Gaël Monfils

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Tennis - ATP - Montpellier
Monfils en quarts


Gaël Monfils (n°3) s'est qualifié jeudi pour les quarts de finale aux dépens de Steve Darcis, issu des qualifications (6-4, 6-4 en 1h06'). Opportuniste (3 balles de break converties sur 3), plus entreprenant (23 points gagnants, 19 fautes directes), le Parisien retrouvera John Isner (n°5) pour une place dans le dernier carré. Un adversaire qui l'a battu trois fois sur quatre, leur dernière rencontre remontant au 3e tour de l'Open d'Australie en janvier (succès de l'Américain en quatre manches).

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Tennis
Monfils : «Isner, c'est horrible»


Après sa victoire solide (6-4, 6-4) contre Steve Darcis, Gaël Monfils évoque son quart contre John Isner. «Horrible», prévient la Monf' qui est mené 3-1 dans ses confrontations avec le grand serveur américain.

«Gaël Monfils, que pensez-vous de votre entrée en lice ?
J'ai bien joué. Steve (Darcis) m'a permis de faire une belle rencontre car il a bien joué. Cela m'a permis de tenter des coups. Je suis content. Aujourd'hui (jeudi), j'étais bien relâché et j'ai réussi à faire tout ce que je voulais, entre guillemets.

Un premier tour, est-ce aussi un moyen d'essayer des choses ?
Je suis venu un peu plus à la volée. J'ai fait deux ou trois services-volées parce que je me sentais bien. J'essaie toujours de mettre un maximum de retours dans le terrain. Je n'ai pas trop mal retourné. Quand je peux, j'essaie d'avancer un peu plus. J'ai fait deux ou trois demi-volées du fond de court pour essayer de me pousser vers l'avant. Mais il ne faut pas oublier que c'est un joueur dangereux. Dès que j'ai un moment de speed, il me breake tout de suite. Il faut rester dans le match. On peut tenter sur quelques points, mais on n'a pas une marge incroyable.

Que pensez-vous de votre prochain match contre John Isner ?
Horrible (sourires). C'est vraiment le type de joueur que je déteste et on est beaucoup dans ce cas-là. Il faudra être patient et prendre l'ouverture quand il y en aura une. Il ne faut pas le sous-estimer du fond de court. Parfois, on le sous-estime et on se met à pousser la balle. On retourne et on se crispe dès qu'on entame l'échange. On se dit alors qu'il va rater, mais John joue vraiment mieux du fond de court. Il ne faut pas que je me dise : "j'ai retourné, le job est fait". Il faut lui rentrer dedans en fond de court. Il arrive beaucoup mieux à lâcher son coup droit. Il faudra aussi passer un maximum de premières balles. Je sais qu'il aime bien se jeter au retour sur les deuxièmes balles. Quand il arrive au filet, il n'est pas évident de le passer avec son envergure. Ce sera mental.

Cela met donc une grosse pression à l'échange.
Quand on arrive à retourner, on se dit qu'il faut tout de suite gagner le point. Il ne faut pas hésiter à l'agresser. Quand il y a un échange de quatre ou cinq frappes et qu'il te met un coup droit, tu as une paire de boules terrible. Il joue bien, il faut arriver à se relâcher du fond de court. » - Recueilli par S.D., à Montpellier

EXPLOIT de Gaël qui s'offre sa bête noire Isner au terme d'un Match extrêmement intense et à rebondissements !
Ce genre de Perfs, et la manière, met La Monf' en Pole Position pour la Finale de DC !!

BRAVO GAEL !!!!!

Demie face à Jo ! Ca promet pas mal ..

76 26 64 BRAVO GAEL !

Victoire REFERENCE face à Jo, LA PREMIERE !

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Monfils en impose


Au terme d’un match remarquable, Gaël Monfils est parvenu à battre pour la première fois de sa carrière Jo-Wilfried Tsonga en demi-finales à Montpellier. Pour le titre, le Parisien se mesurera à Ivan Ljubicic.

