ACTU FOOT DIVERSE- 2

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Foot - ESP - Barça
Guardiola : «Ce sera superbe»


Pep Guardiola a admis dimanche qu'il redoutait plus que tout les qualités en contre-attaque du Real Madrid, son adversaire avec le FC Barcelone dans le clasico, lundi au Camp Nou. «C'est une excellente équipe en contre-attaque, de loin la meilleure du monde», a déclaré l'entraîneur blaugrana lors de sa conférence de presse d'avant-match. «Mais pour contre-attaquer, il faut qu'une équipe attaque et nous attaquerons, ce sera un match superbe», a-t-il ajouté. Guardiola a gagné tous les clasicos qu'il a disputés sur le banc avec son équipe : 1-0 (à Barcelone) puis 2-0 la saison dernière et 2-0 (à Barcelone) puis 6-2 en 2008-2009. (Avec AFP)

Espérons un GRAND Clasico !

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Foot - ITA - 14e j.
La Roma tombe de haut


En battant la Roma (3-1), Palerme remonte à la 6e place et réduit l'écart avec le podium. Les Romains glissent à la 7e place.

Quel coup d'arrêt ! Invaincue depuis huit matches, toutes compétitions confondues, l'AS Roma a sombré (1-3) dimanche soir sur la pelouse de Palerme et perdu deux places (7e), à huit longueurs de l'AC Milan, le leader. Avec l'Inter Milan (5e), vainqueur plus tôt dimanche de Parme (5-2), la formation sicilienne (6e) est la grande gagnante d'une journée marquée par une avalanche de nuls sur le podium (Milan, Lazio, Juve) et par la défaite de Naples (4e). C'était une occasion rêvée pour les outsiders de recoller mais la Roma, avec Mexès et Menez titulaires, ne l'a pas saisi.

Palerme doit beaucoup aux exploits de son gardien Sirigu qui s'est opposé avec succès aux tentatives de Riise, Menez et Totti en première période. Les Siciliens ont atteint la pause avec l'avantage du score, Miccoli reprenant du plat du pied droit une offrance d'Ilicic au coeur de la défense romaine (20e). Dans le deuxième acte, le même Ilicic a profité d'un centre que Mexès a échoué à intercepter pour réussir le break (61e). Nocerino, qui était déjà dans le coup sur l'ouverture du score a assomé la Louve (65e). Totti a réduit la marque pour la Roma dans un angle fermé dans le temps additionnel (90e+2).

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Foot - ESP - 14e j.
Valence dans le rythme


Plutôt bon pour la confiance avant d'affronter le Real Madrid à Bernabeu samedi prochain (14e journée de la Liga) puis Manchester United à Old Trafford dans 10 jours (6e journée de Ligue des champions) : Valence, qui a battu Almeria dimanche soir (2-1) grâce à un doublé de Soldado (26e et 63e), reste dans la course pour la qualification en Ligue des champions, 5e à seulement un point de l'Espanyol, qui s'installe avec Villarreal (3e) dans le rôle de poil-à-gratter en chef du duo Real-Barça. Le Real Majorque (6e), qui a battu le relégable Malaga dans l'après-midi (2-0), suit à trois points. L'Atletico (7e) et le FC Séville (8e), grands perdants de la journée, sont talonnés par une étonnante Real Sociedad (9e avec 19 points), qui s'est imposée (3-1) à Gijon face au Sporting.

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Foot - ALL - Bilan
Stuttgart implose, Almeida explose


Ce dont nous avons peu parlé, ce que vous avez peut-être raté... En Allemagne, il n'y a pas eu que les démonstrations de Dortmund ou de Mayence. Stuttgart s'est tiré une balle dans le pied et Almeida a flambé.

