Novak Djokovic - 4

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Tennis - AUS (H)
Djokovic rejoint Federer


Novak Djokovic (n°3) domine (6-1, 7-6 [5], 6-1 en 2h32') Tomas Berdych (n°6), mardi, en quarts. Il retrouvera Roger Federer (n°2) pour une place en finale.

Bon pied, bon oeil. Pour son quinzième quart de finale en Grand Chelem, le Serbe donne le "la" avec un set initial avalé en 36 minutes. Impeccable au service (76% de premières, 3 aces, aucune balle de break concédée), bien campé sur sa ligne de fond, il distribue (12 points gagnants), principalement avec son grand coup droit, et s'immisce avec succès à la volée (4/4). Pris de vitesse, Tomas Berdych, facile vainqueur de Richard Gasquet et Fernando Verdasco aux tours précédents, ramasse les miettes (17 points remportés sur 48 disputés).

En début de deuxième manche, pourtant, le masque du "Djoker" tombe sur le visage du Serbe. Ses yeux se brouillent (ses fameuses lentilles de contact), son souffle se fait plus court et il commence à s'agacer. Ses frappes moins perforantes laissent à Tomas Berdych plus de temps pour s'organiser. Et les coups de canon fusent (20 points gagnants). Branché sur courant alternatif, le numéro 3 mondial, distancé (1-4), retrouve toute sa vista pour refaire son retard (3-4)... face à un adversaire qui connaît à son tour des problèmes de lentilles. Le lauréat de l'édition 2008 a retrouvé le fil et ce n'est pas de la poudre aux yeux.

«J'ai de bonnes chances dans ce tournoi»
Son jeu décisif solide - rejoint à 5-5 après avoir mené 5-2, il peut compter sur deux fautes directes en coup droit - éteint les dernières velléités d'un adversaire assez marqué physiquement. Roger Federer (n°2) se dresse maintenant sur sa route. Lors de leur dernier face-à-face en Grand Chelem, en demi-finales de l'US Open, Novak Djokovic l'avait emporté en cinq manches après avoir sauvé deux balles de match.

«J'ai essayé de changer de rythme, de varier. Quand il est bien sur la balle, il est très puissant, très fort en fond de court. C'était très accroché, surtout dans le deuxième set, a-t-il reconnu au micro du stade. Cette manche s'est révélée très importante pour ma confiance. Ensuite, j'ai pu me relâcher et prendre plus de risques (...) Si je continue à jouer comme ça, j'ai de bonnes chances dans ce tournoi. Mais maintenant, c'est le plus grand joueur de l'histoire qui m'attend.» Et ça, ce n'est pas une vue de l'esprit. - Julien GIOVANELLA

Aller Nole !! donne tout se que tu a et croisons les doigts pour ta 2éme finale dans se tournoi !

Bravo à lui ! J'espère qu'il ira jusqu'au bout !!!!! Qu'il remportera ce premier GC !

Sublime victoire à l'arracher de Novak!!! 7-6 7-5 6-4 en 2h41 de match d'une intensité incroyable !! il bat Federer pour la 2éme fois de suite en demi-finale d'un Grand-Chelem !! et se retrouve pour la 4éme fois en finale d'un grand Chelem , la 2éme à Melbourne pour je l'espère remporter le Tournoi et son 2éme Grand chelem , son 2éme Melbourne Aussi !!! Grand Bravo à Toi NOle !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Un seul mot : BRAVO Nole ! Il résume le Match qu'il a su faire face à Fed, une véritable DEMONSTRATION qui s'inscrit dans la continuité d'un Tournoi quasiment parfait !

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Tennis - AUS (H)
Djokovic, la démonstration


Après un match exceptionnel, Novak Djokovic domine (7-6 [3], 7-5, 6-4) Roger Federer et se qualifie pour la finale sans avoir perdu un set. Il attend désormais Andy Murray ou David Ferrer.

