Gaël Monfils

Citation :

Tennis - ATP - Nice : Monfils n'a pas fait le poids


Gaël Monfils s'est incliné samedi en finale du tournoi de Nice face à l'Espagnol Albert Montanes (6-0, 7-6 [3]).

La dernière semaine a été presque parfaite pour Gaël Monfils. Vainqueur du tournoi de Bordeaux dimanche, le Français s'est hissé en finale du tournoi de Nice, sans perdre un seul set. Mais face à Albert Montanes ce samedi, il n'a pas pu rivaliser. Sa réussite au service (82% de première balle) ne lui a pourtant pas permis d'exister dans un premier set à sens unique, bouclé par l'Espagnol en seulement 29 minutes.

Invité du tournoi en tant que lucky-loser, Montanes est donc allé au bout, s'offrant un deuxième français après sa victoire sur Edouard Roger-Vasselin en demie. Dans le second set, Monfils lui a opposé plus de résistance, mais n’est pas parvenu à dicter sa loi lors du jeu décisif. Une belle performance pour Montanes, qui retrouvera Steve Johnson au premier tour de Roland-Garros. «C'est une semaine incroyable, a-t-il déclaré au micro de Sport + à l'issue de la finale. J'ai vraiment très bien joué. Je suis un peu fatigué, mais confiant avant Roland». A Paris, Monfils, qui affrontera lui Tomas Berdych, devra vite se remobiliser.

Citation :

Tennis - Roland Garros (Hommes) : Monfils, retour d'enfer


Absent l'an dernier en raison d'un genou droit récalcitrant, Gaël Monfils a réussi son retour sur une terre battue qu'il chérit tant en s'offrant Tomas Berdych (n°5), lundi, au 1er tour (7-6 [8], 6-4, 6-7 [3], 6-7 [4], 7-5 en 4h02'). Incroyable !

Il est 20h34 à Paris. Le public du court Philippe-Chatrier est debout. Gaël Monfils reprend sa respiration. Sur un dernier revers trop long, c'est la délivrance. Privé de "son" Roland-Garros, l’an dernier, en raison de sa blessure au genou droit, le Parisien vient d’épater son monde. Une fois de plus. Il peut alors sauter de joie, serrer les poings et remercier les spectateurs. «Vous m'avez vraiment poussé. J'ai cru en moi jusqu'au bout. A chaque fois, c'est magique ici» dira-t-il au micro du stade.

«A 5-5, 0/15, j'ai vu une issue, j'ai vu la lumière. C'est à ce moment-là que je me suis dit : "il y a quelque chose à faire, il faut lui mettre la pression"» C'est magique parce que Gaël Monfils a tout fait pour que ça le soit. Le 19 mai, il remportait le Challenger de Bordeaux. Samedi dernier, il était en finale à Nice. Maître dans l'art du contre-pied, le Parisien s'est mué en guerrier pour un tournoi d'une toute autre dimension. Poing serré dès les premiers points du match, il a décidé de faire de ce moment son moment.

Nous n'assistons pas à un combat déséquilibré entre le 81e joueur mondial invité par les organisateurs qu'il est aujourd'hui et la tête de série numéro 5. Dans les deux premiers sets, c'est lui qui fait le show, c'est lui qui crée et qui récolte logiquement les lauriers. Assez lent, bousculé, le Tchèque se retrouve logiquement mené deux sets à rien. Les deux manches suivantes se soldent par des tie-breaks. Gaël Monfils aurait-il laissé filer sa chance ? C'est mal connaître le bonhomme. Mené 3-2 dans le cinquième set décisif, il sauve quatre balles de break et harangue la foule (3-3).

«Ce n'est pas à ce moment-là que je sens que ça va passer mais à 5-5, 0/15. J’ai vu une issue, j’ai vu la lumière. J’étais fatigué et j'ai essayé. Ca faisait longtemps que je n’avais pas tenté un gros coup droit comme ça. J’ai vu sa réaction, son body language. C’est à ce moment-là que je me suis dit : "il y a quelque chose à faire, il faut lui mettre la pression".» Même un début de crampes ne le détournera pas de son objectif. Devant tant de résistance, c'est le grand Tchèque qui finira par courber l'échine. Sans entraîneur mais entouré de sa famille et de ses amis, Gaël Monfils a livré un combat dont lui seul a le secret. Quelle que soit la suite de son parcours, il a déjà réussi son retour.

