Jo-Wilfried Tsonga

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Tennis - Montpellier
Tsonga «dans les temps


Avant d'affronter Frederico Gil, Jo-Wilfried Tsonga revient sur son état de forme. Il se sent de mieux en mieux et dans les temps pour la grande échéance de la Coupe Davis.

«Jo-Wilfried Tsonga, à quel niveau situez-vous votre état de forme ?
Je ne sais pas. Le terrain me le dira. Jour après jour, je me sens mieux. Je suis plus près de mon meilleur niveau qu'à Shanghaï. Je suis mieux sur mes appuis, j'ai un peu moins d'appréhension, je tape mieux la balle, je me déplace plus vite et j'anticipe un peu mieux.

Comment pouvez-vous enlever cette appréhension ?
C'est avec le temps. Au bout d'un moment, le corps oublie ce qui s'est passé. J'ai du temps d'ici la Coupe Davis. Je pense que cela va le faire. La Coupe Davis ne me semble ni trop loin, ni trop proche.

Vous êtes-vous fixé un plan de bataille pour votre retour ?
Non. Je sais qu'il ne faut pas brûler les étapes. Je sais que cela va venir. Je fais tout pour. Il n'y a pas de secret, on est toujours récompensé du travail qu'on fournit.

La victoire de Troïcki à Moscou a-t-elle changé la perception de votre défaite ?
Non, j'étais content après ma défaite parce que je n'avais pas encore beaucoup de matches dans les jambes, je pensais avoir réalisé un bon match et je n'étais pas loin de le battre en deux sets. Je me dis alors que je joue bien au tennis et que je suis dans les temps. Son titre confirme donc ce que je pensais. Je ne me pose pas trop de questions.

Etes-vous dans la dernière ligne droite avant la finale de Coupe Davis ?
Bien sûr. Cela reste un objectif pour mes coéquipiers et moi. On essaie d'aller tous dans le même sens. Tout le monde y pense. On doit être une dizaine à y penser et on ne sera que cinq à partir. Mais c'est une concurrence saine. On se pousse vers le haut.

Avez-vous le sentiment d'être indiscutable en équipe de France ?
Non, personne n'est indiscutable. Cela dépend de la forme du moment, de la surface, etc. Dans notre équipe, personne n'est indiscutable, il faut faire ses preuves. Même Federer en méforme n'est pas indiscutable. C'est au capitaine de faire ses choix. Il y a pas mal de facteurs qui entrent en compte sur une finale de Coupe Davis, cela va être compliqué pour Guy (Forget, le capitaine).» - Recueilli par Sophie DORGAN, à Montpellier

Bon, c'est comme Mika, physiquement tout semble aller mieux !

63 64 Jo assure face à Gil !

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Tennis - ATP - Montpellier
Tsonga débute bien


Pour son entrée en lice, Jo-Wilfried Tsonga réalise un match solide et s'impose (6-3, 6-4) contre Frederico Gil.

« Jo, t'es le plus beau ». La supportrice n'a pas tort. Avec Jo-Wilfried Tsonga, c'est souvent une question de physique. Débarrassé de ses douleurs au genou, il cherche encore ses marques. « J'ai mis un peu de temps à me relâcher, mais je suis content d'avoir réussi à le faire sur la fin», explique le Manceau. Lors des dix premières minutes, il tâtonne, sauve trois balles de break à 1-1 et la machine est lancée pour s'imposer (6-3, 6-4 en 1h15') contre Frederico Gil. Ses appuis sont plus stables, sa première balle (68%, 11 aces) claque et il marche progressivement sur son adversaire.

Le Portugais court, le Français dicte le jeu. Malgré certaines scories (24 fautes directes pour 38 points gagnants), il maîtrise. Deux balles de break, deux breaks à 2-1 au premier set et à 3-3 dans la deuxième manche. Le 13e mondial délivre une copie propre, sans plus. Mais c'est déjà très bien. «J'étais un peu crispé au début, avoue la tête de série n°2. Sur la fin, j'ai retrouvé ce qui fait ma force, cette envie d'aller de l'avant, de frapper fort et d'être agressif.» Le public montpelliérain a le temps d'apprécier les smashes en extension ou de s'extasier sur les aces à plus de 210 km/h.

