Jo-Wilfried Tsonga

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Roland Garros > Emilie Loit soutient Tsonga

Par Fabien Gauvin, jeudi 27 mai 2010 à 08:55


Retirée des courts de tennis l'année dernière, Emilie Loit est désormais consultante pour Eurosport. Suivant de plus près ce Roland Garros, elle revient aujourd'hui dans Métro sur la colère de Tsonga. Celui-ci a ouvertement regretté la programmation hier.

"Je comprends sa grogne. Il n'y a qu'en France que l'on voit cela. Partout ailleurs la priorité aurait été donnée aux joueurs locaux. Jo n'est pas n'importe qui. Il est numéro un tricolore et dispute un Grand Chelem à domicile. C'est un joueur spectaculaire et charismatique qui fait se déplacer les foules. On peut y voir un manque de reconnaissance sinon une faute de goût. Pour autant, il ne faut pas se voiler la face, les organisateurs subissent aussi des pressions des télés qui exigent des têtes d'affiche pour lancer la quinzaine sur les meilleures bases. Chacun y voit son intérêt. Mais il ne faudrait jamais perdre de vue l'essentiel. Au final, qu'y a-t-il de plus important? Le sportif ou ce qu'il y a à côté?". Le débat est posé...

Où est le problème ??? Il débute Dimanche, il a un Jour de repos en plus ... Quelle différence avec le Lundi ???
Il préfère jouer sur le dernier Court du Stade à 20 h ????

Tantôt pas assez médiatisés, tantôt trop, jamais contents ces français ...

Avec tout le fric qu'ils gagnent ils pourraient s'estimer heureux et la mettre 5 minutes en veilleuse parce qu'avec lui qui s'y met maintenant, la Bartoli, la Rezai ...

67 76 63 64 Jo a fini par venir à bout du coriace De Bakker mais D.ieu que ce fut dur ...

Il sert super bien ce hollandais, il a une belle gifle de coups droits aussi et un joli toucher avec les nombreuses amorties qu'il a su faire ...

Jo a souffert tant tennistiquement que physiquement (mal à la jambe et au poignet gauche) mais il a su être suffisamment COURAGEUX et patient pour peu à peu "le faire à l'usure et à l'expérience", SUPERBE Force Mentale

Bravo Jo !!
Dernier français en lice, déjà ...

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Tennis - RG (H)
Tsonga dans la douleur


Touché à la jambe droite, Jo-Wilfried Tsonga est allé au-delà de la douleur pour battre (6-7[6], 7-6[7], 6-3, 6-4) le Néerlandais Thiemo de Bakker. Son prochain adversaire : Victor Troicki ou Mikhail Youzhny.

Etre sportif de haut niveau, c'est savoir dépasser ses limites. Pour coller cette phrase-type à la réalité, il faut pourtant accomplir un pas de géant. Sur le central de Roland-Garros, Jo-Wilfried Tsonga a montré par l'exemple la force de l'esprit sur le corps pour battre (6-7 [6], 7-6 [4], 6-3, 6-4 en 3h06') Thiemo de Bakker au troisième tour. Victime d'une contracture à la jambe droite à la fin du premier set, il a lutté contre lui-même et le talent du Néerlandais. Et l'émotion du 10e mondial ne trompe pas. « Il y avait de l'émotion parce que j'ai beaucoup souffert pendant ce match. Honnêtement, c'était dur, avoue la tête de série n°8. J'ai dû m'invectiver tout le match pour essayer de penser à autre chose parce que j'avais vraiment mal.» Il n'a plus la force pour une danse des pouces, il peut juste envoyer des baisers au public et se frapper le coeur avec son poing.

Tendu par l'enjeu et ses quatre balles de break ratées à 3-2 puis 4-3, le Français a vu son corps le lâcher. Malheureusement, il connaît avec ses multiples blessures qui ont jalonné son parcours. Heureusement, il sait aller au-delà de la douleur. Quand le kiné arrive après la perte du premier set, étale des serviettes sur la terre battue et manipule le Tricolore, les grimaces de Jo-Wilfried Tsonga laissent présager le pire. Il marche la jambe raide et le talent de Thiemo de Bakker n'invite pas à l'optimisme. Avec ses amorties assassines, ses grosses frappes des deux côtés et son excellent service, le Néerlandais présente le profil parfait du bourreau. Mais il faut tenir et le mental pèse parfois plus lourd que le physique.