Gaël Monfils en avait-il marre de prendre des fessées face à Jo-Wilfried Tsonga ? Par trois fois dans le passé le Parisien se mesura à son compatriote et par trois il s’était incliné. Sans prendre le moindre set et sans même parvenir à lui prendre plus de trois jeux dans une même manche. D’ailleurs, lui-même en convenait avant cette demi-finale à Montpellier : l’agressivité du Sarthois le gênait et l’empêchait d’installer son jeu. D’où cet objectif, clairement exprimé au micro de Sport + : «Il faut que je lui rentre dans la gueule .» A lire sur le ton de l’amitié, évidemment, mais quand même, la note d’intention était bien là. Et des paroles aux actes, Monfils n’avait besoin que d’un jeu, le premier sur son service où il sauvait une balle de break, afin d’y parvenir. Certes, le Parisien ne menaçait guère le Manceau sur son engagement, mais au moins ne lâchait-il rien lui aussi sur sa mise en jeu. Conséquence logique, les jeux blancs se succédaient les uns aux autres pour déboucher sur un jeu décisif. Comme la veille face à Gilles Simon, où il s’inclinait 7 points à 0, Tsonga le ratait dans les grandes largeurs. Au point de passer près d’un nouveau fanny, Monfils l’empochant 7 points à 2 après avoir mené 5 à 0.

Monfils prend le filet d’assaut
Un dénouement logique pour le numéro 2 français, plus efficace en premières balles (81% de réussite contre 55% à Tsonga) et, surtout, beaucoup plus agressif (10 points gagnés sur 11 au filet). Sauf qu’au moment d’enfoncer le couteau dans la plaie, avec trois balles de break d’entrée de deuxième set, Monfils oubliait ses beaux préceptes pour redevenir plus attentiste. Il n’en fallait pas plus pour que Tsonga sauve son engagement en danger avant d’envoyer la «zoubline» de fond de court et au service. Au grand dam d’un Monfils dominé dans le registre puncheur et qui perdait une (3-1), puis deux fois sa mise en jeu (6/2). Et au moment d’analyser les statistiques de cette deuxième manche, le constat était simple : le Parisien ne passait plus que 55% de premières balles tout en montant deux fois moins souvent au filet. Autrement dit, d’agresseur, il reprenait le costume de l’agressé au grand bonheur d’un Tsonga dominateur. Mais cette demi-finale n’était pas au bout de ses rebondissements…

La troisième enfin la bonne ?
En effet, alors qu’il paraissait avoir l’emprise sur la rencontre, le Sarthois connaissait un terrible coup d’arrêt à 1-1. En cinq minutes chrono, Monfils remportait 9 points d’affilée, avec un break en poche au passage (1-3). Plus inquiétant encore pour Tsonga, il semblait souffrir physiquement. Tout du moins, c’est ce que laissaient transparaitre certaines de ses courses vers l’avant ou quelques attitudes grimaçantes de son visage. Néanmoins, accroché à sa mise en jeu comme à une bouée de sauvetage, le numéro 1 français ne perdait pas espoir et écartait même une balle de match sur son engagement pour rester à une petite encablure de son compatriote (4-5). Il poussait même le suspense jusqu’à 30-30 mais Monfils, d’une subtile amortie, puis d’un passing en bout de course exceptionnel, en terminait (7/6 2/6 6/4). Dimanche, pour sa troisième finale de l’année, la «Monf’» aimerait bien enfin en remporte rune cette année. Mais face à un Ivan Ljubicic en grande forme, comme l’a démontré sa très solide victoire ce samedi face à Albert Montanes (6/3 7/6), cela ne s’annonce pas simple du tout…

Résultats des demi-finales :
Ljubicic (Cro, 4) – Montanes (Esp, 6) 6/3 7/6
Monfils (Fra, 3) – Tsonga (Fra, 2) 7/6 6/2 6/4

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Tennis
Monfils : «Surfer sur la vague»


Malgré la fatigue après sa victoire contre Jo-Wilfried Tsonga, enchaînée par une défaite en double, Gaël Monfils se montre serein et heureux de l'évolution de son jeu.

