COUPE DU MONDE 2010 - 1er Tour

ALLEZ L'Angleterre, les Pays-Bas, le Cameroun et la Côte d'Ivoire !!

L'Afrique du Sud va sûrement gagner. Les Mexicains doivent surtout être forts en golf, puisqu'on n'arrête pas, ces temps-ci, de parler du golf du Mexique.

Allez l'Espagne, le Portugal, le Brésil, l'Argentine et l'Afrique du Sud !!!

Attention au Mexique, ils ont battu l'Italie pas plus tard que la semaine passée en match préparatoire!

Nelson Mandela ne pourra pas assister au premier de l'Afrique du Sud, son arrière petite fille est décédée dans un accident de voiture cette nuit en revenant d'un concert organisé dans le cadre de cette Coupe du monde

Afrique du Sud-Mexique : 1-1
France-Uruguay : 0-0

jadorana a écrit:

L'Afrique du Sud va sûrement gagner. Les Mexicains doivent surtout être forts en golf, puisqu'on n'arrête pas, ces temps-ci, de parler du golf du Mexique.

Ils ont finalement partagés les Points

Les mexicains ne sont pas de "sombres héros" pour rien

Pauline a écrit:

Allez l'Espagne, le Portugal, le Brésil, l'Argentine et l'Afrique du Sud !!!

Attention au Mexique, ils ont battu l'Italie pas plus tard que la semaine passée en match préparatoire!

Nelson Mandela ne pourra pas assister au premier de l'Afrique du Sud, son arrière petite fille est décédée dans un accident de voiture cette nuit en revenant d'un concert organisé dans le cadre de cette Coupe du monde

J'ai trouvé ça très triste aussi pour l'arrière petite fille de Mandela. Ca a clairement gaché la fête ...Ca aurait été si bien si ce Symbole vivant qu'est Nelson avait su être là lors de la Cérémonie.
Je l'ai trouvée correcte, sobre ...

Le Nul est "logique" dans le premier Match. Chaque équipe a eu sa mi-temps mais a pêché dans la finition ... Personne ne méritait de perdre ...
Le Mexique aura tout de même le plus de regrets au vu du très grand nombre d'occas qu'il a su se créer en 1ère Période, en plus de l'importante domination territoriale ...
Les africains du Sud ont accéléré en 2ème Période et ont "logiquement" égalisé comme suite à leur pressing ...
J'attendais quand même mieux du Mexique, ils n'ont jamais vraiment emballés la Rencontre, même s'ils l'ont longtemps dominée. De plus, ils ont complètement baissé de pieds en 2ème Période ...

La France a logiquement dominé l'Uruguay en termes de possession de balle et d'occasions MAIS comme d'hab' elle n'a pas su concrétiser Bien fait pour leurs gueules !! J'espérais même que Forlan sache en mettre une au fond, il a eu 2/3 occas assez chaudes ... Dommage mais c'est reculer pour mieux sauter, cette équipe de France n'a clairement pas sa place dans cette Coupe du Monde 2010 !!
J'ai trouvé ADMIRABLE la combativité des urugayens qui n'ont rien lâché, qui se sont montrés extrêmement solidaires, notamment quand il a fallu défendre à 10 ...
C'est ça qui manque à la France, un esprit de corps, un collectif, une solidarité ... Ca peut transcender des équipes moyennes sur le papier ... On l'a vu maintes et maintes fois ... Inversement, on aura beau avoir plein d'individualités talentueuses, l'absence d'esprit de corps interdira toujours d'aller au bout ou loin d'une telle Compét' ... J'en suis intimement persuadé !!