Marica plombe Stuttgart et prend cher
De la mi-octobre à la mi-novembre, Stuttgart avait bien cru s'être sorti de sa crise avec une belle série (une défaite en huit matches toutes compétitions confondues). Il n'en est rien. Défait 0-1 par Cologne la semaine passé, le VfB a encore craqué à Hambourg (2-4). Pire que le score, c'est la manière qui dérange. Menés dès la 3e, les Souabes ont réagi en égalisant à la 9e. Mais l'idiotie de Marica a tout cassé. Expulsé au quart d'heure de jeu pour avoir insulté l'arbitre («Trou du c...»), il a abandonné les siens. «Dans notre situation, il n'y a pas de place pour les ego. Son attitude a été inexcusable, il a affaibli son équipe et cela aura des conséquences. Il va passer une sale semaine», s'est écrié Fredi Bobic, directeur sportif du club. Selon les médias allemands, Marica a pris 50 000 euros d'amende. Son équipier Kuzmanovic, entré à quatre minutes de la fin, a écopé de 25 000 euros de retenue sur salaire pour ne pas avoir salué les supporters après la rencontre comme tout le VfB. Ah oui, Stuttgart est relégable...

L'homme du week-end
Auteur de son premier triplé depuis son arrivée au Werder à l'été 2006, Hugo Almeida a fait le spectacle contre Sankt Pauli (3-0) avant d'être expulsé pour un coup de coude à dix minutes du terme. Troisième meilleur buteur de la Bundesliga (9 réalisations), l'attaquant portugais a marqué quatre des cinq derniers buts de son équipe depuis un mois.

On a aimé
Le gros match du Bayern contre Francfort (4-1). Munich n'a plus perdu depuis sept matches, notamment grâce à Gomez qui a encore marqué. Ribéry, lui, a joué un match entier avec son club pour la première fois depuis trois mois et demi. Il s'est dépensé et a délivré une passe décisive !

On n'a pas aimé
Magath et ses adjoints ont été impuissants lors de la défaite de Schalke à Kaiserslautern (0-5).
Après cinq matches sans défaite, Schalke 04 refaisait surface. Mais les tombeurs de Lyon en C1 de mercredi (0-3) ont coulé à Kaiserslautern (0-5) ! Mené 0-2 à la pause, Magath a tenté quelque chose en sortant Jones et Edu pour Matip et Jurado. Sans succès...

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Foot - ANG - Bilan
Wolves et Arsenal: Quel mental !


Ce dont nous avons peu parlé, ce que vous avez peut-être manqué... En Angleterre, il n'y a pas eu que les faux pas de Chelsea et Liverpool. Arsenal a appris du passé. Berbatov a été historique. Et Everton déçoit encore.

Arsenal, l'âge de raison ?
Revanchards après une sale semaine (battus 2-3 par Tottenham lors du derby puis 0-2 à Braga en C1), les Gunners l'ont emporté chez le Aston Villa (4-2) de leur ancienne star Robert Pires. Plus que le score, c'est la manière qui interpelle. Menant 2-0 à la pause, comme face aux Spurs, ils ont vu Clark réduire la marque. Immédiatement après, Chamakh a redonné de l'air aux siens. De nouveau mis en danger par le but de Clark, Arsenal n'a pas craqué et a fini le travail par Wilshere. «Quand nous menons 2-0 à la mi-temps, je vois que ce qui s'est passé contre Tottenham est dans leurs têtes, a expliqué Arsène Wenger. Nous aurions pu couler mais nous avons tenu. Mentalement, ils n'ont pas lâché. Quand vous dominez et que vous jouez bien, vous ne perdez pas toujours au bout, heureusement !» En Championnat, Arsenal (3e) n'est qu'à deux points du nouveau leader Manchester United. De bon augure avant trois matches en huit jours : Wigan en quarts de la League Cup, Fulham en Championnat et Belgrade en C1.

L'homme du week-end
Auteur d'un fantastique quintuplé contre Blackburn (7-1), Dimitar Berbatov n'avait plus marqué depuis dix matches et un triplé contre Liverpool (3-2). Meilleur buteur de la Premier League avec onze réalisations, l'attaquant bulgare est le seul étranger à avoir marqué cinq buts dans un même match en Premier League. Les Anglais Andy Cole (avec MU lors du 9-0 contre Ipswich début 1995), Alan Shearer (face à Sheffield Wednesday et la victoire 8-0 de Newcastle en septembre 1999) et Jermain Defoe (avec Tottenham lors du 9-1 contre Wigan en novembre 2009) l'avaient déjà fait.

