Maria Masha Sharapova

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Sharapova ne regrette rien

Par Guy Birnand



Retraitée des courts depuis février 2020, Maria Sharapova se consacre désormais à son business avec notamment la création de plusieurs marques. Lors d’une récente interview rapportée par Essentially Sports, l’ancienne numéro 1 mondiale est revenue sur les raisons de sa retraite sportive.
« Vous devez rechercher en vous-même et ce que vous ressentez. Aussi ce que votre corps vous dit et aussi ce que votre esprit vous dit. Vous pouvez avoir des influences et des personnes proches de vous qui peuvent vous guider pour prendre la bonne décision. Mais en fin de compte, vous conduisez votre carrière et vous devez être à l’aise pour prendre ces décisions. J’avais presque perdu le contact avec la compétition parce que j’étais toujours à la limite. Mon corps ne me permettait pas de profiter de mon métier. Pendant tant d’années, j’ai tout donné pour ce sport et je croyais juste qu’il fallait m’engager pour d’autres choses dans ma vie », a déclaré la Russe qui ne regrette pas la vie du circuit.

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Sharapova réinvente le style rétro, et ce n’est pas gagné

Par Thomas S


Retraitée depuis février 2020, Maria Sharapova a de quoi s’occuper avec les différentes marques qu’elle a créées. En bonne businesswoman, elle a décidé de retourner dans le passé avec cet improbable look rétro et tous les détails qui vont avec. À noter les sublimes chaussettes blanches avec les talons roses… de toute beauté !

« J’ai passé l’été à la maison à faire des entraînements Bala et à manger des bonbons, donc cette campagne semblait très naturelle, évidemment. Les cheveux, le regard. Le regard ! ! », a écrit l’ancienne numéro 1 mondiale qui n’a pas l’air de s’ennuyer depuis qu’elle a rangé ses raquettes.

Retraitée définitivement des courts depuis février 2020, Maria Sharapova reste malgré tout très active économiquement avec les nombreuses entreprises dans lesquelles elle a investies. Après avoir lancé sa propre marque de bonbons, Sugarpova, en 2012, le chiffre d’affaire de l’entreprise s’élevait à plus 20 millions de dollars en 2019.

L’ancienne numéro 1 mondiale, qui détient également 10 % de la société Supergoop, a déjà commencé à investir dans des entreprises comme Therabody, une boîte réputée pour ses divers produits de massage. Une vraie businesswoman.

Maria a accepté la demande en mariage que lui a faite son copain : Alexander Mark Heming Gilkes, un homme d'affaire Britannique de 31ans

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Serena Williams (au sujet de Sharapova en 2004) : « Je ne perdrai plus jamais contre cette petite salope »

Comme le prouve le post notre confrère Quentin Moynet du journal l’Equipe, il semble bien que la rivalité entre Serena Williams et Maria Sharapova avait des airs de combat de boxe.

Dans un papier très bien documenté, de l’Equipe Mag, François Inizan qui connait bien les coulisses du circuit nous fait vivre de près ce duel des égos.

Si cette rivalité a permis au tennis féminin d’avoir un certain âge d’or dans le « backstage », il faut bien reconnaitre que sur le court la domination de l’Américaine a été totale avec 20 succès pour seulement 2 défaites.

Il faut dire que l’évènement décrit par Maria Sharapova lauréate à Wimbledon en 2004 a du définitivement motiver plus que jamais la soeur cadette des Williams qui n’a concédé qu’une défaite en Novembre 2004 au Masters avant d’enfiler 19 victoires de rang.

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L'ancienne joueuse russe Maria Sharapova qui a quitté le circuit professionnel en début de saison dernière revient sur sa citoyenneté. Au cours de sa carrière, la Russe a défendu les couleurs de son pays de naissance, mais pour pouvoir s'entraîner avec Nick Bollettieri alors que Maria n'avait que 6 ans, elle a dû s'installer très rapidement aux États-Unis. C'est aujourd'hui la raison principale de la résidence actuelle de la Russe en Floride. Malgré cela, Maria Sharapova n'a pas eu la citoyenneté américaine. Elle est revenue sur le sujet et a tenté d'apporter des réponses.

"J'aurais sûrement pris la citoyenneté américaine si je l'avais vraiment voulu, mais en réalité je ne me suis jamais posé ce problème, en parlant à ma famille et à mon équipe." avant de poursuivre "En fin de compte, c'est une question d'environnement familial et de riche culture. Je suis une expérience de vie à laquelle je repense et en général j'ai été façonnée selon la culture russe quand j'étais petite, je ne parle pas seulement de la nation, mais aussi de la mentalité et de la ténacité, j'ai acquis l'attitude de ne jamais abandonner et pour cette raison, j'ai décidé de rester seule avec la citoyenneté russe ." C'est donc un choix assumé de la part de l'ancienne championne.