit, une partie des joueuses me critiquent pour ma tactique, mon manque de plus value sur le terrain, mon caractère stressé et le manque de confiance en moi… Je me permets de sourire car je rappelle tout de même qu’en trois rencontres, on a réussi une belle performance en Roumanie (0-3), un exploit en Russie (2-3) qui alignait les 16 e (Vesnina), 17 e (Pavlyuchenkova) et 28 e (Kasatkina) joueuses mondiales… On a retrouvé le groupe mondial après six ans d’absence et on était encore à 2-2 contre la France, avant de perdre le double. Suis-je donc si nulle ?

Cette dernière défaite contre la France en quart de finale, en février, fait très mal. Surtout que tout le monde voyait déjà la Belgique aller défier les USA des sœurs Williams...
Oui, mais à partir du moment où une joueuse, Kirsten Flipkens, a décidé de pourrir le double décisif en France, vous pouvez être la meilleure capitaine du monde, la rencontre, elle est perdue…

C’est un sabotage ?
Le mot est fort. Mais si Mladenovic a su tirer Amandine Hesse vers le haut dans ce double, côté français, Kirsten, par son attitude hyper-négative, a tiré Elise Mertens vers le bas… Il suffit de regarder les images de ce double, Kirsten me tourne le dos sur le banc, j’en devenais dingue ! À aucun moment, je n’ai senti une équipe avec le couteau entre les dents pour aller chercher tout de même un point pour aller en demi-finale mondiale ! Même Justine Henin a eu ce commentaire à la fin de la rencontre, c’est tout dire.

Ce sont des mots durs…
Ce n’est pas un règlement de compte, je n’ai pas pour habitude de tout déballer en public. J’ai toujours voulu protéger mes joueuses. Mais là, on ne me laisse plus le choix et je veux clarifier les choses car, pour une fois, les gens doivent savoir dans quelle pièce on joue et avec qui. Je vous donne cette interview et je n’en donnerai pas d’autres…

Vous sentiez venir ce clash ?
Dès le début, les dés étaient pipés. Certaines joueuses ne m’ont jamais acceptée comme capitaine. Lorsque j’ai été nommée par la Fédération, le 28 septembre 2016, je suis allée rencontrer les joueuses au tournoi de Luxembourg. Je pensais être accueillie à bras ouverts, mais de suite, Kirsten Flipkens et Yanina Wickmayer m’ont fait comprendre que je n’étais pas leur choix et s’offusquaient de ne pas avoir été consultées. J’ai cru que nos succès en Roumanie et en Russie, notre retour dans le groupe mondial allaient changer les choses. Je suis restée ouverte à toutes les discussions, je ne demandais qu’à apprendre et améliorer les choses. Je peux me regarder dans la glace, j’ai été toujours été très honnête. Tout est enregistré, c’est comme ça que je faisais mes débriefings. Mais ça n’a fait que s’aggraver avec même, finalement, Alison Van Uytvanck, manipulée, et devenue subitement la grande copine de Kirsten Flipkens. Certaines joueuses m’ont mis des couteaux dans le dos. Alison, elle, m’a carrément mis une épée dans le cœur car s’il y a bien une fille que j’ai aidée et soutenue depuis ses débuts à 17 ans, à l’Open de Bruxelles où j’étais directrice de tournoi, c’est elle !

Qui vous a soutenue dans le groupe ?
Tous les coachs qui ont vu mon travail. J’ai reçu des messages hallucinants sur ce qui se tramait dans mon dos. Parmi les joueuses régulièrement alignées, seule Elise Mertens a continué de me soutenir, mais visiblement, ce n’était pas assez pour la Fédé. C’est dégueulasse… Des joueuses comme Justine Henin ou Kim Clijsters, qui ont, elles, été nº1 m’ont marqué plus de respect. Ici, il ne faut surtout pas toucher à leur petit confort… C’est dramatique. Le monde tennistique ne s’est pas amélioré avec le temps au niveau des vraies valeurs. Je n’ai rien à gagner en parlant de la sorte. Je ne suis plus capitaine, je ne suis plus dans le milieu, même si je continue d’adorer le tennis…