On a aimé
La moelle des Loups de Wolverhampton. Menés 1-2 jusqu'à la 81e, ils sont revenus au score par Hunt. C'est Ebans-Blake, d'une magnifique frappe de 23 mètres, qui a permis aux siens de gagner pour la deuxième fois en quatorze matches de Premier League.

On n'a pas aimé
La nouvelle déconfiture d'Everton. Contre WBA, les Toffees se sont lourdement inclinés à domicile (1-4) avec notamment un but de Distin contre son camp. Avec une seule victoire lors des sept derniers matches, les joueurs du deuxième club de Liverpool ne sont qu'à deux points de la zone rouge.

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Foot - ITA - Bilan
Turin ambitieux, Romains anxieux


Ce dont nous avons peu parlé, ce que vous avez peut-être manqué... En Italie, il n'y a pas eu que le nul du Milan chez la Samp ! La Juve retrouve l'ambition, Crespo punit ses anciens clubs et les Romains piochent.

La Juventus retrouve l'ambition
Septième il y a un mois et demi, la Juventus est désormais troisième à seulement six points du leader milanais. Contre la Fiorentina (1-1), Turin n'a pas gagné et n'a égalisé qu'en fin de match, Pepe trompant avec chance Artur Boruc qui avait été énorme tout le match. Mais les Piémontais (dix matches sans défaite) profitent des faux pas de Naples (1-3 à Udine) et de la Roma (1-3 à Palerme) pour rester au contact. «Nous devons être ambitieux, mais il faut surtout penser à gagner match après match. Nous ne sommes qu'à la 14e journée», a expliqué Pepe. Del Neri, le coach de la Juve, était moins prudent : «Le Scudetto, pourquoi pas !» Beppe Marotta, dirigeant du club, lui emboîtait le pas : «Il faut faire attention à ce qu'on dit mais le titre est à notre portée. L'équipe va bien. Et nous allons la renforcer avec un recrutement en janvier.» Une arrivée qui pourrait être celle de l'excellent Matri, déjà auteur de huit buts cette saison avec Cagliari.

Les hommes du week-end
Auteurs d'un triplé ce week-end, contre Parme (5-2) et Naples (3-1), Stankovic (Inter) et Di Natale (Udinese) se sont régalés. L'attaquant d'Udine vient de mettre six buts en trois rencontres de Championnat.

On a aimé
Le doublé de Crespo avec Parme chez son ancien club de l'Inter Milan (2-5). La semaine passée, le vétéran argentin avait déjà marqué face à la Lazio, où il a évolué de 2000 à 2002. Il a donc scoré trois fois en deux journées.

On n'a pas aimé
La Lazio et la Roma qui stoppent leur élan. Les Biancocelesti, tenus en échec par Catane (1-1), n'ont gagné qu'un match sur les cinq derniers en Championnat. Peut-être se sont-ils vus trop beaux, lorsqu'ils étaient leaders de la 6e à la 9e journée. La Louve, elle, retombe à la septième place après sa défaite à Palerme (1-3). Elle n'a gagné qu'un seul de ses trois derniers matches.

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Foot - ESP - Barcelone
Xavi : «A une demi-touche»


Qui mieux que Xavi pour décrire la philosophie de jeu de son club de toujours, le Barça ? «Plus tu gardes le ballon, plus tu ralentis le jeu. "Charly" Rexach, (ancien responsable de la formation) nous disait même: «A une touche de balle, non! A une demi-touche!»», confie le milieu de terrain dans les colonnes de L'Equipe, avant d'apparaître pour la 544e fois sous le maillot blaugrana lundi soir. La multiplication des solutions, le jeu dans les petits espaces, les décalages, autant de concepts avec lesquels le joueur a grandi en Catalogne. «Depuis Victor Valdés, ça doit être: passe, passe, passe, passe, passe... Valdés-Puyol-Piqué, Piqué à Busquets, Busquets à moi, moi à Messi, et encore à moi. (...) Pendant une minute, deux minutes, l'équipe adverse courant derrière nous... Une merveille».

