Gilles Simon

67 63 75 Ca passe au finish pour Gillou !

Belle Soirée côté français avec les Qualifs' de Mika, Gilles, Jo et Juju ! C'est d'autant plus agréable que les 3 1ers avaient un Match DIFFICILE à gérer pour cette Entame de Tournoi ...

Prochain Tour face à Tipsarevic qui a sué à mort pour venir à bout d'un autre français qui a failli créé l'Exploit du Jour, Roger-Vasselin !

A Gillou de venger Edouard !!

67 62 63 Il s'en sort Bien, Gilles, Victoire à l'usure comme il en a le Secret

Du lourd l'attend en 8ème : Ferrer ... Vas-y Gilles !!!

64 67 64 SUPERBE Victoire de Gillou qui s'offre Ferrer au Terme d'un Marathon extrêmement disputé !!!!!!!!!!

Il jouera Andy en 1/4

36 36 Gilles s'incline "logiquement" face à Andy.

Plus d'essence dans le moteur ..

Citation :

Tennis-ATP-Cincinnati
Murray stoppe Simon


Gilles Simon était trop fatigué pour résister à Andy Murray (6-3, 6-3). Dommage car l'Ecossais s'est contenté du minimum syndical pour accéder aux demi-finales de Cincinnati.

Même si la rencontre n'a duré que 1h35 face à Andy Murray, les trois heures nécessaires à vaincre David Ferrer la veille ont pesé trop lourd dans les jambes de Gilles Simon. Surtout que l'Ecossais avait décidé de miser sur la longueur des échanges pour tester immédiatement la fraîcheur de son adversaire. Quatre jeux disputés en plus de vingt minutes et un rallye de 37 coups dès le deuxième jeu du match : les bases étaient posées.

Une victoire aurait permis à Simon d'intégrer le Top 10. Il faudra attendre. Pourtant, le Murray du début de la rencontre ne semblait pas forcément un obstacle infranchissable. Le service ne claquait pas outre mesure et les fautes le partageaient aux accélérations. Bref, l'Ecossais semblait en contrôle mais pas pressé d'en finir tant il donnait l'impression de pouvoir abréger les échanges mais refusait le coup de rein nécessaire pour y arriver.

Simon au bout du rouleau
Loin de l'image de l'éternel ronchon qu'il trimballe sur tous les courts du circuit ATP, Murray était souriant et particulièrement détendu. Un peu trop peut-être à en juger par la moisson d'amorties douteuses qu'il a semée tout au long de la partie. Mais, en bon professionnel, il a su serrer les boulons aux bons moments. Une accélération de coup droit par ci, un revers coupé par là et le voilà avec une balle de premier set. Cette fois, l'amortie sera gagnante et Simon ne fera même pas un pas pour aller la chercher.

Andy Murray n'avait rien d'un rouleau compresseur dans cette rencontre, mais il avait l'avantage d'avoir remporté les six dernières confrontations avec le Français. Et, on y revient, Simon était à bout de forces. Il a bien eu de très belles réactions, n'hésitant pas à rentrer dans le court ou à attaquer derrière ses retours, mais les jambes étaient trop raides pour faire des miracles. Et dans le deuxième set, le dos s'y est mis. Se plaignant de recevoir une décharge en bout de course, Simon ne lâchait rien mais ne pouvait que repousser l'inéluctable : l'accession aux demi-finales d'Andy Murray.

Gilles jouera Mello au 1er Tour de l'USO.

D.ieu que ce fut dur pour Gilles, les fameux "Matchs-Pièges" des 1ers Tours ne sont pas une "Légende" lol, Victoire "à l'arracheeeeeeeeee" lol face à Mello, 36 63 64 36 64 ... OUF car perdre Ici d'Entrée de Jeu aurait été une "mini cata" en vue notamment de la Coupe Davis ............ !!!!!!!

APPAREMMENT, il aurait eu mal au dos et au cou, PEUT-ETRE une explication à ce Match-Marathon ...

J'espère que tout sera ok physiquement face à Garcia Lopez au Prochain Tour !!

Citation :

Tennis - US Open
Simon : «Un travail sur l'orgueil»


Diminué par des douleurs au dos et au cou, Gilles Simon s'en sort (3-6, 6-3, 6-4, 3-6, 6-4) contre Ricardo Mello. Mais la frustration domine.

« Gilles Simon, comment avez-vous vécu ce match ?
C'était difficile. Il ne donnait pas beaucoup de points, ne mettait pas beaucoup de rythme et il m'a fait beaucoup courir. J'avais beaucoup de mal à aller vers l'avant et on s'est dirigé vers un match très long (Ndlr : 3h32'). Comme souvent, j'ai bien couru. Le dernier jeu me fait du bien car j'étais bien mort de mon côté. Ces matches sont toujours particuliers, mais ce n'est pas mon premier match long et je sais que je peux le tenir. Cela m'aide à garder confiance quand je commence à fatiguer.