Ça veut dire que plus jamais vous n’accepterez un rôle de capitaine, même avec d’autres joueuses, plus tard ?
Ce poste de capitaine, il était fait pour moi. Tout le monde me disait que j’avais ça en moi. J’ai pris ce rôle motivée comme jamais, à du 200 %. Comme un cadeau. Un cadeau empoisonné, en fait. Mon plus grand rêve est devenu mon pire cauchemar. Je ne tourne pas la page, ici, je referme carrément le livre… C’est fini, j’ai eu le poste, j’ai tout donné pour finalement vivre le moment le plus malheureux de ma carrière…

C’est Ivo Van Aken qui va vous succéder ad intérim pour le prochain match de barrage contre l’Italie à Gênes, les 21 et 22 avril prochain.
Oui, et j’imagine qu’il va retrouver des joueuses hyper-motivées à l’idée de prouver tous les torts qu’on me reproche… C’est comme ça… Je m’attends à bien des réactions… D’un autre côté, il n’y a plus grand monde du côté italien, et tant mieux pour la Belgique.

On parle de la possibilité de voir Johan Van Herck occuper un rôle de capitaine de Coupe Davis et de Fed Cup, à la Yannick Noah.
Que Johan vienne coacher les filles, il va voir la différence avec les garçons ! J’ai d’ailleurs toujours dit que je préférais de loin m’occuper d’un tournoi masculin, comme à Mons, que d’une épreuve féminine, comme à Bruxelles. Bien plus simple et correct ! Si les filles me reprochaient d’avoir zéro connexion avec le circuit féminin, Johan, c’est zéro, virgule zéro. Qu’il occupe le poste, il pourra comparer.

Citation :

La balle tourne vite en tennis. En novembre dernier, malgré la défaite à Lille, la Belgique s’enorgueillissait de la nouvelle finale de Coupe Davis disputée par des Diables blancs emmenés par un formidable Goffin. Le bilan en Fed Cup était tout aussi impressionnant (victoire en Roumanie et en Russie) avec un retour dans le Top 8 mondial espéré depuis 2012. C’était l’euphorie ! Quatre mois plus tard, on fait déjà la grimace, en Fed Cup et en Coupe Davis. Analyse d’un retournement de situation plutôt inattendu.

1Après les résultats euphoriques de 2017, ce sera du pain noir cette saison

On peut déjà vous l’annoncer, il n’y aura pas de finale par équipe pour la Belgique du tennis en 2018 ! Ok, on commençait à s’habituer après les exploits de 2015 et de 2017 en Coupe Davis, mais le prochain déplacement (6-8 avril) d’une équipe belge décimée aux USA verra se refermer la porte au stade des quarts pour les Diables blancs. On s’était aussi mis à rêver d’exploits en Fed Cup avec le retour d’une dream team autour de la nouvelle star Elise Mertens. L’arrêt sera brutal, en février, en France avec les conséquences que l’on connaît. Les 21 et 22 avril, la Belgique jouera en Italie pour tenter de se maintenir au sein du Groupe mondial… Et la saison sera déjà terminée dans ces compétitions pour le pays !

2 L’émergence de tensions réelles au sein des deux équipes belges

Samedi, l’éviction de Dominique Monami du poste de capitaine a surpris tout le monde. Le résultat d’un vrai putsch, post défaite en France, hourdi par des joueuses (Flipkens, Wickmayer et finalement Van Uytvanck) qui sont entrées en conflit, très tôt, avec leur meneuse ! La défaite face au team réduit de Yannick Noah avait étonné, la surprise est nettement moins grande aujourd’hui… Côté masculin, on pensait que tout roulait comme sur des roulettes pour Johan Van Herck. Mais ce dernier s’est pris le bec avec Kimmer Coppejans et Arthur De Greef qui ont refusé leur sélection contre la Hongrie, en février. Coppejans a privilégié son calendrier, De Greef est en pétard avec la Fédé pour une triste affaire de primes. Le fameux système de partage des primes de manière équitable, peu importe le classement et le rôle des joueurs, qui faisait la fierté et la solidité de notre équipe depuis près de 20 ans, a vécu… Triste.

