Fernando Verdasco

Jeremy a écrit:

Verdasco jouera Tsonga en 1/4 de l'AO la nuit prochaine

Tout est possible dasn ce match !!

manon5 a écrit:

Jeremy a écrit:

Verdasco jouera Tsonga en 1/4 de l'AO la nuit prochaine

Tout est possible dasn ce match !!

Nand0 fait un début de saison tonitruante !
Bravooooooooooo le voilà en demie même si Tsonga était un petit peu loin de son véritable niveau , l'Espagnol n'a pas tremblé !

Quel parcours !!!!!!!!!!!!!

En demie, il jouera Nadal ou Simon

Jeremy a écrit:

Quel parcours !!!!!!!!!!!!!

IL bat tout les favoris

Jeremy a écrit:

En demie, il jouera Nadal ou Simon

se sera Nadal !!!

Vu la forme qu'il possède , je ne serait pas surprise s'il battait Nadal

BRavo à Verdasco qui à éliminé tous les concurrents direct de Rafael !!!

morine15 a écrit:

Vu la forme qu'il possède , je ne serait pas surprise s'il battait Nadal

Ne rêve pas de trop , Nadal est en forme aussi et va gagner le tournoi !!!

Nando ds tous ses états !

Aller Nadal !!!!!!!!

Vamos Nando!!!
une petite victoire sur Rafa...et dans la foulée, une aussi sur Federer!
moi, ça m'irait parfaitement, ça!

solveig a écrit:

Vamos Nando!!!
une petite victoire sur Rafa...et dans la foulée, une aussi sur Federer!
moi, ça m'irait parfaitement, ça!

Ce serait une fameuse perf de battre coup sur coup Rafa et Federer Surtout quand ils sont tous les deux en forme !

solveig a écrit:

Vamos Nando!!!
une petite victoire sur Rafa...et dans la foulée, une aussi sur Federer!
moi, ça m'irait parfaitement, ça!

Ca vaut une sacrée cote !!

Cela dit, rien ne'st impossible en sport !! Il est vraiment épatant ce Nando en ce moment !!
La finale de la DC a agi comme un révélateur sur lui on dirait, ça lui a fait prendre confiance en lui. Et puis j'ai lu qu'il avait un nouveau staff autour de lui, qu'il avait parlé avec Agassi aussi ... Apparemment ce nouvel environnement l'a métamorphosé !!
Bon, méfiance quand même, on a souvent vu des joueurs faire des "coups" comme ça en GC et ne plus jamais répéter après ... Le plus dur va commencer pour lui
Contre Rafa, je le vois sortir en 3 ou 4 sets ... Les matchs entre compatriotes sont toujours particuliers et nivellent un peu les valeurs donc il peut tout à fait sur sa forme actuelle prendre un set à Nadal mais sur la durée d'un match en GC, avec le contexte psychologique de l'évènement, franchement je n'y crois pas du tout ... Le 6/0 peut peser très lourd

Très content de te revoir ici Solveig

Citation :

Jusqu’où ira Verdasco ?


Métamorphosé depuis la finale de Coupe Davis, Fernando Verdasco s’apprête à disputer à Melbourne la première demi-finale d’un Grand Chelem face à Rafael Nadal. En victime résignée ou en vrai challenger prêt à renverser une montagne ?

Fernando Verdasco peut remercier Rafael Nadal. Sans lui, peut-être qu’il n’aurait jamais atteint le dernier carré dans un Grand Chelem. Ou plutôt avec lui serait-il plus juste de dire. Car la métamorphose du Madrilène de joueur talentueux mais fragile mentalement à machine à broyer du favori à Melbourne trouve son déclencheur en fin d’année dernière. Lors d’une épique finale de Coupe Davis disputée dans le chaudron de Mar del Plata. Opposée à l’Argentine de Juan Martin Del Potro et David Nalbandian, on ne donne pas cher alors des chances de l’Espagne, surtout que celle-ci se présente sans son leader et numéro 1 mondial, Rafael Nadal. Mais cela était sans compter un Verdasco d’abord réserviste le 1er jour, puis vainqueur du double et, enfin, héros de toute une nation le dimanche en venant à bout de Jose Acasuso en cinq sets (6/3 6/7 4/6 6/3 6/1). Et tant pis si le pedigree du Gaucho n’avait rien d’impressionnant, l’important pour Verdasco étant d’avoir su surmonter son stress et la fragilité de ses nerfs dans une grande occasion. Ce qu’il reconnait d’ailleurs bien volontiers depuis : «Cette finale de Coupe davis m’a changé en tant que joueur. Mentalement, je suis désormais beaucoup plus fort. Je crois en moi et comme physiquement tout va bien…»

6/0 pour Nadal
Cela donne un joueur sur un nuage pour attaquer 2009 par une finale à Brisbane (battu par Radek Stepanek), avant d’enchainer à Melbourne par des succès sur Andy Murray et Jo-Wilfried Tsonga. Le tout sans oublier ses trois premiers tours à l’Open d’Australie où il n’a laissé que 4 jeux par match à ses adversaires (Stepanek, Clément et Mannarino). Un parcours extrêmement solide qui l’amène donc ce vendredi à se mesurer à son glorieux compatriote, Rafael Nadal, contre qui il s’est incliné six fois en… six rencontres. La dernière en date étant même très douloureuse puisqu’elle eut pour cadre Roland Garros l’an passé, lorsque le Majorquin infligeait une sévère correction à son aîné (6/1 6/0 6/2). D’ailleurs, hormis une confrontation serrée au Queen’s londonien en 2006, les oppositions entre les deux hommes n’ont jamais donné lieu à de furieuses batailles, Nadal prenant toujours facilement le dessus. Il faut dire que si le Majorquin hait la défaite, il l’exècre encore plus face à l’un de ses compatriotes. Alors dans ce tableau pessimiste, qu’est-ce qui peut plaider en faveur d’un succès de Verdasco ?

Agassi comme mentor
Son niveau de jeu tout d’abord. Sur ce qu’il a montré face à Murray et Tsonga, Verdasco a les armes pour venir titiller Nadal, notamment en coup droit. Mentalement, aussi, il ne craint plus les gros matches et il se présentera pour ce rendez-vous sans véritable pression. Une situation que le numéro 1 mondial connait pour l’avoir expérimentée, à ses dépens, ici-même face à un Tsonga de gala en demi-finales l’an passé. Imaginer Verdasco sortir une telle performance n’a rien de totalement saugrenu. Surtout que physiquement, l’ancien compagnon d’Ana Ivanovic présente de sérieuses garanties depuis qu’il travaille avec Gil Reyes, l’ancien préparateur d’un certain Andre Agassi. Le Kid de Las Vegas qui fait depuis office de mentor pour l’Espagnol : «Je l’ai vu deux heures à Las Vegas et je lui ai posé plein de question : comment organiser ma saison, combien de tournois jouer, lesquels, quand faire un break, des conseils tactiques, son avis sur mon jeu… Tout ce qui me passait par la tête en fait.» L’absence de Nadal comme déclic en finale de Coupe Davis, Agassi comme gourou… Et maintenant une finale de Grand Chelem pour passer un nouveau cap ?