Gilles Simon - 2

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Tennis - ATP - Bercy : Simon en quarts sans jouer


Gilles Simon s'est qualifié jeudi pour les quarts de finale à Bercy sans avoir à sortir sa raquette. Le Japonais Kei Nishikori, qui avait battu Benoît Paire au deuxième tour, a en effet déclaré forfait suite à une blessure à la cheville droite. Le 16e joueur mondial a souffert de divers ennuis physiques après sa semaine victorieuse à Tokyo.

Diminué à Shanghai, il avait été contraint de déclarer forfait à Bâle. On ne l'avait pas non plus senti capable de se déplacer comme à son habitude lors de sa victoire contre Paire. Ce joueur très talentueux, qui vit la meilleure saison de sa carrière, se retrouve de nouveau face à son principal problème : sa capacité à encaisser et enchaîner les efforts pendant une saison pleine.

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Tennis - ATP - Bercy : Simon : «C'est ma semaine»


Gilles Simon n'était pas au mieux ce jeudi matin. Son adversaire Kei Nishikori était encore plus mal. Le forfait du Japonais offre donc au Français un premier quart à Bercy face à Tomas Berdych.

« Gilles Simon, comment vivez-vous cette drôle de semaine ?
C'est ma semaine (sourires). J'ai connu des hauts et des bas. J'avais d'abord un tableau difficile qui s'ouvre finalement. Ce matin (jeudi), je n'étais pas très bien et mon adversaire déclare forfait. Je peux donc récupérer pour essayer d'être en forme demain (vendredi). A chaque fois, cela tombe bien.

On a entendu que Kei Nishikori avait déclaré forfait avant vous car vous aviez des problèmes de cou ?
(sourires) Je n'ai pas spécialement envie de m'attarder sur mes douleurs car je ne souhaite pas que tout le monde le sache. Je n'ai pas envie de donner trop d'informations à mon futur adversaire (Berdych). C'est vrai que je n'étais pas au top. Je me sentais bien ce matin, puis j'ai un peu coincé à l'échauffement sans signe avant-coureur. Mais à l'échauffement, je ne trouvais pas mon adversaire au top non plus. On jouait à côté et je ne l'ai pas senti très bien.

Est-ce la première fois que vous avez autant de chance dans un tournoi ?
Quand j'ai gagné Casablanca, j'allais abandonner et Jo (Tsonga) a déclaré forfait avant moi en demi-finale. Quand je repense au mois de septembre par exemple où j'ai dû abandonner ou déclarer forfait, je suis content d'en profiter sur ce tournoi. Cette saison, j'ai vécu quelques matches où je ne pouvais pas faire ce que je voulais. C'est sympa que cela tourne sur la fin de saison.

Pensez-vous aussi que ce tournoi peut vous permettre d'être dans les seize premières têtes de série à l'Open d'Australie ?
Je pense juste à être à fond demain (vendredi). Cela fait un moment que j'ai arrêté de regarder le classement. Je devais être 10 ou 11e à la Race après Roland. Puis j'ai vu tout le monde me passer devant parce que j'avais mal. J'essaie juste de pouvoir jouer et ensuite je penserai éventuellement au classement. »

Il affrontera Berdych en 1/4.

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ATP - Paris Bercy > Simon blessé ?

Par Rémi Cap-Vert, jeudi 01 novembre 2012 à 13:27


Gilles Simon a avoué, en conférence de presse, souffrir d'un problème physique. Il semblerait même qu'il ait hésité à déclaré lui-même forfait, avant que Nishikori le fasse. On parle d'un problème au cou... On espère, surtout, que les choses iront mieux demain, face à Berdych.

Hum ...

En ramant à fond comme il sait si bien le faire, Simon sort Berdych, 64 64 !

A noter que le tchèque n'était visiblement pas à 100%, en témoignent notamment ses TRES NOMBREUSES fd du 1er Set ET son relâchement coupable au 2nd où il a mené 3/0 ...

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Tennis - ATP-Bercy : Simon, éloge de la patience


Pour dominer (6-4, 6-4) Tomas Berdych, Gilles Simon a compensé ses douleurs physiques par son intelligence de jeu. En demi-finale, le Français affrontera Janko Tipsarevic ou Jerzy Janowicz.

Comme les enfants, Tomas Berdych doit apprendre à s'ennuyer. Dans le grand vide sans rythme proposé intelligemment par Gilles Simon, il faut savoir créer ou compenser l'ennui par l'envie. Le Tchèque n'est pas le plus imaginatif et le Français est bien le plus motivé. Comme un cuisinier devant un frigo vide, le 20e mondial utilise tous les ingrédients pour transformer ses raideurs aux cervicales en plat mitonné aux petits oignons avec une victoire (6-4, 6-4 en 1h51') et une première demi-finale à Bercy face à Janko Tipsarevic ou Jerzy Janowicz.