C'est une démonstration. Trop rapide, trop solide, trop puissant. Roger Federer ? Non, son adversaire Novak Djokovic. Pendant trois heures, le Serbe détruit la fluidité du Suisse pour s'imposer (7-6 [3], 7-5, 6-4) et se qualifier pour la finale sans perdre un set. Non, ce n'est pas un effet d'optique. Sur la Rod Laver Arena, le patron se nomme Novak Djokovic. Le visage marqué et les jambes lourdes, le tenant du titre n'a pas de solution. Il joue bien, le Serbe joue très (trop) bien.

Ses forces, le service et le coup droit, sont annihilées par la qualité de relance et la longueur de balles de son adversaire. Au tie-break, il sert trois secondes balles, il concède trois mini-breaks et le premier set. Sa (relative) faiblesse, le revers, devient béante (28 fautes directes en revers, 44 au total) sous les coups de boutoir adverse. Sur sa ligne, Novak Djokovic distribue à une cadence infernale. Avec son coup droit, il n'hésite pas à gratter la balle sur le revers du Suisse pour contre-attaquer en long de ligne.

Djokovic impressionne
L'ancien numéro 1 mondial accepte le bras de fer et se prend un mur. Que reste-il ? La baisse de régime adverse. Elle arrive à 7-6, 2-1, service à suivre. Roger Federer se plaint alors du clan serbe et le match tourne. Le 3e mondial commet quelques fautes directes et le Suisse régale avec quelques demi-volées magiques pour mener 5-2. Novak Djokovic s'énerve, change de chaussures, trouve un deuxième souffle et reprend son travail de sape. Sur le court, c'est un match en accéléré. Seules les mouettes se font entendre. Les spectateurs se taisent et admirent.

Sans point gratuit avec son service, le tenant du titre subit et encaisse cinq jeux d'affilée. Pourquoi ne se rue-t-il pas au filet ? C'est simple, il ne peut pas (17 points sur 26 montées pour le Suisse, 16/26 pour le Serbe). Novak Djokovic sert trop bien (69 % de premières balles), joue trop profond et impose son rythme. Depuis sa victoire en Grand Chelem contre le Suisse, le Serbe sait qu'il peut le faire. Et il le fait avec une autorité impressionnante. Débreaké à 4-3 au troisième set, il ne perd pas le contrôle et reprend son avantage dans la foulée en montrant sa tête et son coeur. Il termine son oeuvre sur un ace et un service gagnant. C'est une démonstration. - Sophie DORGAN, à Melbourne

Aller Nole 100% derrière toi pour demain !!! tu peut gagner ton 2éme Australian Open et ton 2éme grand Chelem ne laisse pas ta chance passer , tu n'a pas encore battu Federer pour te faire prendre en Finale !! Aller NOleeeeeeeeeee !!!!

Victoire en 3 petits Set de NOleee!!!! qui Remporter son 2éme Australian Open son 2éme Grand Chelem !!! 6-4 6-2 6-3 en 2h32 !!! Énorme Bravo à Nole pour son fabuleux tournoi , il était au dessus depuis le début , la coupe davis lui à fait un déclic j'ai bien l'impression et je l'espère qu'il continuera !!! Je suis SUPER faire de lui !! il à super bine jouer lors de tout le tournoi encore merci nole de m'avoir fait VIBREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!

Très beau vainqueur, après ce beau match en finale, c'est pas si surprenant qu'il ait battu Roger juste avant, le score est flatteur mais il y a eu beaucoup de longs rallyes, même le finaliste malheureux Murray n'a pas si mal joué mais je crois que Nole etait intouchable, hormis pe par un Rafa au top de sa forme, victoire très méritée, bravo à lui, en esperant qu'il finisse par gagner des GC ailleurs qu'en Australie, tout comme Kim, ailleurs qu'aux States

GRAND BRAVO à Nole pour ce 2ème Titre australien, amplement mérité au vu de la Finale et de son EXCELLENT Tournoi d'ensemble !