«Le 2 mai 2009? Le meilleur match de l'histoire du club»
Un seul objectif sur le terrain : «Ne pas perdre le ballon. J'aime que tout soit parfait, et le Barça est comme ça aussi». A tel point que, parfois, un des favoris au FIFA-Ballon d'Or en «profite : putain, on est en train de jouer magnifiquement». Et quand on lui demande un exemple, la réponse est spontanée : «Le 6-2 à Madrid (le 2 mai 2009). Ce fut un spectacle. Pas pour le score. Si on n'avait gagné que 2 à 1, cela aurait quand même été le meilleur match de l'histoire du Barça, ou presque. Ce soir-là, on aurait pu finir à 10 à 2. Facile. Madrid ne savait plus où il était». Une performance que ses coéquipiers aimeraient bien reproduire contre les Madrilènes ce soir.

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Foot - ESP - 13e j.
Beaucoup plus qu'un match


Le FC Barcelone et le Real Madrid abordent ce 161e Clasico en forme quasi-olympique. Ça tombe bien, c'est peut-être déjà le titre qui se joue.

ENJEU :
Il est simple : c'est la première place de Liga, voire même un gros pas en avant vers le titre. Hé oui déjà ! L'an passé, le Real Madrid a perdu le Championnat pour trois points seulement. Trois points envolés lors deux Clasicos. Battus au Camp Nou (0-1) comme à Bernabeu (0-2), les Madrilènes n'ont qu'une obsession cette saison, gagner au moins l'une des deux confrontations face à leur rival historique. Pour l'heure, ce sont bien eux qui occupent la tête, un point devant les Blaugrana. Mais attention, un faux pas ce lundi à Barcelone permettrait aux champions de prendre les devants.

FORME :
Seule formation invaincue cette saison en Liga, le Real arrive lancé au Camp Nou, fort de cinq victoires d'affilée en Championnat. Son large succès mardi dernier à Amsterdam contre l'Ajax en Ligue des champions (4-0) témoigne également de sa belle forme du moment. Son attaque (33 buts), la meilleure du pays, et sa défense (6 buts), la plus hermétique, font de la Maison Blanche une véritable machine de guerre. Mais qui ne fait pas du tout peur au Barça, loin de là, puisque le club catalan aborde la rencontre avec huit succès consécutifs, dont le dernier en date, face à Almeria sur le score ahurissant de 8-0.

JOUEURS :
Les deux équipes sont quasiment au complet pour leur match de l'année. Le Real retrouve Ricardo Carvalho (béquille) et Sami Khedira (ischio-jambiers), qui étaient ménagés contre l'Ajax. Seule incertitude mais de taille, celle entourant la présence de Gonzalo Higuain. L'attaquant argentin souffre d'une lombalgie et serait donné forfait par les médias espagnols, même s'il a été retenu dans le groupe par José Mourinho. A Barcelone, seul Gabriel Milito (cuisse) n'est pas là. Messi et Cristiano Ronaldo, tous deux auteurs d'un triplé lors de leur dernière sortie, sont à fond.

LA PHRASE :
«Madrid est la meilleure équipe du monde en contre-attaque, largement», de Josep Guardiola, entraîneur du FC Barcelone et fair-play avant le coup d'envoi.

STAT : 4-4-2
Ce n'est ni le système du Barça, ni celui du Real. Mais plutôt les performances du premier face au second lors des dix dernières années au Camp Nou. 4 comme le nombre de victoires des Blaugrana. 4 comme le nombre de résultats nuls. Et 2 comme le nombre de succès des Merengue chez leur ennemi juré.

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Foot - ESP
Le pays attend le «Clasicazo»


L'Espagne attend fébrilement le Clasico entre le Barça et le Real ce lundi soir (21h00). La presse madrilène et catalane s'enflamment pour ce match qui oppose deux entraîneurs, deux stars, deux styles de jeu...