Un coup de gueule : ces trompettes assourdissantes qui résonnent à fond la caisse dans les Stades du début à la fin des Matchs. C'est TRES DESAGREABLE !!
Qu'ils le fassent pendant les Matchs de l'Afrique du Sud, normal vu que c'est leur tradition mais pourquoi diable imposer ça à toutes les équipes ????
Du coup il n'y a pas d'ambiance dans les Stades, les chants des supporters sont totalement inaudibles, les Joueurs eux-mêmes se plaignent car ils ne peuvent plus communiquer entre eux sur le Terrain ... C'est NUL, CA CASSE LES OREILLES et CA GACHE TOUT LE PLAISIR A SUIVRE LES MATCHS A LA TELE !!
Je n'ai jamais vu ça autre part dans le Monde, que ce soit en Europe, en Asie, dans les Amériques ...

Citation :

Foot - CM - Gr.A
Un nul d'entrée


Le match d'ouverture de cette 19e Coupe du monde, qui opposait les deux prochains adversaires des Bleus, n'a pas connu de vainqueur bien qu'il ait tenu toutes ses promesses. L'Afrique du Sud et le Mexique n'ont pas réussi à se départager ce vendredi après-midi au Soccer City Stadium de Johannesburg. Mais il y a eu des buts (1-1). Il y aurait pu en avoir beaucoup plus puisque les deux équipes se sont procurées beaucoup d'occasions. Le Mexique a copieusement dominé la première période mais ni Giovani, très virevoltant en début de match, ni Franco, ni Vela n'ont trouvé la clé.

Le bijou de Tshabalala, le poteau de Mphela
Timides avant la pause, les Bafana Bafana ont accéléré et cela a fini par payer. Les protégés de Carlos Alerto Parreira ont ouvert le score grâce à un magnifique but (tir croisé du gauche en pleine lucarne) de leur milieu gauche Tshabalala, bien servi par Modise, lequel a trouvé le moyen de rater deux balles de break aux 65e et 69e minutes. Puis le vent a tourné et Rafael Marquez a égalisé à dix minutes de la fin, suite à un corner joué vite par Guardado. Mais tout le stade a retenu son souffle quand Mphela a défié Oscar Perez à la 90e. Il a manqué quelques centimètres à l'attaquant bafana, le poteau repoussant finalement sa frappe. - D. Mi., à Johannesburg

Citation :

Foot- CM - Gr.A
Les réponses de l'envoyé spécial


David Michel, notre envoyé spécial à Johannesburg, répond à vos questions après Afrique du Sud - Mexique (1-1), match d'ouverture du Mondial 2010.

Le résultat nul reflète-t-il la partie ? (djkawika93)
Les Bafana Bafana ont failli parfaitement lancer «leur» Coupe du monde. A dix minutes de la fin, ils menaient au score grâce à un magnifique but de leur milieu gauche Tshabalala. Mais Marquez a remis les pendules à l'heure. Cette égalisation n'est pas imméritée. Le Mexique a copieusement dominé la première période avec notamment sept occasions de but à deux. La vitesse et la verticalité du jeu des Mexicains auraient pu faire beaucoup de dégâts. Sans compter que Giovani Dos Santos s'est baladé. Mais les protégés de Javier Aguirre se sont éteints au retour des vestiaires. Les Bafana Bafana en ont alors profité pour accélérer et marquer.

Pourquoi le but mexicain a-t-il été refusé ? (matko140 sisi jtape tt et KangourouJack35)
Carlos Vela a fait trembler les filets à la 38e minute pour la première fois du match mais l'arbitre n'a pas hésité à refuser le but. Il a suivi son arbitre assistant, qui a immédiatement levé son drapeau. Le corps arbitral a eu raison. Sur le corner, Vela a été signalé hors jeu alors que Steven Pienaar se trouvait sur la ligne de but. Mais au moment précis de la déviation de Giovani pour Vela, le gardien de but était sorti et il devançait Vela. Dernier défenseur, Pienaar remplaçait donc numériquement son gardien. L'attaquant d'Arsenal était donc bien hors jeu.

Après la pause, le but de Tshabalala a fait monter la température et par conséquent le volume sonore. Quand 50 000 personnes soufflent dans un vuvuzela, le bruit est tout simplement assourdissant. Comme un nid d'abeille puissance mille.