Citation :

Tennis-Roland Garros (Hommes) : Monfils : «Il y a de la magie»


Fidèle à son image, Gaël Monfils est revenu sur son exploit face à Tomas Berdych avec calme et humour. Tout en insistant sur une notion importante : le travail.

«Gaël Monfils, après toutes les galères que vous avez vécues, qu'avez-vous ressenti au moment de servir votre balle de match ?
La balle de match, c’est bête, mais on a envie de la réussir (rires). Il y avait un peu de stress parce que j’avais vraiment envie de la convertir. J’avais deux options : soit je lâche tout, fort, à plat sur le T, soit je reste encore un peu lucide et je slice. Et je crois que je suis resté un peu lucide et je l’ai fait (sourire). Avec tout ce que j’ai traversé, c’est vraiment cette aptitude à rester lucide jusqu’au dernier point qui me fait très plaisir. C’est un moment forcément unique parce que ça faisait longtemps que je n’avais pas gagné de grand match, longtemps que je ne m'étais pas dépassé vraiment, mentalement comme physiquement.

Vous pensiez-vous capable d'un tel exploit ?
Avant le match, si on m’avait dit que j’allais jouer quatre heures et que le score allait être aussi serré, je ne l’aurais pas cru. Ici, c’est hyper bizarre mais Il y a de la magie, c’est un endroit où je me sens vraiment bien, où j’arrive à me transcender, à sortir des choses dont moi-même je ne me sais pas capable. L'an dernier à la même époque, je sais où j’étais, comment j’étais, avec qui j’étais, ce que j’ai entendu et ce que j’ai vu. Cette victoire, elle est belle mais c'est un 1er tour (il jouera son deuxième match contre Ernests Gulbis, ndlr). C'est l'un de mes plus beaux matches ici. Il fait partie de mon "top five", c’est sûr.

Est-ce une revanche personnelle ?
Non, je ne dirais pas ça. Mais ça montre à certaines personnes que j'ai toujours continué de croire en moi, même si j'entendais certaines choses. Mine de rien, ça ne tombe pas du ciel ces gros matches. Il y a de l’entraînement derrière. Ma seule réponse, c'est le travail. Je jouais bien depuis quelques semaines. Je retrouvais de bonnes sensations, j’étais de mieux en mieux physiquement. La preuve, j'ai enchaîné davantage de matches. Il y a juste une chose qu’il ne faut pas m’enlever : j’arrive à m’adapter assez rapidement. Aujourd’hui, je sais que je devais sortir un gros combat. Ce résultat, je le mets sur ma faculté d’adaptation et sur la réussite. Mais il ne faut pas dire qu’il n’y a que de la réussite. Il y a du travail, je le répète.

Un mot sur vos parents...
Ils m’apportent énormément. Quand ils sont là, j’ai une énergie différente, je me sens bien. Mon père, je le vois avant comme après le match. Il me permet de me changer les idées, il fait des bonnes blagues, il fait à bouffer (rires), il me soutient moralement tout au long de l’année. Il a toujours été mon mentor, mon facteur de motivation pour jouer au tennis, il m’apporte beaucoup de sagesse. Ce n’est pas mon coach. Mon seul coach, c’est moi-même. Il ne dit pas grand-chose. Son secret ? Il aime les coups droits gagnants ! Quand je suis sur le terrain, à l’échauffement, et que je lâche une "mine", il me dit : "ah ouais, le coup droit là, pfff, j’aime ça ! Tu te rappelles quand t’avais 14 ans, ce match-là ?! Pfouuu !" (rires) Ma mère, c’est encore pire. Elle me lance : "quand tu fais ton jeu de jambes, là, quand j’entends "quitchikquitchikquitchik" (sic), je sais que tu vas être dur à battre. Et quand tu lâches tes petits cris "ouahé", là je retrouve mon Gaël !" J’ai deux coaches pas mal. Ils n’ont pas tort mais c’est tous les jours la même chose, quel que soit l’adversaire (rires) !»