La presse espagnole ne parle que de ça depuis des jours. Ça ? Le match Barça - Real, bien sûr, rebaptisé «Clasicazo» (NDLR : Enorme Clasico) par AS. Un journal madrilène pour qui ce match sera l'opposition entre Guardiola et Mourinho, Messi et Mourinho, entre le «tiqui-taca» barcelonais et le «tic-tac» madrilène. Marca a surtout mis l'accent sur la polémique créée par José Mourinho, lors de la conférence de presse de dimanche. Le coach portugais a déclaré que «le Barça doit être content puisque c'est Itturalde qui va arbitrer». Celui qui dirigera le jeu lors du Clasico, d'origine basque, est souvent présenté comme étant un fan des Catalans. Ce match, c'est «The Special One contre le Spepcial One», écrit le premier quotidien sportif espagnol en faisant un jeu de mot avec le petit nom de Guardiola et en mettant en scène un duel au pistolet de mauvais goût entre les deux techniciens.

La palme de la Une partisane revient à Sport avec son «Barça, Barça, Barça».
Dimanche, les Madrilènes sont arrivés à Barcelone accueillis par 2000 fans de la Maison blanche, mais également par les Boixos Nois, ces ultras barcelonais qui ont explosé à coups de pierres le pare-brise du bus merengue. El Mundo Deportivo et Sport n'ont pas fait dans l'originalité pour présenter le Clasico. Un énorme «Barça !» barre la Une du premier. Le second, très partisan, écrit «Aujourd'hui, plus que jamais : Barça, Barça, Barça», en écho à l'hymne du club. Plus sérieuse, la Vanguardia estime que cette rencontre, c'est «les muscles contre le talent», laissant entendre que les Madrilènes ne sont que des robots face aux virtuoses barcelonais. C'est tout simplement «le plus grand match du monde» (AS) que l'on devrait voir ce lundi soir.

Désormais, Clarin aime le lundi !
A l'étranger, on ne s'y est pas trompé. C'est «le match de l'année» pour L'Equipe. «C'est le top, le très grand match, le grand spectacle», s'enflamme la Gazzetta dello Sport qui rappelle que treize champions du monde sont concernés par cette «nuit des étoiles». Le quotidien italien donne sa préférence à Messi, «qui a marqué sept buts en huit Clasicos et surtout 24 en 18 rencontres cette saison.» «Le monde entier va s'arrêter pour regarder ce Clasico des étoiles», peut-on lire chez les Portugais de A Bola. En Argentine, Clarin se réjouit : «Le Lundi n'est plus un jour triste ! Il y a le Clasico !» - Cyril OLIVES

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Foot - ESP - 13e j.
Le Barça humilie le Real


Le FC Barcelone a littéralement humilié le Real Madrid (5-0), lundi, au Camp Nou. La formation blaugrana a frappé fort et devient leader.

Au sommet de la Liga, au sommet de l'Europe, et peut-être au sommet du jeu, il y a désormais le Barça. 620 millions de paires d'yeux ont assisté, ce lundi, à son couronnement. Dans son royaume, le Camp Nou, devant son public, ébahi, l'équipe de Pep Guardiola a tout pris au Real Madrid (5-0). Son trône. Son statut de meilleure défense du Championnat, son invincibilité depuis le début de saison. Sa confiance. Son honneur. Elle lui a tout pris, et tout appris, pour la cinquième fois d'affilée, ça commence à faire beaucoup. Venu avec l'Inter la saison dernière éliminer les Blaugranas en demi-finale de la Ligue des champions, José Mourinho a cette fois bien compris sa leçon de catalan.