Quand il joue aussi Bien que ça, peu de Joueurs sont en mesure de rivaliser. On peut lui souhaiter de savoir "enchainer" à présent, avec la confiance prodiguée par la Coupe Davis et ce Titre ! De toutes façons, j'ai toujours pensé qu'il était amené à prendre tôt ou tard la 1ère Place Mondiale et je n'en démords pas, son Heure viendra

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Tennis - AUS (H)
Djokovic, l'homme fort


Après une nouvelle démonstration, Novak Djokovic remporte (6-4, 6-2, 6-3) son deuxième Open d'Australie aux dépens d'Andy Murray, démuni.

L'un, Andy Murray, monte l'Alpe d'Huez, pioche, souffre et décroche. L'autre, Novak Djokovic, fonce sur une grande ligne droite plate pour remporter (6-4, 6-2, 6-3 en 2h39') son deuxième titre du Grand Chelem en Australie. Et le sprint entre les deux finalistes se dispute au premier set. Le Britannique tient une heure, cinquante-neuf minutes exactement, la cadence infernale du numéro 3 mondial. Sa tête dit à son corps : stop. Il est groggy... Le puncheur met K.-O. le contreur.

Buste droit, poing brandi et regard franc, Novak Djokovic montre son statut : finaliste à l'US Open, vainqueur de la Coupe Davis et désormais double lauréat de l'Open d'Australie. Le patron, c'est lui. Et il le prouve. Pendant la première heure, chacun essaie de déstabiliser l'autre dans un match d'échecs. A 5-4 (15-30), le 5e mondial subit une violente attaque de son roi. Après un échange de 39 coups de raquette à une vitesse fulgurante, Nole monte d'épuisement à la volée et souffle en voyant le passing de coup droit adverse atterrir dans le filet. Une minute plus tard, il empoche le set sur une nouvelle faute de coup droit. Andy Murray ne se relève pas. Sans solution, il multiplie les fautes directes.

En finale, le Britannique commet presque autant d'erreurs (47) que lors de ses trois premiers tours (50 au total). Il grimace, traîne sa peine autant que sa cuisse gauche. Est-il blessé ? «Non, je n'étais pas blessé. La demi-finale contre David Ferrer était dure, mais j'allais bien, répond l'Ecossais, arrivé en conférence de presse cinq minutes après la cérémonie. Dans une finale de Grand Chelem, l'adrénaline aide. Ce n'est pas une raison à ma défaite.» Est-ce la pression ? Il nie et ne trouve qu'une explication à cette finale à sens unique :

«Novak a joué un grand match.»
Meilleur en défense, meilleur sur la ligne, meilleur en attaque, le Serbe n'offre pas de solution à l'Ecossais. Les premières balles à 216 km/h reviennent aussi vite. Les attaques se transforment en contre-attaques. Tête basse et mine défaite, Andy Murray se prend un mur : «Je pense que personne ne l'aurait battu ce soir. Il servait bien, il ne commettait pas beaucoup de fautes en fond de court, il bougeait très, très bien. Il frappait très bien la balle.» En demi-finale, Roger Federer a fait le même constat d'impuissance. Les supporters serbes peuvent chanter. Leur champion prend une nouvelle dimension. - Sophie DORGAN, à Melbourne

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Djokovic ne fait pas de sentiments


Comme en 2008, Novak Djokovic a remporté l’Open d’Australie, au détriment cette fois-ci de son ami Andy Murray, qui a encore manqué une occasion de succéder à Fred Perry.

Longtemps relégués au second plan par Roger Federer et Rafael Nadal, Novak Djokovic et Andy Murray s’affrontaient dimanche pour la première fois de leur carrière en Grand Chelem, en finale de l’Open d’Australie. Amis d’enfance, le Serbe et l’Ecossais se sont livré à un long round d’observation avant que le premier ne s’envole vers le titre (6/4 6/2 6/3).