Le 50e mondial voit la blessure adverse et commence à cogiter. Dos au mur, le 10e mondial se décontracte et se concentre sur l'essentiel. Le Néerlandais a beau changé de côté sa casquette, un coup à l'endroit, un coup à l'envers. Il perd le fil du match et Jo-Wilfried Tsonga s'arrache. Roland-Garros, il en rêve depuis trop longtemps pour abdiquer. Il se bat, grimace, s'auto-persuade que tout va bien. «Je me disais toutes les dix secondes : "J'ai pas mal, j'ai pas mal, je vais y aller, cela ne me fait rien", raconte en riant le protégé d'Eric Winogradsky. Je suis passé un peu au-dessus. Je savais que je ne pouvais pas aggraver ma blessure, je n'avais aucune raison d'abandonner.»

La foule, un peu apathique, commence à bouger. Le Manceau lui demande de l'énergie et le public répond. Avec son service et sa puissance, il enfonce le Néerlandais. Au courage, il tient, se montre plus offensif et finit par faire craquer Thiemo de Bakker. Sa douleur lui a fait oublier le reste : «Au lieu de m'agacer et de repenser à toutes ces balles importantes que je rate, finalement je me focalise sur ma douleur et ça m'a permis de m'échapper de mes mauvais démons et de revenir dans ce match.» Très ému, il laisse tomber sa raquette et part saluer son adversaire. Jo-Wilfried Tsonga, le boxeur, sort vainqueur mais groggy. En 3h06', il a montré la différence entre un simple sportif et un champion. Et il reste le dernier Français en lice dans le tableau masculin. Un vrai rescapé...

Il jouera Youzhny ou Troicki en 8èmes, Match interrompu par la nuit ...

Quelle tristesse pour Jo de devoir ainsi finir son Tournoi, par un abandon ...

Il a tout essayé mais la douleur était vraiment insupportable. Il s'est fait une contracture à la jambe et ne pouvait carrément plus poser le pied au sol. Il ne pouvait plus se déplacer que d'un côté. Ca a suffi à faire illusion mais on ne peut pas faire un match de ce Niveau comme ça hélas ...
En plus, les ligaments doivent être touchés donc il aurait pu aggraver le mal car il l'avait avant même que le Match débute ... C'est dire s'il a bien tout essayé

Bon Rétablissement à Toi, Jo !!
A très vite sur les Courts !!

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Tsonga stoppé net


Diminué par de nouveaux problèmes physiques, Jo-Wilfried Tsonga a été contraint à l'abandon face à Mikhaïl Youzhny (6/2 ab.) en 8es de finale. Il n'y a plus de Français à Roland Garros.

Un cauchemar en direct sur le Central. Une demi-heure de souffrance pour finalement abandonner, dépouillé de ses moyens, devant son public. C’est le terrible malheur qui est arrivé à Jo-Wilfried Tsonga dimanche en 8es de finale à Roland Garros. Fracassé par un physique défaillant, le numéro un français n’a pas eu d’autre choix que de jeter l’éponge en 8es de finale face à Mikhaïl Youzhny, au bout d’un petit set (6/2 ab.), devant un public médusé. «J’en suis le premier désolé, s’excusait Tsonga, l’œil rougi par la déception. C’est décevant parce qu’on se prépare tout au long de l’année pour ce genre d’événement». Dès le premier jeu, les trois balles de break concédées d’entrée et ses déplacements hésitants n’auguraient rien de bon. Un excellent débreak dans la foulée effaçait pourtant cette impression mais ce n’était là qu’un leurre.

Impossible de se déplacer à droite
Un quart d’heure plus tard, et seize points perdus consécutivement, Tsonga demandait l’intervention du kiné (5/2), sans se faire d’illusion sur son sort. Après cinq bonnes minutes de manipulation au niveau de l’aine et des adducteurs droits, le Français allait vers cette issue inéluctable, après un dernier jeu parodique (6/2). «Lors de mon dernier match, je me suis fait une contracture au fessier. J’ai dû compenser et cela s’est répercuté devant, dévoilait le joueur blessé. Cela me fait mal au point que je peux plus poser le pied par terre. J’ai essayé d’y aller en étant chaud tout de suite, en me montrant agressif. Mais dès le premier jeu, j’ai senti que cela allait être difficile. Je ne pouvais plus me déplacer sur mon côté coup droit», révélait un Tsonga, ennuyé par des problèmes de dos avant ce Roland Garros, touché au fessier contre De Bakker et plus généralement par des pépins physiques tout au long de sa carrière. Il faudra voir maintenant de quel mal il s’agit, car au-delà de la frustration du moment, c’est la suite de la saison qui pourrait être remise en cause.

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Tennis
Tsonga : «Mon corps n'a pas suivi»


Son envie n'a pas suffi. Victime d'une déchirure abdominale, Jo-Wilfried Tsonga a dû céder et arrêter face à la douleur et Mikhail Youzhny. Mais le Français est allé jusqu'au bout.