Quelle était l'ambiance ? (sepre)
La seconde période n'a ressemblé en rien à la première. Lors du premier acte, le Mexique a dominé et le public n'a pas particulièrement vibré. Il a plutôt tremblé à l'idée que les Aztèques ouvrent la marque. Puis après la pause, le but de Tshabalala a fait monter la température de plusieurs degrés et par conséquent le volume sonore. Quand 50 000 personnes soufflent dans un vuvuzela, le bruit est tout simplement assourdissant. Comme un nid d'abeille puissance mille et incessant. Irritant à la longue mais on s'y fait.

Combien y avait-il de supporters mexicains ? (rigoulo)
Evidemment, les supporters mexicains étaient loin d'être majoritaires pour ce match d'ouverture dans un Soccer City presque comble (94 700 places). Ils étaient cinq mille attendus et à première vue, ils étaient peut-être un peu plus, dispatchés par groupe de cinq cent environ à plusieurs endroits du stade. Plus de 80% des supporters étaient donc sud-africains, et quasiment tous portaient le célèbre maillot jaune de la sélection.

Les Mexicains semblent plus petits, est-ce vrai ? (syl2alf)
L'Afrique du Sud et le Mexique font partie des deux plus petites sélections si l'on prend en critère la taille de leurs joueurs. Sur les onze Bafana Bafana, cinq mesurent moins de 1,75m. Et huit Mexicains font moins d'1,80m. Deux mesurent 1,82m et Francisco Rodriguez, avec son 1,91m, est un intrus. Le gardien aztèque Oscar Perez, qui mesure 1,74m, est un peu le Jérémie Janot du Mexique. Comme le portier stéphanois, sa détente est incroyable.

Pourquoi McCarthy ne joue pas avec les Bafana Bafana ? (housni3)
Avant cette Coupe du monde, Benni McCarthy était la star des Bafana Bafana, le seul véritablement connu à l'étranger. Mais au tout dernier moment, Carlos Alberto Parreira a choisi de se passer de ses services. Le joueur de West Ham, qui a 32 ans, est loin du joueur qui flambait il y a quelques années avec le FC Porto. Physiquement pas au point en raison notamment d'une surcharge pondérale, il n'a pas convaincu Parreira lors de la préparation. Fêtard invétéré, il paie également une récente sortie nocturne un peu trop tardive et arrosée.

Citation :

Foot - CM - AFS
Les Bafana ont rassuré Parreira


Le match nul entre l'Afrique du Sud et le Mexique (1-1), vendredi en match d'ouverture, a laissé Carlos Alberto Parreira plutôt optimiste.

L'Afrique du Sud est passée tout près de réussir le premier match de "sa" Coupe du monde alors que les chances de la voir se qualifier pour les huitièmes de finale sont toujours très incertaines. Face au Mexique (1-1), les Bafana Bafana ont vécu une première période difficile face à des Aztèques extrêmement vifs. Mais après la pause, les hommes de Parreira ont pris le dessus. Ils ont ouvert le score avant de manquer trois grosses occasions, dont une dernière sur le poteau. De quoi rassurer le technicien brésilien. «Je ne suis ni déçu ni frustré, a-t-il répété devant la presse à l'issue de la partie. Les Mexicains ont eu davantage le ballon mais nous les avons bien contenus. Nous y sommes plutôt bien arrivés.»

Si son équipe a fini en boulet de canon, Parreira a vu comme tout le monde l'apathie de ses joueurs en première période. Il a tenté de les dédouaner de cette entame calamiteuse. «Il y a toujours beaucoup de pression sur le premier match, et pour les deux équipes. Lors du premier quart d'heure, mon équipe était beaucoup trop crispée. Puis, nous avons mis le ballon à terre. En seconde période, nous avons su gérer la pression et la rencontre est devenue équilibrée. Nous aurions pu gagner, mais le nul est assez juste.»