Au chat et à la souris
Auteur d’un démarrage canon, Djokovic empochait les six premiers points du match mais ne parvenait pas à breaker son adversaire (1/1). Car après avoir stoppé l’hémorragie, Murray s’appliquait à faire déjouer le n°3 mondial, l’usant pas ses chips, alternant balles sans consistance et contres en bout de course. Les échanges étaient âpres, longs, entre deux des meilleurs relanceurs du circuit. Le score était ainsi seulement de 4/3 en faveur de Djokovic après 44 minutes de jeu… Mais le rythme allait soudain s’accélérer. Un temps impatient à l’échange, le Belgradois voyait ses prises d’initiative progressivement récompensées. Agressif en retour, il obligeait le Britannique à prendre de plus en plus de risques au service. Le pourcentage de premières balles de ce dernier s’en ressentait (44% dans le premier set) et il finissait par céder alors qu’il servait pour rester dans la manche (6/4).

7 jeux de suite perdus par Murray
Murray ne s’en remettrait pas. Après avoir perdu les deux derniers jeux, il laissait ainsi filer les cinq suivants (0/5) ! S’il évitait de peu la roue de bicyclette - Djokovic obtenant une balle de deuxième set -, il ne pouvait empêcher le Serbe de se rapprocher un peu plus du titre (6/2). Invectivé par ses propres supporters, qui lui demandaient de se secouer, Murray réussissait son premier break du match dans une troisième manche particulièrement décousue, où les deux hommes se rendaient des politesses (0/1, 3/1, 3/3…). Mais là encore, Djokovic se montrait le plus fort dans le money time, empochant la victoire sur deux derniers coups droit dans le filet de Murray (6/3). Djokovic remporte ainsi son deuxième titre en Grand Chelem, le deuxième à Melbourne. En trois finales de Majeur, Murray n’a, lui, toujours pas remporté le moindre set, et sera encore raillé par la presse britannique, qui attend un successeur à Fred Perry depuis 1936 ! En attendant, l’Ecossais trouvera un peu de réconfort dans les mots de son rival du jour : «Je sais que c’est difficile pour toi, mais je suis persuadé qu’avec le talent que tu as, ton tour viendra bientôt.»

Résultat de la finale :
Djokovic (Ser, 3) - Murray (GB, 5) 6/4 6/2 6/3

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Open d'Australie > Djokovic : "Je ne veux pas m'arrêter là"

Par Pauline Dahlem, dimanche 30 janvier 2011 à 15:25


Pouvez-vous mieux jouer que cela ? Etait-ce le match parfait, le match dont vous rêviez ?
C’était un grand match. Du premier au dernier point, j’ai fait ce que j’avais mis en place tactiquement avec mon coach. Physiquement, j’étais très bien. J’ai eu deux jours de récup’ entre ma demie et ma finale, ce qui a son importance à ce stade de la compétition. Je savais que je devrais tenir de longs rallies face à un joueur très talentueux qui relance très bien et ne rate pas beaucoup. Il fallait que je m’engage dans le court, que je provoque les choses. C’était la clé. A chaque fois que j’ai eu l’occasion d’avancer, de le sortir du court, je l’ai fait.

Vous-êtes vous senti indestructible par moments ? Quoi qu’il fasse, vous aviez une réponse…
Je ne me considère pas comme ça. Mais par certains côtés, je sentais que je pouvais ramener toutes les balles et rapidement passer de la défense à l’attaque. J’ai également bien utilisé mon service dans les moments cruciaux. Je servais les extérieurs pour m’ouvrir le court et tenter le point gagnant dès la deuxième frappe. J’ai aussi été patient quand il le fallait. J’ai fait beaucoup de changements de rythme comme de vitesse parce que je sais qu’il aime la grosse cadence. Il aime contrôler le match. Je ne voulais pas lui permettre de faire ça. Etre capable de battre un joueur comme Andy Murray, en 3 sets, en finale de Grand Chelem, ça rend ma victoire encore plus belle.

