Marion Bartoli

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Tennis - WTA - Stanford
Bartoli voit grand


Qualifiée pour les demi-finales à Stanford, Marion Bartoli se dit désormais persuadée de pouvoir remporter un Grand Chelem.

Marion Bartoli va bien. Elle n'a pas eu à lutter longtemps pour se qualifier pour les demi-finales de Stanford. Mais la Française voit plus loin que ce tournoi et pense déjà à l'US Open. Voire aux autres Grand Chelems. Car désormais, la petite voix intérieure qui lui disait que remporter un des quatre majeurs du circuit était trop difficile, a cessé de se faire entendre. Selon Bartoli, c'est pendant Wimbledon que le syndrome Jeanne d'Arc a disparu. Notamment après avoir battu Serena Williams. Si la Française pense toujours qu'un jour de repos après ce match aurait pu lui permettre de passer l'obstacle Lisicki, elle estime que ce tournoi lui a ouvert de nouvelles perspectives. «J'aurai pu gagner. J'étais très proche. Ce n'est pas qu'auparavant je n'y croyais pas, mais dans un sens, il y avait comme une petite voix dans ma tête qui me disait que je n'appartenais pas au groupe de joueuses capables de gagner un Grand Chelem. Aujourd'hui, je sais que je peux en gagner un. J'ai battu Kvitova en finale à Eastbourne et derrière, elle remporte un Grand Chelem».

Les valeurs du travail physique
Son accession à la finale de Wimbledon en 2007 avait révélé Marion Bartoli au grand public. Quatre ans plus tard, la joueuse aux six titres sur le circuit se sent bien plus forte. «Je suis sûre que si je garde mon niveau actuel, que je reste positive, je serai en mesure de remporter un Grand Chelem. Mais entre le savoir et le faire, il y a un cap». Un cap que Bartoli pense franchir grâce au travail physique accompli. Avec pour référence une série de 21 matches en sept semaines, avec 18 victoires à la clé, entre Strasbourg et la fin de Wimbledon. «Cela prouve à quel point j'ai progressé physiquement. C'est nouveau pour moi et je sais maintenant que je suis capable de finir la saison en grande forme». Si l'on ajoute à cela une connivence enfin trouvée avec le public français, Marion Bartoli a toutes les raisons de voir la vie du bon côté. Ne reste plus qu'à franchir enfin ce maudit quatrième tour à l'US Open. (Rédaction)

... Remarque avec la veine qu'elle a en permanence ... Forfait de Cibulkova Hier Soir, elle est du coup directement qualifiée pour la Finale de Stanford.

Elle affrontera Serena ou Lisicki.

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Tennis - WTA - Stanford
Bartoli à l'économie


Marion Bartoli est en finale à Stanford sans avoir eu besoin de jouer : la Slovaque Dominika Cibulkova a déclaré forfait avant le début de leur match.

Avec les douleurs aux abdominaux de Cibulkova, c'est la deuxième fois de suite que Marion Bartoli profite d'un abandon. Mais en quarts de finale, la Japonaise Ayumi Morita avait au moins pu disputer huit jeux (6-1, 1-0) avant de jeter l'éponge. «Ca faisait mal déjà quand j'affrontais Marina (Erakovic), mais j'avais réussi à gagner le match, a expliqué la Slovaque, qui a manqué deux tournois après avoir souffert de douleurs similaires. Je pensais être un peu mieux ce matin, mais après avoir consulté un médecin il m'a conseillé de ne pas jouer pour ne pas aggraver la blessure. Peut-être que j'avais repris trop tôt. Je ne veux plus commettre la même erreur.

«C'est la première fois que cela m'arrive, commente Bartoli, Mais je n'y peux rien. C'est triste que Dominika doit se retirer. J'aurai un match extrêmement difficile demain (dimanche) et je suis être prête». En finale, la quatrième de la n°1 française cette année, elle affrontera Serena Williams, qu'elle avait sortie en huitièmes à Wimbledon alors que l'Américaine était double tenante du titre, ou l'Allemande Sabine Lisicki, qui l'avait éliminée au tour suivant sur le gazon londonien. Il s'agira aussi de sa troisième finale dans ce tournoi sur dur. Elle avait été battue en 2009 par la Canadienne Aleksandra Wozniak (7-5, 6-3) et avait repoussé Venus Williams (6-2, 5-7, 6-4) l'année suivante.

