Le topic des joueurs belges

Kristof Vliegen s'impose à Grenoble. C'est son quatrième Challenger de l'année!
Il remonte à la 77ème place, et devient 2ème Belge, entre Steve Darcis (59ème) et Christophe Rochus (91ème).
Olivier, lui, dégringole à la 113ème place.

jadorana a écrit:

Kristof Vliegen s'impose à Grenoble. C'est son quatrième Challenger de l'année!
Il remonte à la 77ème place, et devient 2ème Belge, entre Steve Darcis (59ème) et Christophe Rochus (91ème).
Olivier, lui, dégringole à la 113ème place.

Oulala quelle chute pour Oli Ca doit faire longtemps qu'il n'était plus sorti du top 100

Il avait beaucoup de points à défendre cette année et son épaule l'a bien gêné ... Il doit d'ailleurs se faire opérer en fin de saison ... Espérons que ça ira mieux l'an prochain ... Courage Oli !!!

Un papier assez intéressant signé par un lecteur de "SportVox" : il parle d'Oli et de X-Man en soulignant à la fois leurs talents mais aussi ... leurs faiblesses, ce qui a fait qu'ils n'ont pas réalisé la carrière qu'ils auraient pu réaliser ...

Citation :

Histoire belge (une fois)


Le tennis belge est marqué par l’emprunte indélébile de ses deux numéro 1 mondiale que sont Kim Clijsters et Justine Henin. Palmarès de championnes, seules à rivaliser avec la puissance des Williams ou l’école Russe, elles ont vampirisé les Unes des médias belges (et d’ailleurs), ne laissant que des accessits aux autres joueuses et joueurs nationaux. Avant elles, les Dominique Monami et Sabine Appelmans, bien que plus avantagées esthétiquement, atteignaient très rarement les secondes semaines en Grand Chelem. Que dire alors du palmarès homme, uniquement marqué, dans les années 90 (à prononcer nonante), par les deux quarts de finale successifs à Roland Garros de Filip Dewulf (et même en demie la première année). Facile alors d’éclipser tout ce petit monde par de tels calibres.

Pourtant, deux joueurs auraient pu rivaliser avec l’hégémonie médiatique des deux filles s’il ne leur avait manqué ce petit plus qui fait la marque des Champions. Bourrés de talents, Olivier Rochus (82) et Xavier Malisse (164) représentent en effet ces espoirs «déçus» du tennis belge. Bien que nous nous attarderons sur le plus grand des deux (par la taille), il est intéressant de se pencher sur la carrière du plus gabarit du circuit atp.

Excellent joueur junior, alors bourreau régulier de Roger Federer (avec qui il gagnera Wimbledon Junior en double), c’est un Rochus plein d’appétit qui débarque sur le circuit professionnel en 1999. Rapide lauréat de son premier tournoi atp (Palerme, en 2000), le jeune belge peine pourtant à confirmer. Ces sorties prématurées en Grand Chelem ou en Masters Series en témoignent. Joueur fair-play et attachant, au talent certain, Rochus est grandement pénalisé par sa petite taille. 1m65 les bras levés pour 65 kg tout mouillé, on est loin des canons du tennis actuel. Pour compenser, il s’est tourné vers une raquette plus longue, au manche allongé et a surtout travaillé son physique pour épauler un toucher de balle naturel. Explosif dans l’échange, précis et capable de coups de génie, sa petite taille lui a cependant permis de développer un jeu en finesse basé principalement sur le contre. A contrario, sa méthode pêche par une débauche d’énergie bien souvent fatale lorsque le match s’éternise. S’il peut gêner les plus grands, les rendre même marteau (comme Roddick lors d’un match de Coupe Davis), il finit par craquer. Parmi ces nombreux faits d’armes, on peut citer toutefois ses victoires face à un Safin de la belle époque, Ferrer, Moya, Djokovic (qui n’a jamais gagné contre le belge mais ils ne se sont plus rencontrés depuis 2005). Il fait en outre partie du cercle très fermé des joueurs ayant battu Nadal sur terre (lorsque ce dernier n’avait encore que 19 ans, il est vrai). Enfin, son plus prestigieux trophée à ce jour reste Roland Garros, remporté en double en 2004 avec le trublion du tennis belge, Xavier Malisse...

Surnommé X-man par les américains (il a fait toutes ses classes en Floride), Malisse sort de l’anonymat en 1998, lorsqu’il bat un certain Thomas Muster sur terre battue. Il se révèle l’année suivante au public belge en qualifiant son pays pour les demi-finales de la Coupe Davis. Il battra, dans le match décisif, un tout jeune Roger Federer d’à peine 18 ans, propulsé leader de l’équipe en l’absence de Marc Rosset convalescent.