Comme un bon téléfilm, c'est simplement agréable à regarder. Frederico Gil se présente comme le second rôle idéal pour faire briller la tête d'affiche. Le 100e mondial se bat, défend bien, mais ne possède pas les armes pour inquiéter le Français. Dans les tribunes, Guy Forget, le capitaine de l'équipe de France, observe, Amélie Mauresmo, l'amoureuse de la petite balle jaune, signe des autographes, et Eric Winogradsky, l'entraîneur de Jo-Wilfried Tsonga, savoure une entrée en matière tranquille. Pour le passage au 7e art, il faut attendre le prochain tour avec un possible affrontement contre David Nalbandian ou Gilles Simon. Et son admiratrice a bien raison, la question du physique est capitale. JWT n'a plus d'appréhension et c'est déjà beaucoup : «Je recommence à faire des glissades et à m'engager physiquement. Je peux encore mieux bouger, mais c'est déjà un bon début.» S.D., à Montpellier

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Tennis
Tsonga : «Besoin de me rassurer»


« Jo-Wilfried Tsonga, comment avez-vous vécu ce premier match ?
J'étais un peu tendu au début. Quand j'ai beaucoup de matches, je ne suis pas très inquiet lors de ce genre de match et je joue assez relâché. Là, j'avais vraiment envie de bien faire. J'étais donc un peu crispé au début. Sur la fin, j'ai retrouvé ce qui fait ma force, cette envie d'aller de l'avant, de frapper fort et d'être agressif.

Avez-vous des inquiétudes quand vous affrontez Frederico Gil ?
Bien sûr, j'ai des inquiétudes avant d'entrer sur le terrain. Je ne suis pas un joueur en confiance, je n'ai pas trois mois de compétition, une dizaine de tournois et une quinzaine de victoires derrière moi. J'ai trois ou quatre victoires derrière moi, c'est tout. Je ne suis pas au top de ma confiance. Quand je démarre mes matches, je suis un peu moins sûr de moi. Je sais qu'avec le temps et surtout avec les bonnes victoires, cela va revenir. Je fais le métier.

On parle souvent de manque de repères ou de match. Comment cela se traduit-il ?
Quand on dit ça, il ne faut pas se voiler la face : cela veut dire qu'on n'a pas confiance. On n'a pas confiance en nos coups, on ne sait pas si nos coups vont faire mal, si nos coups vont être dans le terrain. On tremble un peu plus, on a tendance à y aller un peu moins franchement et c'est souvent ce qui amène à la faute.

Votre appréhension sur vos appuis a-t-elle disparu ?
Oui. Je recommence à faire des glissades et à m'engager physiquement. Je peux encore mieux bouger, mais c'est déjà un bon début. Mon corps oublie ce qui s'est passé avec ma blessure. Il y a encore quelques jours, quand je posais mon appui, je me disais : il s'est passé quelque chose. Maintenant, j'y vais franchement. Ces petites étapes-là vont m'amener à mon meilleur niveau assez vite si ça continue comme ça.

Avez-vous besoin d'affronter des gros clients ?
Oui, j'ai besoin de me rassurer. J'ai besoin de victoire contre des très bons joueurs. Battre Frederico Gil, c'est bien, mais ce n'est pas ce qui va construire ma confiance. Ma confiance va se construire en battant des joueurs susceptibles de s'approcher du top 10 ou au moins du top 20.» - Recueilli par S.D., à Montpellier

Il jouera Simon au Prochain Tour !

Jo s'impose à l'usure face à Gilles, 63 67 63 ! Perf' qui le met en assez Bonne Place en vue de la Finale de DC à venir ..

Il jouera Gaël en 1/2, ce sera aussi un Match IMPORTANT dans l'optique de cette fameuse Finale contre la Serbie !

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Tennis-Montpellier
Tsonga : «Au top à Belgrade»


Après sa victoire contre Gilles Simon, Jo-Wilfried Tsonga se montrait satisfait de l'évolution de sa forme et il est convaincu d'être prêt pour la finale de Coupe Davis.