Passer avec quatre points
Rassuré par certains points, le sélectionneur auriverde ne peut s'empêcher de regretter les deux points perdus en chemin. «Ce n'est pas le résultat que nous voulions, le bon résultat c'est de gagner, mais ce nul nous convient, nous restons en course dans ce groupe très difficile, n'oubliez pas qu'il y a aussi la France et l'Uruguay !» L'attente du peuple sud-africain est immense. La première étape est passée. Il en reste deux autres tout aussi importantes et compliquées à négocier. Parreira se veut clair : «Maintenant, il faut préparer le match contre l'Uruguay. Mais je crois qu'on peut passer avec 4 points dans ce groupe. On ne peut pas décevoir tout ce peuple qui est derrière nous !» - D. Mi., à Johannesburg

Citation :

Foot - CM - MEX
Des Aztèques aux deux visages


Le Mexique était branché sur courant alternatif lors du match d'ouverture de la Coupe du monde contre l'Afrique du Sud (1-1), vendredi. La Tricolor a survolé la première période au Soccer City, avec son jeu court, une profondeur aussitôt recherchée et une technique plutôt assurée. Mais au final, les Aztèques ont pêché par manque de réalisme et ont sévèrement piqué du nez après la pause. Une prestation en forme de promesse mais pas aboutie. «Nous nous sommes un peu trop précipités, a regretté Javier Aguirre, très lucide. Nous pouvions gagner cette partie, mais nous avons aussi failli la perdre.»

Son équipe a pris le match par le bon bout. Les Mexicains sont partis au combat comme des fusées, à l'instar de Giovani Dos Santos, l'attaquant formé au Barça et prêté cette saison par Tottenham à Galatasaray. Le gosse de 21 ans a fait des ravages sur son côté droit - le Sud-Africain Thwala a encore le tournis - mais il a un peu tricoté. Son péché mignon. «En première période, nous avons eu beaucoup de possibilités et nous aurions dû mener à la pause, a ajouté Aguirre. Nous étions bien. Nous avons mis notre jeu en place et notre supériorité a été évidente. Mais nous n'avons pas concrétisé cette domination au score et cela se paie». Cette débauche d'énergie, ajoutée à ce manque flagrant de réalisme, le Mexique l'a effectivement payée lors d'une seconde période douloureuse, où Rafael Marquez a eu le mérite d'égaliser lors de son seul temps fort. Un paradoxe par rapport au scénario de la première période.

Battre les Bleus
Frustré mais loin d'être abattu, Aguirre n'a pas voulu tirer immédiatement les conséquences de ce résultat nul : «On fera le point (samedi) matin. Et tout va dépendre du match de la France contre l'Uruguay. On saura ensuite si ce nul est un bon résultat ou pas». Les Aztèques, qui auront comme prochain adversaire la sélection de Raymond Domenech, jeudi à Polokwane, estiment en tous cas être déjà sous pression. «Ce résultat nous oblige à gagner contre la France», a conclu Aguirre. Les Bleus sont prévenus. - D. Mi., à Johannesburg

Citation :

Des Bleus sans saveur


Opposée à une solide équipe uruguayenne, l'équipe de France n'est pas parvenue à percer le coffre-fort sud-américain (0-0). Face au Mexique dans une semaine, il faudra se montrer bien plus inspiré.

Jamais deux sans trois. Après le 0-0 poussif du Mondial 2006 face à la Suisse, le 0-0 soporifique de l'Euro 2008 contre la Roumanie, les Bleus ont remis ça ce vendredi face à l'Uruguay en ouverture de leur Coupe du Monde 2010. La première période donnait le ton de la rencontre avec des Français plein de bonnes intentions dès l'entame - témoin ce centre de Ribéry repris maladroitement par Govou face au but (7e) ou ce coup franc puissant de Gourcuff détourné par Muslera (19e) - et des Uruguayens très prudents mais dangereux par l'intermédiaire de ce diable de Forlan (17e). Dominés en terme de vivacité et d'engagement, les Sud-Américains remettaient alors rapidement les pendules à l'heure en se débarrassant moins rapidement du ballon et surtout en quadrillant bien mieux le rectangle vert. Résultat, les Bleus tombaient dans un faux rythme, se précipitaient en phase offensive et les occasions de s'enflammer se limitaient au strict minimum (29e, 43e).