Réputé fantasque et colérique, l’ancien élève de Nick Bolletieri a basé son jeu sur un grand coup droit dévastateur et sur une couverture de terrain impressionnante. Impétueux, son caractère casse-cou lui permet d’oser des coups totalement déments qui, lorsqu’ils passent, laissent l’adversaire à trois mètres de la balle. Solide au service, il est moins efficace au filet et fait partie de cette caste de bombardier de fond de court dont Ginepri reste une référence, la classe en plus (parce que le Robby, niveau classe, voilà quoi).
Ses premières années sur le circuit sont marquées par de jolies performances, des places d’honneur mais pas encore de titres. S’il bat Henman à l’USO 01, perd en finale des tournois de Delray Beach et Atlanta (contre Hewitt et Roddick), il ne parvient pas encore à franchir le cap suivant et navigue autour de la 80ième place. Sujet à de fréquentes sautes d’humeur, il s’engueule en permanence avec ses entraîneurs et préfère pousser la porte du bistrot plutôt que celle de la salle de gym.

En dépit de cette inconstance et d’une versatilité chronique, il signe, en 2002 sa meilleure saison en GC. Rapidement sorti à l’Open d’Australie, il atteint les 1/8 à Roland mais rejoint surtout le dernier carré à Wimbledon. Auteur d’un excellent parcours, il bat successivement Kafelnikov, Rudseski et Krajicek (il est vrai en fin de carrière) avant d’être stoppé en 5 sets par l’autre révélation du tournoi, David Nalbandian. Convaincant tout au long de la quinzaine, il se dit enfin serein, capable de retourner des situations compliquées et assure que le temps où il balançait les matchs enfin révolu. Il enchaînera avec une saison correcte sur dur pour atteindre la 19ième place, son meilleur classement à ce jour.

Las, chassez le naturel... Incapable de réitérer ses exploits l’année suivante, hormis un 1/8 à l’USO, Malisse replonge au classement, se blesse et entame la saison 2004 déjà fatigué. Toujours pas de titre, toujours pas de confirmation et une pression difficile à gérer. N°1 belge depuis deux ans, X-Man peine de plus en plus à répondre aux questions des journalistes qui lui demandent continuellement d’expliquer ses contre-performances. Ajoutez à cela l’inévitable comparaison avec les succès de Justine et Kim et vous obtenez un joueur, déjà fragile mentalement, à la limite du pétage de plomb. Seule embellie au tableau, sa victoire en double à la Porte d’Auteuil qui sauve une saison marquée, à nouveau, par une blessure lancinante au dos. De jeune révélation belge, il endosse tout doucement l’étiquette d’espoir déçu et ses sautes d’humeur deviennent de plus en plus problématiques. Alors qu’on pensait que la paire qu’il formait avec Olivier Rochus allait permettre à la Belgique d’aligner une équipe complète, il se brouille avec ses compatriotes en 2005 (joueurs et entraîneurs), lassés de ses changements d’humeur et de ses participations sporadiques aux matchs de Coupe Davis. La même année, il signe pourtant sa première victoire atp en remportant le tournoi de Delray Beach. Performance rapidement occultée par son exclusion du tournoi de Miami. Evénement en soi, tant les exclusions sont rares sur le circuit ( ).

C’est là tout le paradoxe d’un garçon capable du meilleur (parfois) comme du pire (souvent). Bon vivant, il collectionne les (jolies) petites amies, comme ses potes alignent les bières sur le comptoir et il ne manque jamais une occasion de faire la fête jusqu’à pas d’heure. Qui pourrait l’en blâmer? Mais voilà, mener une vie de fêtard n’est pas forcément compatible avec la vie de sportif de haut niveau.
Si depuis son premier titre atp, il en aligné deux autres coup sur coup début 2007, éliminant au passage Rafael Nadal (en signant la performance de les avoir également remporté en double), une blessure au poignet met un terme prématuré à une saison qu’on annonçait pourtant comme celle d’un énièmre renouveau.

Englué actuellement dans les tournois Challenger, sans coach régulier et affichant un embonpoint Nalbandianesque, Malisse est néanmoins retourné en Coupe Davis en septembre où, pour la première fois, il figurait parmi le moins bien classé des cinq belges présélectionnés. Ce qui ne l’a pas empêché de remporter le seul match du week-end face à la Suisse... A l’issue de ce «retour en grâce», il confiait son blues du moment aux journalistes présents, conscient qu’à 28 ans, il est plus que temps de retrouver la forme.«Je me trouve dans un creux et j’avoue que je doute un peu. Il faut que tout se remette en place. Jouer des tournois Challenger n’est pas ce qu’il y a de plus marrant. Tout est différent. Les club-houses sont sinistres et les terrains même parfois fissurés. Mais bon, il faut passer par là. Je pense, d’ailleurs, que je ne vais plus trop jouer cette année, mais plutôt investir beaucoup de temps dans la préparation de la saison prochaine. J’aimerais bien encore parvenir à me rapprocher du Top 100 pour éviter de devoir disputer les qualifs à l’Australian Open, mais ce sera difficile. Je compte m’entraîner comme un fou en novembre et en décembre et tâcher de trouver un coach pour jouer le tout pour le tout en 2009» C’est tout ce qu’on lui souhaite.