« Jo-Wilfried Tsonga, comment analysez-vous votre match ?
J'ai fait un super match. Même si j'avais perdu, j'aurais été content de moi car je joue mieux, j'ai des phases de jeu qui commencent à se mettre en place. Je sers mieux et plus fort, je suis plus agressif. Par exemple, j'ai pu jouer mon coup droit dans la foulée ce que je n'arrivais pas à faire ces derniers temps. C'est beaucoup mieux.

Vous avez mis beaucoup plus d'intensité physique.
Depuis Moscou, j'ai bossé. Mon entraîneur physique est venu ici pour qu'on travaille. Je suis content parce que cela avance et que je reviens vers mon meilleur niveau. Battre Gilles sur cette surface, ce n'est pas facile. Il colle à la balle tout le temps, il ne donne pas de rythme. Il faut vraiment être très agressif. Quand on connaît ses qualités de contreur, je ne pouvais pas partir de trop loin. Sur une balle molle, il faut vraiment s'engager, mais on s'expose toujours soit à un contre, soit à une faute. Il faut donner beaucoup d'énergie dans cette balle.

Après ce genre de match, êtes-vous convaincu d'être à 100% pour la finale de Coupe Davis ?
Franchement, oui (sourires). Je suis convaincu d'être au top là-bas. J'aurai des matches dans les jambes, on aura eu le temps de se reposer, de s'entraîner. Si je suis pris dans l'équipe, je pense que je serai prêt.

Maintenant, vous cherchez juste la confiance.
Je cherche les victoires et la confiance. C'est clair que je ne vais aller chercher Djokovic en ayant seulement battu Frederico Gil. C'est plutôt en battant des gars comme Gilles ou Gaël et en gagnant des tournois qu'on se dit qu'on est capable. Je suis sûr d'en être capable, mais le faire, c'est autre chose. Quand on a déjà couru le 100 m en moins de dix secondes, on se dit qu'on est capable de le faire sur la course suivante. Mais est-ce qu'on va le faire ce jour-là ? Contre des joueurs comme Djoko, il faut jouer le match « parfait », il n'y a pas le choix. Il faut tous les paramètres. Aujourd'hui, je ne suis pas encore au top pour battre un tel joueur, il me manque encore deux ou trois semaines dans les jambes.» - Recueilli par S.D., à Montpellier

67 62 46 Jo doit encore travailler ... Défaite face à Gaël Aujourd'hui en 1/2 !

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Monfils en impose


Au terme d’un match remarquable, Gaël Monfils est parvenu à battre pour la première fois de sa carrière Jo-Wilfried Tsonga en demi-finales à Montpellier. Pour le titre, le Parisien se mesurera à Ivan Ljubicic.

Gaël Monfils en avait-il marre de prendre des fessées face à Jo-Wilfried Tsonga ? Par trois fois dans le passé le Parisien se mesura à son compatriote et par trois il s’était incliné. Sans prendre le moindre set et sans même parvenir à lui prendre plus de trois jeux dans une même manche. D’ailleurs, lui-même en convenait avant cette demi-finale à Montpellier : l’agressivité du Sarthois le gênait et l’empêchait d’installer son jeu. D’où cet objectif, clairement exprimé au micro de Sport + : «Il faut que je lui rentre dans la gueule .» A lire sur le ton de l’amitié, évidemment, mais quand même, la note d’intention était bien là. Et des paroles aux actes, Monfils n’avait besoin que d’un jeu, le premier sur son service où il sauvait une balle de break, afin d’y parvenir. Certes, le Parisien ne menaçait guère le Manceau sur son engagement, mais au moins ne lâchait-il rien lui aussi sur sa mise en jeu. Conséquence logique, les jeux blancs se succédaient les uns aux autres pour déboucher sur un jeu décisif. Comme la veille face à Gilles Simon, où il s’inclinait 7 points à 0, Tsonga le ratait dans les grandes largeurs. Au point de passer près d’un nouveau fanny, Monfils l’empochant 7 points à 2 après avoir mené 5 à 0.