Gilles Simon ne donne aucun rythme à son adversaire. Il sert à des vitesses entre 120 et 170 km/h, il cherche la longueur, il défend à merveille, contre-attaque à bon escient et met le doute dans le cerveau du Tchèque. Le Tricolore annonce clairement la couleur : "Si tu es le plus fort, viens me chercher" ! Tomas Berdych s'embourbe allègrement. Dès le break au cinquième jeu, il commet sa 11e faute directe (41 au total). Et le jeu perdu de treize minutes à 4-3 ne l'aide pas à se détendre.

Simon joue juste, Berdych joue faux
L'un joue juste, l'autre joue faux. Cela ne donne pas la partition de l'année, mais cela délivre une vraie leçon d'intelligence de jeu. A toutes les questions, Gilles Simon répond. Mené (4-1) au deuxième set, il ne s'affole pas. Il attend que l'Eurostar Berdych fasse fausse route pour aligner cinq jeux d'affilée.

Mais il ne fait pas qu'attendre. En joueur d'expérience, il sait bien qu'il faut aussi provoquer sa chance. A 5-4 (0-40), il lâche les chevaux au service. Trois premières balles le sauvent dans un premier temps et il conclut même par un ace. Gilles Simon est bien le roi du contrepied. Avec quelques oeufs dans son panier, il a cocotté un festin. - Sophie DORGAN, à Bercy

«UN DES MEILLEURS DEFENSEURS»
«Il a très bien joué, je ne l'ai pas vu jouer aussi bien depuis longtemps. C'est un des meilleurs défenseurs du circuit. Il a commis très peu de fautes. Il a vraiment mérité sa victoire aujourd'hui.»

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Tennis - Bercy : Simon : «Un match complet»


Après sa victoire (6-4, 6-4) contre Tomas Berdych, Gilles Simon s'est montré heureux d'avoir réalisé un match complet. Et il ne compte pas s'arrêter en demi-finale.

« Gilles Simon, comment analysez-vous votre victoire ?
J'ai réussi à bien m'y prendre. J'ai réalisé un match complet. Je suis content parce qu'il y a toujours pas mal d'émotions en entrant sur le terrain. Même si j'avais les idées assez claires sur ce que je devais faire, c'est toujours compliqué de les appliquer. Aujourd'hui cela s'est très bien passé. J'ai réussi à rester très concentré. Je connais bien Tomas, il a beaucoup d'armes dans son jeu. Il a du mal à me faire un point gagnant, il joue très vite et j'arrive bien à m'appuyer sur sa balle. Je l'ai bien maîtrisé du fond du court, j'avais de bonnes sensations, j'ai commis très peu de fautes directes. Il devait donc faire tout le travail pour gagner les points. J'ai réussi à rester très régulier et très constant tout le match.

Quelle a été votre recette ?
C'est un joueur qui a très peu de lacunes. Il sert fort, il frappe fort des deux côtés, il n'est pas maladroit au filet. Face à un joueur avec autant d'armes, il est important d'arriver à le neutraliser. J'ai réussi à jouer dans le bon timing : jamais trop vite, jamais trop haut, ne pas lui ouvrir le terrain. Cela l'a fait forcer et rater.

Au service, vous sembliez gêner ?
Il y a une ou deux choses qui me gênaient. Mais affronter Tomas qui joue en cadence, cela m'allait bien. Je me suis appuyé sur mes forces, mon timing et mon contre. Je l'ai fait beaucoup travailler du fond du court. C'est vrai que mon service allait moins vite. J'espère que cela va s'améliorer.

Votre tactique de faux rythme est-elle liée à votre adversaire ou à vos gênes physiques ? Ou les deux ?
Certaines fois j'aurais pu m'engager davantage, mais je n'ai pas pu le faire. De toutes les façons, ce n'était pas ce qu'il fallait faire aujourd'hui. Je ne vais pas gagner contre Tomas Berdych en essayant de frapper plus fort que lui. Je sais que si je le fais travailler, si je lui mets la balle basse, ce n'est pas évident pour lui de s'engager à fond avec ses coups à plat. Ce n'est pas tous les jours que je peux réaliser un match où je rate aussi peu, où j'arrive à le faire bouger. C'était un match complet. »

Il défiera en 1/2 le polonais Janowicz, REVELATION de la Semaine !!!

46 57, Simon s'incline en 1/2 à Bercy, victime lui-aussi de "l'ouragan Janowiczzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz"

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Tennis - ATP - Bercy : Janowicz a soufflé Simon


Gilles Simon s'est incliné face à l'incroyable Jerzy Janowicz (6-4, 7-5) en demi-finale du Masters 1000 de Bercy. Le Polonais a dominé toute la rencontre et affrontera désormais David Ferrer ou Michaël Llodra.