Une leçon administrée en toute sérénité, ou presque, malgré la pluie battante : techniquement et tactiquement dominé, le Real Madrid a regardé son adversaire se poser la couronne sur la tête. Guardiola avait annoncé la couleur : «Nous attaquerons, et ils contre-attaqueront». Le Barça a attaqué, le Real n'a pas contre-attaqué. Pour cela, il aurait fallu avoir le ballon, et les Madrilènes l'ont regardé souvent de loin, dans les jambes de Xavi, Messi ou Pedro. Très vite, ils ont compris que ces 90 minutes allaient leur sembler une éternité : à la 10e, Xavi ouvrait le score sur un service millimétré d'Iniesta ; à la 20e, Pedro doublait la mise après plus de 20 passes consécutives de son camp.

Ronaldo n'a jamais marqué face au Barça.
Au retour des vestiaires, où Mesut Özil, l'habituel grand artisan du jeu merengue, avait été laissé par Mourinho, c'était, encore, le Barça qui faisait le jeu et, encore, le Barça qui marquait : David Villa, sur deux passes de Messi, fusillait Casillas d'un tir croisé du droit (55e), puis d'un pointu (58e), avant que Jeffren, à peine entré, ne pousse l'humiliation plus loin (90e+1). Barcelone enchaînait les buts, le Real (qui a presque encaissé autant de buts en une soirée que depuis le début de saison, 5 contre 6) enchaînait les fautes (20) : 7 cartons jaunes récoltés, dont un par Cristiano Ronaldo qui, par ses provocations, espérait sans doute susciter une réaction de ses partenaires. Il n'en a rien été. Le Real avait perdu le titre pour trois points la saison passée. Tous têtes baissées, comme accablés par cette funeste soirée, les Madrilènes ont forcément dû y repenser. En face, c'était bien plus qu'un club, qui leur a infligé bien plus qu'une simple défaite. A.-S.BOURDET

Hé ben ça alors ... Mourinho qui perd un Match par 0/5 !! Ca ne doit pas être arrivé souvent
HISTORIQUE Victoire du Barca sur son Grand Rival madrilène !!!!!!

Citation :

Foot - ESP - 13e j.
Mourinho «est très déçu»


José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid, a reconnu la supériorité totale du Barça lors du Clasico (0-5), lundi, au Camp Nou : «Je repars très déçu car j'attendais beaucoup plus mais les joueurs aussi, individuellement et collectivement. Après un match aussi mauvais et un résultat aussi négatif, tu dois jouer à nouveau et il faut gagner à nouveau. Ils (les joueurs du Barça, NDLR) ont très bien joué, ils ont fait un match fantastique. Nous avons très mal joué, c'est un résultat historiquement négatif. La saison n'est pas terminée». (avec AFP)

Matthieu a écrit:

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Foot - ESP - 13e j.
Le Barça humilie le Real


Le FC Barcelone a littéralement humilié le Real Madrid (5-0), lundi, au Camp Nou. La formation blaugrana a frappé fort et devient leader.

Au sommet de la Liga, au sommet de l'Europe, et peut-être au sommet du jeu, il y a désormais le Barça. 620 millions de paires d'yeux ont assisté, ce lundi, à son couronnement. Dans son royaume, le Camp Nou, devant son public, ébahi, l'équipe de Pep Guardiola a tout pris au Real Madrid (5-0). Son trône. Son statut de meilleure défense du Championnat, son invincibilité depuis le début de saison. Sa confiance. Son honneur. Elle lui a tout pris, et tout appris, pour la cinquième fois d'affilée, ça commence à faire beaucoup. Venu avec l'Inter la saison dernière éliminer les Blaugranas en demi-finale de la Ligue des champions, José Mourinho a cette fois bien compris sa leçon de catalan.

Une leçon administrée en toute sérénité, ou presque, malgré la pluie battante : techniquement et tactiquement dominé, le Real Madrid a regardé son adversaire se poser la couronne sur la tête. Guardiola avait annoncé la couleur : «Nous attaquerons, et ils contre-attaqueront». Le Barça a attaqué, le Real n'a pas contre-attaqué. Pour cela, il aurait fallu avoir le ballon, et les Madrilènes l'ont regardé souvent de loin, dans les jambes de Xavi, Messi ou Pedro. Très vite, ils ont compris que ces 90 minutes allaient leur sembler une éternité : à la 10e, Xavi ouvrait le score sur un service millimétré d'Iniesta ; à la 20e, Pedro doublait la mise après plus de 20 passes consécutives de son camp.

