Jo-Wilfried Tsonga

Jo a fait un assez Bon Match face à Fed, en particulier au 2ème Set où il a bien tenu tête au suisse, hélas mille fois hélas ça n'a pas suffi ... Dommage qu'il n'ait pas su jouer aussi Bien d'entrée de Jeu ...

Bon Tournoi de Reprise, encourageant !

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Tennis - ATP - Doha
Federer encore trop fort


Malgré une bonne résistance au deuxième set, Jo-Wilfried Tsonga s'incline (6-3, 7-6) contre Roger Federer. En finale, le Suisse sera opposé à Rafael Nadal ou Nikolay Davydenko.

Connaissez-vous « le niveleur » ? Non, c'est normal. S'il n'existe pas dans le dictionnaire, il est bien présent sur le court. Avec ce petit néologisme, Jo-Wilfried Tsonga a résumé son défi contre Roger Federer. En six mois, le Français a disputé douze matches dont trois à Doha en raison de sa blessure au genou. Alors cette demi-finale contre le numéro 2 mondial prend des allures d'examen de passage : «C'est lui qui va me dire si je suis prêt ou si je suis loin du compte. Et si je me fais éclater, ça voudra dire qu'il faut que je travaille.»

Après sa victoire (6-3, 7-6 [2] en 1h21'), le « niveleur » lui apporte une petite réponse. JWT n'est pas si loin, mais il reste du travail. Et le scénario du match illustre le chemin de la reconstruction. Que faut-il pour revenir ? Du temps, du rythme, des repères et du physique. Au premier set, Roger Federer le prend à la gorge d'entrée avec un break. Le Français n'a plus l'habitude d'affronter des joueurs du calibre du numéro 2 mondial et cela se sent dans ses ajustements ou ses choix. Souvent pris de vitesse et avec une petite tendance à surjouer (28 fautes directes pour 20 points gagnants), il force et subit. Toujours aussi facile, Roger Federer distribue (21 points gagnants, 17 fautes directes).

Mais à 6-3, 1-1 (15-40), le protégé d'Eric Winogradsky commence à montrer son vrai visage. Il s'engage davantage dans ses frappes, prend les échanges à son compte et donne une belle réplique au Suisse. A l'heure du verdict, il retombe (logiquement) dans la précipitation. Au tie-break, il force en coup droit et laisse le « niveleur » conclure en voltigeur au filet. Ni trop loin, ni trop proche, Jo-Wilfried Tsonga manque simplement de rythme et de repères. Ces fameux petits détails qui font toute la différence contre les meilleurs, sont encore à peaufiner. Mais il est sur le bon chemin. Face au « niveleur », cela ne trompe pas. - S.D.

1er Tour à l'AO face à Petzschner

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Tennis - Exhibition
Tsonga s'incline


Jo-Wilfried Tsonga s'est incliné à Kooyong face à l'Autrichien Jürgen Melzer mais il n'y a pas beaucoup de renseignements à tirer d'un match joué finalement en un seul set à cause de la pluie qui a perturbé le déroulement de ce tournoi exhibition. Melzer, vainqueur 8-6, rejoint donc Gaël Monfils en demi-finales. Lleyton Hewitt, lui, s'est qualifié pour la finale en dominant Nikolay Davydenko en deux manches (6-3, 7-6[3]).

Oui, vu les conditions très particulières de ce "Match", on va vite oublier son Résultat ...

Ca passe à l'usure pour Jo mais D.ieu que ce fut dur, 46 26 62 63 64 ... OUF !!!!!!!!!

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Tennis - AUS (H)
Tsonga au courage


Jo-Wilfried Tsonga a renversé une situation fortement compromise afin de se qualifier mardi pour le deuxième tour de l'Open d'Australie face à Philipp Petzschner. Dans la souffrance, le Tricolore s'est imposé en cinq sets (4-6, 2-6, 6-2, 6-3, 6-4). Il affrontera désormais Andreas Seppi, tombeur d'Arnaud Clément.

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Tennis - AUS
Tsonga : «Pas dans un bon jour»


Après avoir remonté deux sets à zéro pour la première fois de sa carrière (4-6, 2-6, 6-2, 6-3, 6-4) face à Philipp Petzschner, Jo-Wilfried Tsonga évoque la pression, sa hanche qui couine et une victoire au physique.