Citation :

Roland-Garros (Hommes) : Monfils ne s'arrête plus


Après son exploit face à Tomas Berdych (n°5), Gaël Monfils a confirmé contre Ernests Gulbis, mercredi (6-7 [5], 6-4, 7-6 [4], 6-2 en 3h14'). Le voilà au 3e tour, où il retrouvera Tommy Robredo (n°32).

C’est l’histoire du lièvre et de la tortue. Ernests Gulbis et son tennis tout feu, tout flamme tient le premier rôle. Le patient Gaël Monfils le second. Après avoir sauvé une balle de set à 5-6 et vu la pluie interrompre la partie quelques instants, le Parisien cédait finalement l’acte 1 sur une fusée en revers croisé. Une terre battue lourde, un adversaire qui renvoie et renvoie tout : il n’en fallait pas plus pour mettre la patience du fantasque Letton à rude épreuve. Même s’il n’a pas "dégoupillé", comme cela peut lui arriver parfois, il n’est pas parvenu à maintenir son intensité. «Je trouve qu'il a un peu changé sa manière de jouer aujourd'hui. Il a davantage temporisé et a moins lâché de gros coups. Je m'attendais à des frappes beaucoup plus sèches. Il tenait, il défendait bien, il était solide dans les rallyes. J'étais surpris qu'il se déplace si bien. J'essayais d'être solide sur ma ligne et, bien sûr, quand il attaquait, de lui faire jouer un coup de plus à chaque fois. J'ai pensé : "je vais le prendre comme un bon match de terre, du fond"» dira Monfils après coup.
«Je rêve toujours de gagner un Grand Chelem et je sais au fond de moi que je peux le faire» Et Gaël Monfils, poussé par le public du court Philippe-Chatrier, s’est engouffré dans la brèche, empochant la deuxième manche 6-4 et la troisième au tie-break. Sorti du court à ce moment-là, Gulbis est peut-être aussi sorti du match. La preuve ? Le commentaire, à son retour, adressé à un Gaël Monfils relax qui avait pris le temps de filmer la ola avec son téléphone : «C’est un peu long, non ?». La réponse du Français – «t'inquiète, on en a encore pour 1h, 1h15» - l’aurait-il définitivement "plombé" ? Possible si l’on en croit le score du quatrième set (6-2). «On est potes avec Ernests, on s'entend vraiment très bien. C'était marrant. On sent qu'on fait un bon match, on peut être détendus» expliquera le Tricolore. Gaël Monfils, parvenu à confirmer son exploit, retrouvera Tommy Robredo (n°32) pour une place en huitièmes de finale. «Je m'inquiète toujours autant quant à ma récupération. Je suis fatigué mais j'essaie de ne pas le montrer. Avec l'adrénaline, j'arrive à passer au-dessus.» Ce spécialiste des belles histoires n’est pas à une fable près. «Je rêve toujours de gagner un Grand Chelem et je sais au fond de moi que je peux le faire» a-t-il d'ailleurs lancé. Le décor est planté.

Citation :

Roland-Garros (Hommes) : Robredo renverse Monfils


Fin de l'aventure pour Gaël Monfils, qui a laissé filer quatre balles de match avant de rendre les armes en cinq sets face à Tommy Robredo (n°32), vendredi, au 3e tour (2-6, 6-7 [5], 6-2, 7-6 [3], 6-2 en 3h46').

Une dernière demi-volée de revers amortie et Tommy Robredo peut s’allonger à plat ventre sur la terre battue du court Suzanne-Lenglen. Avant de s’agenouiller en serrant les poings et lever les bras au ciel. Il fait durer le plaisir. Et pour cause… Blessé à la jambe gauche et éloigné du circuit pendant cinq mois en 2012, l’Espagnol, 31 ans, vit les instants les plus intenses de sa deuxième carrière. Beau joueur, Gaël Monfils lui donne une chaleureuse accolade.