Source : SportVox

Oui olivier et Xavier aurais pu éclore en même temps que justine et kim

Jeremy a écrit:

Oui olivier et Xavier aurais pu éclore en même temps que justine et kim

Ils ont déjà fait de belles choses mais c'est vrai qu'on en attendait peut-être davantage ...

Pour Oli, son gabarit est à la fois un avantage et un inconvénient, il doit souvent se surpasser pour compenser sa petite taille et ça lui pompe beaucoup d'énergies ... En plus, il y a de plus en plus de grands gabarits dans le tennis moderne, c'est pas fait pour l'avantager ...

Pour Xav', il y a son caractère assez compliqué et il y a ses blessures ...

Admin a écrit:

Jeremy a écrit:

Oui olivier et Xavier aurais pu éclore en même temps que justine et kim

Ils ont déjà fait de belles choses mais c'est vrai qu'on en attendait peut-être davantage ...

Pour Oli, son gabarit est à la fois un avantage et un inconvénient, il doit souvent se surpasser pour compenser sa petite taille et ça lui pompe beaucoup d'énergies ... En plus, il y a de plus en plus de grands gabarits dans le tennis moderne, c'est pas fait pour l'avantager ...

Pour Xav', il y a son caractère assez compliqué et il y a ses blessures ...

Xavier à déjà atteint les demi-finales de Wimbledon en 2002 mais depuis il y a eu les blessures et il a du mal à revenir

Jeremy a écrit:

Xavier à déjà atteint les demi-finales de Wimbledon en 2002 mais depuis il y a eu les blessures et il a du mal à revenir

Parce qu'il a du mal à retrouver de la motivation, jouer des Challengers en permanence

OUi mais là il reviens plus ou moins en forme car je l'ai vu en coupe davis et il jouais très bien contre federer et war

Jeremy a écrit:

OUi mais là il reviens plus ou moins en forme car je l'ai vu en coupe davis et il jouais très bien contre federer et war

Ah d'accord !! Ben c'est encourageant ça !! Faudrait qu'il s'appuie sur cet état de forme et cet état de confiance qui reviennent peu à peu ... Dans le document que j'ai posté, il dit qu'il ne veut plus beaucoup jouer cette année, il veut surtout se préparer pour la prochaine saison ... Si la forme est là, sans blessure (enfin), autant en profiter !!
Si quelqu'un sait quel sera son prochain tournoi ?

A mon avis MAdrid mais je ne sais pas , il devra sans doute passer par les qualifications

Jeremy a écrit:

A mon avis MAdrid mais je ne sais pas , il devra sans doute passer par les qualifications

Ok merci ... Oui, qualifs surement vu son classement et vu comment le plateau s'annonce relevé ...

Il a intérêt à jouer quand même en cette fin de saison car même s'il se consacre principalement à la préparation de la saison prochaine, il cherche à se rapprocher du top 100 pour qui sait éviter les qualifs au prochain AO ... Ca ne serait pas plus mal ça ...

Beau tournoi challenger à Mons cette semaine, avec tous nos meilleurs Belges, plus l'espoir David Goffin (10ème chez les juniors) , qui a reçu une WC.
Steve Darcis est 1ère tête de série.

jadorana a écrit:

Beau tournoi challenger à Mons cette semaine, avec tous nos meilleurs Belges, plus l'espoir David Goffin (10ème chez les juniors) , qui a reçu une WC.
Steve Darcis est 1ère tête de série.

Un tournoi Challenger désormais bien coté, dans le top 5 au monde !!
Oli, Tipsarevic, Gulbis, beau palmarès
A souligner que c'est Dominique Monami qui en est la responsable.
Bonne chance à David Goffin, qui semble prometteur ...

Je complète ton post par ce petit article :

Citation :

L'Ethias Trophy à Mons avec tous les meilleurs Belges



Organisé pour la 4e fois, l'Ethias Trophy de Mons peut se targuer de figurer dans le top 5 mondial des tournois Challengers du circuit ATP et, du 27 septembre au 5 octobre prochain, peut se vanter de réunir tous les meilleurs joueurs belges du moment dans les installations du Mons Expo.

Dominique Monami, directrice de ce tournoi sur greenset doté de 125.000 dollars, et André Stein, président de l'Association francophone de tennis (AFT), ont présenté l'évènement mardi à Bruxelles en promettant une "volée de plaisirs" (le slogan du tournoi) et en insistant sur la présence de tous les meilleurs belges du moment.

