Jerzy Janowicz

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Tennis-ATP-Bercy : Murray déçu, Janowicz ravi


Entre l'émotion de Jerzy Janowicz et la grise mine d'Andy Murray, le contraste était saisissant. Le Polonais rêve éveillé, alors que l'Ecossais bougonne.

Il n'était pas venu pour perdre en huitièmes de finale. Andy Murray, qui pouvait espérer finir dauphin de 2012 en faisant le plein de points à Bercy et à Londres, est tombé de haut face au Polonais Jerzy Janowicz. Lui qui n'a jamais dépassé les quarts à Bercy a encore laissé filé les occasions en cette fin de saison. Des balles de match, il en a en effet raté en demies à Tokyo et en finale à Shanghai et - désormais - en huitièmes à Bercy. «Il va falloir que je redevienne plus solide quand je suis dans ce genre de situations, a-t-il ainsi confié. Je ne me sentais pas bien du fond du court à ces moments-là. C'était déjà la même chose en Asie. Quand on sert pour le match, on doit être bien concentré et joué de manière solide au lieu de manquer de rigueur».

L'Ecossais n'était pas fier d'avoir raté une belle occasion ici et - et surtout ? - de ne pas avoir bien lancé le Masters de Londres. «Je vais devoir jouer bien mieux que ça la semaine prochaine si je veux gagner quelques matches là-bas.» Et le ''là-bas'' justement, n'est-il pas en train de sacrifier le tableau du Masters 1000 de Bercy et un peu de la crédibilité de la fin de saison ? «Pour juger de ça, il faut attendre le Masters à l'O2 Arena la semaine prochaine. Si ça se trouve, la qualité de jeu y sera extraordinaire et il n'y aura plus de problème.» Seul le déroulement du Masters compte donc. L'ATP et la direction du tournoi vont vite devoir décider si on continue comme ça ou pas.

«J'ai eu des problèmes d'argent toute ma vie, alors cette semaine est vraiment très importante pour moi afin d'attirer les sponsors et d'être aidé», JanowiczJerzy Janowicz, lui, avait le sourire jusqu'aux oreilles et pas du tout envie de quitter Paris. Cette victoire, c'est un rêve : «C'est le jour le plus incroyable de ma vie. J'ai battu le champion olympique et le vainqueur de l'US Open. J'ai battu Andy Murray. J'ai l'impression que dans quelques minutes je vais me réveiller et que tout sera fini. Mais il va falloir y croire car demain j'ai un match à jouer et je veux bien faire le job.»

S'il s'est montré très ému après la rencontre, ce garçon, dont les parents étaient des joueurs de volley-ball professionnels, a tenu ses nerfs pendant : «En servant pour le match je ne pensais qu'à une chose : ne rien changer à mon jeu, rester agressif, me battre sur chaque balle et attendre qu'Andy baisse un peu pour avoir une chance.» Une tactique payante qui signifie beaucoup pour un garçon qui a bien besoin du prize money décroché cette semaine : «C'est difficile de devenir professionnel quand on vient de Pologne. J'ai de gros soucis de sponsors. J'ai eu des problèmes d'argent toute ma vie, alors cette semaine est vraiment très importante pour moi afin d'attirer les sponsors et d'être aidé. J'ai vécu des moments durs dans ma vie alors cette semaine c'est comme un film.» Comme quoi Bercy en fait encore rêver certains.

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Tennis - ATP - Bercy : Janowicz a soufflé Simon


Gilles Simon s'est incliné face à l'incroyable Jerzy Janowicz (6-4, 7-5) en demi-finale du Masters 1000 de Bercy. Le Polonais a dominé toute la rencontre et affrontera désormais David Ferrer ou Michaël Llodra.

Un coeur gros comme ça. Pas seulement quand il reste à genoux sur le central de Bercy, la tête dans les mains, ému aux larmes. Pas seulement non plus quand il est incapable de parler dans le micro sur le court tellement l'émotion le rattrape. Non, Jerzy Janowicz a un coeur gros comme ça parce qu'il a gagné en patron (6-4, 7-5) une demi-finale de Masters 1000, lui qui n'avait jamais disputé une seule demie sur le circuit. Exceptionnel. Simon, lui, a raté le coche en vue de disputer sa deuxième finale de Masters 1000, après celle perdue contre Murray à Madrid en 2008. Mais il est tombé sur un garçon dont le bras, cette semaine, a pris feu.