Un coeur gros comme ça. Pas seulement quand il reste à genoux sur le central de Bercy, la tête dans les mains, ému aux larmes. Pas seulement non plus quand il est incapable de parler dans le micro sur le court tellement l'émotion le rattrape. Non, Jerzy Janowicz a un coeur gros comme ça parce qu'il a gagné en patron (6-4, 7-5) une demi-finale de Masters 1000, lui qui n'avait jamais disputé une seule demie sur le circuit. Exceptionnel. Simon, lui, a raté le coche en vue de disputer sa deuxième finale de Masters 1000, après celle perdue contre Murray à Madrid en 2008. Mais il est tombé sur un garçon dont le bras, cette semaine, a pris feu.

Des aces au-delà des 230km/h, une amortie de coup droit de gala à 5-5 40-15 sur le service adverse, des deuxièmes balles à 183km/h dans un dernier jeu de service sous haute tension : le Polonais a joué au funambule, avec succès. Les données du problème du jour pour Gilles Simon ont été claires dès le break subi à 3-2 dans la première manche : sa balle ne faisait absolument pas mal au géant de Lodz. Du haut de ses 2,03m, il a mis toute la pression du monde sur le Français. Ce dernier, privé d'une bonne qualité de première balle, a constamment perdu la main à l'échange.

A la mode Safin ?
Janowicz est ainsi devenu le premier qualifié à atteindre la finale ici depuis Radek Stepanek en 2004, qui s'était incliné face à Marat Safin. Et d'ailleurs ce Janowicz prend de plus en plus des airs du Russe : une qualité de frappe limpide, une puissance brute qui provoque l'effroi et/ou l'admiration du public et puis cette impression de facilité déconcertante. Il reste évidemment un très long chemin à faire au Polonais pour se construire un palmarès de cador. Mais les claques expédiées en coup droit que ce soit croisé ou le long de la ligne ont une classe indéniable.

En revanche, il a semblé - logiquement - accuser le coup mentalement et physiquement lors du deuxième set. Les choix ont été moins clairs (entre le coup de génie et la bourde il n'y a qu'un pas), la première balle a connu un coup de fatigue et le déchet est parti à la hausse. Sa fin de match a été d'autant plus admirable : avec un public qui a tout tenté, même applaudir les premières balles ratées, avec une pression au sommet, retrouver la lucidité et le culot pour gagner les deux derniers jeux a été une énorme performance. On le redit : Janowicz n'est pas qu'un service. Il a une très belle main, de la créativité, un vrai coup d'oeil et un déplacement qui n'est pas handicapé par sa taille. Cela commence à faire beaucoup pour ne rester qu'un tube de la semaine. Le voir à genoux sur le central recevoir une ovation a été une des émotions de ce Bercy 2012. Cette semaine, le tournoi en a bien besoin.

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Tennis - ATP - Bercy : Simon : «Je suis déçu»


A son tour emporté par l'ouragan Jerzy Janowicz, Gilles Simon était d'abord déçu de sa performance. Il s'attendait à jouer un homme en confiance, mais il n'a pas suffisamment bien joué pour endiguer le flot.

«Gilles Simon, quelles sont les impressions qui dominent après cette défaite face à un joueur très difficile à manoeuvrer ?
J'ai joué sans surprise un adversaire très en confiance et qui y va gaiement, qui a envie de frapper le plus fort possible à chaque fois. Cela ne m'a pas tellement surpris. Il a une mise en jeu vraiment difficile à relancer. Je pense faire partie chaque année des meilleurs relanceurs du circuit, et là je n'ai jamais eu la moindre occasion. Cela allait vite tout le temps. Sur mes mises en jeu, je n'ai pas été assez bon. Cela restera mon regret. Face à ce type d'adversaire, pour le faire douter, il faut être à l'aise sur ses mises en jeu, lui faire sentir qu'il n'aura pas d'occasion. Je n'ai pas réussi à le faire. Il a pris l'ascendant systématiquement, a eu le temps de tenter tout ce qu'il avait à tenter. À un moment, c'est passé et il a gagné logiquement.

Il a tout de même un jeu différent du profil du grand serveur avec notamment toutes ces amorties. Est-ce difficile de trouver la bonne tactique face à un joueur si imprévisible ?
J'y arrive mais il faut que je sois plus performant sur mon service. Il faut que j'arrive à commencer mes jeux de service en ayant l'avantage, en envoyant à droite, à gauche. Ce n'était pas le cas aujourd'hui. J'avais une première balle qui ne passait jamais, cela lui laissait le temps sur le deuxième de varier avec des amorties, d'être agressif. Il est très bon à cela. La tactique, ce n'est pas de contrer ça mais de l'empêcher de le faire.