Ronaldo n'a jamais marqué face au Barça.
Au retour des vestiaires, où Mesut Özil, l'habituel grand artisan du jeu merengue, avait été laissé par Mourinho, c'était, encore, le Barça qui faisait le jeu et, encore, le Barça qui marquait : David Villa, sur deux passes de Messi, fusillait Casillas d'un tir croisé du droit (55e), puis d'un pointu (58e), avant que Jeffren, à peine entré, ne pousse l'humiliation plus loin (90e+1). Barcelone enchaînait les buts, le Real (qui a presque encaissé autant de buts en une soirée que depuis le début de saison, 5 contre 6) enchaînait les fautes (20) : 7 cartons jaunes récoltés, dont un par Cristiano Ronaldo qui, par ses provocations, espérait sans doute susciter une réaction de ses partenaires. Il n'en a rien été. Le Real avait perdu le titre pour trois points la saison passée. Tous têtes baissées, comme accablés par cette funeste soirée, les Madrilènes ont forcément dû y repenser. En face, c'était bien plus qu'un club, qui leur a infligé bien plus qu'une simple défaite. A.-S.BOURDET

Hé ben ça alors ... Mourinho qui perd un Match par 0/5 !! Ca ne doit pas être arrivé souvent
HISTORIQUE Victoire du Barca sur son Grand Rival madrilène !!!!!!

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Foot - ESP - 13e j.
Mourinho «est très déçu»


José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid, a reconnu la supériorité totale du Barça lors du Clasico (0-5), lundi, au Camp Nou : «Je repars très déçu car j'attendais beaucoup plus mais les joueurs aussi, individuellement et collectivement. Après un match aussi mauvais et un résultat aussi négatif, tu dois jouer à nouveau et il faut gagner à nouveau. Ils (les joueurs du Barça, NDLR) ont très bien joué, ils ont fait un match fantastique. Nous avons très mal joué, c'est un résultat historiquement négatif. La saison n'est pas terminée». (avec AFP)

Et c'est mérité le Barca a carrément donné une leçon ! Impressionnante cette équipe !
Mon pauvre Feli grand fan du Réal craignait le pire ,il était tendu et disait ne me faites pas souffrir !
Je lui ai dis que j'étais ds le même état quand il jouait !
Et il a souffert car il n'y avait qu'une seule équipe sur le terrain ,les Madrilènes incapables de garder un ballon !

Etant en espagne, je n'ai pas pu louper ce clasico dont on parlait depuis bien un mois tous les jours à la télé!!Superbe victoire du Barca qui a joué un énorme march, le real a été inexistant!!
Ici, les insultes sur Ronaldo ça volait!

Citation :

Foot - ESP - Bilan
«Humillacion y lideres»


Ce dont nous avons peu parlé, ce que vous avez peut-être manqué... Toute l'Espagne a vécu ce week-end au rythme du Clasico. Mais Trezeguet et Villarreal ont aussi fait le spectacle.

«Mou» n'avait jamais pris quatre buts. Alors cinq...
José Mourinho n'avait jamais été humilié de la sorte. Jamais une équipe ne lui avait marqué plus de trois buts dans le même match en 464 matches dirigés. «Il en a pris cinq lors du 465e», se régalent à rappeler les Catalans de Sport, qui titre «5-0, une gifle pour Mourinho. Correction, humiliation et leaders !» Du côté du Mundo Deportivo, on évoque aussi la «pire défaite de la carrière de Mourinho» et un Madrid «douché». La Vanguardia parle d'une «démonstration de jeu».