Au retour des vestiaires, les Bleus remettaient le bleu de chauffe, reprenaient les choses en main. Sans pour autant appuyer véritablement sur le champignon et mettre de la vitesse dans leur jeu. La France dominait son sujet mais n'était pas particulièrement dangereuse (56e, 60e) face à des Uruguayens brouillons et toujours menaçants grâce à Forlan (52e, 64e), tout proche de glacer les supporters tricolores suite à un oubli de la défense (73e). L'expulsion de Lodeiro, entré en jeu 20 minutes auparavant, offrait enfin des espaces aux Bleus en fin de match. Les hommes de Domenech faisaient alors le siège du but sud-américain... En vain. Une main de Victorino dans la surface (90e) restait sans lendemain avant qu'Henry ne gaspille le coup franc de la gagne avec un tir contré (90e+4). Tout simplement frustrant...

Le joueur du match
Surprise du chef au coup d'envoi, Abou Diaby a apporté ce qu'on attendait de lui. De la percussion, de l'impact physique et une bonne dose de culot. Pour preuve, c'est lui, pourtant en position plus reculé que certains, qui a réussi le plus de passes dans les 30 dernières mètres en première période. Diaby, au bout du rouleau en fin de match, a su se montrer explosif tout en réalisant souvent les bons choix. Une deuxième titularisation chez les Bleus pleines de promesses...

Tactique et coaching
Raymond Domenech aime les surprises. Outre Diaby, le sélectionneur a également (re)sorti de chapeau son bon vieux 4-2-3-1, mettant ainsi au placard le 4-3-3 des matches de préparation. Le résultat n'a pas été beaucoup plus flamboyant, les Bleus étant incapables de hausser le rythme. Du reste, Muslera, le portier adverse, n'a pas eu grand-chose à faire et a surtout vu les ballons filer au-dessus de sa tête. Malouda et Henry, entrés en jeu, n'ont pas apporté plus de jus et de génie. En fin de match, la France, en supériorité numérique, a évolué avec deux pointes suite à l'entrée de Gignac. Sans que cela soit bénéfique. Côté uruguayen, le 3-5-2 du départ apparaissait frileux. Il l'a été. Seul Forlan a réussi à apporter le danger. Les Sud-Américains ont montré leur limite sur le plan physique, sur le plan technique et parfois même sur le plan tactique avec beaucoup de situations en surnombre pour les Bleus. Mais la France n'en a pas profité...

On n'a pas aimé
384 minutes. Nicolas Anelka n'a pas cadré le moindre tir durant les dernières 384 minutes qu'il a joué sous le maillot de l'équipe de France. Pour un joueur censé être l'attaquant de pointe, cela fait tâche. Anelka a une nouvelle fois beaucoup trop décroché et a multiplié les duels perdus balle au pied. Et comme d'habitude, dans ces conditions, cela manquait inévitablement de présence devant le but...

Citation :

Domenech satisfait du rendu


Raymond Domenech est apparu optimiste et soulagé après le match nul (0-0) de la France contre l'Uruguay vendredi soir au Cap.

«Quand on pousse en fin de match, il faut que ça entre, mais on se dit aussi pourvu qu'il n'y ait pas un contre malheureux . Ça aurait été décevant. Il s'est passé quelque chose. C'est dommage. C'est presque un beau 0-0. Je crois qu'on a eu un adversaire en face qui était solide. On a su le contrer dans son jeu et au niveau collectif, on a été performant», a déclaré Raymon Domenech au micro de TF1 après le match nul de l'équipe de France contre l'Uruguay.