"C'est l'unique occasion de voir tous les meilleurs Belges évoluer en Belgique", se réjouit Dominique Monami. "C'est suffisamment rare que pour le souligner d'autant que la Belgique n'a pas évolué à domicile en Coupe Davis." A l'affiche donc, Steve Darcis (ATP-59), Olivier Rochus (ATP-82), Christophe Rochus (ATP-93) et Kristof Vliegen (ATP-94), ainsi que Xavier Malisse (ATP-164), "pour qui une invitation était prévue, mais son classement lui permet désormais de rentrer directement dans le tableau final", explique l'ex-joueuse liégeoise.

"Nous avons donc décidé d'octroyer une invitation à Dick Norman (ATP-328), au jeune David Goffin, 17 ans, (ATP-1042) et 10e mondial chez les juniors, un véritable espoir francophone et Ruben Bemelmans (ATP-318), un peu plus âgé, 20 ans, un espoir aussi côté néerlandophone. Il restera une invitation à attribuer que je réserve soit à un joueur du top mondial suivant une opportunité de dernière minute, si on a la chance d'avoir un joueur de gros calibre du genre Carlos Moya, soit alors à un autre jeune joueur belge prometteur qui le mérite au vu de ses prestations des derniers mois.

Le tournoi est de très grande qualité. Il y a 11 joueurs entre le top 50 et le top 100 mondial qui seront au rendez-vous avec notamment le Français Fabrice Santoro (ATP-63) ou le Luxembourgeois Gilles Müller (ATP-68), quart de finaliste au dernier US Open." Le Challenger de Mons peut ainsi se targuer de figurer dans le top 5 mondial dans la hiérarchie des Challengers du circuit ATP, "en fonction de différents critères, un rapport est rendu à l'ATP, suivant les commentaires d'un superviseur de l'ATP, et sur base de l'avis des joueurs. L'excellente fiche que nous rendons nous permet d'être dans le top 5, c'est dire la qualité du tournoi et la reconnaissance de tout le travail effectué", insiste Dominique Monami.

"Et pour l'heure, nous consolidons cela", rajoute André Stein. "Dans l'immédiat, il n'est - pour l'instant - pas envisagé de franchir le pas de devenir un tournoi ATP. D'une part parce que le budget doit alors être considérablement revu à la hausse et d'autre part, cela ne permettrait peut-être plus de réunir tous nos joueurs belges sur ce rendez-vous. Si nous devions monter de catégorie, ce sont les joueurs qui en décideraient de par leurs perfomances les faisant grimper dans la hiérarchie mondiale. Cela vaudrait alors la peine."

Seule la première édition en 2005 a été remportée par un joueur belge (Olivier Rochus qui battait Xavier Malisse - 6-2, 6-0 - en finale), l'édition 2006 était revenue au Serbe Janko Tipsarevic et le jeune espoir letton Ernest Gulbis avait battu Kristof Vliegen - 7-5, 6-3 - l'an dernier.

"Je suis vraiment très contente de la qualité du plateau, qui est exceptionnel", rajoute Dominique Monami. "Mais j'avais été un peu déçue l'année dernière de l'affluence. J'espère vraiment que nous ferons mieux cette année." L'édition 2007 avait attiré 11.000 spectateurs, les organisateurs espèrent cette fois attirer 15.000 spectateurs.

(belga/7sur7)

Admin a écrit:

Jeremy a écrit:

Xavier à déjà atteint les demi-finales de Wimbledon en 2002 mais depuis il y a eu les blessures et il a du mal à revenir

Parce qu'il a du mal à retrouver de la motivation, jouer des Challengers en permanence

Les tournois Challengers sont vraiment horrible pr des joueurs qui ont étè ds le top 50 !
Idem pr les qualifications c'est un gros retour à la case départ comme si ils débutaient ...dur trés dur pr le moral !

Jacklyn a écrit:

Admin a écrit:

Jeremy a écrit:

Xavier à déjà atteint les demi-finales de Wimbledon en 2002 mais depuis il y a eu les blessures et il a du mal à revenir

Parce qu'il a du mal à retrouver de la motivation, jouer des Challengers en permanence

Les tournois Challengers sont vraiment horrible pr des joueurs qui ont étè ds le top 50 !
Idem pr les qualifications c'est un gros retour à la case départ comme si ils débutaient ...dur trés dur pr le moral !

.......... Surtout quand tu as été top 20 même concernant X-Man et que tu t'approches de la trentaine ... Quand en plus de ça tu rajoutes des blessures à répétition ... Il en faut du courage pour continuer à avoir "la foi" ...

C'est peut-être un peu moins dur pour quelqu'un comme Christophe Rochus qui n'a jamais remporté de titres ATP et qui a fait des challengers tout au long de sa carrière ... Quoique ... La concurrence est la même et l'impression de stagner doit être aussi frustrante ...