«Jo-Wilfried Tsonga, connaissez-vous la nature de votre blessure ?
Je ne pourrais pas vous dire exactement ce que j'ai. Demain (lundi), je vais faire des examens complémentaires. Je viens de voir le docteur qui m'a dit que ce serait a priori une lésion soit sur le grand droit, soit sur le psoas (Ndlr : déchirure musculaire abdominale). Ce n'est pas définitif. Demain, je vais passer une IRM. Cela voudrait dire que j'ai joué la dernière fois avec une lésion sur le grand droit.

Etes-vous inquiet ?
Je suis un peu inquiet car je ne sais pas vraiment ce que j'ai. Demain, je vais passer mes examens et si j'ai quelque chose de grave, cela peut entamer ma saison. Il y a Wimbledon qui arrive et si cela devait m'empêcher de jouer à Wimbledon, ce serait vraiment dommage.

Avez-vous des regrets au-delà de la déception ?
J'avais le tennis pour passer ce tour. Mais mon corps n'a pas suivi. C'est une énorme déception car je me prépare tout au long de l'année pour ce genre d'événement, je "souffre" au quotidien pour vivre ces moments et aujourd'hui, je ne peux pas le vivre pleinement parce que je dois m'arrêter. Psychologiquement, je m'étais préparé pour toutes les éventualités pour ce tournoi, il n'y avait presque rien pour m'arrêter. Je n'avais pas envie de me cacher derrière ces douleurs. Je voulais aller au bout de moi-même. Pour moi, c'est important de jouer à Roland-Garros, devant mon public, mais la douleur était trop forte et cela aurait été une bêtise de continuer.

Y avait-il un risque d'aggraver la blessure ?
De toute façon, il y a toujours un risque d'aggraver ce que l'on a quand on joue avec des douleurs. Cela aurait pu être une contracture, même avec une crampe en jouant dessus, on prend des risques, avec n'importe quoi, à partir du moment où on essaie de se donner à fond sur une partie du corps un peu fragilisée, on prend des risques. Mais l'événement est trop grand pour moi pour que je calcule et que je me dise : "J'ai une petite douleur ici, une autre par-là!" J'ai envie de jouer le truc à fond. J'avais envie de jouer mon tournoi à fond, c'est ce que j'ai fait et quelque part, personne ne me reprochera de m'être battu.

Donnez-vous rendez-vous au public français à Clermont-Ferrand pour la Coupe Davis ?
D'ailleurs, je veux féliciter les Clermontois pour leur titre en rugby. J'ai regardé le match hier soir (samedi), c'était top. Certains ont dit que je n'aimais pas Clermont, cela n'avait strictement rien à voir avec Clermont-Ferrand où j'ai passé de nombreuses vacances quand j'étais petit. Si j'ai froissé des gens, je m'excuse. Ce n'était vraiment pas le but. Je croise les doigts pour aller là-bas et me faire pardonner en battant les Espagnols.»

Courage Jo et Merci d'avoir tout essayé malgré la douleur !!

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Jo Tsonga > 10 jours d'absence minimum

Par Fabien Gauvin, lundi 31 mai 2010 à 16:35


Jo-Wilfried Tsonga, contraint au forfait hier face à Youzhny, va devoir observer une dizaine de jours de repos, a annoncé son agent dans un communiqué. Il pourra ensuite subir une nouvelle série de tests, afin d'établir un programme de reprise plus précis. Il souffre d'un "décollement myo-tendineux du psoas droit (muscle abdominal)", révélé par une IRM que le Français a passé ce matin". Cette indisponibilité pose problème avant le début de la saison sur herbe, et la préparation de Jo (voir sa présence) pour Wimbledon est déjà compromise.

Sa Participation en Coupe Davis mi-Juillet semble pour le moins compromise ...

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Wimbledon > C'est bon pour Tsonga

Par Fabien Gauvin, jeudi 10 juin 2010 à 10:28


Jo-Wilfried Tsonga sera bien présent à Wimbledon, selon L'Equipe. Le Français, dont la participation était douteuse depuis son abandon face au Russe Mikhaïl Youzhny en huitièmes de finale à Roland, a passé une IRM concluante hier. est soulagé. Le décollement myo-tendineux du psoas droit (lésion à la cuisse) ne devrait donc plus être qu'un mauvais souvenir. Son entraîneur, Éric Winogradsky, a dévoilé au quotidien sportif le programme de Jo d'ici Wimbledon.

"J'avoue qu'on a eu peur et qu'on a évité le scénario catastrophe qui lui aurait valu un arrêt bien plus long que ça. Mais l' IRM passée aujourd'hui (mercredi) a bien montré que la lésion était totalement cicatrisée, puis l'examen clinique pratiqué par le docteur Montalvan a été positif. Jo va donc reprendre dès demain (ce jeudi) avec de la rééducation avec son kiné et remettre la machine en route jusqu'à dimanche. On se retrouve lundi en Angleterre, sur gazon!"