Des aces au-delà des 230km/h, une amortie de coup droit de gala à 5-5 40-15 sur le service adverse, des deuxièmes balles à 183km/h dans un dernier jeu de service sous haute tension : le Polonais a joué au funambule, avec succès. Les données du problème du jour pour Gilles Simon ont été claires dès le break subi à 3-2 dans la première manche : sa balle ne faisait absolument pas mal au géant de Lodz. Du haut de ses 2,03m, il a mis toute la pression du monde sur le Français. Ce dernier, privé d'une bonne qualité de première balle, a constamment perdu la main à l'échange.

A la mode Safin ?
Janowicz est ainsi devenu le premier qualifié à atteindre la finale ici depuis Radek Stepanek en 2004, qui s'était incliné face à Marat Safin. Et d'ailleurs ce Janowicz prend de plus en plus des airs du Russe : une qualité de frappe limpide, une puissance brute qui provoque l'effroi et/ou l'admiration du public et puis cette impression de facilité déconcertante. Il reste évidemment un très long chemin à faire au Polonais pour se construire un palmarès de cador. Mais les claques expédiées en coup droit que ce soit croisé ou le long de la ligne ont une classe indéniable.

En revanche, il a semblé - logiquement - accuser le coup mentalement et physiquement lors du deuxième set. Les choix ont été moins clairs (entre le coup de génie et la bourde il n'y a qu'un pas), la première balle a connu un coup de fatigue et le déchet est parti à la hausse. Sa fin de match a été d'autant plus admirable : avec un public qui a tout tenté, même applaudir les premières balles ratées, avec une pression au sommet, retrouver la lucidité et le culot pour gagner les deux derniers jeux a été une énorme performance. On le redit : Janowicz n'est pas qu'un service. Il a une très belle main, de la créativité, un vrai coup d'oeil et un déplacement qui n'est pas handicapé par sa taille. Cela commence à faire beaucoup pour ne rester qu'un tube de la semaine. Le voir à genoux sur le central recevoir une ovation a été une des émotions de ce Bercy 2012. Cette semaine, le tournoi en a bien besoin.

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Tennis - ATP - Bercy : Janowicz : «Incroyable»


Jerzy Janowicz est aussi imprévisible sur le court que devant la presse. Avec une fraîcheur assez désarmante, le Polonais a encore expliqué samedi qu'il avait du mal à croire à sa qualification pour la finale de Bercy, qu'il était fatigué. Mais qu'il voulait aller au bout.

«Jerzy Janowicz, c'était encore une grande performance aujourd'hui. Avez-vous toujours l'impression de rêver ?
Je pense que ma réponse va être la même qu'hier ou qu'avant-hier : c'est incroyable. Je suis en finale et je ne peux pas le croire. Il y a encore une semaine jamais je n'aurais pu l'imaginer. Au moment de la balle de match, j'avais la chair de poule. J'étais nerveux mais c'était quand même un sentiment incroyable. je me suis simplement dit de ne rien changer à mon jeu à ce moment-là et c'est ce que j'ai fait avec une amortie (rire).

Pensiez-vous être capable d'atteindre un tel niveau de jeu ?
J'ai toujours eu confiance en moi. Je rêvais du Top 100 et j'y suis entré cette saison mais jamais je n'imaginais vivre une telle semaine. Je viens jouer les qualifications et je me retrouve en finale. Je suis 69e et je vais jouer la finale : comment est-ce possible ? Je ne sais pas comment j'ai fait ça.

Y a-t-il plus d'attention dans votre ville et en Pologne en général après vos exploits ?
En fait, la rue qui mène à ma maison est totalement bloquée. Personne ne peut accéder car il y a une dizaine de voitures et de cars pour la télévision. Donc je pense qu'après ce tournoi je ne vais pas avoir de problèmes pour trouver des sponsors et que financièrement je n'aurais plus à m'inquiéter.

Malgré l'enjeu, on vous a encore senti très calme aujourd'hui. Comment l'expliquez-vous ?
Pour être honnête, j'ai toujours été solide mentalement. Je ne suis pas quelqu'un qui stresse. Mais quand même je ne m'attendais pas à être si fort pour ma première demi-finale dans un tel tournoi. Je ne sais pas si je serai toujours capable de supporter cette pression, comme aujourd'hui face à un Français avec une foule qui applaudit mes premières balles ratées. J'espère que demain je tiendrai aussi bien.

Quand vous êtes à genoux sur le central puis incapable de parler au micro : à quoi pensez-vous ?
A rien en fait, car je ne sais même pas à quoi on est censé penser dans ces moments-là. Il y avait des milliers de sentiments différents qui me traversaient. Je pense que j'ai juste eu une réaction naturelle, j'avais besoin de laisser la tension retomber pour réaliser. Ok, je suis en final. Alors j'ai pleuré comme un bébé. Enfin, un gros bébé de plus de 2m en fait (rire).