«Gaël Monfils, comment analysez-vous votre match ?
J'ai fait un match solide avec différents épisodes. J'ai réussi à bien rentrer dans le match, je m'attendais à un Jo plus agressif d'entrée, cela m'a permis de me laisser un peu plus de temps pour développer mon jeu. Je me suis bien mis en confiance pour bien ficeler ce premier set. Ensuite, il a commencé à frapper beaucoup plus fort et plus tôt dans l'échange, cela m'a un peu gêné et j'ai connu un petit coup de moins bien. J'ai essayé de remettre de l'intensité à la fin du deuxième set. Je pense que cela a beaucoup joué en début de troisième set car il a eu un petit coup de pompe. Je sens alors qu'il commence à fatiguer, j'essaie donc de tenir une grosse cadence et de garder cette intensité pour conclure le match.

Vous gagnez 19 sur 24 montées. Est-ce le signe de votre volonté d'oser davantage ?
Cela faisait partie de ma tactique aujourd'hui et de la continuité de ce que j'essaie de faire : venir un peu plus au filet et oser un peu plus. C'est bien. La volée n'est pas un endroit où je me sens à l'aise, mais cela a l'air de bien fonctionner. Alors je vais continuer à surfer sur la vague. J'essaie de mettre mes volées dans le terrain, ce qui n'est pas toujours facile (sourires). Je m'applique.

Prenez-vous du plaisir à venir au filet ?
Oui, mais j'ai le coeur qui bat à 200 (sourires) à chaque fois que je vais au filet. Je me dis : je vais la mettre où ? Il y a quelques schémas où je suis beaucoup plus confiant et où j'arrive à prendre du plaisir. Quand je vois mon adversaire qui peut faire un passing, je suis un peu défait (rires).

Quelles seront les clés de la finale contre Ljubicic ?
Bien sûr, ma qualité de retour. Puis il faut que je continue à être agressif, je dois le déplacer et être bien concentré sur mes jeux de service.

Etes-vous plus tendu avant de disputer une finale ?
Non, mais je suis un peu plus fatigué. Là, je suis fatigué. La finale est tard, j'espère pouvoir bien dormir et bien récupérer.» - Recueilli par S.D., à Montpellier

Il va donc jouer Ljubicic en Finale, j'espère qu'il ne va pas ENCORE passer à côté d'une Finale !!!!!
Il est temps de quitter la loose attitude là
ALLEZ GAEL il est pour Toi ce Titre !!!!!!!!!!!!!!

Il jouera Schwank au 1er Tour de Valence.

1er Titre 2010 pour Gaël, après 2 échecs en Finales, 62 57 61 il bat Ljubicic en Finale de Montpellier !

C'est le 3ème Titre de sa Carrière, c'est aussi un Résultat qui le place en excellente Position en vue de la Finale de DC face aux serbes !

BRAVO GAEL !
La persévérance paye toujours !

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Monfils, ce héros


Gaël Monfils a décroché ce dimanche le troisième tournoi de sa carrière en remportant l'Open Sud de Montpellier grâce à son succès contre Ljubicic en finale (6-2, 5-7, 6-1). Le Parisien a conclu de la plus belle des manières une semaine idéale avec des victoires contre Isner et Tsonga notamment. De bon augure à quelques semaines de la finale de la Coupe Davis.

Gaël Monfils a vaincu le signe indien. Et redoré quelque peu un bilan famélique dans ses finales disputées sur le circuit ATP: neuf échecs en onze tentatives. Pas de quoi pérorer donc avant d'affronter Ivan Ljubicic en finale du tournoi de Montpellier. D'autant que le grand croate est un habitué des épreuves automnales en indoor. Mais au bout du compte, c'est bien le Parisien qui a soulevé le trophée pour cette première édition de l'Open Sud de France, successeur du Grand Prix de tennis de Lyon, s'imposant en trois manches (6-2, 5-7, 6-1).

Parfois critiqué pour son manque de réussite dans les derniers rendez-vous, impression qu'il a lui-même entretenue cette saison en s'inclinant en finale des tournois de Stuttgart (contre Albert Montanes) et de Tokyo (face à Rafael Nadal), Monfils a peut-être fait taire quelques sceptiques. Le protégé de Roger Rasheed a surtout confirmé son niveau de jeu exemplaire entrevu tout au long de la semaine avec des succès probants, notamment contre la machine à aces John Isner et contre son pote Jo-Wilfried Tsonga. Parcours logiquement couronné d'un troisième titre sur le circuit après Sopot en 2005 et Metz en 2009.