Monfils prend le filet d’assaut
Un dénouement logique pour le numéro 2 français, plus efficace en premières balles (81% de réussite contre 55% à Tsonga) et, surtout, beaucoup plus agressif (10 points gagnés sur 11 au filet). Sauf qu’au moment d’enfoncer le couteau dans la plaie, avec trois balles de break d’entrée de deuxième set, Monfils oubliait ses beaux préceptes pour redevenir plus attentiste. Il n’en fallait pas plus pour que Tsonga sauve son engagement en danger avant d’envoyer la «zoubline» de fond de court et au service. Au grand dam d’un Monfils dominé dans le registre puncheur et qui perdait une (3-1), puis deux fois sa mise en jeu (6/2). Et au moment d’analyser les statistiques de cette deuxième manche, le constat était simple : le Parisien ne passait plus que 55% de premières balles tout en montant deux fois moins souvent au filet. Autrement dit, d’agresseur, il reprenait le costume de l’agressé au grand bonheur d’un Tsonga dominateur. Mais cette demi-finale n’était pas au bout de ses rebondissements…

La troisième enfin la bonne ?
En effet, alors qu’il paraissait avoir l’emprise sur la rencontre, le Sarthois connaissait un terrible coup d’arrêt à 1-1. En cinq minutes chrono, Monfils remportait 9 points d’affilée, avec un break en poche au passage (1-3). Plus inquiétant encore pour Tsonga, il semblait souffrir physiquement. Tout du moins, c’est ce que laissaient transparaitre certaines de ses courses vers l’avant ou quelques attitudes grimaçantes de son visage. Néanmoins, accroché à sa mise en jeu comme à une bouée de sauvetage, le numéro 1 français ne perdait pas espoir et écartait même une balle de match sur son engagement pour rester à une petite encablure de son compatriote (4-5). Il poussait même le suspense jusqu’à 30-30 mais Monfils, d’une subtile amortie, puis d’un passing en bout de course exceptionnel, en terminait (7/6 2/6 6/4). Dimanche, pour sa troisième finale de l’année, la «Monf’» aimerait bien enfin en remporte rune cette année. Mais face à un Ivan Ljubicic en grande forme, comme l’a démontré sa très solide victoire ce samedi face à Albert Montanes (6/3 7/6), cela ne s’annonce pas simple du tout…

Résultats des demi-finales :
Ljubicic (Cro, 4) – Montanes (Esp, 6) 6/3 7/6
Monfils (Fra, 3) – Tsonga (Fra, 2) 7/6 6/2 6/4

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Tennis
Tsonga : «Il me reste un peu de boulot»


Malgré une douleur au genou après sa défaite contre Gaël Monfils, Jo-Wilfried Tsonga préférait rester optimiste et garder le positif de son tournoi montpelliérain.

« Jo-Wilfried Tsonga, êtes-vous inquiet sur l'état de votre genou ?
Inquiet, non. Pour l'instant, il ne se passe rien (sourires). Je commence à le sentir un peu, mais je sais que lors d'une reprise, c'est récurrent, cela chauffe et cela fait un peu mal. En revenant, je vais passer par Paris pour passer des examens médicaux et partir pour Valence, puis Bercy. J'espère que ça va aller. On ne sait jamais trop avec ce genre de douleur car il fait humide depuis deux jours et je sais que je réagis beaucoup à ça. On en saura plus dans deux ou trois jours.

Avoir déjà connu de graves blessures vous aide-t-il à rester aussi serein ?
Cela m'aide forcément. Au départ, on a distribué les cartes comme ça. On a dit : toi, tu vas être un peu blessé (sourires). Maintenant, je suis au courant. Je gère ma carrière, je n'ai pas le choix. Si je pouvais évidemment arrêter tout ça, je signerais. Mais pas pour n'importe quoi ! Si on me dit que les blessures sont finies d'un coup de baguette magique, je dis Okay, mais je sais que c'est impossible. Je le prends donc avec du recul. J'ai déjà la chance de pouvoir être joueur de tennis et d'évoluer à ce niveau-là. Je suis passé par tellement d'étapes dans ma carrière avant d'arriver jusqu'ici, j'aurais très bien pu ne plus jamais jouer au tennis après mon hernie discale, je suis revenu. J'essaie de progresser à chaque fois, je demande à mon corps toujours un peu plus, la nature est faite comme ça. Il faut de tout pour faire un monde (il chante en souriant).