Physiquement, vous sentez-vous capable de tenir encore un match alors que la fatigue doit commencer à s'installer ?
Evidemment je suis un peu fatigué, pas seulement physiquement mais aussi mentalement. C'est difficile de tenir cette pression pendant tant de jours. Mais demain ce sera mon dernier match quoi qu'il arrive, donc il va falloir que j'aille puiser au fond de mon coeur pour trouver de l'énergie. Je vais me battre sur toutes les balles et j'espère bien que je vais gagner.

46 36, Jerzy s'incline hélas en Finale ...

C'est une Défaite "logique" compte tenu des Classements, de l'expérience etc etc ...

... MAIS ce qui laisse des regrets, c'est qu'il a fait Jeu égal avec Ferrer pendant un bon Set et 1/2 !! Déjà en soi c'est REMARQUABLE, cela, compte tenu des différences de "Statuts" de ces 2 Joueurs ..

Le tournant du 1er Set est cette Balle de Break qu'il obtient sur le Service de l'espagnol en Fin de Manche et qu'il ne concrétise hélas pas. Juste derrière, petite déconcentration fatale, Ferrer saute sur l'occasion qui se présente LUI et breake dès sa 1ère opportunité ... L'expérience et le réalisme ont fait la différence ...

Au 2nd Set, là-encore des regrets puisque Jerzy avait breaké en Début de Manche mais il n'a hélas pas su conserver ce Break. La faute, en partie, à un Service moins performant, seulement environ 57% de 1ères, malgré des "fulgurances" autour des 236 km/h qui ont fait se lever la Salle Il a fait de plus en plus de Fautes Directes dans ce Match. Je pense que tout ça c'est en partie lié à la fatigue accumulée tout au long du Tournoi, au Jeu de Ferrer qui est usant à souhaits pour ses Adversaires et peut-être aussi au "trac" d'une 1ère Finale de M1000 ... Ca ne pardonne pas de multiplier ainsi les "cadeaux" à un tel Adversaire qui mise A FOND sur le "tennis pourcentage" ...

... L'Issue était dès lors sans appel !

Bah, c'est dommage de s'incliner ainsi en Finale après une si Belle Résistance et un si Beau Tournoi mais ça n'enlève RIEN à la Qualité de celui-ci ! On va désormais le suivre ce garçon et espérer bien sûr qu'il confirme !!! Il a le Potentiel, clairement, d'un Bon TOP 15 MINIMUM ! Bonne Chance, Jerzy !!

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Tennis - ATP - Bercy : Ferrer, l'ordre du mérite


A 30 ans, David Ferrer a décroché dimanche son premier titre en Masters 1000 en dominant (6-4, 6-3) la révélation polonaise, Jerzy Janowicz. Cette victoire est bien celle du mérite.

Jerzy Janowicz a mal dormi. Sur son petit nuage depuis sept matches, le futur 26e mondial est redescendu sur terre. Il a eu le temps de penser. Penser à cette première finale en Masters 1000, penser à son adversaire, David Ferrer, penser à son incroyable parcours... Quand on s'arrête de marcher sur l'eau, on plonge... L'Espagnol ne s'arrête jamais de marcher. Cette saison, il détient même le record de victoires sur le circuit (72). Cela fait trente ans que cela dure. Cette occasion de soulever un titre en Masters 1000, il l'attend depuis douze ans et ses débuts chez les professionnels. Cette pression, il la reconnaît. Cette tension, il la connaît. Cette victoire (6-4, 6-3), il la mérite vraiment.

Il ne bronche pas sous les murmures du public quand Jerzy Janowicz explose le radar au service (236 km/h) ou envoie ses fusées en coup droit. Il sait bien que briller n'est pas gagner. Le tennis est aussi un jeu de pourcentage. Le Polonais peut faire lever la foule, c'est lui qui soulève le trophée. L'air de rien, il ne donne pas un point ou presque (13 points gagnants, 12 fautes directes) et force son adversaire à surjouer (43 fautes directes, 27 points gagnants). Une erreur adverse, ça compte autant qu'un ace. Le dos voûté et le regard fixe, il récolte.

Ferrer, le tennis pourcentage
Jerzy Janowicz donne beaucoup. Son bras est moins fluide sous le poids de l'événement à l'image de la double faute et de son erreur en coup droit pour perdre la première manche. Il hésite un centième de seconde et cela suffit. Face à la mobylette espagnole, ses amorties ne font plus mouche. Il doit travailler. A ce jeu, David Ferrer est toujours en avance. Sur sa mise en jeu, l'Espagnol se protège en cherchant le pourcentage de premières balles (77%, 5 aces). A la relance, il attend les secondes balles adverses comme un affamé. En défense, il réalise toujours des prouesses.