3 L’éviction surprise de Dominique Monami, la rumeur Johan Van Herck

C’est évidemment l’instabilité à la tête de la Fed Cup. Ivo Van Aken (lire ci-dessous) a été nommé capitaine ad interim, vu l’urgence de la rencontre à Gênes. La Fédération prendra le temps de choisir un ou une capitaine qui, cette fois, sera accepté(e) dès le début par les joueuses. La rumeur d’un rôle à la Yannick Noah pour Johan Van Herck, double capitaine, est insistante. Bonne solution ou piège à éviter ? L’Anversois se donne déjà à 1000 % pour réaliser, un jour, son rêve : remporter la Coupe Davis…

4 Des choix de carrière personnels et des blessures à gogo qui pèsent lourd

Yanina Wickmayer et Kimmer Coppejans ont décidé de privilégier leur carrière personnelle, cette année, et on peut les comprendre tellement ils sont à la recherche de leurs meilleures sensations. En Coupe Davis, c’est l’hécatombe avec les blessures de Goffin et Darcis et l’opération de Cagnina. On annonce une équipe composée des rescapés Bemelmans et De Loore, accompagnés de Gillé et Vliegen, enfin testés en double, et du jeune Zizou Bergs (18 ans et 651e mondial). Ceci pour aller défier les USA de Sock, Querrey et Isner à Nashville, en quart de finale mondial…

5 Une dynamique de groupe qu’il faut relancer rapidement

Sauf miracle, parmi les miracles, la compétition par équipe sera donc terminée pour la Belgique, déjà fin avril. Avec l’énorme interrogation qui plane sur l’avenir de la Coupe Davis (et de la Fed Cup), et ce projet d’une formule regroupée en une seule semaine dans un lieu neutre, fin 2019 (ce que certains nomment déjà à juste titre « la mort de l’esprit Coupe Davis »), le temps risque d’être long pour nos équipes. Il faudra remettre rapidement en place une vraie dynamique de groupe, tant en Fed Cup qu’en Coupe Davis, pour retrouver des joueuses et des joueurs mobilisés et à nouveau motivés par le projet. Oui, on est subitement retombé très loin de l’euphorie de fin 2017, dans le clan belge…

Citation :

Van Aken: «On va repartir d’une page blanche»

Après la sortie incendiaire, mais pleine de ressenti, de Dominique Monami, c’est Ivo Van Aken qui a joué les pompiers de service du côté de la Fédération. Pour rappel, l’ancien formateur et capitaine de Fed Cup (c’est lui qui était à la tête de l’équipe qui a remporté la seule Fed Cup pour la Belgique en 2001) est revenu à ses premières amours après avoir été « Top manager du sport flamand » de 2005 à 2009. Redevenu directeur technique à « Tennis Vlaanderen », en 2016, c’est lui qui assurera l’après Dominique Monami, ad interim, et pour la prochaine rencontre de barrage en Italie (21-22 avril). « J’ai accepté de reprendre cette fonction pour dépanner dans l’urgence », confie-t-il. « Mais j’ai 66 ans et je ne constitue pas une solution d’avenir pour ce poste que je connais pourtant bien. La Fédération a émis le souhait de prendre le temps d’écouter les joueuses et de bien étudier toutes les possibilités concernant le profil du prochain capitaine. »
« Plus facile de remplacer une capitaine que des joueuses… »

Ceci sous-entend que la Fédé ne veut plus commettre l’erreur d’imposer un choix qui semblait logique sauf… pour les joueuses, comme cela s’est passé avec l’intronisation de Dominique Monami, en septembre 2016, et qui a biaisé la relation dès le début…

« Je n’étais pas présent en France et pas assez proche de l’équipe en général pour pouvoir commenter ce qui s’est passé avec Dominique. Mais ce qui était clair, c’est qu’une partie des joueuses ne voulait plus poursuivre avec elle. Malheureusement, comme dans la plupart des sports d’équipe, quand il y a un problème relationnel, on ne peut pas remplacer les joueurs, mais bien l’entraîneur… C’est dommage, mais c’est ainsi. »

Et d’emblée, Ivo Van Aken tenait à relativiser les problèmes.