Sur la balle de match, vous n’en avez pas beaucoup fait pour célébrer votre victoire. Était-ce par respect pour Andy et l'amitié qui vous lie ?
D’un certain côté oui. J'étais conscient de ce qu’il ressentait. C’est sa 3e finale et il n’a encore jamais gagné. C’est difficile. Mais comme je l’ai dit sur le court, j’ai vraiment beaucoup de respect pour lui et son jeu. Il a tout pour gagner un Grand Chelem. Et je suis sûr qu’il va très vite y arriver.

Il s’est écoulé 3 ans entre votre premier titre et celui-ci. Maintenant que vous être plus mature, plus expérimenté, il ne faudra pas attendre aussi longtemps avant le prochain ?
Je me sens plus expérimenté. Je me sens meilleur aujourd’hui qu’il y a 3 ans notamment parce que physiquement, je suis plus fort. Je suis plus rapide et je suis aussi plus motivé sur le court. Je sais comment réagir à certains moments, comment jouer lors des gros évènements. C’est le meilleur début de saison que je puisse prendre.

Surtout en ayant battu Roger et Andy…
Ces deux joueurs jouent leur meilleur tennis sur dur, comme moi d’ailleurs. Avoir été capable de les battre en 3 sets est incroyable.

Vous élevez votre niveau de jeu contre les meilleurs joueurs. Faut-il désormais exploiter cette capacité pour gagner les gros tournois ?
C’est le meilleur début de saison possible, comme je le disais. L’inter-saison a été très court mais le titre en Coupe Davis m’a donné beaucoup de confiance pour cet Open d’Australie. Je me suis très bien senti ici tout au long de cette quinzaine. La victoire en Coupe Davis a sûrement beaucoup joué dans ma victoire d'ailleurs. Après notre succès à Belgrade, je me suis bien senti sur le court, j'ai eu faim de matches et de victoires.

Certaines personnes parlent de relève de la garde, Roger et Rafa ayant perdu en demi-finale. Approuvez-vous ?
Roger et Rafa restent les deux meilleurs joueurs du monde. Il n’y a aucun doute là-dessus. Vous ne pouvez pas comparer mon palmarès et celui de Murray aux leurs. Ce sont les joueurs les plus dominateurs du tennis. Et ils le méritent. Malgré tout, c’est sympa de voir de nouveaux joueurs dans les derniers tours des Grands Chelems.

Votre jeu de jambe est parfois étourdissant. Quand vous avez lancé vos chaussures dans le public, vous avez vérifié l’état de vos semelles avant. Vous avez des semelles spéciales ?
Oui. C’est le secret de mon jeu de jambes. Vous venez de me démasquer ! (Rires)

La victoire en Coupe Davis et aujourd’hui ce titre à Melbourne : ces deux mois sont les plus beaux de votre vie ?
Tennistiquement parlant oui. Un titre en Coupe Davis et une nouvelle victoire en Grand Chelem... Je vis le rêve de tout joueur de tennis, clairement.

Etes-vous plus concentré que jamais sur votre tennis ?
Oui, je suis très concentré. Je n’ai d’ailleurs jamais été autant concentré et dédié à mon sport qu’aujourd'hui.

Nadal et Federer mis à part, il n’y a que deux joueurs en activité qui comptent deux victoires en Grand Chelem : vous et Hewitt. Hewitt s’est arrêté à deux titres. Et vous ?
Je ne veux pas m’arrêter là. Je veux rester en bonne santé, en bonne forme physique pour être prêt à relever de nouveaux défis. J’ai le sentiment que mon jeu est adapté à toutes les surfaces. Je l’ai d’ailleurs prouvé par le passé. Bon, le dur reste ma surface préférée. Regardez mes résultats : deux finales à l’US Open et deux titres ici en Australie. Ca veut tout dire. Mais je persiste à penser que je peux réussir à Roland Garros comme à Wimbledon.