La partie n'était pourtant pas gagnée d'avance face à Ljubicic, "tenant du titre" puisque le Croate avait remporté la saison dernière le tournoi de Lyon avant son transfert dans l'Hérault. Le grand chauve, âgé de 31 ans et vainqueur en début de saison du Masters 1000 d'Indian Wells, apprécie toujours les tournois en indoor de fin d'année (deux titres à Lyon, deux à Vienne et un à Metz). Ses récents résultats parlent pour lui avec des demi-finales à Pékin et Stockholm. Et il n'a jamais perdu contre le Français sur surface dure. Mais Monfils a la main chaude depuis son arrivée à Montpellier, comme il y a un an à Paris-Bercy où il avait atteint la finale.

Le n°2 tricolore, qui pourrait bien dépasser Tsonga avant la fin de la saison, s'est appuyé sur une attitude conquérante sur le court pour construire ses victoires. Si imposer son jeu n'était pas chose aisée face à Isner, cette tactique a parfaitement brouillé les cartes contre le Manceau en demie et contre Ljubicic en finale. Preuve que Monfils peut forcer sa nature, parfois trop attentiste. L'image du joueur de contre n'est pas près de le lâcher mais voir le Parisien s'aventurer avec succès au filet montre qu'il a de sérieux arguments à faire valoir en indoor. Une bonne nouvelle pour Guy Forget à quelques semaines de la finale de la Coupe Davis face à la Serbie (du 3 au 5 décembre à Belgrade).

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Tennis -ATP- Montpellier
Du grand Monfils


Concentré et conquérant, Gaël Monfils a conclu avec autorité son excellente semaine par le 3e titre de sa carrière en battant (6-2, 5-7, 6-1) Ivan Ljubicic.

Dans le trio à cordes de Gaël Monfils, cette semaine à Montpellier, vous trouvez le premier titre de sa saison, une concentration constante et une volonté d'aller vers l'avant. Comme son jeu, sa joie est simple après sa victoire (6-2, 5-7, 6-1 en 1h52') contre Ivan Ljubicic. Avant l'US Open, le Français se cherche. Depuis l'US Open, il se trouve. Simplement. « Je parle, j'ai des petites techniques, j'essaie de ne plus me poser de questions et de faire. Pour l'instant, cela passe, se réjouit La Monf' après le troisième titre de sa carrière. Je n'ai pas reçu la leçon suivante sur le comment (sourires). Mais j'y arrive, je me tiens donc à ça. »

Il joue juste. Simplement. Pendant toute la semaine, il retourne très bien. En finale, il garde sa ligne de conduite, n'offre pas de points gratuits au Croate (seulement 6 aces et 42% de points gagnés sur sa seconde balle contre 11 aces au Tricolore) et dicte le jeu. Il a grandi et cela se traduit sur le court. Il ne subit plus (13 points sur 20 montées), quitte à rater. Il ose, quitte à (se) déplaire. Il reste dans sa bulle, quitte à s'apercevoir à 5-0 au troisième set que son oncle, sa tante et son cousin sont dans les tribunes.

Il ne s'affole pas et gomme les fioritures. Comme tout le monde, Gaël Monfils aime qu'on l'aime. Il a d'abord choisi le spectaculaire, parfois au détriment de l'efficacité. Aujourd'hui, il fait le spectacle avec son jeu. Le scénario du match montre bien son évolution. L'ancien Gaël Monfils aurait peut-être reculé pour se rassurer avec son jeu « naturel » à un set partout alors qu'il a mené 6-2, 3-1.