Où en êtes-vous physiquement ?
Je me débrouille. Aujourd'hui, j'ai été courageux car ce n'était pas joyeux en termes de sensations. Cela ne jouait pas bien. Alors c'est bien d'être en vie et de se laisser une chance de faire mieux dans deux jours. Cela fait un mois que je me bats et que je ne prends pas énormément de plaisir à jouer. J'essaie de rester concentré sur la victoire. Je suis dans le dur... C'est une tournée très pénible. Je me bats, j'essaie de faire ce que je peux. Vendredi à Montréal, je me bloque le cou. Lundi avant mon match à Montréal, je me bloque le dos et là vendredi avant le tournoi, je me bloque encore le cou. Heureusement il y a la tempête et personne n'a joué. Heureusement je n'étais pas dans la partie qui jouait lundi. Si j'avais dû jouer lundi, je ne pouvais pas jouer. Je suis déjà très content d'être sur le terrain. Si j'avais dû jouer mardi ou lundi, cela n'aurait pas été la même histoire.

Arrivez-vous à faire abstraction de vos douleurs au cou et au dos ?
Non. C'est dur. Je suis comme tout le monde, cela va avec le score. Quand mon adversaire me fait quatre services sur le coup droit à 15-40 et que je retourne à 23km/h, c'est plus difficile de prendre sur soi.

Vous vous battez contre vous-même sur ce match ?
Sur tous les matches. La semaine dernière était une semaine très intéressante. Quand on rentre sur le terrain, on connaît souvent les forces et les faiblesses de nos adversaires et on ne prend pas toujours le temps de voir ce qu'ils font bien ce jour-là. Là je suis obligé de regarder davantage l'adversaire. Aujourd'hui, je n'ai pas fait des milliers de points gagnants (Ndlr : 41 au total), je suis obligé de faire rater mon adversaire (Ndlr : 75 fautes directes pour son adversaire). Mais une petite accélération de temps en temps ne me ferait pas de mal. J'essaie de ne pas m'énerver mais je travaille l'orgueil car il y a des moments compliqués.

La douleur peut-elle partir ?
Il y a plus de chances pour le cou que pour le dos. Le dos met plus de temps. Cela se coince. Ces derniers jours, j'allais mieux et avec la tension du match, je me bloque. Je ne peux pas bouger comme je voudrais. J'essaie de jouer et d'oublier. Sur certains coups, cela me gêne. Je fais ce que je peux, je me bats.

Ces douleurs vous gênent-elles aussi dans la vie de tous les jours ?
C'est le pire. Mon dos, c'est un cauchemar. Quand je me lève, je vérifie pour savoir comment je vais, je ne porte rien. Je fais attention à tout. Je me sens mal tout le temps. Quand je peux aller sur le terrain, je suis déjà content. Je suis tout le temps de mauvaise humeur. »


Recueilli par Sophie DORGAN, à New York

BRAVO Gilles, il se rassure, notamment physiquement, en sortant Garcia Lopez qui est un Adversaire souvent difficile à manoeuvrer, 64 67 75 63 !

Prochain Tour face à JM !

Belle Affiche !

Citation :

Tennis - US Open (H)
Simon va mieux


Mieux physiquement, Gilles Simon domine (6-4, 6-7[4], 6-4, 6-3) Guillermo Garcia-Lopez et rejoint Juan Martin del Potro au troisième tour.

A New York, c'est vogue la galère pour Gilles Simon. Il rame, il rame mais il gagne. Lors de ses deux premiers tours, sa qualité de jeu suit son bulletin médical. Alors il souffre, s'accroche et attend que ça passe. Et ça passe comme ses douleurs au cou et au dos. Après cinq sets et 3h22' de match au premier tour, il s'impose (6-4, 6-7 [4], 7-5, 6-3 en 3h39') contre Guillermo Garcia-Lopez pour rejoindre Juan Martin Del Potro. Avec ses ampoules et ses cinq sets au tour précédent, l'Espagnol lui rend bien la pareille. Chacun ses maux.

Marathonien des courts, le 12e mondial joue la montre. Plus les jours passent, plus son cou le laisse tranquille et plus son jeu peut s'exprimer. Il n'est plus à la merci du jeu adverse. Faire mal jouer l'adversaire, c'est bien un temps, mais Gilles Simon commence à trouver le temps long. Moins raide, il attaque, son nombre de points gagnants (46 pour 50 fautes directes) et ses 11 aces donnent une note positif. « Il a fait des bonnes séquences d'attaque, notamment avec son coup droit. Aujourd'hui c'était beaucoup mieux, se réjouit son entraîneur Thierry Tulasne, porteur provisoire des raquettes de son protégé à la sortie du court n°11. Comme il n'a pas attaqué depuis un petit moment, il a raté quelques volées et quelques attaques. Mais je pense que ce match va lui donner confiance. »

Sept heures en deux tours
Quand le physique tient, l'esprit peut s'occuper du jeu et seulement du jeu. Si Gilles Simon manque de rythme, il retrouve le plaisir de frapper et de lâcher des coups droits. C'est déjà ça. Il reste la constance et la fatigue. Face à Guillermo Garcia-Lopez, il aurait pu s'épargner la perte du deuxième set après avoir débreaké à 4-3. Avec plus de 7 heures en deux tours, il ne se ménage pas. Mais ses heures sup n'inquiètent pas son coach : « Il a passé pas mal de temps sur le court, mais il aime bien courir partout et faire des longs matches. » Il est servi à New York.