Malgré la défaite, ce match vous apporte-il quelques certitudes ?
Oui, j'ai des certitudes. Au cours de ce tournoi, je me suis prouvé que mon jeu était là. J'ai des super sensations, je sens bien la balle.

Sur vos quatre tournois de reprise, qu'avez-vous appris ?
Au premier tournoi, j'étais content d'être sur le terrain. Au deuxième, je me suis dit que mon tennis n'avait pas disparu et que je pouvais encore gagner des matches. Au troisième, je me suis dit que je n'étais pas loin de très bien jouer au tennis. Cette semaine, j'ai confirmé que je ne suis pas si loin de mon meilleur niveau et qu'il reste encore un peu de boulot d'ici la Coupe Davis. » - Recueilli par S.D., à Montpellier

Il jouera un Qualifié au 1er Tour de Valence.

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Tennis - ATP - Valence
Tsonga forfait


On s'inquiétait de l'état de ce genou convalescent après la défaite en demi-finales à Montpellier face à Gaël Monfils. Jo-Wilfried Tsonga s'était voulu rassurant, mais on apprenait finalement lundi dans les colonnes de L'Equipe que le Français était contraint de renoncer au tournoi de Valence. Déjà éloigné des courts depusi Wimbledon suiite à cette blessure, Tsonga tente un retour gagnant en vue évidemment de la finale de la Coupe Davis début décembre à Belgrade. La seule chose certaine ce lundi est qu'il passera des examens médicaux mardi (IRM et échographie) afin d'évaluer cette apparente rechute.

C'est pas vrai ... Qu'est ce qu'il est fragile ... Un vrai "colosse au physique d'argile" ...

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Tennis - ATP
Fin de saison pour Tsonga


L'annonce d'une conférence de presse ce mercredi au Park Hyatt à Paris ne laissait présager rien de bon. Et c'est confirmé, Jo-Wilfried Tsonga a effectivement annoncé la fin de sa saison en raison de sa blessure au genou gauche. «Je ne vais pas jouer Bercy (7-14 novembre) et la Coupe Davis (finale, 3-5 décembre) à cause de ma blessure contractée à Montpellier, c'est un peu une rechute après ma blessure de cet été», a-t-il expliqué. Le 13e joueur mondial et n°1 frnaçais avait de nouveau ressenti des douleurs samedi lors de sa défaite contre Gaël Monfils en demi-finale du tournoi de Montpellier (7-6[2], 2-6, 6-4). Des examens médicaux passés mardi ont révélé une nouvelle inflammation du tendon sous-rotulien gauche.

On s'y attendait mais ça fait mal ! C'était l'un des seuls, si ce n'est le seul, à pouvoir battre Nole ...

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Tennis - Tsonga
Forget : «Son planning était bon»


Au micro de France Info, Guy Forget a réagi à la «mauvaise nouvelle» du forfait de Jo-Wilfried Tsonga, blessé au genou gauche : « Il avait tout axé sur la finale de la Coupe Davis, il a d'ailleurs peut-être repris un peu trop tôt là où les médecins lui conseillaient d'attendre peut-être quinze jours de plus. Mais il savait qu'il lui fallait un minimum de tournois pour être en confiance et moi je trouvais aussi que son planning était bon. Quand on a battu l'Espagne (en quarts) et l'Argentine (en demi-finales), Jo n'était pas là non plus et ses copains avaient assuré de manière remarquable. Aujourd'hui, il n'y a pas de complexe à avoir. A Montpellier, j'ai vu du bon tennis de la plupart d'entre eux. Gilles (Simon) rejoue très bien, Richard (Gasquet) aussi et Gaël a gagné le tournoi. Je touche juste du bois pour qu'il n'y ait pas de nouvelles blessures.» (AFP)

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Jo Tsonga > Tsonga à l'entraînement

Par Thomas Lombardi, mardi 07 décembre 2010 à 12:21


Jo-Wilfried Tsonga reprend l'entraînement aujourd'hui. Après un mois d'arrêt, suite à une blessure à son genou gauche, le n°2 français est désormais tourné vers l'Open d'Australie.

Bonne Nouvelle ! Allez Jo !

Je croise les doigts pour qu'ENFIN son physique le laisse en paix parce que franchement, quelle poisse effroyable il traine depuis des années ...