Le nouveau Gaël Monfils «reste dans [s]on match, essaie de rester très conquérant et revient à faire des choix très simples. J'essaie de ne pas m'affoler. » C'est simple et efficace. Mais ce n'est jamais lisse. A Montpellier, le joueur et l'homme Gaël Monfils montrent le même visage : celui d'un joueur concentré et conquérant. « Je comprends plus de choses. Je travaille sur moi, explique le 15e mondial. C'est vachement mental.» Dans son box, son entraîneur Roger Rasheed vient d'assister en direct au premier titre de son élève. Après l'avoir félicité, il peut se rasseoir et manger tranquillement sa pomme. Son protégé a bien digéré les leçons de vie d'une saison difficile.- Sophie DORGAN, à Montpellier

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Monfils «dans la continuité»


Simplement heureux de remporter le premier titre de saison, Gaël Monfils a insisté sur le travail «dans la continuité» pour garder sa concentration et sa volonté de jouer vers l'avant.

« Gaël Monfils, que ressentez-vous après votre premier titre de la saison ?
Je suis très content, d'autant plus que c'est un titre en France. Cela confirme que j'arrive à bien jouer en France, que j'aime bien cette ambiance, cette pression supplémentaire. Cela représente du travail. J'avais pas mal de doutes tout au long de la saison et cela fait du bien de pouvoir soulever un trophée.

Ivan Ljubicic a loué votre constance durant ce match. Qu'en pensez-vous ?
C'est la continuité de ma semaine de rester concentré tout le match. J'ai péché sur mon service, j'avais du mal à trouver mes trajectoires et mon rythme, notamment en deuxièmes balles. Cela s'est vachement ressenti à 3-1 au deuxième set. Je ne passe pas beaucoup de premières balles et il m'a tout de suite puni.

Comment allez-vous faire pour garder votre niveau de jeu jusqu'à Belgrade ?
Bonne question. Je ne sais pas. Je vais jouer à Valence et à Bercy. Je vais essayer de faire la même chose : être bien concentré, faire attention à mon corps et à l'enchaînement des voyages. Il faut que je continue à travailler de la même manière.

Est-il important de finir numéro 1 français en vue de la Coupe Davis pour affronter notamment Djokovic le dimanche ?
Cela m'importe peu. Numéros 1, 2, 3 ou 4. L'important est d'être dans l'équipe et je suis déjà dans l'équipe car on est tous dans l'équipe. On est une bande de six ou sept à être dans l'équipe. On forme un groupe et c'est ce groupe qui a emmené l'équipe de France en finale. D'être numéros 1 ou 7, peu nous importe. Ce qui nous importe, c'est gagner. Si je suis amené à jouer, il faudra le jouer Djoko, soit le vendredi, soit le dimanche. C'est pareil.» - Recueilli par S.D., à Montpellier

63 63 face à Schwank, Gael Continue sur sa lancée !

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Un record pour Monfils


Tombeur d'Eduardo Schwank au premier tour du tournoi de Valence, Gaël Monfils a signé sa 40e victoire de la saison sur le circuit ATP. Un record pour lui. Paul-Henri Mathieu s'est également qualifié à Bâle.

Les chefs de file du tennis français ont connu une journée contrastée ce mercredi. Pendant que le numéro 1, Jo-Wilfried Tsonga, devait annoncer la mort dans l’âme son forfait pour la fin de saison, et donc pour la très attendue finale de Coupe Davis en Serbie, son dauphin, Gaël Monfils enchaînait un sixième succès d’affilée sur le circuit en battant Eduardo Schwank pour son entrée en lice à Valence (6/3 6/3). Solide sur ses mises en jeu (seulement deux balles de break concédées), le n°14 mondial, qui vient de remporter le troisième tournoi de sa carrière à Montpellier le week-end dernier, porte ainsi à 40 son nombre de matches gagnés cette saison (pour 17 défaites). Un record personnel, qu’il aura l’occasion d’améliorer contre Stanislas Wawrinka en huitièmes de finale. Benoît Paire, l’autre Français en lice ce mercredi en Espagne, n’a pas connu la même réussite. Opposé à l’Espagnol Marcel Granollers, repêché suite au forfait de Tsonga, le jeune Pontétien (21 ans), qui participait pour la première fois de la saison à un tableau final d’un 500 series, s’est incliné en deux manches (6/2 6/4).