« Jo-Wilfried Tsonga, comment avez-vous vécu ce match ?
C'était un match difficile. Je n'étais pas dans un bon jour. Les conditions étaient compliquées avec le froid. Mes deux premiers sets n'étaient pas très bons. Ensuite, j'ai été plus offensif et ça a fait la différence. Sur ce genre de match, la différence se fait sur le physique. Je suis prêt physiquement et lui ne l'était pas forcément.

On vous a vu grimacer pendant le match, avez-vous souffert physiquement ?
Comme il fait froid et humide, ça rouille un peu chez moi (sourires). C'est un peu difficile. J'ai mes petits soucis habituels. Ma hanche couinait un peu. Je n'étais pas au top sur les changements de direction. Mais cela ne m'empêche pas d'être sur le terrain, de jouer et de gagner. Je pense que j'avais la bonne attitude, je me suis accroché et j'ai fait ce que je pouvais avec les possibilités du moment. Etre un joueur de tennis, c'est aussi savoir s'adapter à tout ce qui se passe.

Est-ce que ces douleurs vous ont poussé à être plus agressif ?
Ca me gave, c'est reparti (il souffle). Je n'ai pas envie de parler de ça. Ca m'a permis d'être agressif, mais je l'aurais été quoi qu'il arrive. J'ai envie d'évoluer vers ce jeu-là offensif, c'est le tennis qui va me faire gagner des matches et m'amener loin dans ce tournoi.

Y avait-il aussi beaucoup de tension ?
Oui, il y avait beaucoup de tension. Je ne m'attendais pas à être aussi nerveux avant le tournoi. Les deux-trois jours avant le tournoi, j'étais un peu à bout. Je ne m'attendais pas à avoir cette pression-là. Il n'y a aucune raison parce que je reviens de blessure et c'est un peu comme un tournoi de reprise malgré Doha. Je ne m'attendais pas à être aussi stressé. Quand je suis entré sur le terrain aujourd'hui, je me demandais où j'étais sur les premiers jeux. C'était assez particulier.

C'est la première fois que vous remontez deux sets à zéro.
Oui, c'est fait. Quand j'aurais fait tous les scénarios possibles de match, ce serait bien de gagner un tournoi (sourires).

Comment avez-vous géré cette remontée ?
Dans ma tête, je me disais que le temps jouait en ma faveur. Dès le début du match, je savais que si je le faisais courir à droite, à gauche, cela allait l'entamer un peu physiquement et qu'ensuite, je prendrai plus facilement le dessus dans les échanges. Au début, il était rapide, il décalait donc beaucoup avec son coup droit et prenait le jeu à son compte. Quand cela s'est arrêté, j'ai pu avancer dans le terrain et imposer mon jeu.

Que pensez-vous de votre prochain adversaire, Andreas Seppi ?
C'est un très bon joueur qui joue beaucoup en contre. Il aime la cadence, il est assez complet. Il ne sert pas trop mal, il est bon des deux côtés, il sait un peu tout faire, mais il n'est pas très puissant et il n'a pas un coup qui fait très mal. Il va falloir exploiter ça. » - Recueilli par Sophie DORGAN, à Melbourne

Prochain Tour face à Seppi, Tombeur hélas de "la Clé" ...

63 76 76 Solide Match de Jo qui s'évite tout piège face au Tombeur d'Arnaud Clément !

BRAVO JO !!

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Tennis - AUS (H)
Tsonga se rassure


Après un premier match éprouvant, Jo-Wilfried Tsonga se rassure en dominant (6-3, 7-6, 7-6) Andreas Seppi pour retrouver Alexandr Dolgopolov au troisième tour.

Jo-Wilfried Tsonga va bien. Merci. Après sa victoire (6-3, 7-6 [1], 7-6 [5] en 2h30') contre Andreas Seppi, le Français envoie un message positif. Ce n'est pas encore du grand Jo, mais c'est du bon Jo. Pourtant, il a mal dormi. Et ce n'est pas le stress qui l'envahit logiquement quand l'événement en vaut la peine... C'est Gilles Simon. En bon professionnel, il se couche à deux sets partout et ne va pas voir la fin du match de son copain. Mais à cinq heures du matin, il se réveille et ne résiste pas à regarder le résultat à la télé: « C'était vraiment un beau match, j'ai bien kiffé. »

Quelques heures plus tard, il apprend une première bonne nouvelle : il fait beau. Avec la chaleur, il « rouille » moins et sa hanche ne couine plus. Et sur le court, cela se ressent. Deuxième bonne nouvelle : il joue mieux. Face à un Italien au jeu très complet mais sans coup fort, il peut s'exprimer. Alors il prend le contrôle du jeu avec ses décalages en coup droit et son service très efficace (20 aces, 64% de premières balles). « Aujourd'hui, j'ai joué contre un bon joueur, très solide. Il fallait vraiment savoir faire le jeu, savoir temporiser, j'ai bien mené ma barque, savoure le 13e mondial. Je suis content. »