« Des soucis en Fed Cup ou en Coupe Davis, il y en a toujours eu. Car ce n’est jamais facile de concilier les intérêts personnels dans un sport qui prend des allures collectives deux ou trois fois par saison. Je me souviens de l’éviction d’Eduardo Masso par les joueurs en 1997. Et si Kim et Justine avaient chaque fois été disponibles ensemble, à l’époque, on aurait au moins remporté la Fed Cup cinq fois… »

C’est donc Ivo Van Aken qui va tenter de recoller les morceaux d’une équipe qui a volé en éclats après la défaite cruelle en France. « J’ai déjà discuté avec les joueuses. Et je les connais plutôt bien. J’ai acté que Yanina Wickmayer ne souhaitait pas jouer cette année car elle veut se concentrer sur son objectif personnel qui est son retour dans le Top 100. On va repartir d’une page blanche avec les autres joueuses car l’objectif est tout de même de remporter ce match important en Italie pour nous maintenir dans le Groupe mondial. Après, la Fédé aura le temps de remettre un beau projet en place… »

Citation :

Flipkens répond à Monami: "Parler de sabotage, c'est très bas"

Kirsten Flipkens est-elle derrière le départ de Dominique Monami? La 71e joueuse mondiale a répondu aux attaques de son ancienne capitaine de Fed Cup dans un entretien au journal Het Laatste Nieuws. Pour elle, Monami n'était tout simplement pas à sa place.


La relation entre Kirsten Flipkens et Dominique Monami était loin d'être au beau fixe. L'ex-capitaine de Fed Cup a reproché à la joueuse un sabotage à son encontre. "À partir du moment où une joueuse, Kirsten Flipkens, a décidé de pourrir le double décisif en France, vous pouvez être la meilleure capitaine du monde, la rencontre, elle est perdue...", a-t-elle expliqué dans Sudpresse.

Confrontée à ces déclarations par le quotidien Het Laatste Nieuws, Flipkens n'a pas du tout apprécié. Et elle l'a fait savoir. "Du sabotage? Je trouve que c'est un mot très grossier! J'ai joué avec mon coeur pendant quinze ans en Fed Cup et j'ai toujours fait de mon mieux. C'est vrai que je n'ai pas disputé mon meilleur double contre la France, je le reconnais. Mais parler de sabotage, cela va trop loin. J'ai toujours été quelqu'un qui mettait l'équipe en premier."

"Monami? Un sentiment étrange"
Flipkens explique aussi que l'attitude de Monami sur le banc, qui avait du mal à faire passer son message et à motiver les joueuses, ne collait pas du tout avec l'équipe. "Dès le premier jour, j'avais un sentiment étrange par rapport à Dominique car elle semblait peu sûre d'elle sur le banc. Et elle l'a transmis aux joueuses".

Elle rappelle aussi que la décision a été prise après un sondage auprès de toutes les joueuses, pas seulement elle. "Je trouve cela très bas d'être la seule visée de cette manière".

Le Havre (France - ITF - $15.000 - Terre-battue - indoor)
Simple
Q1 : Juliette Bastin (Ncl) - Zoi Meers (BEL, Ncl) 2/4 abandon
Q1 : Justine Pysson (Ncl) - Claudelle Labonte-Frey (CAN, Ncl) 6/0 6/0
Q1 : Lara Salden (996, n°3) bye
Q1 : Chelsea Vanhoutte (1090, n°4) bye
Q1 : Emma Mazzoni (FRA, Ncl) - Elisabeth Chantraine (Ncl) 6/4 6/0
Q1 : Sandy Callios (FRA, Ncl) - Laure Line Glaude (Ncl) 6/4 6/1
Q1 : Marie Amelie Dardaine (FRA, Ncl) - Antje Rubbrecht (Ncl) 6/3 6/4
Q1 : Tereza Koplova (TCH, Ncl) - Vicky Van De Peer (Ncl) 6/7 7/5 7/6
Q2 : Justine Pysson (Ncl) - Juliette Colard (FRA, Ncl) 7/5 6/3
Q2 : Lara Salden (996, n°3) - Agnes Brun (FRA, Ncl) 6/3 6/2
Q2 : Chelsea Vanhoutte (1090, n°4) - Iris Halilovic (FRA, Ncl) 6/2 6/1
Q2 : Franziska Kommer (ALL, 1110, n°6) - Juliette Bastin (Ncl) 6/1 6/4
Q3 : Justine Pysson (Ncl) - Suzan Lamens (PBS, 911, n°1) 7/5 4/6 6/4
Q3 : Lara Salden (996, n°3) - Emmanuelle Girard (FRA, Ncl) 7/5 7/5
Q3 : Chelsea Vanhoutte (1090, n°4) - Sandy Callios (FRA, Ncl) 3/6 6/3 6/2
1T : Mallaurie Noel (FRA, 696) - Catherine Chantraine (803) 3/6 6/0 6/1
1T : Marine Partaud (FRA, 494, n°4) - Luna Meers (928) 6/3 6/0
1T : Diana Marcinkevica (LET, 273, n°2) - Justine Pyssonq (Ncl) 2/6 6/1 7/5
1T : Natalie Proeseq (ALL, 1120) - Lara Saldenq (996) 6/3 6/2
1T : Elsa Jacquemotwc (FRA, Ncl) - Chelsea Vanhoutteq (1090) 6/3 6/1
Double
1T : Lara Salden / Camille Sireix (n°3) - Soumeya Anane / Julia Kimmelmann 6/4 4/6 10-6
1/2 : Lara Salden / Camille Sireix (n°3) - Franziska Kommer / Chiara Scholl (n°2) 5/7 6/3 10-8
F : Lara Salden / Camille Sireix (n°3) - Tayisiya Morderger / Yana Morderger (n°1) 2/6 6/2 10-7