Une bonne nouvelle pour le tennis français, même si Tsonga ne devrait pas être à 100% de sa forme sur le gazon londonien.

OUF !!

Jo débutera Wimbly face au gros serveur Kendrick.

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Wimbledon > Tsonga, un 1er tour piège ?

Par Pauline Dahlem, samedi 19 juin 2010 à 11:01


Jo-Wilfried Tsonga affrontera Robert Kendrick pour son entrée en lice à Wimbledon, probablement mardi. Le Français a déjà rencontré cet Américain de 30 ans, aujourd'hui 162ème à l'ATP, il y a un peu plus d'un an à Miami et s'était imposé en deux manches serrées (7/5 6/4). Mais si le Californien n'a pas fait grand chose cette saison, il faudra tout de même s'en méfier, surtout sur le gazon londonien. L'année passée, Kendrick avait affronté Andy Murray au premier tour à Wimbledon. L'Ecossais avait fini par l'emporter mais en cédant une manche (victoire 7/5 6/7[3] 6/3 6/4). Il y a 4 ans, c'était Rafael Nadal qui avait dû se le farcir d'entrée et qui avait, lui aussi, bataillé sévère pour s'imposer (victoire 7-6(4), 6-3, 6-7(2), 5-7, 4-6). Méfiance donc...

76 76 36 64 Ca a été rude pour Jo face à ce solide Serveur qu'est Kendrick !! Il a su être suffisamment appliqué et réaliste pour serrer le Jeu quand il fallait, BRAVO !!

C'est une bonne reprise de contact avec le Circuit !!

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Tennis - Wimbledon
Tsonga se rassure


Jo-Wilfried Tsonga s'impose (7-6 [2], 7-6 [6], 3-6, 6-4 en 2h34') contre Robert Kendrick. Au deuxième tour, le Français est opposé à Alexandr Dolgopolov.

La danse des pouces et un grand sourire couronnent la victoire (7-6 [2], 7-6 [6], 3-6, 6-4 en 2h34') de Jo-Wilfried Tsonga contre Robert Kendrick. Bien sûr, ce n'est qu'un premier tour face à un qualifié. Bien sûr, il existe encore beaucoup d'imperfections. Bien sûr, sa frustration pèse encore lourd dans la perte du troisième set. Mais le Français se présente sans vrais repères depuis sa blessure à Roland-Garros et un succès ne se boude pas, surtout contre un grand serveur comme l'Américain, auteur de 28 aces (19 aces pour Tsonga).

Dès le départ, il sait qu'il faut passer au-delà de la frustration qui a une fâcheuse tendance à venir polluer ses pensées. Il prend donc son mal en patience, réalise un excellent premier tie-break pour conclure sur un passing gagnant et récidive dans la deuxième manche malgré une grosse alerte. Mené quatre points à deux dans le deuxième jeu décisif, il se reprend, réussit le débreak sur un coup droit jugé gagnant par la vidéo et l'Américain lui offre le set sur une grosse faute directe. Il poursuit sur sa lancée pour voir briller trois balles de break (0-40) à 2-2. Jusque-là, tout va bien.

Légère déconcentration
Le mauvais génie sort alors de sa boîte. Robert Kendrick sauve parfaitement ces occasions et Jo-Wilfried Tsonga retombe dans ses vieux travers. Sur son service, il pense encore à ses balles de break et il oublie de se concentrer sur le présent. La conséquence est immédiate. A sa première balle de break, l'Américain réalise le premier break. Il lève les bras et sourit. Le hold-up parfait !

Avec l'expérience, le 10e mondial se calme, retrouve ses esprits et attend son heure. A 15h44', il réalise son premier break. Il ne peut mieux choisir son moment, à 5-4, et mieux gérer sa relance avec un retour gagnant, un passing gagnant pour finir sur un jeu blanc. Patience et longueur de temps...

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Wimbledon > Tsonga : "Faire mieux que les années passées"

Par Vincent Esse, mardi 22 juin 2010 à 19:38


En conférence de presse après sa victoire solide face à Kendrick, Jo-Wilfried Tsonga a déclaré espérer être sur une pente ascendante sur gazon, et espérer obtenir de meilleurs résultats à Wimbledon que par le passé. "Je ne suis venu que deux fois ici, je n'ai pas encore de grosses références sur cette surface et j'espère bien faire. La première fois j'étais en huitièmes, l'an dernier en seizièmes, donc je peux faire de belles choses", a déclaré le Manceau.