Après un premier set bien contrôlé, il cède son premier break à 4-4 dans la deuxième manche avant de se reprendre immédiatement pour conclure sur un tie-break de costaud. En quelques minutes, il montre ces « quelques petites choses à régler ». Son manque de match lui fait parfois perdre le fil et provoque quelques fautes bêtes (47 fautes directes). Mais son envie d'en découdre et son mieux-être physique lui font dégager une puissance de bon augure avec des frappes libérées. «Je suis dans un esprit plutôt positif. Je me dis que je n'ai pas beaucoup de matches derrière moi et qu'il y a des petites choses à régler, résume le Tricolore. C'est dans la logique des choses et j'espère que cela va se mettre en place petit à petit. »

Alors il alterne les hauts et les bas, à l'instar de la fin du troisième set où il perd son break à 5-3. Sa faim de mordre dans la balle le conduit parfois à une certaine impatience. Mais il travaille sur son attitude pour éviter de tomber dans la frustration : « Je fais beaucoup d'efforts. Je ne parle pas beaucoup, je ne me plains pas beaucoup, je trouve que je suis bien concentré. » Mais il ne nie pas ses origines en riant : « Je suis un bon Français, j'ai tendance à me plaindre un peu trop souvent. » Mais le soleil atténue ses peines et il ne regarde que son prochain tour contre Alexandr Dolgopolov, un poison talentueux. Quand on lui demande de voir plus loin et d'envisager son adversaire des huitièmes, il répond en hésitant : « Rafael Nadal, non ? » Pas vraiment, Jo, mais c'est bien de vivre au jour le jour. - Sophie DORGAN, à Melbourne

Ca sera sûrement TRES DIFFICILE face à Dolgopolov, ils se sont joués l'An Dernier, à Londres, et Jo ne s'était imposé qu'aux forceps, en 5 Sets particulièrement accrochés ...

C'est fini pour Jo qui s'incline en 5 face à Dolgopolov !

Jo a fait beaucoup trop de fautes directes Aujourd'hui pour espérer passer face à ce Joueur qui est un espoir du tennis et qui "explose" en quelque sorte à l'occasion de cet AO.
Bravo à Lui !

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Tennis - AUS (H)
Tsonga à bout de souffle


Fatigué et trop inconstant, Jo-Wilfried Tsonga s'incline (3-6, 6-3, 3-6, 6-1, 6-1) contre Alexandr Dolgopolov. En huitièmes de finale, l'Ukrainien affrontera Robin Söderling.

C'est grave, docteur ? Non, soutient Jo-Wilfried Tsonga après sa défaite (3-6, 6-3, 3-6, 6-1, 6-1 en 2h19') contre Alexandr Dolgopolov. La hanche qui couine ? « Non, je ne suis pas blessé », assure le Français. Alors on insiste... Jo, vous étiez vraiment à 100% ? « J'étais à 100%, je manque juste un peu de rythme », soutient le 13e mondial. Quand on regarde les deux derniers sets qui défilent en 44 minutes, quand on voit le Tricolore se frapper de dépit la hanche, quand on observe ses appuis s'effriter, on ne peut pas s'empêcher de craindre le pire. Alors on insiste... Jo, pourquoi ce manque de révolte ? « Avec la fatigue, il y a une certaine érosion. Il ne faut pas croire que quand on court partout, c'est normal », soutient l'ancien finaliste de l'épreuve.

Face à l'Ukrainien, Jo-Wilfried Tsonga paie donc ses six mois d'absence. Et ce n'est pas que physique. Jusqu'à 6-3, 3-2, service à suivre, il joue très bien. Sa puissance écrase le talent d'Alexandr Dolgopolov. Mais son esprit s'égare, il perd le fil du match et encaisse quatre jeux d'affilée. Le corollaire du manque de match, c'est aussi les sautes de concentration : « Je rate le coche, je sors un peu de mon match, déplore le Manceau, auteur de 58 fautes directes dont huit doubles. Je ne joue pas bien ce jeu-là et cela défile un peu trop vite. » C'est plus qu'une alerte. Le protégé d'Eric Winogradsky manque d'essence et ce deuxième set lui coûte très cher.