Citation :

Tel Aviv (Israël - ITF - $15.000 - Dur - outdoor)
Simple
1T : Helene Scholsen (524, n°5) - Mathilde Armitano (FRA, 770) 6/4 3/6 6/2
1T : Anastasia Pribylova (RUS, 487, n°4) - Eliessa Vanlangendonck (668) 6/2 6/2
2T : Helene Scholsen (524, n°5) - Oleksandra Piskun (UKR, 896) 3/6 6/1 6/1
1/4 : Helene Scholsen (524, n°5) - Dasha Ivanova (USA, 702) 6/4 4/6 6/0
1/2 : Helene Scholsen (524, n°5) - Nicole Nadelq (ISR, Ncl) 3/6 6/3 6/1
F : Helene Scholsen (524, n°5) - Caroline Werner (ALL, 625, n° 7/5 6/4

Porto (Portugal - Future - $25.000 - Terre-battue - outdoor)
Simple
Q1 : Germain Gigounon (580, n°3) bye
Q1 : Omar Salman (780, n°6) bye
Q2 : Germain Gigounon (580, n°3) - Iago Salvador Pita (ESP, Ncl) 6/2 6/2
Q2 : Dan Dowson (GBR, Ncl) - Omar Salman (780, n°6) 6/3 7/6
Q3 : Germain Gigounon (580, n°3) - Alen Avidzba (RUS, 1078, n°11) 6/3 4/6 6/3
1T : Germain Gigounonq (580) - Jules Okalaq (FRA, 536) 6/3 6/1
1T : Yannick Vandenbulcke (398) - Christian Lindell (SUE, 362, n° 6/3 3/6 6/3
2T : Germain Gigounonq (580) - Igor Sijsling (PBS, 392) 6/4 6/3
2T : Yannick Vandenbulcke (398) - Boy Westerhof (PBS, 387) 6/2 3/6 6/2
1/4 : Pedro Cachin (ARG, 304, n°5) - Germain Gigounonq (580) 7/5 6/1
1/4 : Attila Balazs (HUN, 175, n°1) - Yannick Vandenbulcke (398) 6/2 6/4
Double
1T : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°3) - John-Paul Fruttero / Frederico Gil 6/2 6/2
1T : Milaan Niesten / Igor Sijsling - Omar Salman / Jules Okala 2/6 6/1 10/3
1/4 : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°3) - Daniel Batista / Francisco Dias 6/1 6/3
1/2 : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°3) - Dan Dowson / Jordi Samper-Montana 7/6 7/6
F : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°3) - Francisco Cabral / Tiago Cacao 5/7 6/3 11-9

Cascais (Portugal - Future - $25.000 - Terre-battue - outdoor)
Simple
1T : Niels Desein (451) - Francisco Diasq (POR, 1385) 6/1 4/6 6/1
1T : Germain Gigounon (577) - Igor Sijsling (PBS, 392) 6/4 6/2
2T : Joao Monteiro (POR, 261, n°3) - Niels Desein (451) 6/2 6/7 6/4
2T : Frederico Ferreira Silva (POR, 297, n°5) - Germain Gigounon (577) 7/6 6/1
Double
1T : Niels Desein / Boy Westerhof (n°1) - Luis Faria / Hugo Gaston 6/3 6/2
1T : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°2) - Eduardo Dischinger / Goncalo Falcao 6/3 7/6
1/4 : Niels Desein / Boy Westerhof (n°1) - Eduard Esteve Lobato / Marco Trungelliti w/o
1/4 : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°2) - Francisco Dias / Martim Leote Prata 6/2 6/1
1/2 : Niels Desein / Boy Westerhof (n°1) - John-Paul Fruttero / Fred Gil 7/6 7/5
1/2 : Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°2) - Miliaan Niesten / Igor Sijsling 7/5 5/7 10-7
F : Niels Desein / Boy Westerhof (n°1) - Germain Gigounon / Tristan Lamasine (n°2) 7/6 6/2