Comment voyez-vous l'avenir de ce joueur de 21 ans ?
Je pense qu'il peut bien jouer. Il a montré cette semaine que quand il est en confiance, il est capable de battre d'excellents joueurs, et même mieux que cela avec sa victoire face à Murray. On le sent sûr de lui. Je n'aime pas juger sur un tournoi parce que j'ai envie moi-même de voir ce que cela va donner dehors, avec du vent. Le coup droit qui part à 160, j'ai l'impression que c'est presque un service parfois. J'attends de voir s'il sera aussi précis dans d'autres conditions. Aujourd'hui, il est en confiance. On saura que quand il est bien parti, il est dur à arrêter (sourire).

Quel bilan tirez-vous finalement de cette semaine mais aussi de votre saison ?
On ne se satisfait jamais de perdre. J'imagine que dans deux semaines, je me dirai : «C'est bien». Là, tout de suite, je suis déçu. Cela restait un adversaire à ma portée. Je n'ai pas eu l'impression d'avoir fait un grand match. Je sais que je peux mieux faire. J'ai envie de m'appuyer sur ce que je n'ai pas réussi à faire pour le travailler. Cela a été une saison extrêmement pénible pour moi à jouer car j'ai manqué de sérénité physiquement. Peu à peu c'est rentré dans ma tête. C'était dur à chaque fois d'aller sur le terrain sans avoir la certitude de pouvoir livrer le combat que j'aimerais. J'ai besoin de retrouver confiance dans mon corps, de sentir que je peux y aller à fond, pour pouvoir être plus serein dans mon jeu et ma tête.»

76 76 Simon continue à Brisbane, il sort Falla.

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Tennis - ATP - Brisbane : Simon décisif


Pour son premier match de la saison, Gilles Simon a dominé difficilement le Colombien Alejandro Falla (7-6 [5], 7-6 [5]). Il est qualifié pour les quarts de finale.

Exempté du premier tour, Gilles Simon (tête de série n°3) a remporté son premier match de l'année mercredi au 2e tour du tournoi de Brisbane. Si c'est au terme de deux jeux décisifs (7-6 [5], 7-6 [5]) et 2h12' de combat que le Français a battu le Colombien Alejandro Falla, il aurait pu tout aussi bien se qualifier plus rapidement après avoir notamment mené 5-2 dans la deuxième manche. Auteur de trois breaks dans la rencontre sur quatre opportunités seulement, le Niçois s'est finalement montré meilleur que son adversaire dans les moments importants, puisque Falla s'est lui procuré neuf occasions de prendre le service adversaire. Avec un pourcentage de première balle plutôt médiocre (48%), il s'en sort plutôt bien.

Baghdatis au prochain tour
En quarts de finale, Simon affrontera Marcos Baghdatis, qui dans la foulée a dominé l'Allemand Florian Mayer (6-4, 6-2). Déjà demi-finaliste l'an passé en ouverture de la saison en Australie, le Français devra se méfier face au 36e joueur mondial. Car s'il avait infligé son ultime défaite au Chypriote au Masters 1000 de Bercy pour finir l'année 2012, ce dernier sera cette fois animé d'un esprit de revanche. En quatre confrontations, les deux hommes ont gagné chacun à deux reprises. Et Baghdatis est en plus un habitué des lieux puisqu'il s'apprête à disputer là-bas son troisième quart d'affilée.

Il s'incline face à Marcos au Tour Suivant, 36 46.

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Tennis - ATP - Brisbane : Simon sort en quarts


Gilles Simon a été éliminé en quarts de finale à Brisbane. Le Français s'est incliné face à Marcos Baghdatis en deux sets (6-3, 6-4). Le Chypriote retrouvera Grigor Dimitrov, tombeur de Jurgen Melzer (6-3, 6-2), en demi-finales.

Affronter Marcos Baghdatis à cette période de l'année n'est jamais facile et Gilles Simon en a fait l'amère expérience à Brisbane. Pas très inspiré, le Français a été logiquement battu en deux sets et 81 minutes de jeu (6-3, 6-4). Breaké trois fois, la tête de série numéro trois n'est jamais revenue dans la partie face à un adversaire solide sur sa mise en jeu et qui a notamment sauvé quatre balles de break. En demi-finales, le Chypriote retrouvera Grigor Dimitrov, qui s'est quant à lui offert Jurgen Melzer en deux sets (6-3, 6-2). La rencontre entre deux hommes en forme en ce début de saison peut valoir le détour.