57 16 C'est terminé pour Marion qui a EN TOUTE LOGIQUE pris assez cher face à Serena

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Tennis - WTA - Stanford
Serena repousse Bartoli


A Stanford, Serena Williams remporte son premier titre depuis plus d'un an en battant (7-5, 6-1) Marion Bartoli, qui avait mieux débuté la finale.

A Stanford, l'une surfait sur les abandons, l'autres sur les pétaradantes victoires. L'une a bien débuté la finale, l'autre l'a terminée en trombe. L'une, Marion Bartoli donc, perd sa troisième finale cette saison alors que l'autre, Serena Williams, remporte enfin un tournoi cette année, son premier titre depuis plus d'un an et sa victoire à Wimbledon. Cela clot clot définitivement une période très compliquée pour l'Américaine et lui permet en passant de prendre sa revanche sur la Française, qui l'avait surprise en huitièmes de finale à Wimbledon, tournoi dont elle était double tenante du titre.

Serena avait perdu son engagement tôt dans le match mais l'a repris dans le huitième jeu du premier set. A 4-5, elle a enchaîné huit jeux consécutifs, profitant du service déréglé de Bartoli (8 double-fautes, 47% de premire balle) avant de s'imposer en 1h22', grâce notamment à 11 aces, et de gagner son 38e tournoi. La Française, qui disputait sa troisième finale dans le tournoi californien (battue en 2008, victorieuse en 2009), a fait appel aux soigneuses à la fin de la première manche pour un problème semble-t-il au poignet gauche.

Elle débutera à la Rogers Cup face à une Qualifiée.

36 36 C'est déjà terminé pour Bartoli qui gicle d'entrée de Jeu à Toronto contre Voskoboeva !

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Tennis - WTA - Toronto
Bartoli tombe de haut


Marion Bartoli est passée à côté de son premier tour et s'incline (6-3, 6-3) contre la qualifiée Galina Voskoboeva, 135e mondiale.

Le body language ne trompe pas. Tête basse, gestes de dépit et regard agacé vers son père, Marion Bartoli vit un mauvais jour et s'incline (6-3, 6-3 en 1h15') face à Galina Voskoboeva dès le premier tour. Comment expliquer une telle déconvenue ? La Kazakhe a-t-elle réalisé le match de sa vie ? Même pas. Du haut de son 1,83 m, elle s'appuie simplement sur ses armes, un bon service malgré un faible pourcentage de premières (38%) et une bonne vitesse de balle. Sans plus. Est-ce un espoir plein d'avenir ? Même pas. A 26 ans, elle sort des qualifications, s'illustre plutôt en double et atteint le 64e rang en février 2009.

Sur le papier et dans le jeu, la Française possède toutes les armes pour la contrer. Mais elle ne trouve pas son rythme, multiplie les fautes directes et se retrouve prise de vitesse. Frustrée par son niveau de jeu, elle s'agace et finit par céder. Un point illustre bien le désarroi de la 9e mondiale. A 2-4 (15-40), elle s'apprête à frapper un smash, se retrouve mal placée et délivre un petit revers pour offrir le double break à son adversaire. Menée dès le début de chaque set, elle n'arrive pas à surpasser sa frustration. Son hématome à la main, survenu en finale de Stanford, n'a pas semblé la gêner. Mais la saison est longue et les jours sans existent.

Bah allez Marion, tu as eu un certain coup de mou, ça arrive à presque toutes les joueuses, fo prendre soin de toi avant d'arriver à Flushing pied au plancher, seule notre veneree Kimeke te barrera la route du titre...

BYE à Cinci, Bartoli affrontera Morita ou Alona Bondarenko pour débuter le Tournoi.

Matthieu a écrit:

BYE à Cinci, Bartoli affrontera Morita ou Alona Bondarenko pour débuter le Tournoi.

Elle devrait l'avaler comme une bouchée de pain l'Alona

61 62 en effet ce fut assez facile face à Alona mais bon, à vaincre sans péril ...

Prochain Tour face à Dani ou Pennetta, ça pourrait être plus marrant ...

J'avais raison de penser que ça serait plus marrant que son 1er Tour lol, Défaite 36 75 36 !