«C'est rare que je perde à cause du physique mais il ne faut pas se voiler la face : il était plus fort que moi dans ce domaine (...) Je préfère perdre tennistiquement que physiquement, c'est moins frustrant» Pourtant, le Parisien pourrait avoir des regrets. Quatre exactement. Comme le nombre de balles de match qu’il s’est procurées dans le quatrième set (deux à 5-3 et deux à 5-4, sur son service). Ce n’est pas le genre de la maison. «J’ai donné tout ce que j’ai pu. Je n’ai aucun regret. Le seul, à la limite, ce serait peut-être sur ce coup droit décroisé que je mets un peu trop long, mais je prends ma chance... Et la seule occasion que je mémorise bien, c'est ce revers long de ligne qui finit dans le filet. Je suis un peu contre le vent, peut-être que je peux prendre un peu plus de marge. Mais là aussi, j'y vais vraiment...» confiera-t-il après coup. Dans ce duel de "revenants", c'est pourtant lui qui avait pris le meilleur départ, empochant les deux premières manches. Mais son physique, déjà entamé par ses deux combats précédents contre Tomas Berdych et Ernests Gulbis, a fini par le rattraper. Bien plus tôt que ce que l'on pourrait penser.
A lire aussi

Le film du match
«A partir de 2-1 au deuxième set, je n'étais déjà pas bien du tout. Avant le match, je savais que j'avais une petite gêne mais avec l'adrénaline, c'est différent. Pourtant, ça s'est corsé très tôt dans le match (il a été massé à plusieurs reprises à divers endroits, ndlr). Et à partir de ce moment-là, il faut se mettre à gérer davantage, ne pas le montrer et continuer à se battre.» La perte du tie-break du quatrième set (7 points à 3) a sonné le glas de ses ambitions dans ce Roland-Garros revival. Sans gaz, il ne pouvait même plus pousser sur ses jambes pour servir dans la cinquième manche. «C'est rare que je perde à cause du physique mais il ne faut pas se voiler la face : il était plus fort que moi dans ce domaine. C'était une belle bataille et il l'a gagnée. Bravo à lui, je lui donne tout le crédit. Mais c'est vrai que je préfère perdre tennistiquement que physiquement, c'est moins frustrant». A chaud, Gaël Monfils est légitimement déçu. A froid, il se retournera sans doute sur ce tournoi avec le sourire.

Citation :

Tennis, Halle
Encore une perf’ pour Monfils
Par Nicolas Cerbelle, 11-06-2013


Gaël Monfils a dominé Milos Raonic au premier tour du tournoi de Halle. Déjà brillant sur la terre battue de Roland-Garros, le Parisien a déjà de bonnes sensations sur gazon.

Gaël Monfils est un «matcheur». Il fait partie de cette catégorie de joueurs particulièrement motivés dès lors qu’il s’agit de relever les défis. Il l’a d’ailleurs récemment démontré à Roland-Garros, où malgré une fatigue certaine, il s’est brillamment hissé au troisième tour, écartant au passage des hommes aussi solides que Tomas Berdych, numéro six mondial, ou Ernests Gulbis. Opposé ce mardi à Halle à Milos Raonic, géant Canadien (1,95m) au service de plomb, tête de série numéro 5 du tournoi allemand, «La Monf’» a une nouvelle fois déjoué les pronostics pour s’imposer en deux sets (6-4, 6-2).

Demi-finaliste en 2011
LA STAT 64

C'est le pourcentage de points gagnés par Monfils sur le deuxième service de Raonic, soit 11 des 17 disputés.

Très relâché sur ses engagements, le Français n’a jamais été mis sous pression, ne concédant aucune balle de break. Du coup, il put se concentrer sur ses jeux de retour. Particulièrement efficace sur deuxième balle adverse (64% des points gagnés), il réussit à prendre le service de Raonic à trois reprises, une fois dans le premier set (6-4 en 26 minutes), puis deux fois dans le second (6-2), concluant le match en 1h03. Monfils confirme qu’il se sent bien sur le gazon de Halle, où il a atteint les demi-finales en 2011. Au deuxième tour, il affrontera le Tchèque Jan Hernych.

Citation :

Tennis, Halle
Monfils, en forme, zappe Wimbledon



Gaël Monfils a encore impressionné à Halle où il s’est facilement imposé au 2e tour face à Jan Hernych (6-2, 6-3). Pourtant il a déclaré après sa victoire qu’il n’irait pas à Wimbledon, en retirant sa demande de wild-card pour des raisons personnelles.