Plus le temps passe, plus le couguar se transforme en matou qui cherche l'ombre sous le soleil du Margaret Court. « Je sentais que je n'avais pas l'autonomie. C'est vrai que sur certains jeux, je me disais : celui-là, il passe à l'as. Si je cours et que je perds le jeu, cela me fait perdre dix minutes d'autonomie, explique avec un sourire Jo-Wilfried Tsonga. Je n'avais pas le truc. Je n'avais pas une grande confiance au service. Cela m'a handicapé.» Le combattant laisse tomber les armes et Alexandr Dolgopolov peut dérouler avec son excellent service, son toucher de balle et sa vitesse de bras. Il cueille le Français à bout de souffle.

Son premier tour en cinq sets, ses matches accumulés en début de saison pour rattraper le temps perdu et son absence prolongée se lisent dans les deux derniers sets. « Le clignotant, c'est de la fatigue générale. Il n'y a rien de plus naturel et d'humain, souligne le Manceau. Ce n'est pas naturel quand on n'est jamais fatigué. » Et le clignotant d'une 19e ou 20e place mondiale n'inquiète pas le Français : « Cela va me faire du bien de prendre une petite claque car cela faisait un petit moment que j'étais installé dans mon petit fauteuil sans faire vraiment de grands trucs. Cela va me booster. » En attendant, le tennis français est à plat... - Sophie DORGAN, à Melbourne

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Tennis
Tsonga : «Ce n'est pas une catastrophe»


Malgré la déception de sa défaite contre Alexandr Dolgopolov dans un match à sa portée, Jo-Wilfried Tsonga relativisait et rappelait qu'il lui fallait du temps pour retrouver son rythme.

« Jo-Wilfried Tsonga, comment analysez-vous cette défaite ?
Mon adversaire jouait bien, j'ai manqué pas mal d'opportunités, je n'ai pas joué mon meilleur niveau aujourd'hui. Ça suffit pour expliquer la défaite.

Etiez-vous à 100% ?
J'étais à 100%, je manque juste un peu de rythme. J'ai perdu un peu d'énergie dans des petits trucs et cela m'a empêché de bien terminer. Je force encore pas mal. Comme je manque de rythme, je ne prends pas la balle au bon moment, pas toujours au bon endroit, je force beaucoup, ce n'est pas encore fluide. Plus les matches sont importants, plus cela se ressent.

Comment expliquez-vous cette fatigue ?
Il faut être dans la logique. Je n'ai pas joué les six derniers mois de l'an dernier. Je ne vais pas arriver les trois premiers mois et éclater tout le monde. Même Rafa n'y arrive pas. Comment moi, je vais y arriver (rires) ? Quand on est blessé longtemps, c'est vachement dur et cela prend du temps. Il faut accepter de perdre un peu de sa superbe et d'être obligé de refaire les fondations. Il faut bosser et se remettre en question un peu tous les jours, comme tout le monde. Aujourd'hui, je suis triste et déçu d'avoir perdu, mais ce n'est pas une catastrophe. Cela ne va pas m'handicaper pour la suite.

Avez-vous trop joué avant l'Open d'Australie ?
J'ai beaucoup joué pour une reprise, pour mon genou. Le médecin m'avait dit de faire une semaine de tournoi et deux semaines de repos. Je n'ai pas trop fait ça parce que je sentais que mon genou était assez solide. J'ai trouvé un juste milieu en faisant des exhibitions, ce n'est pas là où j'ai donné le plus. A Doha, j'ai fait trois bons matches, c'était bien pour préparer l'Open d'Australie. Ici, je fais trois matches. C'est peut-être un mal pour un bien. Cela va peut-être me permettre d'être en forme à Rotterdam et à Marseille. Les saisons sont longues et j'ai encore de nombreuses années devant moi. Je pourrai rejouer des Open d'Australie. L'important, c'est que j'arrive au top de mon niveau à un moment donné. Ce qui m'importe vraiment, c'est de gagner un grand tournoi et faire un truc fabuleux. Crapoter, faire un huitième de finale, ce n'est pas mon rêve.

Comment vivez-vous la descente aux alentours de la 20e place ?
Cela va me faire du bien de prendre une petite claque car cela faisait un petit moment que j'étais installé dans mon petit fauteuil sans faire vraiment de grands trucs. Cela va me booster. » - Recueilli par S.D., à Melbourne

Oui ce n'est évidemment pas la fin du monde, Jo est en manque de Matchs et de rythme, un peu à l'image de Ju il faut lui laisser du temps pour revenir au TOP après sa blessure et sa longue indisponibilité ...

Jo débutera Rotterdam face à un Qualifié.