Groupe Mondial I (P.O.) (Italie - Fed Cup - Gênes - Terre-battue - outdoor)
Simple
P1 : Elise Mertens (17) - Jasmine Paolini (ITA, 145) 6/1 7/5
P2 : Alison Van Uytvanck (50) - Sara Errani (ITA, 91) 6/4 6/7 6/2
P3 : Elise Mertens (17) - Sara Errani (ITA, 91) 6/3 6/1

Angers (France - Future - $25.000 - Terre-battue - indoor)
Simple

1T : Jonas Merckx (543) - Lucas Miedler (AUT, 317, n°3) 6/0 3/6 7/5

1T : Tristan Lamasine (FRA, 398, n°7) - Niels Desein (451) 7/5 6/4

1T : Leo Bressonq (FRA, 1583) - Jeroen Vanneste (567) 6/2 6/3

2T : Jonas Merckx (543) - Francois-Arthur Vibertq (FRA, 893) 6/0 4/6 7/6

1/4 : Gregoire Jacq (FRA, 502) - Jonas Merckx (543) 6/2 6/4
Double

1T : Niels Desein / Boy Westerhof (n°2) - Maxime Chazal / François-Arthur Vibert 6/3 6/4

1T : Jonas Merckx / Jeroen Vanneste (n°3) - Ronan Joncour / Paul Valsecchi 6/2 6/2

1/4 : Niels Desein / Boy Westerhof (n°2) - Gabriel Petit / Yannick Thivant 6/1 6/2

1/4 : Jonas Merckx / Jeroen Vanneste (n°3) - Maxence Beauge / Amaury Delmas 6/4 6/4

1/2 : Jonas Merckx / Jeroen Vanneste (n°3) - Vincent Stouff / Clément Tabur 6/2 4/6 13-11

1/2 : Matteo Martineau / Johan Sebastien Tatlot - Niels Desein / Boy Westerhof (n°2) 6/3 6/4

F : Jonas Merckx / Jeroen Vanneste (n°3) - Matteo Martineau / Johan Sebastien Tatlot 6/3 6/4

Wiesbaden (Allemagne - ITF - $25.000 - Terre-battue - outdoor)
Simple
Q1 : Luna Meers (894, n°16) - Selina Dal (ALL, Ncl) 6/3 6/1
Q1 : Helene Scholsen (447, n°1) - Kristina Milenkovic (SUI, 951) 6/2 6/3
Q1 : Priscilla Heise (FRA, 454, n°3) - Margaux Maquet (Ncl) 6/2 6/3
Q2 : Romy Koelzer (ALL, 513, n°6) - Luna Meers (894, n°16) 4/6 6/0 6/1
Q2 : Stephanie Wagner (ALL, 802, n°14) - Helene Scholsen (447, n°1) 6/4 5/7 6/2
1T : Kimberley Zimmermann (307) - Chanel Simmonds (AFS, 284, n° 2/6 6/3 6/3
2T : Kimberley Zimmermann (307) - Romy Koelzerq (ALL, 513) 6/3 6/1
1/4 : Kathinka Von Deichmann (LIE, 182, n°1) - Kimberley Zimmermann (307) 6/4 4/6 7/5
Double
1T : Helene Scholsen / Chanel Simmonds - Andiyo Inwang / Jennifer Weigl 6/1 6/0
1/4 : Helene Scholsen / Chanel Simmonds - Laura-Ioana Andrei / Alena Fomina (n°2) 6/2 7/6
1/2 : Helene Scholsen / Chanel Simmonds - Anita Husaric / Emma Laine (n°4) 7/6 6/2
F : Helene Scholsen / Chanel Simmonds - Cornelia Lister / Sabrina Santamaria (n°1) 6/3 2/6 10-8