Après avoir éliminé le géant canadien Milos Raonic, tête de série numéro 5 à Halle, mardi en deux manches (6-4, 6-2), le Français poursuit son beau parcours sur le gazon allemand en éliminant le Tchèque Jan Hernych (6-2, 6-3). Un adversaire nettement moins sérieux que le Canadien. Néanmoins, le Parisien s’est montré sérieux et appliqué tout au long du match, s’autorisant toutefois quelques facéties en fin de match pour le plus grand plaisir du public allemand. Un début de tournoi qui présageait un bon Wimbledon pour le Français. Mais celui-ci a décidé de ne pas prendre part au troisième grand Chelem de l’année. Il a confirmé après sa victoire avoir retiré sa demande d’invitation à cause de problèmes personnels dont il ne souhaitait pas parler. Il pourrait reprendre la compétition début juillet, en plein Wimbledon.
Haas ou Gulbis au prochain tour
Avec un break réalisé d’entrée, «La  Monf’» mettait tout de suite la pression sur son adversaire qui n’a jamais trouvé la solution pour déborder le Tricolore. Malgré la perte de son service à 4-0 dans le premier set, Monfils continuait son cavalier seul pour s’imposer 6-2 lors d’un premier acte durant lequel il réussissait à prendre trois fois le service de son adversaire. Le deuxième set était un peu plus accroché mais le Français faisait le break à 3-2. Un seul break suffisait à Monfils qui bouclait la rencontre sur un jeu blanc au service. Au troisième tour, la tâche sera sans doute plus difficile pour le Français qui affrontera soit le tenant du titre Tommy Haas soit Ernests Gulbis, tombeur de Marcos Baghdatis au premier tour.

Citation :

Monfils éliminé



Gaël Monfils rate Roger Federer à Halle. Le Français a subi la loi de Tommy Haas en quarts de finale (6-7, 6-3, 6-3) et c'est l'Allemand qui défiera le Suisse.

Citation :

Monfils au diesel


Rapidement breaké dans le premier set, qu'il était proche de perdre, Gaël Monfils a inversé la tendance face à Mate Pavic, mardi, au premier tour du tournoi d'Umag : le Parisien a remporté trois jeux d'affilée et ce premier set, avant de dérouler dans la seconde manche (7-5, 6-2).

Il sort Kavcic 3 et 1 à Umag.

62 57 75 A Umag contre Montanès !

06 63 67, Défaite en 1/2 à Umag contre Fognini, l'homme en forme du moment ..

76 63 Contre Dolgopolov en 1/2 de W Salem, il jouera Melzer en Finale.

Citation :

Monfils abandonne en finale


Après Nice en mai, Gaël Monfils a perdu samedi une deuxième finale cette saison à Winston-Salem. Blessé à la hanche, le Français a abandonné au début du deuxième set. Il était mené 6-3, 2-1 par Jürgen Melzer.

Deuxième finale de la saison et deuxième titre perdu pour Gaël Monfils. A Winston-Salem, le Français a abandonné samedi au début du deuxième set, alors qu’il était mené 6-3, 2-1 par Jürgen Melzer, un adversaire qu’il avait battu lors de leurs quatre précédentes confrontations. C’est la quinzième finale que Monfils perd depuis le début de sa carrière (4 titres).

Melzer trop puissant
Le Français n’a jamais été en mesure d’inquiéter l’Autrichien. Il a subi le jeu du gaucher, qui a multiplié les coups gagnants avec son grand coup droit (12 dans la première manche). Alors qu'il menait 40-0 sur sa première mise en jeu, Gaël Monfils a perdu les cinq points suivants et sa première mise en jeu. Melzer a obtenu deux autres balles de break dans cette manche, dont une à 5-2, mais le Français les a écartées. Il a toutefois perdu le premier set dans le jeu suivant, sur sa huitième faute directe, après 33 minutes de jeu.

Monfils se blesse à la hanche
Le physique du Français, qui revenait de blessure, l’a trahi dans le troisième jeu de la deuxième manche. Il s’est fait mal à la hanche sur un service. Il a toutefois terminé le jeu, concédant sa mise en jeu, avant de demander l’intervention du kiné. Ce dernier l’a manipulé, mais Monfils, qui jouera son premier tour à l’US Open contre le Roumain Adrian Ungur en début de semaine, n’a pas voulu prendre de risque et a préféré abandonner après 55 minutes de jeu, offrant à Jürgen Melzer le cinquième titre de sa carrière.

61 62 60 Contre Ungur au 1er Tour de l'USO