Pour voir David Ferrer s'arrêter de marcher, il faut donc attendre 1h27' et un dernier retour dans les bâches de son adversaire. Comme son illustre compatriote Rafael Nadal à Roland-Garros, il s'écroule sur le dos. Il n'est pas une star, il n'aime pas la lumière, mais il montre que cette édition de Bercy est bien celle de l'envie et du mérite. - Sophie DORGAN, à Bercy

Article à peine orienté ...

Je suis désolé mais Ferrer n'a pas LE MONOPOLE de l'envie et du mérite lol, Jerzy la voulait tout autant cette Coupe ..

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Jerzy Janowicz, lui, a eu du mal à trouver le sourire. Bouleversé par son aventure parisienne et ses conséquences, le Polonais est rincé. «Aujourd'hui j'étais vraiment épuisé. Cela fait trois jours que je ne dors pas, hier soir je n'arrivais pas à manger... Je suis humain, c'est tout. Je suis ravi d'avoir joué cette finale, mais Ferrer était trop fort. Face à lui il faut beaucoup courir, beaucoup travailler chaque point et je ne pouvais pas. J'avais le bras lourd et ce n'est pas bon pour mon service (sourire). Il a été très bon et puis il avait moins joué que moi avant.»

Avant, Janowicz n'avait pas eu les moyens de disputer l'Open d'Australie, n'avait pas de sponsors et ses parents avaient vendu leurs biens pour l'aider. Il espère que c'est fini : «Je ne sais pas trop à quoi m'attendre en rentrant chez moi, j'ai du mal à réaliser ce qui s'est passé. Maintenant je suis dans le Top 30, ça va m'ouvrir les tableaux. Je pense aussi que l'argent ne sera plus un problème. Ce tournoi va m'être d'une grande aide pour l'avenir. Peut-être qu'un jour prochain je serai dans le Top 10.» Il n'a pas souri en exprimant cette ambition-là : parce que pour lui ça ne sonne pas comme un rêve cette fois, mais bien une possibilité.

http://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Le-reve-de-ferrer/324524

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ATP > Janowicz veut servir au-dessus de 250 km/h
Par Rémi Cap-Vert, vendredi 14 décembre 2012 à 19:33


Jerzy Janowicz est la révélation de cette fin de saison, avec sa finale à Bercy. 26ème joueur mondial, il peut compter sur son énorme service. Au Challenger de Szczecin, il avait planté un ace à 251 km/h... Il s'est confié pour Tennis World.

"Mon objectif, c'est de servir au-dessus de 250 km/h et de battre tous les records. Avec mon coach, on a déjà été capable d'augmenter ma vitesse de service de deux à trois km/h, grâce à un travail assez poussé. Mais je vise une augmentation de 10 km/h cette année. Après Bercy, je n'ai pas fait grand chose de l'argent que j'ai gagné. J'ai juste acheté un jeu vidéo à 100 dollars. Le reste, je l'ai dépensé dans le tennis ! Avec la progression dans ma carrière, les couts augmentent d'autant plus. Il ne faut rien gaspiller dans ces moments. Je ne suis même pas parti en vacances. J'ai préféré rester à la maison : mon lit, mon salon, la TV, l'ordinateur... Tout ça me manquait. Mais ce qui s'est passé à Paris est un chapitre clos pour moi, désormais. C'est derrière. Une nouvelle saison et de nouveaux challenges m'attendent devant moi."

Bonne Saison à lui !

64 67 64, Déception, même s'il a fait un Bon Match d'ensemble, pour Jerzy qui s'incline d'Entrée à Auckland, face à Baker.

Le plus dur commence pour Jerzy, CONFIRMER ...

Courage !

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Tennis - ATP - Sydney : Janowicz, retour manqué


On ne l'avait pas revu depuis sa finale au Masters 1000 de Bercy : Jerzy Janowicz avait été la sensation de la semaine et il en avait profité pour grimper dans le Top 30. Mais lundi le 26e joueur mondial a chuté d'entrée dans la chaleur de Sydney pour son tournoi de reprise face à Brian Baker (4-6, 7-6[5], 6-4), autre révélation de la saison précédente. Mené 5-1 dans la manche décisive, le Polonais a failli totalement inverser la tendance mais son rival américain a fini par réussir à conclure.

Bolelli sera son Adversaire de 1er Tour à Melbourne.

75 64 63 Belle Victoire pour Jerzy qui démarre parfaitement bien cet AO !

Ca devrait pouvoir se poursuivre face au modeste indien Devvarman au 2nd Tour.

Come On !!!

67 36 61 60 75, Ca a été TRES LABORIEUX pour Jerzy face à Devvarman mais c'est passé !