A Madrid, on est désabusé. «Corrigés et dégoûtés», titre AS qui estime que c'est «un Barça au football incroyable qui a battu un Real sans rien» et se fend d'un «Xavi a de nouveau montré qu'il mérite le Ballon d'Or». Présenté comme pro-Barcelonais, l'arbitre de la rencontre est visé par la presse de la capitale. AS comme Marca s'enflamment contre un Monsieur Itturalde «qui a oublié un net penalty de Valdés sur CR7 alors qu'il y avait 2-0 et qui valide le but du 3-0 alors que Villa est hors-jeu». Sergio Ramos, «qui rejoint Hierro au rang des Madrilènes les plus expulsés (10 exclusions) de l'histoire», croule sous les critiques. «Il a perdu les pédales», pour Marca qui n'oublie pas de tancer «l'attitude répréhensible» des Blaugrana pendant le match (Guardiola qui «ne rend pas le ballon à Ronaldo», Messi qui «fait du cinéma» après un coup reçu de Carvalho...)

David Trezeguet a déjà marqué sept buts cette saison avec Alicante.
L'homme du week end : Il faut rendre hommage à David Trezeguet. Avec Alicante, il a marqué un nouveau but face à Levante (3-1). L'ancien attaquant international français, 33 ans, a déjà inscrit 7 réalisations en Liga depuis le début de saison soit autant que l'année dernière avec la Juve.

On a aimé : Les trois buts magnifiques de Villarreal à Saragosse (3-0). Senna a ouvert le score d'une frappe incroyable de 30 mètres. Cazorla a marqué de loin en voulant centrer puis a délivré une superbe passe décisive pour Nilmar qui a piqué le ballon par-dessus le portier adverse. Villarreal est 3e !

On n'a pas aimé : Le penalty accordé à l'Espanyol par l'arbitre de la rencontre chez l'Atletico Madrid (3-2) : sur le coup franc de Callejon, le ballon est venu taper le bras de Reyes qui se protégeait le ventre. Pas de quoi siffler... Revenus à 2-2, les Madrilènes ont ensuite craqué sur un bijou d'Osvaldo à la 78e.

Jacklyn a écrit:

Et c'est mérité le Barca a carrément donné une leçon ! Impressionnante cette équipe !
Mon pauvre Feli grand fan du Réal craignait le pire ,il était tendu et disait ne me faites pas souffrir !
Je lui ai dis que j'étais ds le même état quand il jouait !
Et il a souffert car il n'y avait qu'une seule équipe sur le terrain ,les Madrilènes incapables de garder un ballon !

C'était clairement une DEMONSTRATION en effet, tant au niveau du Jeu que du Résultat. C'était "irréel" tant c'était impressionnant !
INCROYABLE de voir cette si Bonne Equipe madrilène, d'ordinaire réaliste et solide défensivement, être TOTALEMENT à la rue comme ça !
On disait que ce Match opposait aussi les 2 Meilleurs entraineurs de la Planète, ça ça se discute lol, mais en tout cas Hier Soir Guardiola a clairement pris une époustouflante revanche sur José qui avec l'INTER Milan l'avait sorti l'An Dernier de Ligue des Champions ...
Vivre ou plutôt "SUBIR" un tel Match quand tu es Fan de l'Equipe qui prend l'eau, c'est un vrai cauchemar mais d'un autre côté, comme on dit souvent, il vaut mieux perdre une fois 0/5 que 5 fois 0/1 Bon là c'est un peu différent car c'est face au pire ennemi
José et son Equipe vont savoir rebondir, je n'en doute pas une seconde !

Pauline a écrit:

Etant en espagne, je n'ai pas pu louper ce clasico dont on parlait depuis bien un mois tous les jours à la télé!!Superbe victoire du Barca qui a joué un énorme march, le real a été inexistant!!
Ici, les insultes sur Ronaldo ça volait!

Ahhhh là on retrouve toute l'intelligence du "supporter" de foot moyen

Ce qui est pathétique c'est que ces gens, qui qu'ils soient, ne jugent même pas LE JOUEUR quand ils l'insultent. Ils le stigmatisent parce qu'il est dans l'autre camp ou parce qu'il est dans un jour sans ... Ils n'y connaissent RIEN et n'ont aucune mémoire de tout ce qu'il a pu apporter à son Club et au football en général. Insulter un tel Joueur est TOTALEMENT CRETIN !